Cette fois, en plus de se sentir totalement démuni, Le sergent Druma se retrouva totalement dépassé par les événements. Il avait déjà vu voler un lapin en armure et s'écraser devant lui et le Lieutenant Blacrow, mais une porte blindée utilisée comme balle de tennis, ça, jamais ! Un pirate déboule dans son champ de vision et a propulsé sa porte qui aurait du le maintenir enfermé vers le gentil monsieur au doigt de métal et aux habits classes. Ce dernier homme au cheveux verts l'avait renvoyé d'une retournée acrobatique, et ce sans même la toucher ; à distance. C'est le plafond qui la reçut de plein fouet et qui, pour afficher sa colère d'être ainsi tourmenté, la renvoya vers le sol dans un fracas étonnamment bruyant au vu des explosions dont le QG était la cible. Mais elle fut également accompagné par un éboulement des murs et du plafond qui eut pour effet de séparer les marins et la majorité des évadés sans noms des trois loufoques.
Imaginez maintenant, dans le même sac, des hommes ennemis qui se regardent incrédules, soumis aux actes de seuls trois hommes. Imaginez que l'un des deux groupes soit couvert de balafres en tout genre, de blessures de guerre bien impressionnantes ainsi que de multiples tâches de sang. Maintenant, visualisez l'autre groupe, sept pauvres types habillés de bleu, quelques armes dérisoires dans les mains et une mine livide. Maintenant que le background est posé, les paris sont ouverts !
Il y eu un blanc de quelques secondes tandis que derrière le tas de débris, la bataille faisait déjà rage. Il fallut juste le temps aux deux équipes de se remettre de leurs émotions et de réaliser dans quelle position ils étaient. Puis, reprenant conscience qu'il étaient là pour s'échapper, les pirates se mirent à rire et à regarder les sept pauvres marins d'un œil lubrique. Ils étaient 30. Les marins échangèrent des regards mortifiés. Ils avaient comptés sur le soutien de l'homme aux cheveux verts. Soudain, l'homme du fond-gauche avec son escargophone s'écroula, la bave aux lèvres, évanoui pour ne pas connaître la suite de l'histoire. Ce fut le signal que les pirates interprétèrent comme celui de la charge. Les marins, braves et courageux, sûrement conscience que leur dernier jour était arrivé, s'armèrent et se préparèrent. Sauf le Sergent Druma qui prit une inspiration démesurée et hurla à plein poumons :
-Comment s'appelait le capitaine Crochet avant ? Le Capitaine Main !
Le cri jeta un froid qui paralysa les pirates ivres de liberté. Comment une telle blague pouvait-elle être si nulle ? Mais le Sergent ne prit aucunement la peine de vérifier si son auditoire était réceptif. Il hurla alors à ses hommes l'ordre d'attaquer. La contre-attaque fut insoupçonnée et désarçonna les forbans. Fusils à l'épaule, deux marins abattirent cinq pirates qui s’effondrèrent tandis que les quatre autre marins dont le Sergent Druma s'élancèrent pour trancher dans le tas de hors-la-loi. En quelques secondes, dix hommes côté pirates furent abattus, et ce avant qu'ils n'aient repris leurs esprits. Assez pour réajuster un minimum les forces en présence. Mais ils étaient tout de même une vingtaine contre six... et un escargophone. Bonne chance Sergent Druma. Et ne meurs pas surtout !
Imaginez maintenant, dans le même sac, des hommes ennemis qui se regardent incrédules, soumis aux actes de seuls trois hommes. Imaginez que l'un des deux groupes soit couvert de balafres en tout genre, de blessures de guerre bien impressionnantes ainsi que de multiples tâches de sang. Maintenant, visualisez l'autre groupe, sept pauvres types habillés de bleu, quelques armes dérisoires dans les mains et une mine livide. Maintenant que le background est posé, les paris sont ouverts !
Il y eu un blanc de quelques secondes tandis que derrière le tas de débris, la bataille faisait déjà rage. Il fallut juste le temps aux deux équipes de se remettre de leurs émotions et de réaliser dans quelle position ils étaient. Puis, reprenant conscience qu'il étaient là pour s'échapper, les pirates se mirent à rire et à regarder les sept pauvres marins d'un œil lubrique. Ils étaient 30. Les marins échangèrent des regards mortifiés. Ils avaient comptés sur le soutien de l'homme aux cheveux verts. Soudain, l'homme du fond-gauche avec son escargophone s'écroula, la bave aux lèvres, évanoui pour ne pas connaître la suite de l'histoire. Ce fut le signal que les pirates interprétèrent comme celui de la charge. Les marins, braves et courageux, sûrement conscience que leur dernier jour était arrivé, s'armèrent et se préparèrent. Sauf le Sergent Druma qui prit une inspiration démesurée et hurla à plein poumons :
-Comment s'appelait le capitaine Crochet avant ? Le Capitaine Main !
Le cri jeta un froid qui paralysa les pirates ivres de liberté. Comment une telle blague pouvait-elle être si nulle ? Mais le Sergent ne prit aucunement la peine de vérifier si son auditoire était réceptif. Il hurla alors à ses hommes l'ordre d'attaquer. La contre-attaque fut insoupçonnée et désarçonna les forbans. Fusils à l'épaule, deux marins abattirent cinq pirates qui s’effondrèrent tandis que les quatre autre marins dont le Sergent Druma s'élancèrent pour trancher dans le tas de hors-la-loi. En quelques secondes, dix hommes côté pirates furent abattus, et ce avant qu'ils n'aient repris leurs esprits. Assez pour réajuster un minimum les forces en présence. Mais ils étaient tout de même une vingtaine contre six... et un escargophone. Bonne chance Sergent Druma. Et ne meurs pas surtout !
- Spoiler:
- Shimika, si tu arrives avant la fin, tu es considérée comme dans le groupe de pirates. Flint, ben, tu arrives d'où tu veux. =)