Karl Feuerbach
• Pseudonyme : Karl Rivière de Feu
• Age : 42 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :
• Groupe : Pirate
• Age : 42 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :
• Groupe : Pirate
• But : Tout posséder
• Équipement :
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
• Équipement :
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
Description Physique
Je suis quelqu'un de plutôt impressionnant physiquement, avec ma taille qui avoisine les deux mètres et une musculature parfaite bien qu'assez sèche. A force d'années d'entrainement sans relâche depuis mon plus jeune âges je suis devenue plutôt fort au combat même sans avoir en ma possession un pouvoir particulier, juste une technique irréprochable me permettant de m'adapter à la plupart des situations. Malgré ma taille je suis plus agile et rapide que vraiment fort, mais attention je n'ai pas dis que je n'était pas capable de frapper avec force. Mon principal défaut serait que j'ai tendance à en faire trop et donc je m'épuise assez rapidement. Pour les autres je préfère ne pas trop en dire, vous le découvrirez peut-être par vous même le moment venu.
Mes cheveux sont de couleur brune avec quelques reflets plus clairs frôlant par moment le châtain foncé. En vérité je n'accorde que peu d'importance à ma coiffure, je me contente d'une simple coupe où je rabat mes cheveux en arrière. Parfois il m'arrive de les laisser pousser jusqu'au niveau de mes omoplates, il parait que ça me donne un certain style, pour ma part je peux les laisser pousser tant qu'ils ne me gênent pas. Je laisse également pousser une barbe assez épaisse qui vient encadrer le bas de mon visage. Comme pour mes cheveux je me moque un peu de l'allure que ça me donne, je me contente de la tailler un peu, mais jamais entièrement, lorsqu'elle devient vraiment trop longe.
J'ai les yeux d'une couleur assez particulière, ils sont tous deux jaunes. Je ne sais pas trop d'où vient cette spécificité, malgré quelques recherches personne dans ma famille ne semble avoir eu de tels yeux. Mon regard est fin, aiguisé comme une lame et prêt transpercer quiconque le croise. Du coup, les gens autour de moi ne comprennent que très peu ce que je ressens vraiment à travers mes yeux. De longues cernes viennent accentuer mes traits déjà sévères. Ayant une vue particulièrement mauvaise, je suis obligé de porter une paire de lunettes, lorsque je les retire j'ai du mal à juger les distances et je ne reconnaitrais pas une personne si elle se trouve à plus de cinq mètres. Cependant je voit toujours les formes et les couleurs, c'est juste que je les vois troubles.
Le reste de mon visage me donne lui aussi une allure sévère, de mon sourire inexistant à mes sourcilles froncés. Mes joues ainsi que mon front sont creusées de rides. Au niveau des choses particulières on peut noter plusieurs tatouages, ils représentent les appendices des monstres marins dont les membres s'étendent de mon dos à mon visage en passant par mon torse mes bras et mes jambes. Pour ce qui est de leur signification encore une fois je n'en dirais rien. quelques cicatrices marquent aussi ma peau, notamment au niveau du dos, du torse et des bras. Elles ne sont pas très visibles ni profondes et il faut vraiment regarder de près pour les remarquer. Heureusement, je n'ai jamais été blessé au niveau du visage.
Au niveau vestimentaire je porte souvent du blanc, ce qui contraste totalement avec moi. D'abord le haut de mon corps est protégé par une armure légère et fine, certes elle n'est pas toujours efficace mais si je prenais quelque chose de plus lourd cela ne ferait que gêner mes mouvements. Il m'arrive parfois de la retirer pour plus de vitesse au détriment de la défense. Je porte aussi une longue veste par dessus et une paire de gants blancs.
Mes cheveux sont de couleur brune avec quelques reflets plus clairs frôlant par moment le châtain foncé. En vérité je n'accorde que peu d'importance à ma coiffure, je me contente d'une simple coupe où je rabat mes cheveux en arrière. Parfois il m'arrive de les laisser pousser jusqu'au niveau de mes omoplates, il parait que ça me donne un certain style, pour ma part je peux les laisser pousser tant qu'ils ne me gênent pas. Je laisse également pousser une barbe assez épaisse qui vient encadrer le bas de mon visage. Comme pour mes cheveux je me moque un peu de l'allure que ça me donne, je me contente de la tailler un peu, mais jamais entièrement, lorsqu'elle devient vraiment trop longe.
J'ai les yeux d'une couleur assez particulière, ils sont tous deux jaunes. Je ne sais pas trop d'où vient cette spécificité, malgré quelques recherches personne dans ma famille ne semble avoir eu de tels yeux. Mon regard est fin, aiguisé comme une lame et prêt transpercer quiconque le croise. Du coup, les gens autour de moi ne comprennent que très peu ce que je ressens vraiment à travers mes yeux. De longues cernes viennent accentuer mes traits déjà sévères. Ayant une vue particulièrement mauvaise, je suis obligé de porter une paire de lunettes, lorsque je les retire j'ai du mal à juger les distances et je ne reconnaitrais pas une personne si elle se trouve à plus de cinq mètres. Cependant je voit toujours les formes et les couleurs, c'est juste que je les vois troubles.
Le reste de mon visage me donne lui aussi une allure sévère, de mon sourire inexistant à mes sourcilles froncés. Mes joues ainsi que mon front sont creusées de rides. Au niveau des choses particulières on peut noter plusieurs tatouages, ils représentent les appendices des monstres marins dont les membres s'étendent de mon dos à mon visage en passant par mon torse mes bras et mes jambes. Pour ce qui est de leur signification encore une fois je n'en dirais rien. quelques cicatrices marquent aussi ma peau, notamment au niveau du dos, du torse et des bras. Elles ne sont pas très visibles ni profondes et il faut vraiment regarder de près pour les remarquer. Heureusement, je n'ai jamais été blessé au niveau du visage.
Au niveau vestimentaire je porte souvent du blanc, ce qui contraste totalement avec moi. D'abord le haut de mon corps est protégé par une armure légère et fine, certes elle n'est pas toujours efficace mais si je prenais quelque chose de plus lourd cela ne ferait que gêner mes mouvements. Il m'arrive parfois de la retirer pour plus de vitesse au détriment de la défense. Je porte aussi une longue veste par dessus et une paire de gants blancs.
Description Psychologique
Ma personnalité a énormément évolué avec l'âge et nul doute qu'elles continueront de changer jusqu'à ma mort. La première chose que l'on peut noter sur moi, c'est ma cupidité, mais pas seulement envers l'argent comme beaucoup de pirates. Non, ce que je veux n'est pas seulement question d'argent, je veux aussi devenir le plus fort possible, être l'homme le plus recherché, peu importe du moment que ça me permet de toujours dépasser mes limites. Je n'avais rien là où je suis né alors je prend tout ce que le monde extérieur a à me donner et peu importe si je dois marcher sur des montagnes de cadavres pour atteindre cet objectif. Lorsque j'obtiens enfin quelque chose que je convoitais, je ne met en général pas bien longtemps avant de m'en désintéresser pour viser encore plus haut. Cela fait bien vingt ans que ça dure, je me demande parfois si je serais satisfait un jour.
D'un tempérament calme en général, je suis du genre calculateur. Comme dans une partie d'échec (jeu que j'affectionne beaucoup d'ailleurs) je prévois toujours plusieurs coups d'avance face à mes ennemis. Je réfléchis beaucoup, peut être un peu trop parfois mais c'est selon moi nécessaire pour éviter les morts inutiles ou ne pas foirer totalement n'importe quelle action. Je suis aussi capable de m'adapter lorsque ma stratégie ne fonctionne pas. Lorsque je me bat je peux, jusqu'à un certain degré, analyser les mouvements de mes ennemis pour réagir en conséquence, trouver une faille dans une façon de se tenir ou une faiblesse quelque part. J'aime beaucoup me cultiver, qu'il s'agisse de littérature, d'art picturaux, d'histoire et pleins d'autres domaines encore. Sans me vanter je pense être quelqu'un d'intelligent et de doué dans de nombreux points.
Lorsque malgré tout mes efforts, mes plans ne fonctionnent pas, j'ai tendance à m'énerver de façon totalement disproportionnée. Dans ces moments ils m'arrive de faire n'importe quoi, ce qui me rend également très dangereux à cause de mon imprévisibilité. Ces crises de colère se calment rapidement car elles ont tendance à me fatiguer très vite mais elles sont belle et bien là. Autre chose qui peut me rendre fou de rage, c'est lorsque je demande quelque chose d'important à quelqu'un et que ce dernier ne le fait pas correctement. Là, je peux bien aller jusqu'à tuer la personne responsable de l'échec d'un de mes plans par exemple. En dehors de cette situation précise, je suis plutôt quelqu'un de sympathique avec les personnes avec qui je travail.
D'un tempérament calme en général, je suis du genre calculateur. Comme dans une partie d'échec (jeu que j'affectionne beaucoup d'ailleurs) je prévois toujours plusieurs coups d'avance face à mes ennemis. Je réfléchis beaucoup, peut être un peu trop parfois mais c'est selon moi nécessaire pour éviter les morts inutiles ou ne pas foirer totalement n'importe quelle action. Je suis aussi capable de m'adapter lorsque ma stratégie ne fonctionne pas. Lorsque je me bat je peux, jusqu'à un certain degré, analyser les mouvements de mes ennemis pour réagir en conséquence, trouver une faille dans une façon de se tenir ou une faiblesse quelque part. J'aime beaucoup me cultiver, qu'il s'agisse de littérature, d'art picturaux, d'histoire et pleins d'autres domaines encore. Sans me vanter je pense être quelqu'un d'intelligent et de doué dans de nombreux points.
Lorsque malgré tout mes efforts, mes plans ne fonctionnent pas, j'ai tendance à m'énerver de façon totalement disproportionnée. Dans ces moments ils m'arrive de faire n'importe quoi, ce qui me rend également très dangereux à cause de mon imprévisibilité. Ces crises de colère se calment rapidement car elles ont tendance à me fatiguer très vite mais elles sont belle et bien là. Autre chose qui peut me rendre fou de rage, c'est lorsque je demande quelque chose d'important à quelqu'un et que ce dernier ne le fait pas correctement. Là, je peux bien aller jusqu'à tuer la personne responsable de l'échec d'un de mes plans par exemple. En dehors de cette situation précise, je suis plutôt quelqu'un de sympathique avec les personnes avec qui je travail.
Biographie
Je suis né il y a maintenant 42 ans sur une toute petite île méconnue et reculée. Mon enfance a été très calme et paisible, après tout à cette époque j'ignorais beaucoup de choses sur le monde extérieur et son fonctionnement. Il n'y avait pas grand monde sur notre petit îlot alors il était difficile de me faire des amis véritables. Ma famille était la seule compagnie véritable que j'avais. Parfois il y avait bien des bateaux de toutes sortes débarquaient, leurs intentions variaient assez souvent. Parfois ils n'étaient là que pour faire une halte, d'autres fois pour se cacher d'un mal que je ne connaissais pas encore, mais heureusement nous n'avons jamais eu à faire à de véritables pirates venant nous piller. De toute façon il n'y avait pas grand chose à récupérer, nous étions une famille se contentant de peu. Ma mère et mon père, paix à leurs âmes, étaient d'anciens pirates qui avaient tout laisser tomber y compris leurs anciennes identités affin de pouvoir se ranger tranquillement et m'élever correctement. Je n'ai su ça que bien plus tard bien sûr, quand j'étais enfant ils n'y faisaient jamais référence et je n'avais aucune raison de les soupçonner à ce sujet.
En plus de mes parents il y avait aussi mes deux jeunes sœurs respectivement âgées de 36 et 30 ans aujourd'hui. Nous jouions très souvent ensemble quand les corvées étaient terminées. Tout comme moi elles ignoraient tout du monde en dehors de notre île mais contrairement à elles, je ressentais bruler en moi une folle volonté de partir. Chaque fois que je regardais la mer je ne pouvais m'empêcher de sentir comme une boule au ventre tant je désirais pouvoir voguer sur les océans, rencontrer de nouvelles personnes et visiter tous ces lieux qui apparaissaient chaque fois que je fermais les yeux avant de m'endormir. Mais je n'en dis rien, mes parents étaient très strictes à ce sujet, le monde était rempli de dangers mortels et il valait mieux rester chez nous, dans ce qui ressemblait à une cage dorée à mes yeux. Chaque fois que j'évoquais, même subtilement la chose, je tombais face à un mur de silence et à des explications toutes aussi farfelues les unes que les autres.
Un jour, alors que j'avais quatorze ans, un bateau marchant vint accoster sur notre île pour faire du troc. Mon père traita rapidement avec eux en leur disant que nous n'avions besoin de rien et que nous étions capables de nous en sortir sans l'aide de personne, ce qui n'était pas faux. Les marchants restèrent quelques jours, deux ou trois je ne sais plus exactement. C'est la veille de leur départ que je pris sans doute la décision la plus cruciale de toute mon existence, je devais partir avec eux coute que coute. Sur un coup de tête j'écrivis une lettre à ma famille leurs disant que j'avais besoin de faire ce voyage même si cela signifiait de les quitter un temps. Je déposa soigneusement la lettre sur mon lit pour être sûr qu'ils la trouve. Une fois cela fait je me glissa à l'intérieur du bateau parmi les marchandises et le lendemain, à l'aube nous étions partis.
Je resta longtemps caché dans mon petit coin entre deux caisses mais au bout d'un moment un homme de l'équipage fini évidemment par me repérer. Il me traina alors jusqu'au capitaine en me traitant de sale voleur mais son supérieur semblait plus magnanime. Il ne me reconnu pas ou en tout cas fit comme tel et ordonna au lourdaud qui m'agrippais toujours de me relâcher immédiatement. D'abord surprit l'homme obéit immédiatement sans poser de questions. Puis le capitaine me fit entrer dans ses quartiers, il me demanda ce que je faisais sur son bateau et ce que je comptais faire maintenant que j'avais été attrapé. Je lui expliqua que je ne souhaitais rien d'autre que de voyager sur les océans et découvrir tout un tas de choses et à ma grande surprise il m'accepta dans son équipage sans plus me questionner. En échange je devais bien sûr participer à la vie sur le bateau, enfin j'étais surtout responsables de toutes les tâches un peu ingrates dont personne ne voulait. Ce n'était certes pas facile au début mais au moins j'étais nourris, logé, et lorsque nous accostions sur une nouvelle île je pouvais descendre du bateau et visiter un peu les lieux.
Ce que je ne savais pas en pénétrant dans ce navire, c'est que ces hommes n'étaient pas de simples marchands comme ils l'avaient prétendus. En réalité il s'agissait de pirates, l'ancien équipage de mes parents qu'ils avaient finis par retrouver. Il n'avait jamais été question d'une quelconque vengeance mais plutôt d'une simple visite de courtoisie entre anciens partenaires. J'appris énormément auprès de ces hommes, d'abord rebuté à l'idée de prendre part à leurs affaires je finis par y prendre un certain plaisir. Lorsqu'on veut pousser quelqu'un à faire quelque chose il faut lui promettre une récompense à la clef et je devais avouer que ces dernières étaient au rendez-vous. L'équipage dans lequel j'étais commença même à me faire confiance et finit même par me considérer comme l'un des leurs. Cette impression de liberté me changeait tellement de mon île natale que jamais je ne pourrais revenir à mon ancienne vie ennuyeuse.
Malgré tout, je devais avouer qu'ils me manquaient terriblement. Je devais retourner les voir ne serait-ce que pour prendre de leurs nouvelles, les choses ne se passèrent pas comme je l'avais imaginé. Après quelques jours, notre navire arriva jusqu'à mon ancien chez moi mais je fus le seul à descendre à terre, le capitaine ne me laissaient que quelques heures avant de repartir. Ma famille était déjà là, juste devant moi, ils étaient sortis directement en voyant le bateau arriver au loin. Ma mère me serra dans ses bras, mon père et la plus jeune de mes sœurs firent de même. Seule la dernière refusa de me parler et rentra à la maison sans dire un mot. J'avais tant de choses à leurs dire, notamment à quel point cette vie me plaisait mais pour eux, tout ce qui comptait était mon retour. Selon eux la famille allait redevenir exactement comme si rien ne s'était passé. Je ne voulais pas, c'était impossible pour moi d'accepter ça. Le ton monta rapidement et mon père finit par me poser un ultimatum, soit je restais en sécurité sur l'île, soit je partais au risque de rencontrer les pires dangers qui soient. Ce n'était pas comme ça que je voyais les choses et je lui répondis que je préférais repartir.
Depuis, beaucoup d'années ont passé. Je me suis énormément endurci. La piraterie change même les meilleurs d'entre nous. Au début je me contentais de petites tâches mais au fur et à mesure j'ai finis par participer aux pillages et même que j'y prenais énormément de plaisir. Puis du simple pillage j'ai perfectionné ma façon de combattre et même de tuer sans le moindre remord. J'ai grandis sur une île où il n'y avait rien, alors je prendrais tout ce qu'il y a à prendre, richesses, pouvoirs, célébrité peu importe et quitte à en mourir. J'en veux plus, toujours plus.
En plus de mes parents il y avait aussi mes deux jeunes sœurs respectivement âgées de 36 et 30 ans aujourd'hui. Nous jouions très souvent ensemble quand les corvées étaient terminées. Tout comme moi elles ignoraient tout du monde en dehors de notre île mais contrairement à elles, je ressentais bruler en moi une folle volonté de partir. Chaque fois que je regardais la mer je ne pouvais m'empêcher de sentir comme une boule au ventre tant je désirais pouvoir voguer sur les océans, rencontrer de nouvelles personnes et visiter tous ces lieux qui apparaissaient chaque fois que je fermais les yeux avant de m'endormir. Mais je n'en dis rien, mes parents étaient très strictes à ce sujet, le monde était rempli de dangers mortels et il valait mieux rester chez nous, dans ce qui ressemblait à une cage dorée à mes yeux. Chaque fois que j'évoquais, même subtilement la chose, je tombais face à un mur de silence et à des explications toutes aussi farfelues les unes que les autres.
Un jour, alors que j'avais quatorze ans, un bateau marchant vint accoster sur notre île pour faire du troc. Mon père traita rapidement avec eux en leur disant que nous n'avions besoin de rien et que nous étions capables de nous en sortir sans l'aide de personne, ce qui n'était pas faux. Les marchants restèrent quelques jours, deux ou trois je ne sais plus exactement. C'est la veille de leur départ que je pris sans doute la décision la plus cruciale de toute mon existence, je devais partir avec eux coute que coute. Sur un coup de tête j'écrivis une lettre à ma famille leurs disant que j'avais besoin de faire ce voyage même si cela signifiait de les quitter un temps. Je déposa soigneusement la lettre sur mon lit pour être sûr qu'ils la trouve. Une fois cela fait je me glissa à l'intérieur du bateau parmi les marchandises et le lendemain, à l'aube nous étions partis.
Je resta longtemps caché dans mon petit coin entre deux caisses mais au bout d'un moment un homme de l'équipage fini évidemment par me repérer. Il me traina alors jusqu'au capitaine en me traitant de sale voleur mais son supérieur semblait plus magnanime. Il ne me reconnu pas ou en tout cas fit comme tel et ordonna au lourdaud qui m'agrippais toujours de me relâcher immédiatement. D'abord surprit l'homme obéit immédiatement sans poser de questions. Puis le capitaine me fit entrer dans ses quartiers, il me demanda ce que je faisais sur son bateau et ce que je comptais faire maintenant que j'avais été attrapé. Je lui expliqua que je ne souhaitais rien d'autre que de voyager sur les océans et découvrir tout un tas de choses et à ma grande surprise il m'accepta dans son équipage sans plus me questionner. En échange je devais bien sûr participer à la vie sur le bateau, enfin j'étais surtout responsables de toutes les tâches un peu ingrates dont personne ne voulait. Ce n'était certes pas facile au début mais au moins j'étais nourris, logé, et lorsque nous accostions sur une nouvelle île je pouvais descendre du bateau et visiter un peu les lieux.
Ce que je ne savais pas en pénétrant dans ce navire, c'est que ces hommes n'étaient pas de simples marchands comme ils l'avaient prétendus. En réalité il s'agissait de pirates, l'ancien équipage de mes parents qu'ils avaient finis par retrouver. Il n'avait jamais été question d'une quelconque vengeance mais plutôt d'une simple visite de courtoisie entre anciens partenaires. J'appris énormément auprès de ces hommes, d'abord rebuté à l'idée de prendre part à leurs affaires je finis par y prendre un certain plaisir. Lorsqu'on veut pousser quelqu'un à faire quelque chose il faut lui promettre une récompense à la clef et je devais avouer que ces dernières étaient au rendez-vous. L'équipage dans lequel j'étais commença même à me faire confiance et finit même par me considérer comme l'un des leurs. Cette impression de liberté me changeait tellement de mon île natale que jamais je ne pourrais revenir à mon ancienne vie ennuyeuse.
Malgré tout, je devais avouer qu'ils me manquaient terriblement. Je devais retourner les voir ne serait-ce que pour prendre de leurs nouvelles, les choses ne se passèrent pas comme je l'avais imaginé. Après quelques jours, notre navire arriva jusqu'à mon ancien chez moi mais je fus le seul à descendre à terre, le capitaine ne me laissaient que quelques heures avant de repartir. Ma famille était déjà là, juste devant moi, ils étaient sortis directement en voyant le bateau arriver au loin. Ma mère me serra dans ses bras, mon père et la plus jeune de mes sœurs firent de même. Seule la dernière refusa de me parler et rentra à la maison sans dire un mot. J'avais tant de choses à leurs dire, notamment à quel point cette vie me plaisait mais pour eux, tout ce qui comptait était mon retour. Selon eux la famille allait redevenir exactement comme si rien ne s'était passé. Je ne voulais pas, c'était impossible pour moi d'accepter ça. Le ton monta rapidement et mon père finit par me poser un ultimatum, soit je restais en sécurité sur l'île, soit je partais au risque de rencontrer les pires dangers qui soient. Ce n'était pas comme ça que je voyais les choses et je lui répondis que je préférais repartir.
Depuis, beaucoup d'années ont passé. Je me suis énormément endurci. La piraterie change même les meilleurs d'entre nous. Au début je me contentais de petites tâches mais au fur et à mesure j'ai finis par participer aux pillages et même que j'y prenais énormément de plaisir. Puis du simple pillage j'ai perfectionné ma façon de combattre et même de tuer sans le moindre remord. J'ai grandis sur une île où il n'y avait rien, alors je prendrais tout ce qu'il y a à prendre, richesses, pouvoirs, célébrité peu importe et quitte à en mourir. J'en veux plus, toujours plus.
Test RP
Depuis combien d'années n'avais-je pas pris de vacances? Je ne saurais même pas le dire mais cela doit bien dater d'au moins une bonne dizaine d'années. En même temps, en tant que pirate je préfère largement voguer sur les mers à la recherche de richesses et d'aventures plutôt que de me promener dans les bois ou me prélasser à l'ombre d'un arbre. Mais au bout d'un moment il peut m'arriver de saturer, les dernières semaines avaient été bien chargées niveau émotions fortes, me poussant à précipiter cette petite pause que je prévoyais depuis quelques mois déjà. Comme à mon habitude j'avais établit tout un programme pour toute la durée de mon séjour, peut-être étais-je un peu trop prévoyant d'ailleurs. Sur les mers, cette manie peut s'avérer très utile quand bien utilisée mais en pleines vacances ce n'était peut-être pas nécessaire. Je regarda une dernière fois le bout de papier, avec à chaque heure son activité. Un long soupir s'échappa de mes lèvres puis je déchira cette foutue liste dont les morceaux se dispersèrent au gré du vent. Les mains dans les poches je partais à la découverte de cette petite île charmante.
Elle s'appelait Sirup, c'était une île entourée d'immenses rochers empêchant tout débarquement hormis à deux points opposés. Ce n'était pas un endroit très animé mais c'était ce dont j'avais surement le plus besoin en ce moment, du calme et du repos. Je visita un peu les lieux, il n'y avait qu'un seul et unique village paisible dont je fis assez rapidement le tour. Il n'y avait pas grand chose à y voir finalement, juste quelques habitations d'agriculteurs par ci par là. Les seuls point un peu plus intéressants étaient les fameux manoirs de Sirup. Ils étaient peut-être remplis de richesses diverses et variées et j'aurais peut-être pus prendre ma part mais je n'étais plus un pirate mais un homme en vacances alors je me contenta de les observer de loin avant de revenir sur mes pas mais en gardant tout de même en tête que je pourrais revenir plus tard et pas seul cette fois. J'alla m'installer un peu à l'écart du village juste à l'entrée de la forêt menant au port où nous avions accostés. Je m'installa à l'ombre d'un arbre, le dos appuyé sur son tronc et m'endormis sans m'en rendre compte.
Je ne me souviens jamais de mes rêves et cette fois ne fis pas exception à la règle. Comme d'habitude la seule chose que je me suis souvenu c'était du ressenti général du rêve et celui là était agréable. Je regardais le ciel quelques instants, le soleil avait légèrement bougé par rapport à tout à l'heure, à vu de nez je pouvais déterminer que j'avais dormis au moins deux bonnes heures. Je chercha mes affaires qui devaient se trouver à côté de moi mais je ne sentis rien sous ma main. Pris d'un violent sursaut je me redressa immédiatement et commença à regarder de partout pour essayer de retrouver mes affaires mais en vain, tout avait disparut. Ou plutôt quelqu'un avait profité de mon sommeil pour me voler. Mon visage se crispa, peu importe qui c'était il allait le payer très cher. Je ne mis pas longtemps à retrouver les coupables puisqu'ils se tenaient non-loin de là où j'étais, ils avaient encore l'une de mes possessions en main. Mais je ne voyais pas le reste, ils l'avaient certainement caché quelque part non loin de là. D'un pas rapide je m'avança jusqu'à eux et celui qui semblait être le chef s'avança à son tour.
- Alors le vieux clochard, on se éveil enfin? Me dit-il accompagné des rires de ses amis derrière lui. Tu aimerais bien récupérer tes affaires je me trompe? Alors on va jouer à un petit jeu. Tu connais la crosse? Si tu réussis à nous battre on te rend tes affaires. Si tu perds bah on les garde.
Puis il fit signe à l'un de ses amis de lui passer deux crosses dont une qu'il laissa tomber à mes pieds, je la récupéra. Ils ne semblaient pas prendre conscience de ce qu'ils faisaient, mais ce n'était pas une raison pour les excuser. Ils se mirent en place face à moi, j'étais clairement en infériorité numérique et il était plus qu'évident que je ne pourrais pas gagner à un jeu que je connaissais à peine face à des personnes qui connaissaient manifestement ce sport. Mais je fis mine d'accepter et pour me laisser une chance, ou pour m'humilier un peu plus, ils me donnèrent la balle. Je n'u connaissais certes rien à la crosse mais ils étaient très loin de savoir ce dont j'étais capable. Je commença par faire mine de jouer mais dès que l'un d'eux s'approcha de moi je lui asséna un violent coup de crosse en plein dans le menton. Complètement sonné, il s'écroula par terre. Je frappa ensuite la balle qui vola en direction d'un second joueur qui se la prit de plein fouet. Peu importe les règles de ce stupide jeu, c'était comme ça que moi j'y jouais et que j'y prenais du plaisir.
J'eu le temps d'en assommer un troisième avant que les autres ne se jettent sur moi armés de leurs crosses. Heureusement que j'étais fort, ou peut-être était-ce eux qui n'étaient pas doués, mais malgré le surnombre j'arrivais à peu prêt à m'en sortir, certes je prenais des coups mais eux aussi. L'un d'eux m'assena un coup que je fus obligé de parer directement avec mon bras et je sentis une violente douleur, je répondis par un puissant coup à l'abdomen qui le mit à terre. Il ne me fallut pas plus de deux ou trois minutes pour en finir, j'étais totalement épuisé mais quel pied de pouvoir cogner sur quelqu'un. Et dire que j'étais venu sur cette île pour le calme qu'elle promettait. Après quelques secondes pour reprendre mon souffle et récupérer un peu, surtout de ma douleur au bras, Je me mis juste au dessus de celui qui m'avait parlé en premier. Je passa ma crosse recouverte d'un peu de sang sur son visage, j'espérais ne pas en arriver là mais s'il m'y obligeait je le ferais sans hésiter.
- Bien, maintenant qu'on en a finit avec ce petit jeu stupide j'aimerais récupérer mes affaires. Si tu ne veux pas, sache que je sais me montrer très persuasif.
Je tapota l'une de ses jambes pour qu'il comprenne un peu mieux où je voulais en venir. Il ne mit pas longtemps à me faire oui de la tête. Je l'agrippa par le col et le releva de force puis nous nous rendîmes à l'endroit où ils avaient planqué tous mes affaires. Je passa de longues minutes à tout vérifier, un par un j'observais chacune de mes possessions pour vérifier que rien n'avait été abîmé pendant le vol. Mais tout semblait dans l'ordre alors je rangea tout, j'étais même prêt à oublier cet incident du moment qu'ils me laissaient tranquille, de toute façon après la raclée ils n'étaient pas prêt de s'en reprendre à moi. C'est ainsi que se passa la première journée de ce qui devait être des vacances, ça commençait tout de même un peu fort à mon goût...
Elle s'appelait Sirup, c'était une île entourée d'immenses rochers empêchant tout débarquement hormis à deux points opposés. Ce n'était pas un endroit très animé mais c'était ce dont j'avais surement le plus besoin en ce moment, du calme et du repos. Je visita un peu les lieux, il n'y avait qu'un seul et unique village paisible dont je fis assez rapidement le tour. Il n'y avait pas grand chose à y voir finalement, juste quelques habitations d'agriculteurs par ci par là. Les seuls point un peu plus intéressants étaient les fameux manoirs de Sirup. Ils étaient peut-être remplis de richesses diverses et variées et j'aurais peut-être pus prendre ma part mais je n'étais plus un pirate mais un homme en vacances alors je me contenta de les observer de loin avant de revenir sur mes pas mais en gardant tout de même en tête que je pourrais revenir plus tard et pas seul cette fois. J'alla m'installer un peu à l'écart du village juste à l'entrée de la forêt menant au port où nous avions accostés. Je m'installa à l'ombre d'un arbre, le dos appuyé sur son tronc et m'endormis sans m'en rendre compte.
Je ne me souviens jamais de mes rêves et cette fois ne fis pas exception à la règle. Comme d'habitude la seule chose que je me suis souvenu c'était du ressenti général du rêve et celui là était agréable. Je regardais le ciel quelques instants, le soleil avait légèrement bougé par rapport à tout à l'heure, à vu de nez je pouvais déterminer que j'avais dormis au moins deux bonnes heures. Je chercha mes affaires qui devaient se trouver à côté de moi mais je ne sentis rien sous ma main. Pris d'un violent sursaut je me redressa immédiatement et commença à regarder de partout pour essayer de retrouver mes affaires mais en vain, tout avait disparut. Ou plutôt quelqu'un avait profité de mon sommeil pour me voler. Mon visage se crispa, peu importe qui c'était il allait le payer très cher. Je ne mis pas longtemps à retrouver les coupables puisqu'ils se tenaient non-loin de là où j'étais, ils avaient encore l'une de mes possessions en main. Mais je ne voyais pas le reste, ils l'avaient certainement caché quelque part non loin de là. D'un pas rapide je m'avança jusqu'à eux et celui qui semblait être le chef s'avança à son tour.
- Alors le vieux clochard, on se éveil enfin? Me dit-il accompagné des rires de ses amis derrière lui. Tu aimerais bien récupérer tes affaires je me trompe? Alors on va jouer à un petit jeu. Tu connais la crosse? Si tu réussis à nous battre on te rend tes affaires. Si tu perds bah on les garde.
Puis il fit signe à l'un de ses amis de lui passer deux crosses dont une qu'il laissa tomber à mes pieds, je la récupéra. Ils ne semblaient pas prendre conscience de ce qu'ils faisaient, mais ce n'était pas une raison pour les excuser. Ils se mirent en place face à moi, j'étais clairement en infériorité numérique et il était plus qu'évident que je ne pourrais pas gagner à un jeu que je connaissais à peine face à des personnes qui connaissaient manifestement ce sport. Mais je fis mine d'accepter et pour me laisser une chance, ou pour m'humilier un peu plus, ils me donnèrent la balle. Je n'u connaissais certes rien à la crosse mais ils étaient très loin de savoir ce dont j'étais capable. Je commença par faire mine de jouer mais dès que l'un d'eux s'approcha de moi je lui asséna un violent coup de crosse en plein dans le menton. Complètement sonné, il s'écroula par terre. Je frappa ensuite la balle qui vola en direction d'un second joueur qui se la prit de plein fouet. Peu importe les règles de ce stupide jeu, c'était comme ça que moi j'y jouais et que j'y prenais du plaisir.
J'eu le temps d'en assommer un troisième avant que les autres ne se jettent sur moi armés de leurs crosses. Heureusement que j'étais fort, ou peut-être était-ce eux qui n'étaient pas doués, mais malgré le surnombre j'arrivais à peu prêt à m'en sortir, certes je prenais des coups mais eux aussi. L'un d'eux m'assena un coup que je fus obligé de parer directement avec mon bras et je sentis une violente douleur, je répondis par un puissant coup à l'abdomen qui le mit à terre. Il ne me fallut pas plus de deux ou trois minutes pour en finir, j'étais totalement épuisé mais quel pied de pouvoir cogner sur quelqu'un. Et dire que j'étais venu sur cette île pour le calme qu'elle promettait. Après quelques secondes pour reprendre mon souffle et récupérer un peu, surtout de ma douleur au bras, Je me mis juste au dessus de celui qui m'avait parlé en premier. Je passa ma crosse recouverte d'un peu de sang sur son visage, j'espérais ne pas en arriver là mais s'il m'y obligeait je le ferais sans hésiter.
- Bien, maintenant qu'on en a finit avec ce petit jeu stupide j'aimerais récupérer mes affaires. Si tu ne veux pas, sache que je sais me montrer très persuasif.
Je tapota l'une de ses jambes pour qu'il comprenne un peu mieux où je voulais en venir. Il ne mit pas longtemps à me faire oui de la tête. Je l'agrippa par le col et le releva de force puis nous nous rendîmes à l'endroit où ils avaient planqué tous mes affaires. Je passa de longues minutes à tout vérifier, un par un j'observais chacune de mes possessions pour vérifier que rien n'avait été abîmé pendant le vol. Mais tout semblait dans l'ordre alors je rangea tout, j'étais même prêt à oublier cet incident du moment qu'ils me laissaient tranquille, de toute façon après la raclée ils n'étaient pas prêt de s'en reprendre à moi. C'est ainsi que se passa la première journée de ce qui devait être des vacances, ça commençait tout de même un peu fort à mon goût...
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Dernière édition par Karl Feuerbach le Lun 23 Jan 2017 - 23:49, édité 7 fois