Les membres d’équipage du Roger avaient filé vers l’intérieur des terres voyant que les combats étaient trop proches pour fuir avec le sous-marin. Un quart heure plus tard, Yuki était arrivé. Les combattants, qui étaient restés, avaient fini de décharger le sous-marin. Tout le monde était chargé comme un baudet, impossible pour eux d’aller au combat comme cela. Seul Yuki ne portait presque rien, juste ce qu’il avait emporté pour combattre, c’est-à-dire le strict nécessaire.
« C’est quoi la suite du plan ? On ne va pas se battre charger de la sorte. »
« Non, ça s’est sûr. Il va falloir rejoindre une lignée alliée qui n’a pas encore été attaquée. »
« Et c’est par où petit malin ? On n’aurait jamais dû venir !»
« Tu ne disais pas ça, il y a à peine quelques heures que tu peux être soupe au lait Krishna. »
« Je propose de suivre le mouvement et de partir à l’opposé du point de débarquement de ces fichues mouettes. »
Ils se mirent en route dans le dédalle de rue qu’était la ville portuaire de Jing. Yuki étaient accompagné de Bouly, Krishna et Victor chacun portant les affaires qu’ils avaient emporté pour la bataille. Une dizaine d’homme charger d’armes et de nourriture complétait le groupe de Yuki.
A gauche, à droite, il n’y avait pas moyen d’aller tout droit dans ses rues, comme bien souvent aux abords d’un port. Ils n’avançaient pas vite et Yuki repéra rapidement un homme qui avait du mal à porter tous ces sacs, il le délesta donc du plus lourd qu’il mit sur son dos.
Bientôt le bruit de canon des cuirassés se fit plus proche. Ils réalisèrent ensuite que le restant de la flotte de la marine bombardait purement et simplement la baie de Jing. Cela fit comme un coup de pied dans une fourmilière et des civils sortirent de nulle part remplissant les rues, rendant leur progression encore plus chaotique si cela était possible.
Soudain, un homme pas très grand vint s’encastrer dans Yuki à pleine vitesse.
« Ca va vous n’avez rien ? »
« Désolé, je ne vous avais pas vu. »
« Ce n’est rien. »
« Pas vu, des gros sacs, un géant aux cheveux mauves et vous des cheveux bleus ? Oui, quelle chance. Je vous cherchais justement. Je m’appelle Hô, Mwan Hô. Vous devez être Yukikurai ? »
« Euh, oui. Vous êtes vachement bien informé. »
« Normal c’est mon métier. Je recueils des informations pour la révolution sur Kanokuni. On a été prévenu des renforts qui devait arriver et de votre point d’arrivée. J’ai bien cru que vous n’arriveriez jamais avec tous ses navires de guerres. Plus le temps de trainer ici. Je vais vous conduire vers l’avant-poste suivant, du côté de la forêt interdite. Suivez-moi. »
La situation ne laissait pas vraiment le temps de réfléchir, ils se mirent donc à suivre Hô. Un homme aussi bien informer des renforts qui arrivaient, ne pouvait qu’être du côté de la révolution. Au si non la bataille était perdue d’avance et ça ils ne voulaient pas l’envisager.
« C’est quoi la suite du plan ? On ne va pas se battre charger de la sorte. »
« Non, ça s’est sûr. Il va falloir rejoindre une lignée alliée qui n’a pas encore été attaquée. »
« Et c’est par où petit malin ? On n’aurait jamais dû venir !»
« Tu ne disais pas ça, il y a à peine quelques heures que tu peux être soupe au lait Krishna. »
« Je propose de suivre le mouvement et de partir à l’opposé du point de débarquement de ces fichues mouettes. »
Ils se mirent en route dans le dédalle de rue qu’était la ville portuaire de Jing. Yuki étaient accompagné de Bouly, Krishna et Victor chacun portant les affaires qu’ils avaient emporté pour la bataille. Une dizaine d’homme charger d’armes et de nourriture complétait le groupe de Yuki.
A gauche, à droite, il n’y avait pas moyen d’aller tout droit dans ses rues, comme bien souvent aux abords d’un port. Ils n’avançaient pas vite et Yuki repéra rapidement un homme qui avait du mal à porter tous ces sacs, il le délesta donc du plus lourd qu’il mit sur son dos.
Bientôt le bruit de canon des cuirassés se fit plus proche. Ils réalisèrent ensuite que le restant de la flotte de la marine bombardait purement et simplement la baie de Jing. Cela fit comme un coup de pied dans une fourmilière et des civils sortirent de nulle part remplissant les rues, rendant leur progression encore plus chaotique si cela était possible.
Soudain, un homme pas très grand vint s’encastrer dans Yuki à pleine vitesse.
« Ca va vous n’avez rien ? »
« Désolé, je ne vous avais pas vu. »
« Ce n’est rien. »
« Pas vu, des gros sacs, un géant aux cheveux mauves et vous des cheveux bleus ? Oui, quelle chance. Je vous cherchais justement. Je m’appelle Hô, Mwan Hô. Vous devez être Yukikurai ? »
« Euh, oui. Vous êtes vachement bien informé. »
« Normal c’est mon métier. Je recueils des informations pour la révolution sur Kanokuni. On a été prévenu des renforts qui devait arriver et de votre point d’arrivée. J’ai bien cru que vous n’arriveriez jamais avec tous ses navires de guerres. Plus le temps de trainer ici. Je vais vous conduire vers l’avant-poste suivant, du côté de la forêt interdite. Suivez-moi. »
La situation ne laissait pas vraiment le temps de réfléchir, ils se mirent donc à suivre Hô. Un homme aussi bien informer des renforts qui arrivaient, ne pouvait qu’être du côté de la révolution. Au si non la bataille était perdue d’avance et ça ils ne voulaient pas l’envisager.