WALLMAN GATZ
• Pseudonyme : L'implacable
• Age : 32 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Agent
• Groupe : Agent du CP4
• Age : 32 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Agent
• Groupe : Agent du CP4
• But : Avoir un maximum de pouvoir
• Équipement : Une valise contenant des outils de torture
• Parrain : Nope
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myo <3
Codes du règlement :
• Équipement : Une valise contenant des outils de torture
• Parrain : Nope
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myo <3
Codes du règlement :
Description Physique
Gatz Wallman est un homme grand, d'un bon mètre 86. C'est un homme corpulent, pesant une centaine de kilos. Au vu de sa taille et de son poids, lorsqu'on est devant lui, on est souvent intimidé. Enfin cela marche surtout pour les personnes facilement impressionnables.
Lorsqu'on le voit, la première chose frappante, outre ses dimensions, c'est son masque. Il porte continuellement un masque. Ce masque blanc, dans lequel trois trous sont creusés. Deux pour les yeux, un pour le nez. Il le porte de manière à laisser ces trois trous dans le noir, afin de se rendre plus imposant.
Son masque est une part importante de sa personnalité. Il le porte, partout, dans toutes situations. C'est typiquement son signe distinctif.
Plus en bas, il porte un costume trois pièces, comprenant un veston, un pantalon et un gilet, ainsi qu'une cravate. Le veston est blanc, et des boutons de couleur doré servent à le refermer. Il ressemble plus ou moins à une veste de cuisine au niveau de la manière de le fermer. Pour le pantalon, il est de la même couleur et du même tissu que le veston. Le gilet est quand à lui noir, contrastant fortement avec le reste du costume. La cravate est grise, le juste milieu entre les deux couleurs.
Wallman adore se vêtir de manière classe, vestige de son passé. Il aime les entrées spectaculaires, et soigne ses apparitions. Pour lui, l'impact visuel de ces dernières est cruciales si l'on veut faire bonne impression. Ou peur.
Il faut quand même noter qu'il a son masque depuis qu'il est rentré dans le CP4.
Lorsqu'on le voit, la première chose frappante, outre ses dimensions, c'est son masque. Il porte continuellement un masque. Ce masque blanc, dans lequel trois trous sont creusés. Deux pour les yeux, un pour le nez. Il le porte de manière à laisser ces trois trous dans le noir, afin de se rendre plus imposant.
Son masque est une part importante de sa personnalité. Il le porte, partout, dans toutes situations. C'est typiquement son signe distinctif.
Plus en bas, il porte un costume trois pièces, comprenant un veston, un pantalon et un gilet, ainsi qu'une cravate. Le veston est blanc, et des boutons de couleur doré servent à le refermer. Il ressemble plus ou moins à une veste de cuisine au niveau de la manière de le fermer. Pour le pantalon, il est de la même couleur et du même tissu que le veston. Le gilet est quand à lui noir, contrastant fortement avec le reste du costume. La cravate est grise, le juste milieu entre les deux couleurs.
Wallman adore se vêtir de manière classe, vestige de son passé. Il aime les entrées spectaculaires, et soigne ses apparitions. Pour lui, l'impact visuel de ces dernières est cruciales si l'on veut faire bonne impression. Ou peur.
Il faut quand même noter qu'il a son masque depuis qu'il est rentré dans le CP4.
Description Psychologique
Wallman est un homme sadique, et il aime tourmenter ses victimes. Pour lui, il déstabiliser un adversaire est très important dans un combat. Un fois déstabilisé, il lui est plus facile de mettre au tapis son ennemi.
Il est pragmatique et toujours concentré sur ce qu'il fait. Se pavaner dans de grands bals et dans de grandes réceptions prestigieuses est pour lui le pied. S'il adore autant tout ce qui est superficiel, c'est qu'il adore la richesse, la somptuosité et le luxe. D'ailleurs, c'est un bon vivant aimait les plaisirs terrestres.
Cet homme si superficiel adore qu'on le serve, mais il n'est pas faignant pour autant. Pour lui, on est jamais mieux servi que par soit même. Mais pour les tâches mineures telles que la vaisselle ou la paperasse, il préfère la léguer à des individus qu'il considère inférieurs à lui, ou carrément inutile.
Son principal défaut, c'est ses dérives psychopathes. Il torture parfois ses victimes, en général pour obtenir des infos, mais aussi - même si cela arrive rarement - pour le plaisir. Pour la première option, il sera largement plus enclin à torturer plutôt qu'à interroger de manière posée. Les hurlements de douleurs sont pour lui une douce mélodie dont il ne se lassera jamais.
Par ailleurs, ces dérives lui vaudront parfois quelques blâmes de la part de ses supérieurs.
Comme il est actuellement au CP4, un des CP les plus délicat, il essaie de se maîtriser au maximum, car il traite avec de hauts-gradés de la Marine, ce qui rend sa tâche plus ardue et difficile. Une enquête sur un haut gradé, c'est comme marcher sur des œufs. Si on y va à l'aveugle, on se casse la gueule.
Il est pragmatique et toujours concentré sur ce qu'il fait. Se pavaner dans de grands bals et dans de grandes réceptions prestigieuses est pour lui le pied. S'il adore autant tout ce qui est superficiel, c'est qu'il adore la richesse, la somptuosité et le luxe. D'ailleurs, c'est un bon vivant aimait les plaisirs terrestres.
Cet homme si superficiel adore qu'on le serve, mais il n'est pas faignant pour autant. Pour lui, on est jamais mieux servi que par soit même. Mais pour les tâches mineures telles que la vaisselle ou la paperasse, il préfère la léguer à des individus qu'il considère inférieurs à lui, ou carrément inutile.
Son principal défaut, c'est ses dérives psychopathes. Il torture parfois ses victimes, en général pour obtenir des infos, mais aussi - même si cela arrive rarement - pour le plaisir. Pour la première option, il sera largement plus enclin à torturer plutôt qu'à interroger de manière posée. Les hurlements de douleurs sont pour lui une douce mélodie dont il ne se lassera jamais.
Par ailleurs, ces dérives lui vaudront parfois quelques blâmes de la part de ses supérieurs.
Comme il est actuellement au CP4, un des CP les plus délicat, il essaie de se maîtriser au maximum, car il traite avec de hauts-gradés de la Marine, ce qui rend sa tâche plus ardue et difficile. Une enquête sur un haut gradé, c'est comme marcher sur des œufs. Si on y va à l'aveugle, on se casse la gueule.
Biographie
Wallman, avant d'être un agent du CP4, était un mafieux. Un criminel notoire, mais plus que ça. C'était un des chef d'un réseau mafieux important de la mafia de Manshon. Un des chefs de la famille Tempiesta.
Enfin, il n'appartenait pas vraiment à la famille proprement dites. Dire que c'était un des chef est peu être un peu disproportionné. C'était un subordonné, mais il avait malgré tout une bonne panoplie de larbins pour le servir.
Il avait commencé en tant que simple homme de main, tout en bas de l'échelle. Il est originaire de Zaun, mais il est parti, avec sa famille, vivre à Manshon, où le cadre de vie était réputé meilleur que celui de Zaun, où expérience chimique ratées et test sur des personnes enlevées sont monnaies courantes.
Mais ce n'était qu'en apparence.
Sa famille, n'ayant que peu de moyens, s'installa dans les quartiers pauvres de l'île. La mafieux était puissante là-bas, et de fil en aiguille, Wallman entra chez les Tempiesta, en tant qu'homme de main. Il faisait cela, au départ, dans le but d'apporter un peu plus de moyens à sa famille, mais aussi à lui-même, car il rêvait de richesses, qui étaient à ce moment-là totalement inaccessible à sa famille.
Il devait donc gérer l'école et son nouveau « métier ». Il était alors âgé de dix-sept ans.
Gatz continua ce petit boulot pendant trois ans, en tant que sous-fifre, le temps de finir ses études.
Ces dernières finies, ne voyant que son futur dans la mafia, il amplifia ses efforts afin de monter en grade. Cela dura six ans. Ses efforts furent récompensés au bout d'un dur labeur, et puis il s’assit sur ses acquis. Il avait une bonne centaine de larbins sous ses ordres, et il les dirigea à la baguette, tel un chef d'orchestre.
Il s'habitua avec le luxe offert par sa place. Sa position lui plaisait et il resta à sa place, sans grande volonté de gravir encore plus les échelons. Puis vint la crise de la venue de Gila. Il était alors âgé de trente printemps, et il était à son poste depuis trois ans.
Il était donc obligé de combattre avec les Tempiesta. Mais Wallman voyait déjà de loin le bain de sang qu'il allait y avoir. Au vu des forces en présence, il sentait que Manshon était une bombe à retardement. Un sous-amiral et autant de marines, ce n'était pas bon. Surtout pour les mafieux.
Il décida alors de quitter l'île en secret, en le cachant à ses supérieurs et à ses subordonnés. Gatz n'était pas fier de lui, mais c'était nécessaire à sa survie. Malgré le fait qu'il contrôle pas mal d'hommes, il savait qu'il allait se faire envoyer en première ligne s'il été resté. Sa fuite était donc nécessaire à sa survie.
Il prit la route du Royaume de Bliss, île située sur South Blue. Là-bas, il était en sécurité, loin de la zone d'influence directe des Tempiesta. S'ils contrôlaient les quatre blues, ils restaient néanmoins moins puissants sur South Blue. Seulement, il avait oublié sa famille. En pensant qu'à lui, il les avait totalement oubliés. Il ne le sut pas, mais sa famille avait été tuée par les Tempiesta. Tel est le sort qu'on réserve aux traîtres de la famille.
Il fit alors sa vie sur cette île, réfléchissant constamment à trouver un but à sa vie. Il voulait cesser de devenir un hors-la-loi, car il avait appris ce qui s'était passé sur Manshon. Un véritable massacre, des morts par milliers, et la désorganisation des Sept familles.
Avec un passé aussi hors-la-loi, comment a-t-il fait pour passer du côté du Gouvernement Mondial ?
Et bien, ce but qu'il cherchait, il est venu jusqu'à lui. Enfin il est venu à côté de lui, et c'est lui qui a fait le premier pas.
En fait, il faisait petits boulots sur petits boulots, parfois illégaux, parfois non. C'est alors qu'un beau jour, alors qu'il écumait une énième taverne à la recherche du bonheur dans une verre, rêvant d'une vie autre que la sienne, une vie noyée dans l'alcool et dans une descente aux enfers qui penchait dangereusement, un homme entra.
La taverne n'était pas si mal famée que ça. Elle était en centre-ville, c'était loin d'être la pire du secteur. Les marins y traînaient parfois, et ce jour là il y avait un haut gradé. Un lieutenant de la Marine pour être exact.
Alors que Wallman descendait sa deuxième bière, il assista à un scène... pour le moins rare.
En effet, deux hommes rentrèrent dans la taverne, se dirigèrent directement vers le lieutenant en question, et le plaquèrent au sol d'une manière profondément violente. Sans un mot, ils l’assommèrent et le menottèrent.
Gatz les regardèrent, sans cligner des yeux. Voir un gradé de la Marine se faire menotté, c'est sûr que c'est pas vraiment commun. L'arroseur arrosé. Ça l'amusa. Pour une fois qu'il riait de bon cœur, il voulait savoir pourquoi. Il marcha vers les deux individus, qui se dirigeait vers la sortie du bar, toujours sans parler. Ils traînaient le lieutenant à deux en le tenant chacun par une épaule.
Il choisit de les suivre au lieu de les interpeller, comme ça, car il savait qu'il n'aurait pas de réponses, ou des ennuis.
Au vu de l'attitude des deux gars qui traînaient le lieutenant, il déduisit que c'était sûrement des types de la Marine, ou quelque chose comme ça. Bref, des types habilités à faire la justice.
- Hey, les gars.
Il les interpella dans une ruelle. Ils se retournèrent, et jetant le pauvre lieutenant par terre.
- Qu'est-ce que tu nous veux ?
- Tu cherches quoi ?
- J'aimerai savoir pourquoi vous l'avez embarqué.
- Ça te regarde pas.
- Circule.
- Nan mais les mecs...
Les effets de l'alcool lui montant au cerveau, il avait du mal à rester stable.
- Vous comprenez pas... Ça m'a trop fait rire votre petit cinéma là... Et j'aimerai savoir pourquoi vous avez fait ça.
- Il est bourré, on est d'accord ?
- Ouaip.
- Je suis là les mecs hein...
- Bon bah on a rien à craindre de lui.
- On te l'a déjà dit : circule ou ça ira mal.
- Mais les mecs... répondez au moins...
- Il est collant là.
- Ouais. Bon pour te répondre, il a fait des choses mauvaises, et c'est direction la prison pour lui.
- Ah et...
- Quoi ? T'a eu ta réponse, alors arrête ! cria l'homme.
- Nan mais...
- Roh, ferme la. On y va.
Ils se retournèrent et virent que le lieutenant courait dans la ruelle. Problème : il était déjà loin.
- Mais il est sérieux lui là ?
- Mais tu te rends compte de ce que t'as fait ?!
- Plus de temps à perdre, on y va !
Les deux hommes partirent à la poursuite du prisonnier qui s'était échappé.
- Sont cons... Il va les semé sans problèmes... La ville est si grande... Rah, ils sont tellement sous-doués. Ça me rappelle mes anciens hommes tiens. Des incapables.
Il décida alors d'attraper le lieutenant. Il était salement amoché, et sans armes.
*Ça sera facile de le récupérer.* pensa Wallman.
Il se dirigea alors vers le port de Portgentil, la ville sur laquelle il était.
*C'est un marine, et il est recherché par.. bah la Marine. C'est donc un traître. Il ne va pas rester sur une île où il y a deux divisions qui le cherchent. Il va chercher à partir, il va donc lui falloir une embarcation.* réfléchit Gatz.
Il patrouilla alors, tout en cuvant, surveillant chaque embarcation, dévisageant chaque passant.
Et puis il le trouva.
Il avait beau être un lieutenant, il n'était pas très doué. Son air était craintif, et il s'était débarrassé de ses habits de marine, les troquant contre un grand manteau à capuche.
Ni une, ni deux, Wallman se plaça derrière lui, et lui mis une grosse droite, le faisant tomber, sous les yeux stupéfiés des badauds. Il lui écrasa le visage avec ses chaussures pleines de crasses et lui assena plusieurs coups de pieds, dans les côtes, dans le visage et dans les bijoux de famille. Le lieutenant pleurait et agonisait, ce qu'aimait Gatz.
Et plus il gémissait, plus il augmentait la cadence des coups.
- Arrête !
Il se retourna et vit les deux hommes qui l'avaient perdus. Ils haletaient, et étaient victime de la sudation, crée par une course visiblement fatigante.
- Ah, c'est vous. L'voici votre prisonnier.
- Et bien...
- Merci... sans toi, on serait dans la merde.
- Vous pouvez répondre à ma question du coup ?
Ils échangèrent un rapide regard, et se chuchotèrent à l'oreille.
- Bon. On te doit bien ça. On est du CP4.
- Le CP4 ?
- Oui. Et cet enfoiré a commis un crime, du coup on est venu l'arrêter.
- D'où notre violente altercation au bar.
- Je comprends... Dites, le CP4... c'est bien payé ?
Ils rigolèrent, et se moquèrent de Wallman. Mais il virent son air très sérieux.
- Et bien... Oui, on peut dire ça comme ça.
- Bon. C'est décidé. Je veux vous rejoindre.
- Mais t'es un rigolo toi ! Et pourquoi ça ?
- Ma vie n'est que pauvreté et saleté. Je vis dans la merde, et même si j'ai des qualités appréciables par certains, elles ne sont pas bien exploitées.
- Je vois. T'as de la famille, des affaires à prendre ?
- Rien.
- T'es sûr ?
- Oui.
- Alors on y va. Tu vas passer des tests. Si tu les réussis, peut-être que tu pourra devenir un vrai agent.
Ils rigolèrent.
- Enfin, ça, on verra.
Des semaines passèrent, et les test s’enchaînèrent. Il en réussi certains, pas tous, mais suffisamment pour rentrer officiellement dans le CP4. Il pensa que c'était sûrement le meilleur moyen pour côtoyer des milieux aisés. Son élément à lui, c'était le luxe et les grandes réceptions, deux choses que certains des hauts gradés de la Marine aimaient. S'il devait enquêter sur eux, il aurait alors à fréquenter ce type de milieu, chose qui plaisait au plus haut point à Wallman.
Mais cette joie fut interrompue lorsque Gatz sut la mort de sa famille. Il jura alors que les Tempiesta allaient lui payer le massacre de sa famille.
Ainsi, il mit un masque afin de ne plus être reconnaissable. Il était quelqu'un d'autre, une personne du bon côté selon lui.
Enfin, il n'appartenait pas vraiment à la famille proprement dites. Dire que c'était un des chef est peu être un peu disproportionné. C'était un subordonné, mais il avait malgré tout une bonne panoplie de larbins pour le servir.
Il avait commencé en tant que simple homme de main, tout en bas de l'échelle. Il est originaire de Zaun, mais il est parti, avec sa famille, vivre à Manshon, où le cadre de vie était réputé meilleur que celui de Zaun, où expérience chimique ratées et test sur des personnes enlevées sont monnaies courantes.
Mais ce n'était qu'en apparence.
Sa famille, n'ayant que peu de moyens, s'installa dans les quartiers pauvres de l'île. La mafieux était puissante là-bas, et de fil en aiguille, Wallman entra chez les Tempiesta, en tant qu'homme de main. Il faisait cela, au départ, dans le but d'apporter un peu plus de moyens à sa famille, mais aussi à lui-même, car il rêvait de richesses, qui étaient à ce moment-là totalement inaccessible à sa famille.
Il devait donc gérer l'école et son nouveau « métier ». Il était alors âgé de dix-sept ans.
Gatz continua ce petit boulot pendant trois ans, en tant que sous-fifre, le temps de finir ses études.
Ces dernières finies, ne voyant que son futur dans la mafia, il amplifia ses efforts afin de monter en grade. Cela dura six ans. Ses efforts furent récompensés au bout d'un dur labeur, et puis il s’assit sur ses acquis. Il avait une bonne centaine de larbins sous ses ordres, et il les dirigea à la baguette, tel un chef d'orchestre.
Il s'habitua avec le luxe offert par sa place. Sa position lui plaisait et il resta à sa place, sans grande volonté de gravir encore plus les échelons. Puis vint la crise de la venue de Gila. Il était alors âgé de trente printemps, et il était à son poste depuis trois ans.
Il était donc obligé de combattre avec les Tempiesta. Mais Wallman voyait déjà de loin le bain de sang qu'il allait y avoir. Au vu des forces en présence, il sentait que Manshon était une bombe à retardement. Un sous-amiral et autant de marines, ce n'était pas bon. Surtout pour les mafieux.
Il décida alors de quitter l'île en secret, en le cachant à ses supérieurs et à ses subordonnés. Gatz n'était pas fier de lui, mais c'était nécessaire à sa survie. Malgré le fait qu'il contrôle pas mal d'hommes, il savait qu'il allait se faire envoyer en première ligne s'il été resté. Sa fuite était donc nécessaire à sa survie.
Il prit la route du Royaume de Bliss, île située sur South Blue. Là-bas, il était en sécurité, loin de la zone d'influence directe des Tempiesta. S'ils contrôlaient les quatre blues, ils restaient néanmoins moins puissants sur South Blue. Seulement, il avait oublié sa famille. En pensant qu'à lui, il les avait totalement oubliés. Il ne le sut pas, mais sa famille avait été tuée par les Tempiesta. Tel est le sort qu'on réserve aux traîtres de la famille.
Il fit alors sa vie sur cette île, réfléchissant constamment à trouver un but à sa vie. Il voulait cesser de devenir un hors-la-loi, car il avait appris ce qui s'était passé sur Manshon. Un véritable massacre, des morts par milliers, et la désorganisation des Sept familles.
Avec un passé aussi hors-la-loi, comment a-t-il fait pour passer du côté du Gouvernement Mondial ?
Et bien, ce but qu'il cherchait, il est venu jusqu'à lui. Enfin il est venu à côté de lui, et c'est lui qui a fait le premier pas.
En fait, il faisait petits boulots sur petits boulots, parfois illégaux, parfois non. C'est alors qu'un beau jour, alors qu'il écumait une énième taverne à la recherche du bonheur dans une verre, rêvant d'une vie autre que la sienne, une vie noyée dans l'alcool et dans une descente aux enfers qui penchait dangereusement, un homme entra.
La taverne n'était pas si mal famée que ça. Elle était en centre-ville, c'était loin d'être la pire du secteur. Les marins y traînaient parfois, et ce jour là il y avait un haut gradé. Un lieutenant de la Marine pour être exact.
Alors que Wallman descendait sa deuxième bière, il assista à un scène... pour le moins rare.
En effet, deux hommes rentrèrent dans la taverne, se dirigèrent directement vers le lieutenant en question, et le plaquèrent au sol d'une manière profondément violente. Sans un mot, ils l’assommèrent et le menottèrent.
Gatz les regardèrent, sans cligner des yeux. Voir un gradé de la Marine se faire menotté, c'est sûr que c'est pas vraiment commun. L'arroseur arrosé. Ça l'amusa. Pour une fois qu'il riait de bon cœur, il voulait savoir pourquoi. Il marcha vers les deux individus, qui se dirigeait vers la sortie du bar, toujours sans parler. Ils traînaient le lieutenant à deux en le tenant chacun par une épaule.
Il choisit de les suivre au lieu de les interpeller, comme ça, car il savait qu'il n'aurait pas de réponses, ou des ennuis.
Au vu de l'attitude des deux gars qui traînaient le lieutenant, il déduisit que c'était sûrement des types de la Marine, ou quelque chose comme ça. Bref, des types habilités à faire la justice.
- Hey, les gars.
Il les interpella dans une ruelle. Ils se retournèrent, et jetant le pauvre lieutenant par terre.
- Qu'est-ce que tu nous veux ?
- Tu cherches quoi ?
- J'aimerai savoir pourquoi vous l'avez embarqué.
- Ça te regarde pas.
- Circule.
- Nan mais les mecs...
Les effets de l'alcool lui montant au cerveau, il avait du mal à rester stable.
- Vous comprenez pas... Ça m'a trop fait rire votre petit cinéma là... Et j'aimerai savoir pourquoi vous avez fait ça.
- Il est bourré, on est d'accord ?
- Ouaip.
- Je suis là les mecs hein...
- Bon bah on a rien à craindre de lui.
- On te l'a déjà dit : circule ou ça ira mal.
- Mais les mecs... répondez au moins...
- Il est collant là.
- Ouais. Bon pour te répondre, il a fait des choses mauvaises, et c'est direction la prison pour lui.
- Ah et...
- Quoi ? T'a eu ta réponse, alors arrête ! cria l'homme.
- Nan mais...
- Roh, ferme la. On y va.
Ils se retournèrent et virent que le lieutenant courait dans la ruelle. Problème : il était déjà loin.
- Mais il est sérieux lui là ?
- Mais tu te rends compte de ce que t'as fait ?!
- Plus de temps à perdre, on y va !
Les deux hommes partirent à la poursuite du prisonnier qui s'était échappé.
- Sont cons... Il va les semé sans problèmes... La ville est si grande... Rah, ils sont tellement sous-doués. Ça me rappelle mes anciens hommes tiens. Des incapables.
Il décida alors d'attraper le lieutenant. Il était salement amoché, et sans armes.
*Ça sera facile de le récupérer.* pensa Wallman.
Il se dirigea alors vers le port de Portgentil, la ville sur laquelle il était.
*C'est un marine, et il est recherché par.. bah la Marine. C'est donc un traître. Il ne va pas rester sur une île où il y a deux divisions qui le cherchent. Il va chercher à partir, il va donc lui falloir une embarcation.* réfléchit Gatz.
Il patrouilla alors, tout en cuvant, surveillant chaque embarcation, dévisageant chaque passant.
Et puis il le trouva.
Il avait beau être un lieutenant, il n'était pas très doué. Son air était craintif, et il s'était débarrassé de ses habits de marine, les troquant contre un grand manteau à capuche.
Ni une, ni deux, Wallman se plaça derrière lui, et lui mis une grosse droite, le faisant tomber, sous les yeux stupéfiés des badauds. Il lui écrasa le visage avec ses chaussures pleines de crasses et lui assena plusieurs coups de pieds, dans les côtes, dans le visage et dans les bijoux de famille. Le lieutenant pleurait et agonisait, ce qu'aimait Gatz.
Et plus il gémissait, plus il augmentait la cadence des coups.
- Arrête !
Il se retourna et vit les deux hommes qui l'avaient perdus. Ils haletaient, et étaient victime de la sudation, crée par une course visiblement fatigante.
- Ah, c'est vous. L'voici votre prisonnier.
- Et bien...
- Merci... sans toi, on serait dans la merde.
- Vous pouvez répondre à ma question du coup ?
Ils échangèrent un rapide regard, et se chuchotèrent à l'oreille.
- Bon. On te doit bien ça. On est du CP4.
- Le CP4 ?
- Oui. Et cet enfoiré a commis un crime, du coup on est venu l'arrêter.
- D'où notre violente altercation au bar.
- Je comprends... Dites, le CP4... c'est bien payé ?
Ils rigolèrent, et se moquèrent de Wallman. Mais il virent son air très sérieux.
- Et bien... Oui, on peut dire ça comme ça.
- Bon. C'est décidé. Je veux vous rejoindre.
- Mais t'es un rigolo toi ! Et pourquoi ça ?
- Ma vie n'est que pauvreté et saleté. Je vis dans la merde, et même si j'ai des qualités appréciables par certains, elles ne sont pas bien exploitées.
- Je vois. T'as de la famille, des affaires à prendre ?
- Rien.
- T'es sûr ?
- Oui.
- Alors on y va. Tu vas passer des tests. Si tu les réussis, peut-être que tu pourra devenir un vrai agent.
Ils rigolèrent.
- Enfin, ça, on verra.
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Des semaines passèrent, et les test s’enchaînèrent. Il en réussi certains, pas tous, mais suffisamment pour rentrer officiellement dans le CP4. Il pensa que c'était sûrement le meilleur moyen pour côtoyer des milieux aisés. Son élément à lui, c'était le luxe et les grandes réceptions, deux choses que certains des hauts gradés de la Marine aimaient. S'il devait enquêter sur eux, il aurait alors à fréquenter ce type de milieu, chose qui plaisait au plus haut point à Wallman.
Mais cette joie fut interrompue lorsque Gatz sut la mort de sa famille. Il jura alors que les Tempiesta allaient lui payer le massacre de sa famille.
Ainsi, il mit un masque afin de ne plus être reconnaissable. Il était quelqu'un d'autre, une personne du bon côté selon lui.
Test RP
Raconte nous ton évaluation psychologique pour ton entrée au CP4.
(Au fait le test rp est à la première personne, c'est un chois personnel hein ^^)
Premier jour.
Et avec lui venait les premières galères. Voilà ce qui m'attendait.
Dès mon entrée, peu de gens avaient été agréable avec moi. On me considérait comme du bétail, de la merde. Peu de gens réussissent leurs tests, alors pourquoi se montrer gentil avec des personnes qu'on ne reverra probablement jamais, et qui resterons à leur place de civil ?
Voici l'esprit des instructeurs qui étaient chargés de me faire passer les tests, à moi et d'autres personnes.
L'évaluation psychologique.
Je me rappelle mon entrée dans cette petite salle où se trouvait un psychologue. On s'asseyait sur une chaise rudimentaire, toute dure, loin d'être agréable, tout comme cet interrogatoire masqué en simple évaluation psychologique. Et puis la série de questions commença, sans même un bonjour, sans même un sourire.
- Avez vous déjà tué une personne de vos propres mains?
- Oui.
- Combien ?
- Plusieurs dizaines.
- Dans quels cadres ?
- Professionnels.
- Quelle profession ?
- Homme de main d'une mafia.
- Quelle fut la durée ?
- Pendant neuf ans.
- Sur la fin, comment vous étiez après avoir tué quelqu'un ?
- J'étais satisfait d'avoir fait mon travail.
- Au début, comment étiez vous ?
- Plein de regrets.
- Seriez vous capable de tuer à nouveau, dans le cadre du travail d'agent du Cipher Pol ?
- Tout à fait.
- Seriez vous capable de tuer un innocent si vous en aviez l'ordre ?
- Oui.
- Comment vous comportez vous face à un haut gradé alors que vous savez qu'il a violé trois petites filles ?
- Je me comporterai comme il se doit, avec le respect du à son grade.
- Si vous aviez le choix entre traiter d'une affaire mêlant un lieutenant et traiter une affaire mêlant un vice-amiral, que choisiriez vous ?
- Celle du vice-amiral.
- Pourquoi ?
- Car la réussite de ma mission retentirai plus auprès de mes supérieurs.
- Vous souhaitez donc monter en grade ?
- Oui. Aller au plus haut possible.
- Qu'est-ce que vous êtes prêts à faire pour cela ?
- Tout, sauf trahir mes supérieurs.
- Et sacrifier vos subordonnés ?
- Cela dépend de ce qu'ils valent.
- S'ils ne valent rien mais qu'ils ont été loyaux envers vous ?
- Je ne les sacrifierai pas.
- S'ils n'étaient pas loyaux, que feriez vous ?
- Je les sacrifierais.
- Pourquoi ?
- Car il vaut mieux faire monter en grade les personnes loyales.
- Vous considérerez vous comme une personne loyale ?
- Oui.
- Qu'est-ce qui pourrait vous faire faire virer de bord ?
- Rien.
- Êtes vous bien entraînés physiquement ?
- Oui.
- Seriez vous capable de vous battre sans armes ?
- Oui.
- Seriez vous capable de vous battre avec des armes ?
- Oui.
- Lesquelles ?
- Des sabres, des armes blanches, des armes à feus. Tout ce qui n'est pas trop excentrique.
- Seriez vous capable de torturer ?
- Absolument.
- Aimez vous torturer ?
- Oui.
- Seriez vous capable de vous faire torturer sans rien dire au tortionnaire ?
- Cela dépend de l'information demandée.
- S'il elle est hautement importante pour le Gouvernement Mondial ?
- Je ne dirai rien.
- Si elle est mineure ?
- Je dirai.
- Bien. Cette échange a été plus que fructueux. Tu peux sortir. SUIVANT !
Je me leva de ma chaise, encore en sueur. Cette échange fut probablement l'un des plus intense de ma vie. Et un des plus impactant. Si je savais qu'au niveau physique j'allais sûrement être accepté, au niveau psychologique, je n'en savais rien.
Informations IRL
Voir la prez de Mount.
ONE PIECE REQUIEM ©