Toujours à une des embouchures entre les Everglades et Portgentil, Tanguy venait d'assomer un soldat de la Marine qui l'avait énervé de par les propos qu'il tenait. Son acolyte, quand à lui, s'était tiré pour probablement aller chercher du renfort.
" Il ne faut pas que je tarde, si je ne reviens pas ici rapidement, je risquerais de me faire choper. "
Et il n'avait pas forcément tort, les Marines n'avaient pas besoin d'une affiche pour traquer les criminels. Il suffisait d'un signalement dans une caserne, et le toute les casernes seraient bientôt informées. Le jeune homme remit alors sa capuche sur sa tête et s'éloignant de la scène.
Après quelques minutes de marches, il arriva finalement à l'entrée sud de celle-ci. Personne ne surveillait après le barrage des deux Marines qu'il avait affronté. Il pénétra donc dans le centre-ville et commença à se frayer un chemin dans les rues qui avaient bercées son enfance. La ville n'avait pas vraiment changé depuis qu'il en était parti, les bâtiments étaient toujours aussi imposant, et elle était toujours aussi bondée de monde.
Pendant sa traversée, Tanguy évita soigneusement les grandes allées, et la grand place. Il s'aventura dans les ruelles sombres de la ville, qui étaient relativement calme étant donné que les malfrats sont davantage du genre à zoner dans les Everglades.
Il arriva finalement à la sortie de la ville, sur la route de Las Atlantik, après une heure et demi passée à traverser Portgentil. Celle-ci était gardée, évidemment, par un nombre plutôt important de Marines. Tanguy n'avait aucune idée de si ils savaient pour ce qu'il avait fait, et si ils avaient reçu un quelconque signalement même sans savoir ce qu'il avait fait.
Ils étaient une dizaine, à observer les personnes passer, et à en arrêter quelques unes au hasard. Tanguy les observaient de loin dans la pénombre d'un bâtiment.
" Il ne faut pas que je tarde, si je ne reviens pas ici rapidement, je risquerais de me faire choper. "
Et il n'avait pas forcément tort, les Marines n'avaient pas besoin d'une affiche pour traquer les criminels. Il suffisait d'un signalement dans une caserne, et le toute les casernes seraient bientôt informées. Le jeune homme remit alors sa capuche sur sa tête et s'éloignant de la scène.
Après quelques minutes de marches, il arriva finalement à l'entrée sud de celle-ci. Personne ne surveillait après le barrage des deux Marines qu'il avait affronté. Il pénétra donc dans le centre-ville et commença à se frayer un chemin dans les rues qui avaient bercées son enfance. La ville n'avait pas vraiment changé depuis qu'il en était parti, les bâtiments étaient toujours aussi imposant, et elle était toujours aussi bondée de monde.
Pendant sa traversée, Tanguy évita soigneusement les grandes allées, et la grand place. Il s'aventura dans les ruelles sombres de la ville, qui étaient relativement calme étant donné que les malfrats sont davantage du genre à zoner dans les Everglades.
Il arriva finalement à la sortie de la ville, sur la route de Las Atlantik, après une heure et demi passée à traverser Portgentil. Celle-ci était gardée, évidemment, par un nombre plutôt important de Marines. Tanguy n'avait aucune idée de si ils savaient pour ce qu'il avait fait, et si ils avaient reçu un quelconque signalement même sans savoir ce qu'il avait fait.
Ils étaient une dizaine, à observer les personnes passer, et à en arrêter quelques unes au hasard. Tanguy les observaient de loin dans la pénombre d'un bâtiment.