Devrel Zaye
• Pseudonyme : La Butineuse
• Age : 20 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier : Apicultrice / Espionne
• Groupe : Civil
• Age : 20 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier : Apicultrice / Espionne
• Groupe : Civil
• But : Avoir un immense réseau d’informations.
• Équipement : Rien d’extraordinaire.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? X
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? X
Codes du règlement :
• Équipement : Rien d’extraordinaire.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? X
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? X
Codes du règlement :
Description Physique
Un physique de petit ange, rien ne peut mieux qualifier l’apparence de Zaye.
Tout d’abord, sa carrure. La jeune femme mesure un mètre cinquante-neuf pour un poids de quarante-sept kilogrammes. C’est un petit bout de femme pas très impressionnant. Pas de quoi faire trembler un scarabée sans pattes… Malgré ce petit gabarit, Zaye a la chance d’avoir de jolies formes, une poitrine ni trop grosse, ni minuscule, une taille marquée, un postérieur plutôt agréable à regarder et de belles et fines jambes. Elle a une élégance et une prestance naturelle.
La butineuse possède une magnifique chevelure rose pâle coupée au carré mais tout en restant décoiffé. Nombreux sont les hommes qui désireraient passer les mains à l’intérieur…
On dit d’elle qu’elle a un visage de sainte. Son teint est plutôt pâle et la jeune femme a la chance d’avoir de magnifique tâche de rousseur. On lui donnerait le bon dieu sans confession ! Elle en joue d’ailleurs énormément. Et ses yeux ! Que dire de ses yeux ? Un bleu ciel d’été au bord de la mer. Un bleu lagon. Un millier de comparaisons sont encore possible pour décrire les deux bijoux qu’elle a dans les lobes oculaires.
Quant à son style vestimentaire, Zaye aime s’habiller de façon plutôt simple, passe partout tout en gardant un certain style.
Tout d’abord, sa carrure. La jeune femme mesure un mètre cinquante-neuf pour un poids de quarante-sept kilogrammes. C’est un petit bout de femme pas très impressionnant. Pas de quoi faire trembler un scarabée sans pattes… Malgré ce petit gabarit, Zaye a la chance d’avoir de jolies formes, une poitrine ni trop grosse, ni minuscule, une taille marquée, un postérieur plutôt agréable à regarder et de belles et fines jambes. Elle a une élégance et une prestance naturelle.
La butineuse possède une magnifique chevelure rose pâle coupée au carré mais tout en restant décoiffé. Nombreux sont les hommes qui désireraient passer les mains à l’intérieur…
On dit d’elle qu’elle a un visage de sainte. Son teint est plutôt pâle et la jeune femme a la chance d’avoir de magnifique tâche de rousseur. On lui donnerait le bon dieu sans confession ! Elle en joue d’ailleurs énormément. Et ses yeux ! Que dire de ses yeux ? Un bleu ciel d’été au bord de la mer. Un bleu lagon. Un millier de comparaisons sont encore possible pour décrire les deux bijoux qu’elle a dans les lobes oculaires.
Quant à son style vestimentaire, Zaye aime s’habiller de façon plutôt simple, passe partout tout en gardant un certain style.
Description Psychologique
Si en apparence, Zaye à l’air d’une personne des plus gentilles, je peux personnellement vous dire qu’en réalité, son cœur est noirci par l’envie de pouvoir et de richesse que lui a inculquée la MTM. Par tous les moyens, elle tentera de tourner les choses à son avantage, même aux dépends d’autres personnes. Cependant, elle a le sens de la « famille » et ses vrais amis peuvent compter sur elle.Si l’on pousse les choses un peu plus dans le détail, les berrys et le pouvoir sont pour elle intimement liés, l’un menant à l’autre et vice-versa.
Zaye ne serait rien sans ses commérages et son envie constante de tout savoir. Elle pense en effet que le savoir mène également au pouvoir. En sachant tout d’une personne, vous la mettez complètement à votre merci et c’est là la grande spécialité de la jeune femme. Elle ne foncera pas tête baissée affronter un ennemi, elle étudiera tout d’abord les capacités de ce dernier et ses chances de le vaincre. Elle n’hésitera nullement à utiliser la fourberie qui est bien souvent plus efficace que le respect et la franchise.
Le miel, le voilà le pêché mignon de la femme aux abeilles ! Elle en est folle, passer un trop long moment sans manger de miel pourrait se révéler fatal pour les gens se trouvant autour d’elle. Gare à la carence ! Elle est peut-être petite mais elle peut être fougueuse.
Vous l’aurez certainement déjà compris mais la manipulation est une institution pour Zaye et l'une de ses façons les plus efficaces de procéder. Elle n’hésitera pas à vous mentir au nez et à la barbe s’il le faut : vous n’entendrez même pas le bourdonnement de la traîtrise.
Malgré tout ceci, Zaye garde une certaine humanité. Elle aime les jeux, le shopping, boire, rire. Elle se comporte la plupart du temps assez normalement et peut même faire d’elle une bonne camarade.
Biographie
« Bzzzzzzz Bzzzz Bz Bz ! »
« Bzzzz bzz bzzzz »
Quel son agréable que celui de son langage. Zaye a vécu une grande partie de son enfance dans une ruche. Comment ça un humain ne rentre pas dans une ruche ? Vous ne vous êtes donc jamais rendu sur l’île de Mielmax à South Blue ? Les abeilles y sont de toutes les tailles. On dit même que la reine mesure plus de deux mètres ! Et bien c’est dans cet univers mielleux que Zaye a vécu jusqu’à l’âge de dix ans.
L’île de Mielmax était composée de trois parties : la forêt où se trouvaient de grands arbres avec des ruches sauvages dont le miel était d’un goût exceptionnel mais que les abeilles défendaient farouchement, les douze collines où les apiculteurs se battaient pour obtenir le meilleur miel possible mais bien en dessous de celui des abeilles sauvages, enfin, la grande ville de Réos où le miel est une institution et que vit grandement de son exportation.
L’enfant ignore tout de ses parents. Du plus loin qu’elle se souvienne, ce sont toujours les abeilles nourricières qui lui avaient apporté de quoi se sustenter et lui avait donné son prénom. De plus, le miel sauvage n’était jamais bien loin, puisqu’en effet c’est dans une ruche sauvage qu’avait été déposée Zaye. Il s’agissait donc d’un grand mystère ! Comment une personne était parvenue à la déposer à l’intérieur d’une ruche sauvage ? Quoi qu’il en soit, la jeune fille aux cheveux roses avait appris le langage abeille et était parvenue à se faire une place dans la ruche. C’est à l’âge de 3 ans qu’elle sortit pour la première fois de la ruche escortée par les abeilles guerrières. La découverte des fleurs et de ce monde l’enchantait d’ores et déjà. Cependant, jamais elle ne sortait de la forêt. Une abeille avait été mise en charge de la surveillance de la jeune fille, il s’agissait de Bzzz bzzzz bzzzz… Jealia en langage humain, une abeille d’un mètre trente-cinq très impressionnante. Les deux « femelles » avaient créé un lien très fort : elles jouaient ensemble, riaient. C’est d’ailleurs avec elle qu’elle fit ses premiers pas en dehors de la forêt, auprès des douze collines.
La jeune fille grandissait donc dans un monde idyllique même si hors du commun. Cependant, plus elle grandissait, plus elle devenait autonome et plus les abeilles lui donnaient de responsabilités. Un jour, alors qu’elle avait dix ans, elle sortit donc seule de la forêt et rejoint les douze collines. Là, elle y découvrit toutes ces abeilles élevées par des hommes qui ne les comprenaient pas vraiment. Jamais les abeilles sauvages ne l’avaient amené si loin. Et pour cause, elles avaient peur de terminer sous le joug des apiculteurs et autre humain de cette île.
C’est en discutant des conditions de vie de ses collègues butineuses que la jeune fille de dix ans perdit connaissance.
… … …
Tout était noir… Quelques lumières violettes jonchaient les murs de pierre et l’odeur proéminente était celle du renfermé. Que s’était-il passer ? Pourquoi Zaye se retrouvait enchaînée d’une main, laissant l’autre libre pour boire la tasse de thé à ses côtés ? Elle n’avait jamais vu tout ça, tout était nouveau.
« Gerlud ! Nous sommes piqués de partout… Aïïe. »
« Jon Jo, arrêtez de gesticuler où je ne pourrais pas enlever tous ces dards… »
« Ah tu es enfin réveillée ! Alors comme ça tu parles aux abeilles ? Voilà une particularité bien singulière. Je peux te proposer un marché mon enfant. »
« Bzzz Bzzz Bzzzzzzzzzzzzzzz ! »
« Oh … Je vois. Ça va être plus compliqué que prévu. Qu’on lui apprenne à parler ! Cette enfant nous sera utile dans les années à venir ! Helenia ! Je compte sur toi pour faire d’elle mon plus grand agent de renseignement. Je compte bien avoir la main mise sur cette île et faire pression sur chacun de mes ennemis. »
L’agence MTM (Mafia et Trafiquants de Mielmax) connu pour sa discrétion à Réos était une source de peur pour les habitants de la ville. Ce petit groupe d’individus mal intentionnés avait un réseau sur tout l’île et étaient les pionniers du trafic de miel. S’ils voulaient quelque chose, ils l’avaient.
Zaye n’avait pas eu d’éducation humaine avant de les rencontrer et se laissa donc noircir le cœur tout en gardant une certaine humanité durant plusieurs années. Helenia lui apprenait la langue et l’enfant devenant de jour en jour une femme parvenait à avoir de nombreuses informations grâce à son langage abeilleux. Cependant, lorsqu’elle atteint l’âge de quinze ans, l’adolescente qui jamais n’avait oublié ses amies abeilles sauvages et qui commençait une jolie crise obligea quelque peu Gerlud, le chef à la laisser devenir apicultrice avec sa propre exploitation. Après mure réflexion, ce dernier accepta, un petit élevage ne pourrait pas faire de mal à son empire mielleux.
Zaye se mit donc en quête de la ruche dont elle avait étée membre. Les retrouvailles furent festives, le miel coulait à foison et les chants bzzzzibziques retentissaient dans toute la ruche. Elle avait retrouvé sa première famille. Elle leur expliqua son projet de monter une ruche sur les douze collines tout en laissant leur liberté aux abeilles. Un petit groupe accepta et Zaye eut même le soutien de quelques abeilles guerrières dont Jealia, sa mère de toujours.
La ruche se mit en place, la jeune femme était devenu apicultrice et espionne à mi-temps. Tout se passait au mieux jusqu’à ce que vers l’âge de vingt ans, Gerlud qui se rendait compte que le miel sauvage que produisait Zaye avait un succès fou et que la jeune femme commençait sérieusement à trop empiéter sur son territoire.
L’épisode du feu de nuit fut terrible… Un beau jour, à la nuit tombée, les troupes de Gerlud et donc de la seconde famille de Zaye mirent à feu et à sang son élevage. Les abeilles n’étaient pas resté sans se défendre mais elles ne purent rien faire, pas même les guerrières. Il y eut un grand nombre de mort du côté de la ruche, très peu du côté de la mafia… Gerlud avait fait le choix de privilégier son trafic plutôt que les qualités de Zaye, visant même à la brûler. Cependant, la jeune femme avait été rescapée. Sauvée par Jealia qui l’avait porté sur son dos et amenée jusqu’à son ancienne ruche.
Qu’allait-il se passer maintenant ? Serait-ce la guerre ? L’abandon ? Qu’allait faire Zaye, Jealia et le reste de la ruche sauvage dont les amies étaient morte ?
Test RP
Zaye avait acheté un nouveau sac dans les tons bleu pastel, CANONNISSIME ! Elle avait littéralement craqué. Il faut dire qu’il avait été magnifiquement mis en valeur dans la vitrine. En temps normal, elle l’aurait volé mais cette fois-ci elle avait décidé de faire les choses bien. Les video den-den y était certainement pour quelque chose. La femme aux abeilles était plutôt du genre discrète… Bon ! Tout cela était bien beau mais du coup, elle n’avait absolument plus un berry à mettre dans ce fameux sac. La situation était quelque peu critique, la jeune femme n’avait pas le choix, elle devait se mettre au boulot.
Elle avait justement entendu parler d’un type qui refilait des petits boulots à la sauvette et qui payait plutôt bien pour ça. Il se trouvait au 5 de la rue Garouz. C’est donc là que se rendit Zaye ! La porte n’était pas des plus rassurantes, en fer, avec des traces blanches comme si quelqu’un l’avait griffé. Mais bon, la jeune femme n’était pas du genre trouillarde et ce genre de détail avait plutôt tendance à l’exciter. Elle tambourina donc gracieusement la porte et attendu qu’on lui ouvre.
« Mot de passe ?! »
Quoi ? Un mot de passe ? Mais elle n’en avait absolument aucune idée… Elle se mit donc à réfléchir, réfléchir et encore réfléchir mais c’était impossible. Comment la butineuse ne pouvait pas être au courant de ce mot de passe ? Elle qui était censé tout savoir…
« Il n’y en a pas … »
« Bien vu ma p’tite fleur des champs ! Aller, rentre donc ! »
La porte s’ouvrit finalement et laissa apparaitre un homme avec un chapeau melon et des bottes de cuir… Sa bouche était masquée et il semblait avoir un œil de verre. Bzzzzzzzzzzzz, tout ce qu’aimait Zaye. Elle rentra donc sans attendre et lui expliqua sa situation.
« Hmmm… J’ai bien un p’tit truc pour toi, mais j’suis pas sûr qu’un p’tit bout d’femme com’toi puisse y arriver ! »
« :Bzz : Sortez de ma manche, montrons lui qu’on en a sous le capot ! :Bzz : »
Une nuée d’abeille fit alors son apparition et ne manqua pas de surprendre l’homme auquel on ne donnait d’ailleurs pas d’âge.
« Oh.. Et bien, on peut toujours essayer mais t’as intérêt à gérer, mon employeur est du genre pas commode avec ceux qui échouent. J’ai c’te p’tite caisse là à livrer à un p’tit bourgeois au 42 Rue Balzamine. J’compte sur toi, je te paierai bien une fois la mission effectuée ! »
C’est tout ? Livrer une simple caisse ? Et il faisait tout un cinéma pour ça ? Un enfant de sept ans aurait été capable de le faire. Zaye esquissa un léger sourire et saisit la caisse avant de se mettre en route sans même écouter les quelques précautions que lui avait mentionné l’homme.
Livrer une caisse, non mais il l’avait pris pour une débutante. Enfin bon, ça serait de l’argent facilement gagné, pas de quoi se plaindre. Tout en marchant, Zaye chantonnait des chants bzibziques pour rendre le trajet plus attrayant jusqu’à ce qu’elle entende un petit couinement. Coup d’œil à gauche, coup d’œil à droit. Rien … Un deuxième couinement et la caisse lui échappa des mains. Pourquoi elle tremblait comme ça ? Mais qui avait-il donc dans cette caisse ?! Se pourrait-il que ce soit si dangereux que ça ? Quoi qu’il en soit, elle devait livrer le colis au plus vite. Elle avança donc les bras pour le ramasser mais c’est alors que deux petites jambes apparurent alors et que aussi surprenant que cela puisse être, la caisse se fit la malle ! La jeune femme se mit alors à lui courir après mais c’est qu’elle était rapide cette fichue livraison et où allait-elle comme ça ? Et bon sang elle avait des jambes !
Un peu déboussolée, Zaye continua cette course poursuite avant de se faire littéralement distancer par la caisse… Quel échec. La jeune femme était à la fois rouge de honte et verte de colère. Le mélange des deux donnait même une nouvelle couleur ! Il avait bien précisé que l’employeur n’était pas très commode avec ceux qui échouaient… La butineuse avait alors deux choix : s’enfuir, ou partir à la recherche d’une caisse… La situation était tellement improbable qu’il fallait que Zaye éclaircisse ce mystère.
« :Bzz : C’est l’heure de chercher mes jolies, et lorsque vous avez trouvé, emprisonnez cette choses. :bzz : »
L’essaim se sépara et se mit en cherche du paquet bijambiste. Au bout de quelque minute, l’une des abeilles prévint Zaye que l’objet se trouvait dans une rue près du port et d’autre caisse d’exportation mais que les couinements de la chose avaient mis la puce à l’oreille des abeilles. La jeune femme se rendit sur les lieux. La caisse était à terre, les deux jambes gigotant dans le vide et l’essaim de nouveau constitué au-dessus de la bête. Il était temps de révéler ce phénomène étrange. Zaye ouvrit la boite et se retrouva nez à nez avec un homme miniature.
« Lâchez-moiiiii ! »
Il avait une voix… Et quelle voix ! Un son aussi aigu et strident qu’un ultrason, rien de très agréable.
« T’es quoi toi ? »
« Ça se voit pas grosse débile ! J’suis un humain ! »
« :bzzz : Méridice, pique le ! :bzzz : »
A vrai dire, ça ne se voyait pas tant que ça...
« Aiiie ! Mais je rêve où tu leur dis quoi faire ? »
« Pourquoi je dois t’amener à l’autre bout de la ville ?! »
« Oh non, je veux pas retourner chez Garoul… S’il vous plaît. »
« Je ne suis pas du genre sentimentale, je vais t’y emmener et empocher les berrys associés. »
« C’est des berrys que tu veux ? En tant que fils de roi, je sais que ça a bien peu de valeur.»
Cette petite chose serait un prince ? Si ce qu’il disait était vrai, il y aurait moyen de se faire en effet pas mal d’argent… Mais la jeune femme n’avait aucune preuve, et puis pas l’envie de se mettre à dos l’inconnu pas commode. Elle saisit donc l’homme par les pieds et continua sa route.
« Non non ! C’est un piège ! Garoul recueille des gens pour en faire des esclaves ! Nul doute qu’il va te séquestrer et te revendre ! »
« Tu as toujours été petit ? Pourquoi il s’intéresse à toi ? »
« Mais c’est un fou ! C’est lui qui m’a rendu si petit, il est bien trop puissant. Il veut obtenir une rançon de la part de mes parents et ils sont en route pour venir mais je ne veux pas qu’ils payent autant de berrys pour moi ! »
« Combien doivent-ils payer ? »
« 100 millions… »
Le regard de la jeune femme changea du tout au tout. Elle avait accepté pour une somme médiocre de transporte un homme qui valait 100 millions ? Il suffisait maintenant à la jeune femme d’attendre que le bateau des parents arrive et de récupérer la rançon en échange de la bestiole… Mais qui était cet ennemi dont elle ne savait rien ? Cela s’annonçait compliqué mais le jeu en valait la chandelle.
A suivre.
Elle avait justement entendu parler d’un type qui refilait des petits boulots à la sauvette et qui payait plutôt bien pour ça. Il se trouvait au 5 de la rue Garouz. C’est donc là que se rendit Zaye ! La porte n’était pas des plus rassurantes, en fer, avec des traces blanches comme si quelqu’un l’avait griffé. Mais bon, la jeune femme n’était pas du genre trouillarde et ce genre de détail avait plutôt tendance à l’exciter. Elle tambourina donc gracieusement la porte et attendu qu’on lui ouvre.
« Mot de passe ?! »
Quoi ? Un mot de passe ? Mais elle n’en avait absolument aucune idée… Elle se mit donc à réfléchir, réfléchir et encore réfléchir mais c’était impossible. Comment la butineuse ne pouvait pas être au courant de ce mot de passe ? Elle qui était censé tout savoir…
« Il n’y en a pas … »
« Bien vu ma p’tite fleur des champs ! Aller, rentre donc ! »
La porte s’ouvrit finalement et laissa apparaitre un homme avec un chapeau melon et des bottes de cuir… Sa bouche était masquée et il semblait avoir un œil de verre. Bzzzzzzzzzzzz, tout ce qu’aimait Zaye. Elle rentra donc sans attendre et lui expliqua sa situation.
« Hmmm… J’ai bien un p’tit truc pour toi, mais j’suis pas sûr qu’un p’tit bout d’femme com’toi puisse y arriver ! »
« :Bzz : Sortez de ma manche, montrons lui qu’on en a sous le capot ! :Bzz : »
Une nuée d’abeille fit alors son apparition et ne manqua pas de surprendre l’homme auquel on ne donnait d’ailleurs pas d’âge.
« Oh.. Et bien, on peut toujours essayer mais t’as intérêt à gérer, mon employeur est du genre pas commode avec ceux qui échouent. J’ai c’te p’tite caisse là à livrer à un p’tit bourgeois au 42 Rue Balzamine. J’compte sur toi, je te paierai bien une fois la mission effectuée ! »
C’est tout ? Livrer une simple caisse ? Et il faisait tout un cinéma pour ça ? Un enfant de sept ans aurait été capable de le faire. Zaye esquissa un léger sourire et saisit la caisse avant de se mettre en route sans même écouter les quelques précautions que lui avait mentionné l’homme.
Livrer une caisse, non mais il l’avait pris pour une débutante. Enfin bon, ça serait de l’argent facilement gagné, pas de quoi se plaindre. Tout en marchant, Zaye chantonnait des chants bzibziques pour rendre le trajet plus attrayant jusqu’à ce qu’elle entende un petit couinement. Coup d’œil à gauche, coup d’œil à droit. Rien … Un deuxième couinement et la caisse lui échappa des mains. Pourquoi elle tremblait comme ça ? Mais qui avait-il donc dans cette caisse ?! Se pourrait-il que ce soit si dangereux que ça ? Quoi qu’il en soit, elle devait livrer le colis au plus vite. Elle avança donc les bras pour le ramasser mais c’est alors que deux petites jambes apparurent alors et que aussi surprenant que cela puisse être, la caisse se fit la malle ! La jeune femme se mit alors à lui courir après mais c’est qu’elle était rapide cette fichue livraison et où allait-elle comme ça ? Et bon sang elle avait des jambes !
Un peu déboussolée, Zaye continua cette course poursuite avant de se faire littéralement distancer par la caisse… Quel échec. La jeune femme était à la fois rouge de honte et verte de colère. Le mélange des deux donnait même une nouvelle couleur ! Il avait bien précisé que l’employeur n’était pas très commode avec ceux qui échouaient… La butineuse avait alors deux choix : s’enfuir, ou partir à la recherche d’une caisse… La situation était tellement improbable qu’il fallait que Zaye éclaircisse ce mystère.
« :Bzz : C’est l’heure de chercher mes jolies, et lorsque vous avez trouvé, emprisonnez cette choses. :bzz : »
L’essaim se sépara et se mit en cherche du paquet bijambiste. Au bout de quelque minute, l’une des abeilles prévint Zaye que l’objet se trouvait dans une rue près du port et d’autre caisse d’exportation mais que les couinements de la chose avaient mis la puce à l’oreille des abeilles. La jeune femme se rendit sur les lieux. La caisse était à terre, les deux jambes gigotant dans le vide et l’essaim de nouveau constitué au-dessus de la bête. Il était temps de révéler ce phénomène étrange. Zaye ouvrit la boite et se retrouva nez à nez avec un homme miniature.
« Lâchez-moiiiii ! »
Il avait une voix… Et quelle voix ! Un son aussi aigu et strident qu’un ultrason, rien de très agréable.
« T’es quoi toi ? »
« Ça se voit pas grosse débile ! J’suis un humain ! »
« :bzzz : Méridice, pique le ! :bzzz : »
A vrai dire, ça ne se voyait pas tant que ça...
« Aiiie ! Mais je rêve où tu leur dis quoi faire ? »
« Pourquoi je dois t’amener à l’autre bout de la ville ?! »
« Oh non, je veux pas retourner chez Garoul… S’il vous plaît. »
« Je ne suis pas du genre sentimentale, je vais t’y emmener et empocher les berrys associés. »
« C’est des berrys que tu veux ? En tant que fils de roi, je sais que ça a bien peu de valeur.»
Cette petite chose serait un prince ? Si ce qu’il disait était vrai, il y aurait moyen de se faire en effet pas mal d’argent… Mais la jeune femme n’avait aucune preuve, et puis pas l’envie de se mettre à dos l’inconnu pas commode. Elle saisit donc l’homme par les pieds et continua sa route.
« Non non ! C’est un piège ! Garoul recueille des gens pour en faire des esclaves ! Nul doute qu’il va te séquestrer et te revendre ! »
« Tu as toujours été petit ? Pourquoi il s’intéresse à toi ? »
« Mais c’est un fou ! C’est lui qui m’a rendu si petit, il est bien trop puissant. Il veut obtenir une rançon de la part de mes parents et ils sont en route pour venir mais je ne veux pas qu’ils payent autant de berrys pour moi ! »
« Combien doivent-ils payer ? »
« 100 millions… »
Le regard de la jeune femme changea du tout au tout. Elle avait accepté pour une somme médiocre de transporte un homme qui valait 100 millions ? Il suffisait maintenant à la jeune femme d’attendre que le bateau des parents arrive et de récupérer la rançon en échange de la bestiole… Mais qui était cet ennemi dont elle ne savait rien ? Cela s’annonçait compliqué mais le jeu en valait la chandelle.
A suivre.
Informations IRL
• Prénom : God
• Age : On ne compte plus les années qui passent.. (19 ans)
• Aime : L'alcool, la fête et la noix de coco
• N'aime pas : L'ennui
• Personnage préféré de One Piece : Perona
• Caractère : Flemmard de répondre à cette rubrique
• Fait du RP depuis : Compliqué
• Disponibilité approximative : Ca dépend
• Comment avez-vous connu le forum ? Top site
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Dernière édition par Zaye Devrel le Ven 27 Jan 2017 - 18:53, édité 8 fois