Babylone Fate
• Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu.
• Age : 16 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier :
• Groupe : Révolution, Branche Guerre
• Age : 16 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier :
• Groupe : Révolution, Branche Guerre
• But : Étendre le système social d'Aeden partout
• Équipement : Des babioles sans intérêt.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Le silence est d'or.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myo
Codes du règlement :
• Équipement : Des babioles sans intérêt.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Le silence est d'or.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myo
Codes du règlement :
Description Physique
Tous ceux qui l'ont vu grandir la surnomment affectueusement "Baby face". Malgré l'adolescence bien entamée déjà, Babylone a su garder son visage rond et poupon d'enfant. Traits que soulignent ses longs cheveux bruns attachés en deux couettes de chaque côté. La frange est elle aussi un symbole de l'enfance qu'elle a su garder. Elle aime les anneaux, en porte deux en inox aux oreilles tandis que deux autres ornent ses couettes.
Depuis ses premiers signes d'adolescence, sa pieuse mère lui a offert un ruban d'étoffe terminé par un nœud papillon, leur version de la bague de virginité qui a cours dans certaines parties du monde. Babylone la porte constamment depuis lors et plus tard, elle découvrira avec amusement que ça s'appelle un "je-ne-baise-plus".
Bustier, minijupe par dessus un collant, botte en cuir à hauts talons sont ses accoutrements favoris.
Fille de forgeron, elle revêt souvent des gantelets ou des brassards d'avant-bras. Héritière par sa mère des arcanes du clan Fate nécessitant l'utilisation d'un instrument de musique pour apprivoiser et se faire obéir des abeilles, elle a opté pour le luth. Le sien, aussi grand que son mètre soixante-dix est devenu indissociable de sa silhouette. Le revêtement dorsal en acier trempé ajouté au fait que l'instrument sert de niche à sa ruche -soit des milliers d'abeilles- le rend très lourd à porter, plus de trente kilos net que la jeune femme trimbale. Cet entrainement malgré elle l'a rendue musclée et a développé sa force.
Depuis ses premiers signes d'adolescence, sa pieuse mère lui a offert un ruban d'étoffe terminé par un nœud papillon, leur version de la bague de virginité qui a cours dans certaines parties du monde. Babylone la porte constamment depuis lors et plus tard, elle découvrira avec amusement que ça s'appelle un "je-ne-baise-plus".
Bustier, minijupe par dessus un collant, botte en cuir à hauts talons sont ses accoutrements favoris.
Fille de forgeron, elle revêt souvent des gantelets ou des brassards d'avant-bras. Héritière par sa mère des arcanes du clan Fate nécessitant l'utilisation d'un instrument de musique pour apprivoiser et se faire obéir des abeilles, elle a opté pour le luth. Le sien, aussi grand que son mètre soixante-dix est devenu indissociable de sa silhouette. Le revêtement dorsal en acier trempé ajouté au fait que l'instrument sert de niche à sa ruche -soit des milliers d'abeilles- le rend très lourd à porter, plus de trente kilos net que la jeune femme trimbale. Cet entrainement malgré elle l'a rendue musclée et a développé sa force.
Description Psychologique
Passionnée, c'est sans doute le mot qui décrirait le mieux Babylone. Chaque action qu'elle est amenée à entreprendre suinte d'un amour, d'un engagement démesuré qui à chaque fois, occulte son bon sens. "Va m'acheter une banane au marché Babylone". Elle vous ramènera une bananeraie toute entière. "Cette ville est infiltrée par un révolutionnaire, localisez-le et neutralisez-le. SANS DOMMAGE COLLATÉRAL, BABYLONE !". Une heure après, l'instructeur et les autres participants seront sans doute évacués vers l’hôpital le plus proche, touchés par une quelconque bombe qui aura aussi rasé le terrain d'entrainement. Elle ne sait pas faire de demi-mesure malgré qu'elle s'y essaye avec passion.
Cette passion se traduit aussi par son engagement sans fin à la Cause. Débarquée sur Aeden à six ans, elle n'a que des souvenirs diffus du monde extérieur. Mais le devoir de mémoire a fini de la formater à travers les récits de ses parents et des autres Aedeniens. Tous ont décrit le même monde inégalitaire, le pouvoir détenu par une petite oligarchie, l'injustice des mains même de la Justice. Entrainée dans cette vision du monde, elle s'est radicalisée et n'aspire qu'à une chose : imposer la paix d'Aeden, véritable symbole du bienfondé de la Révolution partout dans le monde. Elle pense en outre que tous ne peuvent être sauvés et qu'en tant que soldat, leur rôle, son rôle, est de mourir pour servir la Cause. Aussi, elle n'hésitera pas à abandonner des camarades à la mort ou pire, tant qu'elle jugera que la Révolution y gagnera. Dans le même registre, les Civils qui soutiennent et paient des impôts au Gouvernement sont presque aussi coupables que ledit Gouvernement en question selon elle. Elle ne conçoit et n'intègre pas le concept d'innocence ; pour elle, chaque humain a le devoir de se rebeller contre l'injustice. La subir et se capitonner derrière la sécurité, la peur, la famille n'est que signe de lâcheté donc de tolérance.
Tous ces traits de caractères ne sont pas discernables à travers le sourire et la jovialité permanente qu'elle affiche. Hors combat et situation de crise, elle est espiègle, hyperactive, c'est une véritable pile électrique jamais à court d'énergie. De ce fait, s'il y a bien une chose qu'elle déteste autant que le Gouvernement, c'est le mot "patience". Elle en a une sainte horreur et a toujours eu zéro pointé dans les cours d'infiltration ou de planque. Faut qu'elle agisse, c'est dans ses gènes, attendre de voir pousser le gazon l'horripile. Son besoin d'action la rend souvent hautaine et odieuse si elle a l'impression de perdre son temps. Bien qu'elle soit la plupart du temps aveuglée par l'impulsivité, Babylone est capable de tactique mais la stratégie à long terme n'est pas de son domaine, elle le laisse volontiers aux autres. Comme elle le dit : "il y a ceux qui cassent des trucs et ceux qui désignent les trucs à casser. Je suis de la première."
Sans être naïve, elle n'est pas de nature suspicieuse et accorde de bon gré le bénéfice du doute. Mais face à la trahison, elle aussi intraitable que la "Révolution Absolue" qui constitue sa devise personnelle. La musique fait partie intégrante de sa vie mais elle n'en a aucune passion particulière, se contentant de la considérer comme une arme. Son phrasé reste un de ses traits les plus reconnaissables puisqu'elle utilise depuis l'enfance l'anastrophe objet+sujet+verbe.
Biographie
L'histoire de Babylone n'est qu'une banale suite de mini-aventures sans grand intérêt.
Originaire du Nouveau Monde, sa tribu émigra sur Aeden en quête du paradis terrestre après des années d'errance et de guerre de confession. Son histoire lui fut narrée par ses parents qui tenaient à ce qu'elle sache d'où elle vient et pour qu'elle œuvre dans la voie qu'ils avaient choisi pour elle.
- L'entrainement :
Le Service, voilà le chemin tout tracé auquel ses parents la prédestinaient. Ils voyaient déjà leur fille à la tête de la vague qui créera un renouveau dans ce monde. Une nouvelle ère où le Gouvernement et ses injustices, où l’oligarchie et ses méfaits, où les guerres pour un oui ou pour un non auront enfin une fin. Une ère où l'Humanité sera plus unie qu'elle ne le fût jamais dans son histoire. C'est dans cette optique que, bien avant l'avènement du Décret, dès qu'elle sut marcher et parler, ils l'initièrent à des pratiquent destinées à développer ses talents latents et à lui inculquer les bases de certaines techniques de combats.
Dans l'une des grandes forges d'Aeden tenue par son père Nabu Bellus, elle travailla, ce qui lui permit de s'endurcir et de développer une étonnante force physique. Elle y mettait de l'entrain Babylone, sans une once de rébellion, au contraire. Elle était avide d'apprendre et de faire ses preuves. Un peu trop d'ailleurs et nombre de fois, elle incendia par mégarde l'atelier. A l'abri des regards, dans la cave de leur propriété en lisière de forêt, elle apprit des rudiments de maniement du katana et de la défense au corps à corps. Elle s'y montra douée, plus parce que ces exercices en particulier étaient un défouloir pour son hyperactivité que par véritable sens du combat.
Durant la même période, elle reçut de sa mère Akkadie Fate -oui, elle portait le nom de famille de sa mère- des cours de musique et d'apiculture. En apparence juste parce que la vieille femme au visage strié de rides si profondes qu'on dirait des cicatrices était dépositaire d'un art secret consistant à domestiquer des abeilles par le biais de la musique. C'est ainsi qu'elle se fit apicultrice sur Aeden, dissimulant ses véritables capacités sur cette ile où tout le monde n'aspirait au final qu'à la paix, loin des tentations de combats et des guerres qu'ils laissèrent derrière eux. Le côté passionné de Babylone fut mis à rude épreuve, ses séances de musique étant une véritable torture à cause de l'immobilisme et du manque d'action. Des heures et des heures à apprendre des notes, à gribouiller, à s'user les doigts sur différents instruments pour finalement jeter son dévolu sur un luth. La manipulation des abeilles fut elle plus amusante parce qu'il y avait du défi, le plus basique étant d'éviter les piqures multiples, ce à quoi Babylone échoua les premières années. C'est ainsi que tout naturellement, elle lâcha un essaim sur Rivia en 1622.
Les années passèrent ainsi et Babylone s'endurcit davantage. Séances après séances, jour après jour, elle épura son style, devint moins gauche, apprit à contrôler sa force et à maitriser l'arcane ancestrale des Fate.
- Le Décret :
Elle était prête à servir, Babylone. Trop jeune peut-être mais motivée comme cent. Tout s'accéléra en 1625 quand le haut commandement décida de faire d'Aeden le nouveau QG de la Révolution sur les Blues. Comme tous les Aedenien, les Fate participèrent avec joie à l'édification du camp Destrier, du chantier naval et de toutes les infrastructures nécessaires au nouveau projet. Babylone s’inscrivit au Camp, espérant ainsi faire partie de la toute première promotion de révolutionnaires cent pour cent Aedenien.
ONE PIECE REQUIEM ©