Ah, ce que tu m’avais manqué, toi, ton contenu et ton Mister Besinger. Et pas forcément dans cet ordre là. C’était l’heure de mon quart, et en un quart d’heure tu es venu. Tu vois ? Tu commences : la dissidence dans l'assonance commence à se dissiper. Tout n’est plus qu’ordre, dru et confus, parfait ballot de sarment que je plaque. Les idées et les pensées foisonnent, fusionnent, s’ordonnent, tu rimes et tu rythmes dans mon cerveau, gouffre pourri aux coulures corrosives qui ne cessent de me ronger le casque. Tu craches enfin ce qui dégouline de mon coeur que je renferme précieusement derrière une carapace en fer. On écrit avec nos tripes, tu guides ma main, je cogne avec mes poings.
Tel le Passeur, aussi déprimé mais plus poétique, tu loues tes services. Une bouteille vidée le soir d’une nuit noire, surtout en pleine mer, pour profiter du vide et de la solitude qui t’aspirent et t’inspirent. Se laisser couler lentement dans cet océan qui se révèle nébuleux, tiède et moite, se sentir partir pour mieux remonter à la surface et connaître l’excitation de la grande bouffée d’air frais comme un rappel à la vie.
Parfois le Docteur Mahach a besoin d’appeler le Mister Besinger pour se laisser s’immerger dans ses sombres pensées et la mélancolie jusque dans les méandres d’une douce folie romantique. L’appel des sentiments. Des hauts très hauts. Et des bas très bas. Sommets et abysses à jamais liés.
Vous aussi appelez et apprivoisez votre dandy dépressif et blasé pour qu’il accouche de vos plus belles lettres, les plus poétiques et mélancoliques, dans le petit contenant fragile et étanche, petit vaisseau de verre rempli de cette mélasse noire et sentimentale. Laissez le s’engouffrer dans la mer qui finira par le charrier, parce qu’il n’y a pas plus beau et mystérieux que les pensées d’un marin inconnu et lointain si votre coeur alcoolisé et libéré finit entre une paire de mains.
Tel le Passeur, aussi déprimé mais plus poétique, tu loues tes services. Une bouteille vidée le soir d’une nuit noire, surtout en pleine mer, pour profiter du vide et de la solitude qui t’aspirent et t’inspirent. Se laisser couler lentement dans cet océan qui se révèle nébuleux, tiède et moite, se sentir partir pour mieux remonter à la surface et connaître l’excitation de la grande bouffée d’air frais comme un rappel à la vie.
Parfois le Docteur Mahach a besoin d’appeler le Mister Besinger pour se laisser s’immerger dans ses sombres pensées et la mélancolie jusque dans les méandres d’une douce folie romantique. L’appel des sentiments. Des hauts très hauts. Et des bas très bas. Sommets et abysses à jamais liés.
Vous aussi appelez et apprivoisez votre dandy dépressif et blasé pour qu’il accouche de vos plus belles lettres, les plus poétiques et mélancoliques, dans le petit contenant fragile et étanche, petit vaisseau de verre rempli de cette mélasse noire et sentimentale. Laissez le s’engouffrer dans la mer qui finira par le charrier, parce qu’il n’y a pas plus beau et mystérieux que les pensées d’un marin inconnu et lointain si votre coeur alcoolisé et libéré finit entre une paire de mains.
