Körsser Yukimaru
• Pseudonyme : Souvent appelé Yuki car c'est plus rapide, un sergent préfère le surnommer Billy, sans raison compréhensible.
• Age : 32 ans, donc naissance en 1595.
• Sexe : Homme.
• Race : Humain.
• Métier : Yuki était avant un apprenti médecin/chirurgien qui est devenu soldat dans la marine.
• Groupe : Marine régulière.
• Age : 32 ans, donc naissance en 1595.
• Sexe : Homme.
• Race : Humain.
• Métier : Yuki était avant un apprenti médecin/chirurgien qui est devenu soldat dans la marine.
• Groupe : Marine régulière.
• But : Vivre pour travailler, ou travailler pour vivre.
• Équipement : Hormis ses vêtements et ses uniformes, il possède un katana en bois nommé Shu et des berry en poche.
• Parrain : -
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? -
Codes du règlement :
• Équipement : Hormis ses vêtements et ses uniformes, il possède un katana en bois nommé Shu et des berry en poche.
• Parrain : -
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? -
Codes du règlement :
Description Physique
Yuki est un homme imberbe et trentenaire qui mesure 1m81 pour 75 kilos. Ses cheveux sont noirs et longs et lui retombent sur le front. Ce n'est pas sa couleur naturelle, normalement il est châtain clair et une fois pas an il se fait soit des mèches de couleur ou une nouvelle teinte générale. Son nez est petit et discret et son sourire tout autant, il a l'air froid au premier abord mais dès qu'il flaire de la bouffe alors ce morfale qui prend pas un gramme retrouve le sourire. Tout ses sens sont fonctionnels sauf son audition qui est défaillante, pas au point qu'il soit sourd mais il n'entend pas les chuchotements par exemple. Cela est dû à cause de s'être essayé au poste de cannonier. Le svelte soldat mais aux muscles bien formés s'alimente de préférence avec de la viande et des sucreries plutôt qu'aux légumes et au poisson. Il ne supporte pas un verre d'alcool sans être ivre et n'aime pas cet état alors il n'en consomme plus. C'est un fumeur depuis sa jeunesse et ses poumons commencent à en payer le prix, parfois toussotant ou crachant du sang, il se sait malade mais ne se soigne pas. Son souffle et son endurance ne sont plus aussi bons qu'avant et il est rare de le voir courir.
Le sabreur porte souvent son uniforme personnelle noire aux contours dorés, ce qui lui donne une allure assez prestigieuse. C'est surtout pour compenser son manque de charisme général. Il manie "Shu" son katana de la main gauche alors qu'il excelle dans le maniement en tant que droitier. C'est trompeur en combat et il use de cela pour devenir à long terme ambidextre. Si il est en difficulté dans un affrontement il change quand même de main.
Son corps d'une couleur humaine banale n'est pas tatoué et il est abîmé par des cicatrices sur le dessus de la main droite. C'est ces griffures -de chat qui s'entrecroisent- qui lors de longs entraînements refont surgir la douleur et le déstabilise avec une perte notable de précision au combat. Du coup cette main est souvent cachée dans sa poche car il en est pas fier. Cela lui donne une allure nonchalante et sereine qui inspire suffisamment confiance à autrui pour leur rendre service sans passer pour un mauvais gars. Oralement poli, il communique avec des mots simples et courants. Lorsque l'environnement lui semble bruyant il élève la voix pour se faire entendre car autrement il n'entend pas sa voix.
Le sabreur porte souvent son uniforme personnelle noire aux contours dorés, ce qui lui donne une allure assez prestigieuse. C'est surtout pour compenser son manque de charisme général. Il manie "Shu" son katana de la main gauche alors qu'il excelle dans le maniement en tant que droitier. C'est trompeur en combat et il use de cela pour devenir à long terme ambidextre. Si il est en difficulté dans un affrontement il change quand même de main.
Son corps d'une couleur humaine banale n'est pas tatoué et il est abîmé par des cicatrices sur le dessus de la main droite. C'est ces griffures -de chat qui s'entrecroisent- qui lors de longs entraînements refont surgir la douleur et le déstabilise avec une perte notable de précision au combat. Du coup cette main est souvent cachée dans sa poche car il en est pas fier. Cela lui donne une allure nonchalante et sereine qui inspire suffisamment confiance à autrui pour leur rendre service sans passer pour un mauvais gars. Oralement poli, il communique avec des mots simples et courants. Lorsque l'environnement lui semble bruyant il élève la voix pour se faire entendre car autrement il n'entend pas sa voix.
Description Psychologique
Yukimaru est un homme serein au calme olympien. Il s'énerve rarement car il relativise tout le temps et sait que faire les choses vite ne signifie pas forcément de toujours bien les faire. Ce qu'il n'apprécie pas, en dehors de l'alcool évidemment, c'est l'échec. Ce n'est pas un mauvais perdant pour autant, mais il n'aime pas rater des missions et échouer à certains services car cela l'oblige à se remettre en cause et notamment à s'entraîner et il n'est pas fan de ça. Ce qu'il ne supporte pas c'est les insectes et les chats, il ne peux pas les blairer, c'est comme ça. Il est un soldat qui préfère régler les missions à sa manière, sans dommage ou brutale, plutôt que de suivre un ordre d'action établi sur un bout de papier. Peu importe la méthode, Tant que la mission est une réussite il en est satisfait même s'il peut arriver que l'avis de ses supérieurs divergent du sien. Dans la marine, il y fait sa vie confortablement et à une confiance aveugle en la justice. Il ne doute pas d'elle et sait que ce métier lui correspond. Malgré tout il est un solitaire et n'aime pas donner des ordres bien qu'il soit parfois obligé. Chaque subordonné sont autant de vies qu'il doit protéger et c'est plutôt un fardeau de les avoir dans les pattes et d'avoir leur vie entre les mains. Mais parfois c'est utile, il le sait et toutes les missions ne peuvent pas être une réussite solitaire. Il a encore des progrès à faire pour avoir davantage d'autorité. Révolutionnaires, Pirates, Mafieux et autres acteurs du mal, il les met tous dans le même sac sans écouter pourquoi ils ont décidé leurs vies. Il est intransigeant et se considère comme un outil, une épée et ce rôle lui plaît. Un métier qu'il incarne tellement par plaisir qu'il n'exprime ni émotions ni pensées lorsqu'il agit. Et c'est bien ce manque de réflexion qui souvent le mène a l'erreur. Il veut tout faire instinctivement sans prise de tête comme s'il était un robot et ça ne réussit pas toujours.
Il aime son métier au point qu'il n'a plus de vie privée, seulement professionnelle. Mais dans la profession, ce sont tout les avantages comme dormir et manger qu'il apprécie grandement et considère comme des moments privés à lui. Tout comme les cigarettes qu'il fume pour se détendre, quelques minutes à la finir au mieux accompagnés d'un café suffisent à lui faire prendre conscience que c'est un humain qui veillit au fil des années.
En fait le simple fait de fumer lui suffit à profiter de la vie et apprécier ce qu'il contemple à ce moment là, le ciel, la nature..
Ce n'est pas un matérialiste, mais avant de combattre il veille à retirer sa veste car il en prend soin tout comme son hygiène générale. L'image dégagée est importante et elle montre tout le respect qu'il a envers les autres. Sa seule arme est Shu, car elle fait Shuuu~ en fouettant le vent, et c'est un katana en bois. Un choix personnel qui lui permet de profiter des combats au lieu d'en faire un spectacle sanglant, souvent les ennemis sont ainsi ridiculisés et ils perdent patience en faisant des erreurs, un avantage qui profite à Yuki.
L'argent, il n'en est pas avare et en oublie souvent de trouver une utilisation à ses salaires. Au mieux il aimerai s'acheter du bois d'Adam et payer un artisan pour en faire un katana rivalisant avec l'acier.
Il aime son métier au point qu'il n'a plus de vie privée, seulement professionnelle. Mais dans la profession, ce sont tout les avantages comme dormir et manger qu'il apprécie grandement et considère comme des moments privés à lui. Tout comme les cigarettes qu'il fume pour se détendre, quelques minutes à la finir au mieux accompagnés d'un café suffisent à lui faire prendre conscience que c'est un humain qui veillit au fil des années.
En fait le simple fait de fumer lui suffit à profiter de la vie et apprécier ce qu'il contemple à ce moment là, le ciel, la nature..
Ce n'est pas un matérialiste, mais avant de combattre il veille à retirer sa veste car il en prend soin tout comme son hygiène générale. L'image dégagée est importante et elle montre tout le respect qu'il a envers les autres. Sa seule arme est Shu, car elle fait Shuuu~ en fouettant le vent, et c'est un katana en bois. Un choix personnel qui lui permet de profiter des combats au lieu d'en faire un spectacle sanglant, souvent les ennemis sont ainsi ridiculisés et ils perdent patience en faisant des erreurs, un avantage qui profite à Yuki.
L'argent, il n'en est pas avare et en oublie souvent de trouver une utilisation à ses salaires. Au mieux il aimerai s'acheter du bois d'Adam et payer un artisan pour en faire un katana rivalisant avec l'acier.
Biographie
Yuki est né en pleine mer de South Blue, de parents révolutionnaires qui craignaient autant les pirates que les marines. Leur appartenance à la résistance à toujours été cachée à leur fils unique. Il passa sa première année en mer et si jeune, il s'amusait à dessiner des V qui symbolisaient les mouettes du ciel. En cette année de 1596, ses parents apprirent une nouvelle qui perturba leur souhait de traverser Grand Line pour vivre dans le Nouveau Monde : Mannfred D. Teach devient l'Empereur du mal. Leurs espoirs de vivre loin de tout pour se refaire une vie s'envolèrent avec cette crainte de mourir. De toute façon, Ils étaient bien trop ambitieux en ne mesuraient pas les risques que représentaient la route de tout les périls. Ce n'est pas ces deux pequenots qui allaient traverser reverse mountain à eux seuls. Ils s'en fichaient, bercés dans l'ignorance des risques qu'ils encouraient, seul le fait de vivre dans un nouveau monde les motivait. Vraiment déçus de voir leur rêve brisé par la terrible nouvelle de Mannfred qui fit écho jusqu'aux Blues, il n'arrêtaient pas de maudire cet homme. Bébé Yukimaru eut leur paroles gravées inconsciemment dans son crâne, et bien qu'il ignorait si jeune les notions de bien et mal, il était formaté contre les pirates mais n'en savait rien encore.
Après trois ans de voyage sur South avec de nombreuses et temporaires escales, ils eurent de la chance de ne pas être coulés à vue par des pirates. Les trois Körsser furent prit en otage et c'est dans la calle sale du navire que naquit en Yuki la phobie des insectes. La chance leur souria à nouveau quelques jours après. Les malfrats décidèrent de s'attaquer à un navire de mouettes mais il se jetèrent dans la gueule du loup et furent envoyés à impel down.
A quatre ans, sur un navire si haut, petit Yukimaru se sentait plus proche des mouettes volant dans le ciel, cela lui plaisait et ses parents trop inquiets de leur avenirs ne tentèrent pas de couper ses premiers espoirs d'une vie de soldat, ni de lui expliquer la complexe société et pourquoi la résistance était la seule voie possible.
Sur ce navire marine, en 1599, les deux parents révos non primés apprirent que les soldats étaient en rupture de stock de crème glacée. Or, un amiral avait lancé cette gourmande mode. Alors Papa Körsser, cuisinier et Mère Körsser, secrétaire, eurent l'idée de créer une entreprise de crème glacée. Leurs économies le permettait. Trois jours après avoir été sauvés, le navire patrouilleur les déposa à l'île du karaté où ils réussirent leur nouveau projet.
Une entreprise qui, lors de la grande purge contre la révolution douze ans plus tard, fut démantelée car les bénéfices renflouaient secrètement les caisses de la révolution. Jeune Yuki qui avec des parents dans une telle entreprise fut rapidement intégré aux enfants locaux mais à seize ans, absent lors de la descente, il fût stupéfait de voir que personne ne l'attendait. Il apprit bien vite que ses parents avaient été arrêtés mais les rumeurs parlaient aussi de décès. Yuki, garda dans un coin de la tête de les libérer car l'incompréhension l'habitait. Pour l'heure, il devait fuir l'île car il sentait mal l'affaire et ne voulait pas se faire dénoncer d'être le fils des révolutionnaires. Clandestinement il quitta cette île.
Les imprévus firent qu'il arriva au cimetière d'épave au beau milieu des brigands et autres méchants. Il lui fallait de l'argent, un toit et de la nourriture et le hasard fit qu'il fut bien accueilli puisqu'il rendit service au médecin local. Devenant par la suite son apprenti pendant deux ans mais rester coincé ici le rendait malade.
C'est alors que l'annonce d'un dénommé Ravrak fit son apparition dans le nouveau monde pour équilibrer les forces. Yuki eut le déclic. Il se souvint de l'annonce de Mannfred et de la réaction de ses parents. En leur mémoire et avec la majorité, il se dit que le souhait de ses géniteurs était qu'il devienne un homme de paix servant la marine. De plus, il y serait nourri, blanchi et logé ce qui l'arrangeait. Yuki repartit discrètement et clandestinement de l'île et intégra la marine sur une autre, avec la conviction de faire le meilleur choix de vie.
Test RP
Il existe l'Affaire du Super Bonbon. Celle que tout marin au courant souhaite résoudre pour monter en grade et en estime à l'échelle planétaire. Elle demeure irrésolue à ce jour, et ce, depuis plus de trente ans. Oui, les premiers éléments officiels remontent à si loin et les quelques indices mineurs n'ont permis de remonter la piste de cette organisation d'hommes habillés en noirs. Nombreuses sont les hypothèses et les rumeurs farfelues sur leurs intentions. La plus logique est celle dont Yuki croit vraie. Ces hommes sont de vraies pourritures qui prennent l'humanité en cobaye pour perfectionner un satané bonbec mortel. Si aucun détective ni milicien n'a pu retrouver leurs traces, c'est à cause de leur seul point fort : la patience. En trente ans, soixante humains sont décédés : deux par année. En 1624, le premier s'est déroulé à Boréa en février. En mai, alors que jamais il n'y a eu trois seuls mois d'écart, le second s'est réalisé à Suna Land. Yuki y était en patrouille.
###
Quelque part sur les Blues. Quelques jours avant d'agir.
Une table autour de laquelle six hommes cagoulés sont assis. Une ambiance sinistre et obscure où seule une bougie peine à éclairer tant elle à déjà servie. Si peu de lumière que les gestes de chacun ne sont pas visibles et où seules leurs voix masculines avec leur accent si particulier se font entendre.
Curry - Zi nous zommes tous réunis, c'est pour décider du zort du traître. Faites réflexion et che prendrai finale décizion à die fin du tour.
Gin - Cette creffure zait trop de chozes pour rester en fie.
Vodka - Et toi tu en zais trop beu. Der tuer ne zert à rien. Arh ! Il doit reffenir contre zon gré.
Paprika - S'en prendre à za fille dont der existence nous à touchours été cachée.
Estragon - C'est itiot de kasbiller der zecond meurtre de der année bour de die fengeance gui n'a rien à foir affec der brochet.
Whisky - Changer. Arh ! Tout. Arh ! Toutes nos habitudes. Arh ! Changer de noms. Arh ! De lieu d'aczion. Arh ! De méthotes. Arh ! Repartir à zéro. Arh ! Détruire tout ce gu'on conzerffe. Arh ! Ne karter gue nos cerffeaux.
Gin - C'est du choli. Arh ! Toi tu bizes zur die tompes et die traffaux des fondadeurs. Praffo.
Curry- Gin, tu as déchà parlé. Meine décizion est brize. Nous allons motifier die recette en redirant 0,03% des poizons et faire de za fille ein copaye.
Gin - C'est guoi ce bourcendage riticule ? Tu penzes gu'en redirant eine koutte die poizons à chaque fois ils deffiendraient bénéfiques ? Faut TOUT enleffer ! Jawohl ! Ch'en ai marre ça fait trente ans gu'on stagne ! Jawohl ! Faut changer d'ingrédients ! Jawohl !
Whisky - Tu ouplies die bizions de die brophétie.
Gin - Tah gueu-
Écho dans la pièce qui lui coupe la parole. L'écho d'une balle qui s'est logée dans son crâne.
Curry - Eine minute de zilence bour notre ancien camarade dizident. ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Réunion terminée.
Cette fois-ci pas besoin de souffler la bougie. Elle s'éteint épuisée et laisse un amas de cire qui se mêle aux anciennes au centre de la table.
###
Suna Land, après qu'ils aient agit.
Cinq. Quatre. Trois. Deux.
- Ehnontum'auraspasaujourd'hui ! POK
Touchant son escargophone qui lui sert de réveil, Yuki l'éteint avant que la sonnerie retentisse. Six heures pétantes, une nouvelle journée commence.
- Brrouloupouloupouloupoulouprr !
Son collègue dont l'horloge interne n'est pas à l'heure ne s'est pas réveillé avant et le sien sonne désagréablement dans la chambre.
- Jawel, debout ! Insiste Yukimaru face à l'homme blond qui aime profiter de chaque seconde de sommeil réparateur, quitte à rester plus longtemps au lit.
Ici à Suna Land, les marins sont soumis à une règle bien excentrique depuis que la colonel Chouchou Sushi tire les ficelles : porter le tutu avec les collants assortis. Et gare à vous si vous croisez la colochef en patrouille ! Ne pas le porter c'est se prendre une rouste mémorable ! Mais pas que, c'est atelier couture pendant un mois aussi ! C'est pourquoi il existe autant de variantes de teintes que de jours dans la semaine.
- Shifumi avant ou après le café ? Demanda Yuki qui préfère avant tout commencer la journée avec sa dose de caféine et nicotine.
S'asseyant sur son lit, Jawel le manchot baille et réponds.
- Rho flemme. J'ai eu le meilleur hier, le noir, alors je te laisse le choix. De toute façon y reste que des couleurs dégueulasses. Lesquelles d'ailleurs ?
- Que du fluo, le rose et le vert. Je prend le vert.
- C'est mort je prend pas le rose. Je reprend le jaune poussin de lundi.
- Rappelles toi, il avait plu, t'as glissé dans la boue avec.
- Ahwais meeerde. Ils reste lesquels en propre ?
- Le mien d'hier, avec la météo couverte j'ai pas transpiré. J'espère que ça s'est dégagé aujourd'hui.
- Argh. Violet... Mouarf je le prend alors. Normalement c'est grand soleil ouais.
S'habillant comme à leur habitude en portant les tutus aux collants ridicules, les deux collègues vont vérifier si les autres sont réveillés dans leurs chambres respectives. Sans surprise, en ce dernier jour de la semaine, personne n'aura porté le rose fluo pailleté qui est réservé pour les nouvelles recrues. A sept heures, la patrouille commence. Les attractions ouvrent à huit. Ce qui laisse encore le temps de bien se remplir le bide.
###
En patrouille après ouverture des animations.
Effectivement, le ciel est vide de toute imperfections nuageuses ce qui annonce une agréable journée. Là gigantesque étoile lumineuse se levant, les couleurs chaudes qu'il amène sont belles, du orange, du jaune, du rouge et du rose. Le rose que ne cesse d'observer Jawel, le coéquipier de Yukimaru, Mais pas le rose du ciel.
- Franchement Yu' je comprends pas pourquoi t'as changé pour le rose.
- En fait, en fumant - et tu sais que min organisme le supporte de moins en moins- j'avais les larmes aux yeux à force de tousser. Du coup le tutu rose était sur la table et les paillettes me faisaient l'impression de plein de larmes avec ma vue floue. Je l'ai pensé triste alors je l'ai pris.
- Tu vas passer une sale journée à cause de ça.
- Mais non, y'a beau temps.
- Teh, regarde qui arrive. J'te l'dis, ça va te porter malheur.
Baluid Harald, le sergent chef, arrive avec un grand sourire. L'homme brun est l'un des seuls à réussir de refuser à porter quotidiennement le tutu imposé. Parfois chambré que le fait qu'il soit passé sous le bureau, en attendant il déambule dans le parc d'attraction tout de blanc vêtu avec sa prestigieuse cape blanche.
- Drahaha ! Hey Yukichoupinet tu nous fais quoi aujourd'hui ? T'essaies d'attirer les regards des gonzesses ? Ou pire, envie de bizutage ?
- Salut Sergent Chef. Non, aujourd'hui ça fait deux ans que j'ai été muté que l'île. C'est pour me rappeler mes premiers jours.
- Oh comme une date d'anniversaire alors. T'es un nostalgique mon gars. Joyeux Deux ans parmi nous alors ! Mais Jawel, tu ne le portes pas ? Tu es arrivé à la même date.
- Bonjour Sergent Chef, non je ne suis pas aussi stu-nostalgique.
- Ah. Eh bien bonne journée messieurs, n'oubliez pas le rapport sur mon bureau, avant minuit !
Et il repartit. Les deux gradés se regardèrent dans le blanc des yeux, ils étaient étonnés que Baluid n'ait pas été plus taquin que cela. Leur journée de patrouille ne commence pas si mal finalement.
###
Le soleil montait de plus belle et l'heure approche de midi. Pendant que Jawel vérifie que les hameçons du stand de la pêche aux canard sont bien en plastique et non métalliques, Yuki est en face en train de démonter les carabines à air du stand de tir au ballons, pour en vérifier les plombs. Content de constater que les munitions sont toujours réglementaires, à savoir des bonbons durs de gélatine, il rend les armes au propriétaire. C'est alors qu'un homme qui se fondait dans la foule, en sort avec de riches vêtements et passe devant le marin en disant à basse voix le mot "Docteur". Interpellé si discrètement, le fumeur tourne la tête et remarque que l'individu qui lui est inconnu lui fait un discret signe de main. Il se fond à nouveau dans la foule.
- Jawel, je vais pisser. On se retrouve dans dix minutes à la grande roue.
- Ça marche. Les plombs sont toujours des bonbons ?
- Toujours oui. A toute.
Seul, il n'eut pas de mal à retrouver l'homme qui l'attendait à une centaine de mètre plus loin.
- Bonjour, je suis un marin et non pas..
- Bonjour. Je sais qui vous êtes et qu'elles sont vos compétences. Il faut à tout prix que vous m'aidiez.
- Vous devez être très bien renseigné pour avoir entendu une rumeur me concernant, surtout que ça tourne que dans nos bâtiments. Qui êtes-vous Monsieur ?
- Un riche commercial mais n'en prenez pas compte. Prenez moi pour...
L'homme coupa ses dires le temps d'observer les alentours, si aucune oreille curieuse n'entendait ses propos. Ce ne fut pas le cas.
- Je suis simplement un père qui a besoin de votre aide Docteur, ma fille se marie bientôt et elle est malade.
- Docteur n'est pas mon titre, lisez mes gallons et vous saurez quel mot employer.
- Je vous en conjure, à vrai dire ma fille est mourante. Vous devez m'aider. Je vous paierai grassement, cinq cent mille berry.
- Cinq fois mon salaire, cela peut paraître alléchant. Mais l'appât du gain ne m'intéresse vraiment pas. Le métier de médecin n'est pas un métier qui devrait être monnayable. Ça se paye en sourires et en pleurs seulement.
- Vous allez laisser mourir ma fille car vous ne voulez pas soigner les civils dans le besoin ?
- Je n'ai pas dit ça. Vous êtes étrangement convaincu que votre fille est mourante, de plus vous avez préféré venir me voir alors que l'on m'estime comme le meilleur. Malheureusement vous auriez pu aller n'importe quel autre docteur, je n'ai pas plus de savoir qu'eux ni de recette secrète ou pouvoirs magiques.
- Très bien, je constate que vous êtes devenu un Soldat avant tout. Auriez vous, tout de même, une recette pour apaiser ses dernières heures ?
- C'est exact, Soldat avant Docteur. Vous pouvez me dire les éléments vrais de l'histoire ? J'ai du travail donc si vous pouviez démêler le vrai du faux de vos mensonges nous irions droit au but.
- Effectivement, le mariage était une idée pour vous imposer de vous dépêcher. Le Super Bonbon, ça vous parle ?
- Forcément. Au moins j'ai la certitude de ne rien pouvoir faire, les médecins miliciens n'ont pas encore trouvé de remède ni de vaccin. Je suis navré. Bon courage. Aurevoir.
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Quelque part sur les Blues. Quelques jours avant d'agir.
Une table autour de laquelle six hommes cagoulés sont assis. Une ambiance sinistre et obscure où seule une bougie peine à éclairer tant elle à déjà servie. Si peu de lumière que les gestes de chacun ne sont pas visibles et où seules leurs voix masculines avec leur accent si particulier se font entendre.
Curry - Zi nous zommes tous réunis, c'est pour décider du zort du traître. Faites réflexion et che prendrai finale décizion à die fin du tour.
Gin - Cette creffure zait trop de chozes pour rester en fie.
Vodka - Et toi tu en zais trop beu. Der tuer ne zert à rien. Arh ! Il doit reffenir contre zon gré.
Paprika - S'en prendre à za fille dont der existence nous à touchours été cachée.
Estragon - C'est itiot de kasbiller der zecond meurtre de der année bour de die fengeance gui n'a rien à foir affec der brochet.
Whisky - Changer. Arh ! Tout. Arh ! Toutes nos habitudes. Arh ! Changer de noms. Arh ! De lieu d'aczion. Arh ! De méthotes. Arh ! Repartir à zéro. Arh ! Détruire tout ce gu'on conzerffe. Arh ! Ne karter gue nos cerffeaux.
Gin - C'est du choli. Arh ! Toi tu bizes zur die tompes et die traffaux des fondadeurs. Praffo.
Curry- Gin, tu as déchà parlé. Meine décizion est brize. Nous allons motifier die recette en redirant 0,03% des poizons et faire de za fille ein copaye.
Gin - C'est guoi ce bourcendage riticule ? Tu penzes gu'en redirant eine koutte die poizons à chaque fois ils deffiendraient bénéfiques ? Faut TOUT enleffer ! Jawohl ! Ch'en ai marre ça fait trente ans gu'on stagne ! Jawohl ! Faut changer d'ingrédients ! Jawohl !
Whisky - Tu ouplies die bizions de die brophétie.
Gin - Tah gueu-
Écho dans la pièce qui lui coupe la parole. L'écho d'une balle qui s'est logée dans son crâne.
Curry - Eine minute de zilence bour notre ancien camarade dizident. ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Réunion terminée.
Cette fois-ci pas besoin de souffler la bougie. Elle s'éteint épuisée et laisse un amas de cire qui se mêle aux anciennes au centre de la table.
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Test a écrit:Depuis que tu es dans la marine, si tes supérieurs restent parfois sceptique sur ton cas, tu as prouvé que ta réputation de médecin talentueux n'est pas usurpée. À tel point qu'au bout d'un certain temps, un civil se présente à toi et sollicite tes compétences (à ta discrétion). L'homme est un riche commercial, affable, presque trop, qui se propose de te payer étrangement cher. Comment réagis-tu ?
PS : Tu peux te trouver sur la Blues et sur l'île de ton choix. Attention d'en respecter le background.
Suna Land, après qu'ils aient agit.
Cinq. Quatre. Trois. Deux.
- Ehnontum'auraspasaujourd'hui ! POK
Touchant son escargophone qui lui sert de réveil, Yuki l'éteint avant que la sonnerie retentisse. Six heures pétantes, une nouvelle journée commence.
- Brrouloupouloupouloupoulouprr !
Son collègue dont l'horloge interne n'est pas à l'heure ne s'est pas réveillé avant et le sien sonne désagréablement dans la chambre.
- Jawel, debout ! Insiste Yukimaru face à l'homme blond qui aime profiter de chaque seconde de sommeil réparateur, quitte à rester plus longtemps au lit.
Ici à Suna Land, les marins sont soumis à une règle bien excentrique depuis que la colonel Chouchou Sushi tire les ficelles : porter le tutu avec les collants assortis. Et gare à vous si vous croisez la colochef en patrouille ! Ne pas le porter c'est se prendre une rouste mémorable ! Mais pas que, c'est atelier couture pendant un mois aussi ! C'est pourquoi il existe autant de variantes de teintes que de jours dans la semaine.
- Shifumi avant ou après le café ? Demanda Yuki qui préfère avant tout commencer la journée avec sa dose de caféine et nicotine.
S'asseyant sur son lit, Jawel le manchot baille et réponds.
- Rho flemme. J'ai eu le meilleur hier, le noir, alors je te laisse le choix. De toute façon y reste que des couleurs dégueulasses. Lesquelles d'ailleurs ?
- Que du fluo, le rose et le vert. Je prend le vert.
- C'est mort je prend pas le rose. Je reprend le jaune poussin de lundi.
- Rappelles toi, il avait plu, t'as glissé dans la boue avec.
- Ahwais meeerde. Ils reste lesquels en propre ?
- Le mien d'hier, avec la météo couverte j'ai pas transpiré. J'espère que ça s'est dégagé aujourd'hui.
- Argh. Violet... Mouarf je le prend alors. Normalement c'est grand soleil ouais.
S'habillant comme à leur habitude en portant les tutus aux collants ridicules, les deux collègues vont vérifier si les autres sont réveillés dans leurs chambres respectives. Sans surprise, en ce dernier jour de la semaine, personne n'aura porté le rose fluo pailleté qui est réservé pour les nouvelles recrues. A sept heures, la patrouille commence. Les attractions ouvrent à huit. Ce qui laisse encore le temps de bien se remplir le bide.
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En patrouille après ouverture des animations.
Effectivement, le ciel est vide de toute imperfections nuageuses ce qui annonce une agréable journée. Là gigantesque étoile lumineuse se levant, les couleurs chaudes qu'il amène sont belles, du orange, du jaune, du rouge et du rose. Le rose que ne cesse d'observer Jawel, le coéquipier de Yukimaru, Mais pas le rose du ciel.
- Franchement Yu' je comprends pas pourquoi t'as changé pour le rose.
- En fait, en fumant - et tu sais que min organisme le supporte de moins en moins- j'avais les larmes aux yeux à force de tousser. Du coup le tutu rose était sur la table et les paillettes me faisaient l'impression de plein de larmes avec ma vue floue. Je l'ai pensé triste alors je l'ai pris.
- Tu vas passer une sale journée à cause de ça.
- Mais non, y'a beau temps.
- Teh, regarde qui arrive. J'te l'dis, ça va te porter malheur.
Baluid Harald, le sergent chef, arrive avec un grand sourire. L'homme brun est l'un des seuls à réussir de refuser à porter quotidiennement le tutu imposé. Parfois chambré que le fait qu'il soit passé sous le bureau, en attendant il déambule dans le parc d'attraction tout de blanc vêtu avec sa prestigieuse cape blanche.
- Drahaha ! Hey Yukichoupinet tu nous fais quoi aujourd'hui ? T'essaies d'attirer les regards des gonzesses ? Ou pire, envie de bizutage ?
- Salut Sergent Chef. Non, aujourd'hui ça fait deux ans que j'ai été muté que l'île. C'est pour me rappeler mes premiers jours.
- Oh comme une date d'anniversaire alors. T'es un nostalgique mon gars. Joyeux Deux ans parmi nous alors ! Mais Jawel, tu ne le portes pas ? Tu es arrivé à la même date.
- Bonjour Sergent Chef, non je ne suis pas aussi stu-nostalgique.
- Ah. Eh bien bonne journée messieurs, n'oubliez pas le rapport sur mon bureau, avant minuit !
Et il repartit. Les deux gradés se regardèrent dans le blanc des yeux, ils étaient étonnés que Baluid n'ait pas été plus taquin que cela. Leur journée de patrouille ne commence pas si mal finalement.
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Le soleil montait de plus belle et l'heure approche de midi. Pendant que Jawel vérifie que les hameçons du stand de la pêche aux canard sont bien en plastique et non métalliques, Yuki est en face en train de démonter les carabines à air du stand de tir au ballons, pour en vérifier les plombs. Content de constater que les munitions sont toujours réglementaires, à savoir des bonbons durs de gélatine, il rend les armes au propriétaire. C'est alors qu'un homme qui se fondait dans la foule, en sort avec de riches vêtements et passe devant le marin en disant à basse voix le mot "Docteur". Interpellé si discrètement, le fumeur tourne la tête et remarque que l'individu qui lui est inconnu lui fait un discret signe de main. Il se fond à nouveau dans la foule.
- Jawel, je vais pisser. On se retrouve dans dix minutes à la grande roue.
- Ça marche. Les plombs sont toujours des bonbons ?
- Toujours oui. A toute.
Seul, il n'eut pas de mal à retrouver l'homme qui l'attendait à une centaine de mètre plus loin.
- Bonjour, je suis un marin et non pas..
- Bonjour. Je sais qui vous êtes et qu'elles sont vos compétences. Il faut à tout prix que vous m'aidiez.
- Vous devez être très bien renseigné pour avoir entendu une rumeur me concernant, surtout que ça tourne que dans nos bâtiments. Qui êtes-vous Monsieur ?
- Un riche commercial mais n'en prenez pas compte. Prenez moi pour...
L'homme coupa ses dires le temps d'observer les alentours, si aucune oreille curieuse n'entendait ses propos. Ce ne fut pas le cas.
- Je suis simplement un père qui a besoin de votre aide Docteur, ma fille se marie bientôt et elle est malade.
- Docteur n'est pas mon titre, lisez mes gallons et vous saurez quel mot employer.
- Je vous en conjure, à vrai dire ma fille est mourante. Vous devez m'aider. Je vous paierai grassement, cinq cent mille berry.
- Cinq fois mon salaire, cela peut paraître alléchant. Mais l'appât du gain ne m'intéresse vraiment pas. Le métier de médecin n'est pas un métier qui devrait être monnayable. Ça se paye en sourires et en pleurs seulement.
- Vous allez laisser mourir ma fille car vous ne voulez pas soigner les civils dans le besoin ?
- Je n'ai pas dit ça. Vous êtes étrangement convaincu que votre fille est mourante, de plus vous avez préféré venir me voir alors que l'on m'estime comme le meilleur. Malheureusement vous auriez pu aller n'importe quel autre docteur, je n'ai pas plus de savoir qu'eux ni de recette secrète ou pouvoirs magiques.
- Très bien, je constate que vous êtes devenu un Soldat avant tout. Auriez vous, tout de même, une recette pour apaiser ses dernières heures ?
- C'est exact, Soldat avant Docteur. Vous pouvez me dire les éléments vrais de l'histoire ? J'ai du travail donc si vous pouviez démêler le vrai du faux de vos mensonges nous irions droit au but.
- Effectivement, le mariage était une idée pour vous imposer de vous dépêcher. Le Super Bonbon, ça vous parle ?
- Forcément. Au moins j'ai la certitude de ne rien pouvoir faire, les médecins miliciens n'ont pas encore trouvé de remède ni de vaccin. Je suis navré. Bon courage. Aurevoir.
Informations IRL
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• Aime : Le Hardstyle et ses festivals \(^.^)/ Zatox
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• Personnage préféré de One Piece : Kuma et Zoro.
• Caractère : Oh ben pas bien compliqué.
• Fait du RP depuis : 2010 sur un forum OP mais entre temps avec les obligations de la vie mon niveau est resté scolaire mais à l'école j'étais pas un littéraire xD
• Disponibilité approximative : Présent.
• Comment avez-vous connu le forum ? Topsites
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Dernière édition par Yuki Körsser le Dim 20 Nov - 20:50, édité 8 fois