>> Hadoc Gharr
une image 200*300 | Pseudonyme : Sabre Mouvant Age: 37 ans Sexe : Homme Race : Humain Rang : Capitaine Métier : Capitaine et Samouraï Groupe : Marine Déjà un équipage : Mon propre équipage, les Ghost Dogs But : Servir, transmettre la voie du guerrier, mourir. Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Un Haki quand ce sera le moment. Celui des Rois lui irait pas mal, mais je ne vais pas bouder si je n'y ai pas droit. Équipements : Attributions standard de Capitaine (uniforme, bureau, navire, poster de Gol D Roger décapité dédicacé,etc), un arc long et trois sabres: un wakizashi (poignard), un dotanuki (sabre à une main) et un katana (sabre bâtard). Ces trois lames sont des meitous (chacune appartenant à une catégorie). Codes du règlement (2) : Baggy le clown the best....ou pas! Parrain : Minos |
>> Physique Cher Pabelo P. Kaso, Pardonnez le retard de ma réponse, nous avons subi une forte tempête et aucun courrier n'a pris son envol pour vous livrer la présente missive. Si on ajoute à cela le retard de l'arrivée de votre portrait à cause des raids pirates dont vous avez certainement entendu parler dans le mondial de la semaine dernière, vous pardonnerez probablement le délai de ma réponse à laquelle je porte toutes mes excuses. Tout d'abord, laissez-moi vous féliciter pour votre choix de cadre. N'ayant jamais mis les pieds ici, vous n'aviez aucun repère visuel des lieux et je suis étonné que les contraste siéent tant à ce qui n'était guère plus pour vous qu'une description sommaire et maladroite d'une précédente épître. Je loue et jalouse également votre coup de pinceau, si cette expression ne choque pas l'artiste reconnu que vous êtes sur East Blue et au-delà. aussi, c'est avec embarras que je me vois contraint de souligner quelques détails que vous serais gré d'effectuer quelques reprises sur le Capitaine. Il ressemble comme un jumeaux à l'authentique, mais je vous ferais offense en ne témoignant pas autant de minutie que vous en traquant sur cette peinture la moindre imperfection. Votre remarque soulignée deux fois déclarant, je vous cite "Je ne fais pas un portrait, je crée une copie-conforme. Mon nom sera souillé s'il en est autrement" me donne le droit absolu de "dénoncer" toute différence. Je tâcherai d'être le plus clair possible afin que vous puissiez atteindre votre objectif dans le plus bref délai. Votre travail est sans flottement, le Capitaine Hadoc est bien un homme aux traits et à la peau sombres. Sous ses cheveux quasi noirs, un regard teinté de néant se souligne de quelques rides légitimes pour son âge. La barbe épaisse est bien soignée, je me suis toujours amusé de penser qu'elle n'est pas sans rappeler les images épinales des Capitaines de fictions et boîtes de surgelés. Le nez marqué par le choc des combats et la peau bardée de cicatrices de divers tailles, angles et profondeurs sont autant de signatures sur ce parchemin usé témoignant d'un nombre si incalculable d'affrontements qu'on eût pu douter qu'ils fussent tous menés par un seul être. Il vous faudra réviser les proportions du modèle. Le Capitaine mesure bien 1m93, mais il accuse 111 Kg. Vous l'avez fait plus fluet, sans doute parce que les bretteurs que vous avez l'habitude de tracer ont les muscles longs et fins. Notez que si ce sont les qualités de sabreur qui ont valu à cet homme la surnom de Sabre Mouvant, il est également un lutteur professionnel et un boxeur notable. Son épaisseur ne traduit aucune lenteur, n'hésitez pas à le gonfler au niveau des bras et des trapèzes. Trois crans de ceinture d'après moi. Je vous invite à consulter les mondiaux référencées sur un feuillet annexe, vous y trouverez de nouvelles photos pour préciser le corps. La tenue du Capitaine est une réussite. L'échantillon de tissu marron semblable à celui de son kimono vous a, je l'espère, été d'une aide, sinon précieuse, pratique. Pour répondre à votre question, j'affirme qu'il n'a aucune broderie sur ses vêtements. Le Capitaine se complaît dans un tissu de bonne qualité et pense qu'apporter une quelconque fioriture est un superflu trahissant la noblesse du travail. Vous ne trouverez aucune décoration sur cet homme, seules ses médailles garnissent une veste qu'il ne porte que quand la fonction l'exige. Vous pourriez vulgariser un peu plus l'allure, Hadoc prouve sa fierté dans ses actes et non dans son maintien. S'il n'avait ni uniforme, ni réputation, vous auriez l'impression en le plaçant face à vous qu'il s'agit d'un mercenaire sévère et serein, de ceux que vous ne voudriez pas inviter à partager un verre en prévision certaine d'avoir trouvé le compagnon idéal aux échanges d'anecdotes et courants de pensées. Les sandales que vous avez peintes ne sont pas en paille, mais en bois. J'aurais dû vous préciser que ce sont des gettas, plus personne ne porte ça de nos jours. Je suis tellement habitué à le voir avec que j'en ai oublié l'originalité. Si rajouter les lames de bois jure avec le relief de votre décor, vous pouvez aussi le laisser pieds nus. Il l'est toujours dans les intérieurs et je pense que le voir déchaussé dans son bureau lui sera plus agréable, même si votre décor atteste qu'il est dehors. [minimum 10 lignes] >> Psychologie Harry Cover: Alors pour situer nos lecteurs, je suis actuellement avec Gharr Hadoc, Capitaine d'East Blue pour une interview exclusive du Mondial. Capitaine Hadoc, bonjour! Capitaine Hadoc: Ca ne va pas. HC: Qu'est-ce qui ne va pas ? CH: Je ne suis pas Capitaine d'East Blue, je suis Capitaine. HC: Ah bon ? Ben qu'est-ce que ça change ? CH: Ca change que je ne dirige pas East Blue, ce n'est pas mon territoire. HC: Ah si, moi on m'a dit "Capitaine Machin veille sur East Blue, vas l'interviewer." CH: Machin ?...d'accord. East Blue c'est un océan... HC:... CH: Non mais ne réfléchissez pas, c'est un océan c'est un fait. Eh bien un Capitaine se voit attribuer des zones d'un océan, mais ne dirige pas cet océan. Vous comprenez, un océan, ça n'a pas de propriétaire, et moi je....qu'est-ce que c'est que ça ? HC: Quoi ça ? Ben ce sont des chaussettes, on m'a forcé à retirer mes chaussures en entrant. CH: Non mais d'accord, mais ça là c'est quoi ? On dirait une grosse auréole de flotte autour de vos pieds.. HC: Beeeeeen, c'est qu'il fait chaud ici. Puis je ne savais pas que je devrais retirer mes chaussures avant d'entrer. CH: On n'entre pas chez les gens avec ses chaussures quand on a marché dehors avec, c'est un principe de base. HC: Oh ben je savais pas moi, d'habitude je garde mes chaussures ça ne choque personne. CH: Tout à fait, si on commençait ? Parce que là je....hein! HC: Avec plaisir, alors Capitaine Hadoc, moi c'est Harry Cover, enchanté. CH: Nos initiales sont inversées. HC: Pardon ? CH: Je suis CH et vous êtes HC, ça ne doit pas être facile pour le lecteur de s'y retrouver. HC: Eh bien si, mais ce n'est pas si dérangeant. CH: Nommez moi G pour Gharr, ça suffira. HC: D'accord. Bonjour Gharr, êtes-vous prêts ? G: Non, vous me notez G, mais vous m'appelez Capitaine Hadoc. C'est le Capitaine qui vous intéresse dans cette entrevue, pas l'homme, si ? HC: Hum...en fait si, un peu. Je viens poser des questions sur vous. G: Parler de moi, je me doute qu'on est venu parler de moi. Ce n'est pas moi qui me suis tapé deux jours de traversée pour venir vous poser des questions, si ? HC: Je ne sais pas, vous avez pris quel bateau vous ? G: Bon, on va avancer parce que ça devient trop long là! Pas prévu de discuter toute la journée avec on va simplifier. On est là pour parler de mon parcours, on est d'accord ? HC: Ah je pense pas non, ça, ça vient après. Là on en est à votre portrait..ah allez...le truc du mental. G: Quoi, mon portrait psychologique ? HC: Non, les façons de penser, les machins en rapport avec Freud. G: Psychologique ! HC: Non, psychologique c'est ce qui est à la campagne. G: Non, ce qui est à la campagne c'est agricole, ou rural. HC: Ah mais du coup c'est pas ça, non moi je parle des trucs qui se déroulent dans la tête. G: Psychologique ! HC: Psychologique, voilà ! G:... HC: Alors, attendez, je prends mes questions sur mon papier parce que sinon je vais mélanger perdre le fil. G: Ca serait dommage! Il y en a beaucoup des questions ? HC: Euh...une. G: Quoi, une seule question ? Ok, non mais d'accord allez-y, je m'en fous moi après tout. C'est déjà ça que j'aurai en moins à passer avec vous. C'est quoi votre question ? HC: Capitaine Hadoc, ou "G", décrivez-vous psychologiquement s'il vous plaît bien. Après j'ai mis un merci, mais je sais pas si je dois le dire une fois avant la réponse, une fois après, les deux ou l'un ou l'autre, ou après. G: Alors, mon portrait psychologique. Entre parenthèses votre question n'est pas une question du tout, mais je vais quand même y répondre. Je suis patient, vraiment très patient. C'est tout à votre honneur d'ailleurs, nombre de gradés vous auraient botté le cul jusqu'à votre patelin natal. Je connais même deux-trois colonels pas très portés sur l'authenticité des rapports qui vous auraient mis au cachot pour éviter de vous laisser la moindre opportunité de vous reproduire, mais passons. Je suis patient. Je suis courtois aussi. Là je n'ai pas l'air très courtois parce que je parle vite, mais quand j'ai une personne dotée d'un quotient intellectuel vaguement proche de la moyenne, même un peu sous le niveau de la mer je suis d'une nature calme, et même taiseuse. Je veille à faire respecter la discipline, sans grand mérite étant donné que j'ai la chance de travailler dans l'océan le plus sûr du monde. Je me retrouverais bombardé à West Blue, je ne vous raconte pas le changement que ça serait de devoir faire des Marines des gars tellement peu aidés que je me demande si vous n'avez pas de la famille là-bas. De mon point de vue, on me voit comme quelqu'un de juste et de loyal. J'ai débuté troisième classe il y a de cela plus de vingt ans et j'ai eu ma part de joies et déceptions au fil des grades. Je respecte mes supérieurs, je suis intransigeant sur la conduite de mes hommes et milite pour inculquer à chaque uniforme des valeurs humaines via le code du guerrier. Je ne suis ni pour la menace, ni la violence physique. En général je me contente d'avertir une fois et si la personne n'en tient pas compte, elle en subit les conséquences. Il y a des moments où je peux être très froid, tout dépend de la délicatesse de la tâche que je dois accomplir. En dehors du travail, j'ai le contact facile mais je fais toujours attention à mon attitude, à tout moment je reste Capitaine. Vous avez tout noté ? HC: avez...tout...noté?...Oui voilà, c'est bon. dites, pendant que vous parliez, je pensais à une autre question, je peux la dire ? G: Je ne sais pas, c'est ça votre question ? HC: Quelle question ? G: Ca fait rien, allez-y posez votre question. HC: Alors, l'adjectif qui vous définit le mieux ? G: L'adjectif qui me définit le mieux ? Seul....vraiment seul. [minimum 10 lignes] >> Biographie NB: Vous allez remarquer un contraste net entre le Gharr du portrait psychologique et celui du background. C'est absolument volontaire et je me permets de souligner que nombre de personnages de Oda ont un passé pas très jouasse. Maintenant que j'ai bien pété l'ambiance, je vous souhaite bonne lecture. Le revers de la médaille Les archives témoignent de l'arrivée d'un orphelin au dojo Isshin, sur l'île Shimotsuki, répondant au nom de Gharr Hadoc il y a de cela 24 ans. Le jeune garçon, âgé de 13 ans, ne présentait aucune connaissance dans l'art au combat. Sa venue était due au même rêve commun à la plupart des élèves de cette époque: être le digne héritier du célèbre pirate chasseur de primes Roronoa Zoro. Si l'île et ses dojos étaient, au siècle précédent, un endroit redoutable fournissant de véritables prodiges de l'art du sabre, l'afflux de gens immatures, bercés d'histoires dont ils se pensaient capables de s'y incruster, transforma ce lieu spirituel en une gueule béante du tourisme de plus en plus subi. Symbole de force, mais aussi de piraterie, nombre d'apprentis criminels vinrent se mêler aux autres, ainsi que des fils de nobles auxquels le nom Roronoa ne signifiait que succès et prestige potentiel pour leur talentueux fiston. La beauté du décor changea d'année en année. Le Gouvernement affaibli était toujours occupé à reconstruire sur GrandLine, laissant les Blues en sous-effectifs pour maintenir l'ordre. L'île devint alors, au même tire que d'autres, une zone de non-droit où les bandits aimaient profiter de l'engouement du lieu pour s'adonner à une orgie de crimes. De son côté, le senseï Koshiro avait trop d'élèves et les autres senseïs pas assez. La plupart des écoles de l'île finirent par devoir fermer leurs portes. Isshin était alors boursoufflé par le succès et incapable de s'occuper équitablement de tout le monde. Les bons élèves subirent la corruption, certains en devenant brigands ou pirates à leur tour, d'autres en quittant Shimotsuki afin de trouver ailleurs un endroit plus sain où s'améliorer. Le niveau général se dégrada pour choir inexorablement dans un laxisme navrant. Le retour d'une étoile... Gharr n'était alors pas différent des autres. Lui aussi voulait son nom dans l'Histoire. La petite différence avec les autres, c'est qu'il possédait un talent rare. Ce talent, le maître Hirate le remarqua. Il prit l'adolescent à part et constata une chose unique chez lui: chaque mouvement était légèrement plus parfait que le précédent, comme si seul le manque de coordination empêchait son corps de parvenir au mouvement que son esprit avait déjà parfaitement assimilé. Ravi d'avoir trouvé celui qu'il pensait être son successeur, il dévoila tout son savoir à l'apprenti qui emmagasinait les figures comme s'il les avait toujours sues. D'autres élèves virent également le changement et bientôt Gharr fut confronté à insultes et demandes de duel au boken, le sabre de bois. Il remporta chaque combat. Un jour, le jeune fils d'un pirate local, classé parmi les meilleurs espoirs, déroba le sabre du senseï car il le savait de très grande valeur. Sur le chemin du retour au navire, il croisa la route de Gharr qui lui interdit de regagner les siens avec un objet si précieux. Un duel au véritable sabre eut lieux et le fils du pirate finit ses ombres ambitions quand ses deux mains furent tranchées. Gharr rapporta l'arme à son maître, le fils du pirate rapporta l'acte du prodige à son père. Le dojo Isshin, jusqu'alors plus ou moins préservé par la vague de crimes du lieu, entra dans une véritable guerre contre les pirates. Les pratiquants du sabre restant vulnérables aux armes à feu, l'école était condamnée à disparaître. Ce ne fut pourtant pas le cas. Contre toute attente, l'équipage pirate n'attaqua jamais. Durant la nuit, quelqu'un avait infiltré leur bâtiment et les avait tous assassinés dans leur ronde ou leur sommeil. Cet acte, impensable alors, fut immédiatement imputé aux disciples d'Isshin et des esprits vengeurs naquirent. Ils ne grandirent jamais, car toute personne qui préparait une attaque contre Koshiro, assassin présumé, rencontrait la mort à laquelle il semblait impossible de se substituer. Le senseï fit peur aux pirates et encouragea les élèves. Pris d'une soudaine fierté, les bretteurs combattirent les brigands de l'île et organisèrent des milices. Mieux encore, tous les éléments corrompus à l'intérieur de l'école disparurent ou prirent la fuite. Isshin n'était pas sauvé, mais il avait récupéré ses lettres de noblesse. ...Celle du shérif Bien qu'il ne l'avoua jamais, tout le monde sut que le senseï Koshiro n'était pas l'homme calme et pacifiste qu'il montrait au grand jour. Les victoires du début de la guerre étaient dues à la langue pendue de certains élèves, mais aussi au fait que tout adversaire se voyant déjà vainqueur de l'affrontement, Koshiro était ouvertement défié. Maintenant que sa force était reconnue, les bouches restaient mues et les actes plus imperceptibles. Un soir, une attaque massive de plusieurs équipages réunis surpris l'école Isshin. Les disciples étaient prompts à prendre les armes, mais le nombre d'ennemis contre qui lutter, ajoutée à l'interminable confrontation, épuisait les muscles et alourdissait les sabres. Au petit matin, seuls Gharr et son maître poursuivaient le combat. Koshiro protégea son élève jusqu'au bout, mais ses blessures étaient profondes et sans une aide qui de toute évidence n'arriverait plus à temps, il était condamné. Quelque chose déjoua toutefois l'assaut pirate et la funeste destinée du jeune garçon. Au dernier moment, la marine, dont la lutte contre le crime des habitants de l'île avait fait écho, dépêcha une flotte qui arriva juste à temps pour sauver le dernier samouraï. Impressionnée par l'habileté et la ténacité du jeune homme, la Marine le recruta. Gharr accepta à l'unique condition que Shimotsuki soit enfin protégée. La demande passa en hautes instances et la presse qui donna une première page au visage du garçon, mosaïqué pour sa propre sécurité, offrit une réponse favorable. Dès lors, le Première classe Hadoc gravit les échelons. Obéissant et efficace, il fut envoyé aux quatre Blues pour y accomplir diverses missions. Sa discipline et sa facilité à commander et motiver ses semblables en fit même un Capitaine gardé jalousement par East Blue. On dit que si cette mer est aujourd'hui l'une des plus sûres du monde, le Capitaine Hadoc y est pour quelques chose. Plusieurs fois Grandline lui proposa de les aider à renforcer leurs effectifs et à l'employer là où ses talents seraient rentables à 100%, mais Hadoc déclina à chaque fois, précisant qu'il fallait quelqu'un pour empêcher les Blues de servir de Shimotsuki. En parlant de Shimotsuki, Isshin reprit du service et profita d'un enseignement privilégié par Gharr qui fut chargé, en temps que Colonel, de veiller personnellement au bon développement de l'île et à sa sécurité. Il offrit à son ancienne école un nouveau senseï et partit même en quête d'en trouver d'autres. Quatre personnes furent recrutées. Une dernière vint d'elle même et se montra convaincante. Depuis plus de trois ans, l'île de cet orphelin sorti de nulle part est redevenue le foyer qu'il voulait trouver vingt ans plus tôt. Entre les lignes Cette histoire est touchante. Elle a un héros un peu mystérieux, une quête de gloire transformée en véritable vertu, l'abolissement du crime et les prémices d'un héroïsme mondialement reconnu. Mais, cette histoire reste une histoire. Si on portait un oeil indiscret sur les rapports de l'Amiral en Chef, on verrait que Gharr était Marine dès l'âge de douze ans. Ce rapport ferait état d'une mission confiée par une huile un peu trop huilée pour sembler officielle, mission qui consisterait à envoyer la jeune recrue seule et sans filet pour démanteler un réseau criminel, trouver toute trace de révolution et veiller à la dissoudre également. Ce rapport dirait que tous ces assassinats n'étaient pas le fait du senseï Koshiro, mais bien du Caporal Hadoc, plus jeune Marine de sa promotion n'ayant jamais fait le temps réglementaire en temps que simple matelot. On en conclurait vite que Gharr faisait semblant de ne pas savoir et qu'il était, dès son arrivée, meilleur que son maître. Celui-ci ayant été incapable de comprendre sa supercherie, il ne fut pas plus capable de l'arrêter quand Gharr lui découvrit une relation étroite avec la piraterie, qu'il justifia dans l'agonie comme étant le seul moyen qu'il avait de protéger son école. Et cette bataille miraculeusement remportée serait le passage le plus amusant de ce rapport officieux. Tout renfort pirate avait fini coulé et la guerre n'avait pas opposé Isshin aux pirates, mais Isshin corrompu et les pirates à la Marine. Voilà un rapport qui vous détaillerait une histoire plus authentique, mais tout autant plus vilaine et sombre. La légende racontée est bien plus belle. Elle véhicule les valeurs et l'espoir, mais en plus, elle offre un passé au Capitaine Gharr. La vérité sur ce qu'il est vraiment, elle vous sera contée un autre jour. Il vous faudra chercher parmi les traces laissées par cet être les pièces du puzzle de son enfance. Mais préférez-lui le conte, les vraies histoires sont souvent moins bien habillées et tous ici avons besoin de rêver. [Minimum 20 lignes] >> Test RP Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation. Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas. |
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Informations IRL
- Prénom : Rorisu
Age : ça change chaque année, pour l'instant 24 (ans bien sûr)
Aime :Les jeux de mots, les arts martiaux, l' absurde, le rôleplay, les femmes, le thé marocain, le son du violon, les pandas, les mammifères expressifs, les campanules, les mimiques humaines, le lait, le mot " globule ", Les frères ennemis, Robert Lamoureux, Coluche mais surtout Devos et Desproges, le satin, le Trip hop, le jade, les chemises à la Parker Lewis, le personnage Norman Pankow dans la série du même nom, les doubleurs Maurice Sarfati et Bernard Tiphaine, Ultimex, Robert Cash, le cinéma de Tarrantino et des frères Cohen, Kaamelott, The Shield, les dialogues de Michel Audiard, les voix rogues, les capots des vieilles américaines et les illusions.
N'aime pas :Les échelles, le thé mal infusé qui goûte le métal, Gérald de Palmas, les comédies musicales, l'opéra, les métiers maritimes, le mot " nectar ", l' humour de Titof ou Dany Boun, le tapis plein, la laine, le pastis, le jeu de Bruno Slagmulder, la vf de How I met your mother, les changements d' heures, l' art moderne ( souvent ), les manches de poêle qui se détachent, le cri strident de certains perroquets ( comme le gris du Gabon ), la couleur orange, le vin qui pétille, l' eau gazeuse, le bruit des moustiques, remarquer que je viens d'oublier un truc juste au moment je me suis bien installé pour être pépère, le langage djeuns et la nouvelle orthographe française.
Personnage préféré de One Piece : Déjà donné mon préféré avec Minos, suis pas quelqu'un qui change d'avis comme de chemise (heureusement, je te dirais pas l'odeur). Alors comme c'est un second compte, je vais donner mon second perso préféré: Barbe Blanche
Caractère : (définissez vous en quelques mots) Euh...Minos en moins exag quand même.
Fais du RP depuis : Quasi 10 ans...déjà 10 ans.
Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) régulière.
Comment avez vous connu le forum ?Rei et Rik.