Emmenés par le destin, nous arrivâmes à
Une île bercée par les flots avec fracas.
Le cœur battant et enivré par l’alcool
Acheté plus tôt, nous nous arrimâmes
Le sable mouillé semblait être une colle,
Mais il faut plus pour que nous nous découragions.
Nous traversâmes la ville avec un style coutumier
Sans déranger le peuple endetté.
Nous rentrâmes dans un bar délabré,
Là bas, nouvelle venant, nous
Apprîmes que la collecte de choux
Avait commencé et que le travail était
Grâcement payé et sentait
Une occasion de s’enrichir,
Sans vraiment souffrir
Par d’immondes travaux
De chasseurs de prime
Sans raisonnement moreaux.
Sans vraiment savoir à quoi ça rime
Sosu et moi commençâmes notre périple
Nous menant vers un cycle
Qui dura quelque mois, une monotonie s’installa.
Le travail laissait place au sommeil
Dans d’étroite couche d’oseille
Le lendemain, c’est avec bonheur et
Soulagement que nous reprenions notre
Travail là où nous l’avions laissé.
« Un jour, très bientôt, votre
Labeur sera valorisé et quand
Cela arrivera vous serrez content »
Telle sont les mots
Distribué par notre employeur.
Jusqu’à ce que l’eau
Anéantisse tout le travail formé jusqu’au
Début. Ne pouvant être payé en temps et en heure
Mercenaires dans l’âme, nous partîmes
Emmenant la part de l’argent du directeur
Qui non sans mal eu quelque problème
A restauré son trésor grâce à sa ferme
Mais ne réussis jamais à retrouver.
Sa fortune d’antan ne fut jamais
Recollecté et se dernier creva dans son pré
Seul comme un paria. Qui se serait
Un jour suicidé par le poids de la solitude.
Les deux frères content de leur rendement
S’en furent acheté des équipements dans le sud,
Qui leur servirent pour la suite.
Pour que plus jamais ils ne soient trompés de la sorte
Et que les informations ne fuitent,
Ces gars eurent une adresse forte
Une île bercée par les flots avec fracas.
Le cœur battant et enivré par l’alcool
Acheté plus tôt, nous nous arrimâmes
Le sable mouillé semblait être une colle,
Mais il faut plus pour que nous nous découragions.
Nous traversâmes la ville avec un style coutumier
Sans déranger le peuple endetté.
Nous rentrâmes dans un bar délabré,
Là bas, nouvelle venant, nous
Apprîmes que la collecte de choux
Avait commencé et que le travail était
Grâcement payé et sentait
Une occasion de s’enrichir,
Sans vraiment souffrir
Par d’immondes travaux
De chasseurs de prime
Sans raisonnement moreaux.
Sans vraiment savoir à quoi ça rime
Sosu et moi commençâmes notre périple
Nous menant vers un cycle
Qui dura quelque mois, une monotonie s’installa.
Le travail laissait place au sommeil
Dans d’étroite couche d’oseille
Le lendemain, c’est avec bonheur et
Soulagement que nous reprenions notre
Travail là où nous l’avions laissé.
« Un jour, très bientôt, votre
Labeur sera valorisé et quand
Cela arrivera vous serrez content »
Telle sont les mots
Distribué par notre employeur.
Jusqu’à ce que l’eau
Anéantisse tout le travail formé jusqu’au
Début. Ne pouvant être payé en temps et en heure
Mercenaires dans l’âme, nous partîmes
Emmenant la part de l’argent du directeur
Qui non sans mal eu quelque problème
A restauré son trésor grâce à sa ferme
Mais ne réussis jamais à retrouver.
Sa fortune d’antan ne fut jamais
Recollecté et se dernier creva dans son pré
Seul comme un paria. Qui se serait
Un jour suicidé par le poids de la solitude.
Les deux frères content de leur rendement
S’en furent acheté des équipements dans le sud,
Qui leur servirent pour la suite.
Pour que plus jamais ils ne soient trompés de la sorte
Et que les informations ne fuitent,
Ces gars eurent une adresse forte