Hâtta Rapière
• Pseudonyme : Mad Hatter
• Age : 19 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : bretteur
• Groupe : Pirate
• Age : 19 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : bretteur
• Groupe : Pirate
• But : Mettre fin à l'esclavage.
• Équipement :
-Un chapeau haut-de-forme avec une tasse à thé à l’intérieur.
-Dans sa veste, une flasque contenant du thé.
-Du matérielle pour préparer du thé.
-Canne à épée ( canne creuse armée d'une lame intérieure fixée à la poignée.)
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
Codes du règlement :
• Équipement :
-Un chapeau haut-de-forme avec une tasse à thé à l’intérieur.
-Dans sa veste, une flasque contenant du thé.
-Du matérielle pour préparer du thé.
-Canne à épée ( canne creuse armée d'une lame intérieure fixée à la poignée.)
• Parrain : /
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? /
Codes du règlement :
Description Physique
Hâtta réajuste sa cravate verte foncé et son costume noir.
Il inspecte rapidement son chapeau "haut-de-forme". Celui-ci, customisé par ses soins, trône au dessus de sa tête, entouré d'un fin tissu bleu.
Une étiquette indiquant "10/6" dépasse, Hâtta avait laissé le prix du chapeau collé, estimant que ça lui donnait un style distingué.
Le regard d'Hâtta glisse de bas en haut , jugeant son propre corps.
Il est plutôt grand (1m90) et fin de corpulence.
Sa souplesse et sa gestuelle pouvaient faire penser à un mime sans maquillage.
Ces yeux remontent et observent à présent son propre visage, Il a les cheveux ébouriffés, longs et noirs. Le vert de jade colorent ses yeux triste.
Hâtta remue sa tête et se donne une gifle.
-"Allons,allons"
Il prend une grande respiration, plisse les yeux et dessine sur son visage angelot un sourir remarquable
-"je le prend" fît-il en se tournant vers la vendeuse, qui sursauta de joie, complètement sous le charme du client.
la veste complète effectivement son style extravagant. Satisfait, il lève son chapeau pour en sortir une tasse et se servir, grâce à la flasque dans sa veste, un thé délicieux.
...
Issue de famille bourgeoise, Hâtta s'exprime parfaitement bien, avec une facilité pour la répartie cynique et marche avec grâce (merci les cours de maintien).
Description Psychologique
La personnalité d'Hâtta est parsemée de dualité:
la plupart du temps, il se comporte avec classe et se tient droit, mais son esprit immature à tendance à reprendre le dessus, et quand il s'ennuis, il se tord dans des positions improbable comme un enfant .
Gamin au quotidien, mature devant l'adversité, pour apprendre à le connaitre il faut savoir danser sur plusieurs pieds (et sur la tête idéalement).
Face à un ennemi, il prend toujours le temps de le provoquer un peu, en utilisant sa répartie, lui laissant le temps pour analyser d’éventuels points faibles chez l'adversaire.
Malgré son vocabulaire et son art de former des phrases construites de façon à montrer qu'il est plus intelligent et stylé que son interlocuteur, il va droit au but, synthétise et résume ces idées.
Il adore les petits plaisirs du luxe, à travers ses vêtements, son chapeau, ses goûts en matière de musique ou de cuisine.
Mais surtout en matière de thé, si il a constamment une tasse dans son chapeau, ce que, pour Hâtta , il est toujours l'heure du thé. Et il en consommera dès que ça lui en fera envie, même en plein milieu d'un combat.
Il apprécie la présence de compagnons en qui il peut faire confiance et il peut même lui arriver de mettre sa vie en danger pour une personne qu'il apprécie.
Il y a plusieurs chose qu'il n'aime pas : L'alcool, Les gens qui gâchent sa dégustation de thé, les araignées, les tâches ménagères,...
Mais par dessus tout, il y a une chose qu'il haït plus que tout : l'esclavage.
Si il assiste à une scène d'esclavagisme, il corrigera la personne responsable, quitte à en mourir de suite.
Biographie
Résumé: Hatta est issu d’une famille bourgeoise (les Rapière) dans North blue (île de Luvneel ) à l’âge de 16 ans il a quitté en TRES mauvais terme sa famille après un événement tragique.
en large :
Hatta était à terre en sanglots, ses larmes perlent sur le tapis de la salle d’entrainement.
Son père Theophilus tenait fermement la cravache qu’il venait d’utiliser pour corriger son fils.
- « arrête donc de pleurer, tu fais honte à notre nom en t’affichant ainsi » ordonna Theophilus en serrant les dents. Tu continueras tes cours tant que tu ne seras pas capable de pratiquer l’art de l’escrime comme un vrai membre de la famille Rapière ».
Hatta leva la tête, cherchant un peu de soutient dans le regard de son grand-frère, mais celui-ci le dédaignait en silence.
- « Relève-toi vermisseau ! »
À ces paroles Hatta se releva et repris sa position de garde devant Mars, son frère aîné.
Ce jour-là, l’entrainement dura jusqu’au soir.
….
Quelques jours plus tard, Hatta pratiquais son entrainement de maintien seul au fond du parc familiale. Une tasse de thé posée sur la tête, Hatta déambulait doucement sur le chemin.
-« Tête à tasse ! »
Hatta sursauta ! La tasse se reversa sur lui et se brisa au sol.
-« aaarh, nom de … »
Trempé de thé froid, Hata regarda autour de lui, mais ne vis personne au premier regard.
-« pourquoi tu te promènes avec une tasse de thé sur la tête, tu es bizarre ! »
La petite voie venait de derrière, une petite tête crasseuse dépassait de la haie.
Soulagé qu’il ne s’agisse pas de son tyran de grand-frère, « tête-à-tasse » fût tout de même surpris de voir un étranger s’adressé ainsi à lui.
-« c’est.. c’est un exercice!”
-“tu t’entraines pour avoir l’air débile ?” Demanda l’importuniste.
- « mais non ! » Hatta s’énerva, “ c’est pour apprendre à se tenir fière et droit ! »
Hatta marqua une pause et observa l’individu
-« un crasseux comme toi ne peux pas comprendre, c’est un truc pour les gens important »
Piqué au vif, l’étranger répondit « je suis crasseuse ! pas crasse.. euh, je veux dire je suis une fille ! »
Puis elle répliqua « Et si être important c’est porter une tasse sur la tête comme un débile toute la journée, je préfère restée sale ! »
« Arrête de me traiter de débile ! » Hatta couru vers l’insolente pour lui faire ravaler les mots qu’elle venait de prononcer, il attrapa un morceau de bois à terre mais voyant la menace arrivée, l’opposante fit de même.
Hatta se lança et en un instant fulgurant se retrouva à terre dans un nuage noir de terres et de poussières.
-« pouha ! mais Quesque ? »
-« tu es à terre tête-à-tasse, car je suis meilleure que toi » dit la gagnante.
Soudain un bruit horrible retentit, un grognement animal terrifiant.
Elle s’abaissa en faisant la grimace, posa la main sur son ventre pour empêcher les gargouillis
Hatta profita de l’occasion, roula sur le côté et se releva pour s’enfuir vers sa maison.
-« mais non, attends ! » s’écria la jeune fille.
Hatta courait rapidement, mais après quelques mètres, il ralentit.
Une idée émergeant dans son esprit, Il fit halte et retourna calmement sur ses pas.
- « comment tu as appris à faire ça ? » demanda-t-il
- « euhh, toute seule » répondit-elle surprise.
- « apprends- moi ! » s’écria-t-il
- « hein ? » le visage rond de la fille prit une couleur rougeâtre « mais, mais !»
« Apprends- moi et tu auras plein de nourritures »
À l’évocation de cette idée, il se dessina un espoir gourmant sur le visage de l’affamée.
-« pour de vrai ? »
il répondit « vrai chez de vrai.»
Dans un mouvement commun ils se serrèrent les mains.
-« moi c’est Hatta et toi ? »
Sa nouvelle rencontre souria pour la première fois
-« moi c’est Alice.»
…
Après ce jours Hatta et Alice, se virent en toute discrétion le plus souvent possible, d’abord pour l’entrainement, puis par amitié, et au fils des années et de la puberté, par amour.Alice changea radicalement la vision d’Hatta sur le monde.
Lui était né dans l’opulence, elle était née esclave au service d’une famille rivale au Rapière.
Après leurs entrainements, Alice lui contait quelque fois ses rêves ou elle voguait sur la mer comme pirate, libre, et volant trésors et merveilles pour financer son rêve finale, l’ouverture du plus beau salon de thé du nouveau monde.
Et Hatta condamné à vivre une vie tracer par son père, rêvait juste de pouvoir la suivre lors de ses aventures.
Jusqu’au jour où il lui proposa de s’enfuir de l’ile cacao.
Ignorant que, non-loin de là, un témoin mal intentionné les espionnait.
Son frère
…
Hatta se leva de son lit et se dégourdi les jambes.
Il n’avait pas dormi, il s’était repassé le plan de la journée toute la nuit.
Après un petit déjeuner rapide, il devait se rendre à son examen final d’escrime.
Avec l’entrainement de ces dernières années, il savait que ce serait une tasse de thé pour lui de battre adversaire.
Ensuite, une fois le test terminé, il expliquera qu’il a besoin de se reposer dans sa chambre et en profiterai pour faire discrètement ces affaires et partir chercher Alice.
Après avoir avalé rapidement un toast, Hatta se dirigera vers la salle d’entrainement.
Lorsqu’il ouvrit les portes, il reconnut enfin son père, son adversaire pour l’examen, debout au milieu de la salle, tenant fermement son arme.
Mais ce qu’il vît ensuite lui glaça le sang, la vision horrible, d’Alice couverte d’hématome à genou devant Theophilus, sa rapière sous la gorge.
Et son frère qui attendait derrière la porte l’attrapa par derrière
-« Hatta, tu me déçois tellement »
Ce qu’il se passa ensuite, ça ne se raconte pas.
Le soir même, on retrouva Mars Rapière mort et Théophilius à deux doigts du décès.
On n’entendit plus parler pendant longtemps du fils cadet de cette famille.
Certains l’auraient aperçu volant un bateau pour fuir par la mer.
Mais une chose était sûr, ce jour-là, Hatta Rapière a perdu l’amour de sa vie.
Test RP
Hâtta : vert
Le vieux : bleu
Alexandra : rouge
La masse : marron
Nez tordu: orange
Hâtta somnolait sur le bord de la table, malgré l’animation bruyante du bar.
Celui-ci venait d’arrivé sur cette île dont il ne connaissait même pas le nom, caché dans la cale d’un navire marchand, le voyage fût long et éreintant.
À bout de force, il avait juste réussit à se trainer jusqu’au bar du port pour commander un thé chaud, mais n’aillant que de l’alcool, le barman lui proposa un verre d’eau.
La froideur de la table lui anesthésiait la joue, les paupières tombante, il regardait penaud son verre vide.
Ses yeux criaient sommeil, mais il résistait, il ne risquerait pas de les fermer en public, non pas par peur de se faire dérober ses affaires, mais parce qu’à chaque fois qu’il les ferme, les images de la nuit tragique où le destin lui prit son Alice défilait devant ses yeux, qui se remplissait de larmes.
Hâtta dormait trop peu depuis un mois, depuis l’accident.
- Pas en public. Se répéta-t-il
Le bruit d’une choppe posée violemment sur la table le fît sursauter.
-Ola petit ! Tu te concentres sur ton verre pour qu’il se remplisse ?
Un homme à la barbe touffue et blanche s’était installé à sa table sans invitation.
- Euh ? Non, je réfléchissais ! Balbutia Hâtta.
- Tu devrais réfléchir un peu moins et dormir un peu plus vu les poches que tu as sous les yeux lui fît le vieil homme en ricanant.
Il était énorme, derrière cet amas de poile gris.
Hâtta n'aura à aucun moment l'idée de le sous-estimer.
À ce moment-là une cohue des plus insupportables retentit à l’autre bout du bar.
- Avances sale déchet!
Cria, d'une voix nasillarde, un petit homme au nez tordu.
Il était suivi par trois hommes, deux étaient très laids, le troisième était massif et impressionnant.
- J’ai dit avance !
Ces mots furent accompagnés d’un coup de fouet de la part de Nez-tordu.
Hâtta observa alors le châtié. Il écarquilla les yeux lorsqu’il vit un adolescent, chaine au cou et couvert d’hématomes.
Hâtta serra les dents
- qu’est-ce que … ?
- Un esclavagiste, c’est toléré sur cette île
Le vieil homme avait échangé son sourire par une moue dégoûtée.
-Je vais les étrangler avec leurs propres chaînes !
Les yeux d’Hâtta changèrent sous la colère, il serra son verre et le brisa.
-Du calme petit, tu vas avoir des ennuis !
-Et alors ? Je ne peux pas tolérer ça ! Vous ne savez pas ce qu’être esclave signifie !
- Tu crois ?
le vieux le défiait des yeux, en même temps il releva sa manche pour révéler une marque au fer rouge.
Hâtta compris de suite de quoi il s’agissait.
- Vous, Vous êtes un ancien esclave ?
-Oui, j’ai longtemps été sous le joug d’un Tenryuubito avant de me battre pour ma liberté.
-Mais comment vous pouvez supporter de voir ça ?
Il prit un air grave
-Après ma libération, j’ai longtemps vogué en mer sous un pavillon pirate, nous naviguions et libérions tous les esclave que nous croisions.
Puis il baissa le regard, un spectre semblait passer devant ses yeux.
-Mais ils sont tous morts, mes camarades, mes amis et les esclaves que j’avais libérés à mon tour. Crois-moi, mieux vaut esclave que mort.
Hâtta se releva de sa chaise
-Mieux vaut esclave que mort ? Si vous pensez ça, c’est que vous avez oublié la douleur de ne pas posséder sa propre vie.
Hâtta prit ses affaires et sortit du bar, puis il chercha le groupe d’esclavagiste du regard.
Il les trouva à quelques pas de là, leur groupe c’était agrandi, il y avait un garde du corps de plus avec trois esclaves devant lui. Trois femmes.
- Retournez-vous, bande de rats !
Hâtta cria de tous ces poumons et cela se fit entendre à des centaines de mètres à la ronde.
Les esclavagistes se retournèrent interloqués.
- Euh patron, je crois que c’est à nous qu’il parle ! fît un des sous-fifres.
-Hein ? Qu’est-ce que tu nous veux
Demanda l’homme au nez bien tordu.
- Je te donne une chance de ne pas avaler tes dents aujourd’hui ! Libère tes esclaves où tu goûteras à ma lame ! .
-HAHAHA !
L’esclavagiste ria goulument
- Libérer mes esclaves, mais ça vaut une fortune tu sais ! Les gars, faites-lui bouffer les pavés et dépêcher vous je n’ai pas que ça à faire.
Les trois hommes de carrure ordinaire dégainèrent leurs épées et entourèrent Hâtta.
Celui-ci fît de même
-Je préfère les duels, mais soit.
Le plus rapide d’entre eux donna un coup verticale qu’Hâtta esquiva par la gauche, il répliqua en donnant un coup droit qui transperça la main du garde du corps.
Son cri retentit et les deux autres opposants firent un pas en arrière.
-L’hésitation c’est fatale.
Hâtta avait glissé d’un pas rapide et souple vers les deux autres.
Il punit en effet leur hésitation en deux coups dans les cuisses.
Les trois hommes étaient à terre, criant à l’aide comme des bébés, ils ne devaient pas être des combattants, s’expliqua Hâtta, juste des hommes bien payés, pour impressionner les passants.
Un frisson lui caressa la nuque, il se retourna juste à temps pour voir la masse de muscle lui asséné un coup, qu’il évita de justesse.
-Oulla je t’avais presque oublié !
-Moi pas aimer les pirates, toi souffrir
exprima l’homme massif. Ses muscles se gonflait tant il serrait fort son glaive.
-Il doit y avoir une erreur, très cher. Je ne suis pas un pirate.
lui expliqua Hâtta en se positionnant.
-Bande de larves ! Dégagez et oubliez votre paie
Nez pointu chassait ses gardes inutiles.
-Et toi ? Tu n’es pas pirates tu dis ? Tu te fous de qui ? Attaquer les gens comme ça c’est illégal et qui dit illégale, dit pirate !
-Illégale ?
La voix d’Hatta tremblait sous l’excitation du combat et l’énervement.
-Tenter de libérer des esclaves est un acte de piraterie ?
Il sauta sur une caisse
-Alors ainsi soit-il !
Il s’adressa à la foule du port, clamant d'un air théâtrale un speech mal joué.
-Peuple de … euh peuple de cette ile ! Moi Hâtta Rapière, déclare commencer une carrière de pirate, dont le premier crime sera…
Il pointa les quatre esclaves qui assistaient à la scène les larmes aux yeux sous l’émotion.
- … De rendre la liberté à ces quatre personnes !
- La ferme.La montagne donna un coup horizontal pour tenter de faire le descendre de la caisse.
Mais celui-ci fît une pirouette en arrière et atterrît à sa droite.
Hâtta se mît alors en position d’escrime.
En garde, gras du bide, ton ventre me fait penser à un chien que j'ai connu enfant, je vais essayer de ne pas l'embrocher.
sous l’excitation le visage d'Hâtta se métamorphosait petit à petit, son sourire agrandissait à chaque coup qu'il donnait, il se donnait à des répliques incompréhensibles, dans son propre monde, il perdait la notion de réalité.
Hâtta baissa soudain son arme et afficha une moue affligée.
-Il s'appelait Bernard.
L’adversaire fût pendant quelques seconde déstabilisé. Puis il repris ses attaques, enchaînant alors une suite de coups puissants qui firent trembler l’épée d’Hâtta qui parait tant bien que mal.
Mais celui tînt bon, attendant une ouverture.
Lorsque celle-ci arriva, il plongea son épée à travers le ventre de l’ennemi qui tomba en arrière dans des spasmes de douleur.
-NON ! Bernard ! monde cruel qui met un bon chien-chien sur le chemin de mon épée.
Hâtta se retourna vers le groupe d’esclave.
Mais trop tard pour voir partir le coup de feu qui lui était destiné.
Hâtta ressentit alors une douleur horrible à l’épaule, Nez tordu avait profité de son inattention pour tirer avec son pistolet.
Hâtta mit un genou à terre.
enf…enfoiré.
D’un coup la pression et la fatigue de ce dernier mois se firent peser sur Hâtta. L’adrénaline et la folie du combat avaient disparu d’un coup.
Hâtta reprit son sérieux sans comprendre la scène qu'il venait de jouer devant tout le monde.
Était-ce l'insomnie qui commençait à le rendre fou ?
Sa vue commença à se brouiller un peu.
Nez tordu tenait de sa main gauche un autre pistolet chargé qu’il dirigeait vers le soi-disant libérateur d’esclave.
- Crève !
Puis Nez tordu se raidit et bascula en arrière.
- Tu ne mourras pas aujourd’hui petit.
Le vieil homme du bar se tenait derrière l’esclavagiste à terre
Il fouilla dans la poche de la victime, en sortit une clé et projeta nez-tordu d’un violent coup de pied.
- Tenez et dépêchez-vous
Hurla-t-il aux esclaves en leur lançant la clé.
- Le petit bateau aux voiles vertes, c’est le mien, prenez le jeune au chapeau et barrez-vous.
Des voix retentissaient dans tout le port. Un haut gradé et une vingtaine de marine couraient dans leur direction.
- Barrez-vous j’ai dit, je retiendrais les gardes. Si vous vous faites prendre, je vous botterais le cul en enfer !
- N-non, arrêtez ! Hâtta essayait de se défaire de l’emprise des esclaves qui le tiraient dans la direction opposée.
Le vieil homme, d’un regard intense, remercia Hâtta.
- Merci petit, merci de me redonner goût à la VRAIE liberté, tu as une araignée au plafond, c'est sur, mais tu feras de grande chose .
- Laissez-moi !
Hâtta réussit un instant à se dégager mais sous le poids de son propre corps, il trébucha, et se cogna la tête contre les pavés.
Tout était brouillon, il se sentit porté vers l’arrière. Avant de sombrer, les dernières images qui lui parvinrent, était celle du vieil homme sans nom, rentrant dans la masse de marine en hurlant de rire.
…
Hâtta se réveilla doucement aveuglé par la lumière du soleil, et une douleur vive à l’épaule.
Il tenta de se relever puis fût retenu.
-Ne bouge pas, j’ai enlevé la balle, mais tu saignes encore.
Hâtta ouvrit les yeux et regarda autour de lui, une femme aux cheveux rouge était à ses côtés et il était dans une sorte de hamac à l’avant d’un navire.
-Les autres sont à l’intérieur, merci pour ce que tu as fait, jamais je ne te serais assez reconnaissante. Je m’appelle Alexandra, tu es Hâtta c’est bien ça ?
-Oui, Hatta Rapière.
-Continue de te reposer
Fît-elle d’une voix autoritaire à présent.
- Tu n’as que ça à faire vu ton état.
Hâtta reposa sa tête et regarda le ciel.
Il était quelque peu perdu, il était nulle-part, dans un navire inconnu, avec des inconnus.
La seule certitude qu’il avait, c’est qu’après l’épisode du port, il était dorénavant un pirate.
Informations IRL
• Prénom : anthony
• Age : 25 ans
• Aime : manga, théatre (impro)
• N'aime pas :
• Personnage préféré de One Piece : sanji
• Caractère : ouvert et curieux
• Fait du RP depuis : je débute en RP mai j'ai déjà fait du jeu de rôle sur table
• Disponibilité approximative : en soirée
• Comment avez-vous connu le forum ? par hasard
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Hâtta Rapière le Sam 21 Jan 2017 - 4:13, édité 9 fois