Marcel
• Pseudonyme :
• Age : 30 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Chômeur
• Groupe : Révolutionnaire
• Age : 30 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Chômeur
• Groupe : Révolutionnaire
• But : Maintenir son Karma dans le positif.
• Équipement : Du papier, un stylo et une boite de chewing-gum-gum
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Ca peut être un DC reroll ?
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises sans les astérisques.)
• Équipement : Du papier, un stylo et une boite de chewing-gum-gum
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Ca peut être un DC reroll ?
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises sans les astérisques.)
Description Physique
Alors… Au premier regard, on a souvent tendance à me confondre avec un agent du gouvernement et en particulier du Cipher Pol. Je ne sais pas si c’est le costume qui m’assimile au Cipher Pol ou alors les lunettes à grosses branches qui me donnent un style branché et intellectuel, mais bon, toujours est-il que je n’ai aucun lien avec le gouvernement, si ce n’est que nous avons tous les deux une passion pour la justice…
Je ne suis pas un bel étalon comme pouvait l’être Minos, mais j’ai suffisamment de charme pour attirer de temps à autre les femmes. Je ne sais pas si c’est ma chevelure négligée ou alors mes yeux perçants qui font partie de mon charme, mais tout ce que je peux dire c’est que ma voix n’attire pas les foules… La raison à cela hum…? Tout simplement qu’il m’arrive de pousser dans les aigus plus fort que n’importe quel autre personne de ma corpulence. Si mon poids se situe dans la moyenne nationale établie par le comité de Luvneel, ce n’est pas le cas en revanche de ma taille. Bien que je ne sois pas aussi petit que l’ancien Amiral Sigurd Dogaku, ma taille peut me faire défaut, même si je dois avouer que pour fuir ou se cacher, mon physique s’avère bien plus intéressant que celui d’hommes bodybuildés comme ceux que l’on peut voir chez les Heros Hics.
Ce style propre sur moi, je l’ai adopté il y a quelques années lorsque j’aidais la veuve et l’orphelin à Luvnellgraad. C’est une île qui ne paie pas mine, qui a connu récemment de grands bouleversements, mais qui me plaît malgré tout. Même si je ne suis pas un grand voyageur, j’ai eu l’occasion de visiter diverses îles de North et South Blue durant mes congés sabbatiques.
Mais bon il y a quelques détails qui ont tendance à m’éloigner de l’homme lambda que de la perfection que je ne suis pas du tout. Par-là, je pense notamment à ma démarche. Levant souvent la tête et balançant les épaules, ma démarche a tendance à faire croire aux gens que je les méprise, or ce n’est pas tout le cas, car comme eux je viens du même cambouis.
Description Psychologique
Pour continuer dans les défauts, j’ai des tics de langage qui peut en agacer plus d’un. Bien qu’incontrôlables, ils sont la manifestation de ma retenue. Vous vous demandez sans doute de quoi je parle, la réponse est assez simple. Contrairement à la majorité des personnes qui expriment leur violence par des gestes, je me contente de lancer des mots sans aucun rapport et parfois des noms d’oiseaux.
Mais bon, évitons de nous attarder sur des détails futiles de la sorte, surtout que nous en avons tous. Je préfère parler de mon caractère et mon comportement…
Méticuleux… Hum… Si ce mot rentre d’une oreille et sort de l’autre pour la majorité des gens, être méticuleux me semble essentiel surtout dans mon métier. L’être me permet ainsi de ne pas négliger le moindre indice, ce qui peut parfois être décisif dans des situations cocasses. Ça m’a valu d’ailleurs d’être mis sous les feux des projecteurs par le gouvernement et la révolution. Si j’ai pertinemment refusé l’offre de l’un, je n’ai toujours pas donné d’avis quant à la proposition de l’autre
Si ma vision de la justice pouvait s’apparenter à celle de la marine, lorsque j’ai découvert les pratiques du Gouvernement Mondial et en particulier du Cipher Pol, j’ai commencé à remettre en cause sa crédibilité. Pour moi, quelqu’un qui crie haut et fort qu’il protège la veuve et l’orphelin, mais qui à côté de cela n’hésite pas à tuer à la première occasion, n’est pas digne de porter l’intérêt général. Vous vous dites alors que je devrais me tourner vers la révolution, mais bon pour moi leurs méthodes peuvent paraître tout aussi extrémistes, bien que leur but louable. Quand je dis ça, hum… Je pense notamment à leurs méthodes. Si sur Luvnell la révolution est plus ou moins maître et qu’elle gère relativement bien les incidents en dehors de l’opération Theolinus, ce n’est pas le cas de toutes les îles. J’ai pu constater les dégâts matériels causés par la révolution suite à des attaques sur la marine. Ils se disent protecteurs du peuple, mais ils ont tendance à trop privilégier leur objectif au profit du collatéral (le peuple). Si jamais je devais faire partie de ce groupe, je modifierais les choses de fond en comble.
Méticuleux donc, ce qui peut aller avec mon intelligence, mon inventivité, mon calme et mon obsession à finir mes affaires ; ce qui m’a déjà valu de perdre quelques plumes lors de mes recherches. C’est donc pour cela qu’avec le temps, j’ai appris à toujours vérifier mes arrières. L’ouverture d’esprit est aussi importante que le reste, surtout quand la logique ne suffit pas à résoudre les enquêtes. Être ouvert d’esprit me permet donc d’imaginer des scénarios plus ou moins improbables, qui parfois se sont avérés réels.
Mais bon, évitons de nous attarder sur des détails futiles de la sorte, surtout que nous en avons tous. Je préfère parler de mon caractère et mon comportement…
Méticuleux… Hum… Si ce mot rentre d’une oreille et sort de l’autre pour la majorité des gens, être méticuleux me semble essentiel surtout dans mon métier. L’être me permet ainsi de ne pas négliger le moindre indice, ce qui peut parfois être décisif dans des situations cocasses. Ça m’a valu d’ailleurs d’être mis sous les feux des projecteurs par le gouvernement et la révolution. Si j’ai pertinemment refusé l’offre de l’un, je n’ai toujours pas donné d’avis quant à la proposition de l’autre
Si ma vision de la justice pouvait s’apparenter à celle de la marine, lorsque j’ai découvert les pratiques du Gouvernement Mondial et en particulier du Cipher Pol, j’ai commencé à remettre en cause sa crédibilité. Pour moi, quelqu’un qui crie haut et fort qu’il protège la veuve et l’orphelin, mais qui à côté de cela n’hésite pas à tuer à la première occasion, n’est pas digne de porter l’intérêt général. Vous vous dites alors que je devrais me tourner vers la révolution, mais bon pour moi leurs méthodes peuvent paraître tout aussi extrémistes, bien que leur but louable. Quand je dis ça, hum… Je pense notamment à leurs méthodes. Si sur Luvnell la révolution est plus ou moins maître et qu’elle gère relativement bien les incidents en dehors de l’opération Theolinus, ce n’est pas le cas de toutes les îles. J’ai pu constater les dégâts matériels causés par la révolution suite à des attaques sur la marine. Ils se disent protecteurs du peuple, mais ils ont tendance à trop privilégier leur objectif au profit du collatéral (le peuple). Si jamais je devais faire partie de ce groupe, je modifierais les choses de fond en comble.
Méticuleux donc, ce qui peut aller avec mon intelligence, mon inventivité, mon calme et mon obsession à finir mes affaires ; ce qui m’a déjà valu de perdre quelques plumes lors de mes recherches. C’est donc pour cela qu’avec le temps, j’ai appris à toujours vérifier mes arrières. L’ouverture d’esprit est aussi importante que le reste, surtout quand la logique ne suffit pas à résoudre les enquêtes. Être ouvert d’esprit me permet donc d’imaginer des scénarios plus ou moins improbables, qui parfois se sont avérés réels.
Biographie
Pour ma part, je suis originaire et j’ai vécu une partie de mon enfance à Luvneel. Bien que ne vivant pas dans l’opulence, j’ai tout de même pu profiter de mon enfance à explorer les zoos, profiter des manèges pour enfants et toutes les distractions que la ville pouvait offrir. Des distractions, mon père aussi en profitait, ce qui se répercutait bien souvent sur le cocon familial. Je ne compte plus le nombre de fois où mon père rentrait tard du travail voir parfois pas du tout, au grand désespoir de ma mère qui se faisait du souci pour lui. Pour ma part, je ne comprenais pas tous ses problèmes qui avec le recul me semblaient bien futiles. Pourquoi futile ? Tout simplement qu’en m’engageant dans la voie de l’enquête, j’ai pu constater que certaines personnes possédaient une valise beaucoup plus lourde que celle que mon père avait pu avoir durant toute sa vie. Ses multiples frasques ont entrainé mon déménagement à l’âge de sept ans. Mes parents ne m’auront jamais avoué le motif réel du déménagement qui selon ses mots était dû « à une baisse d’effectif à l’atelier ». Après moult recherches de mon côté, j’ai pu constater que mon départ n’avait rien avoir avec un licenciement, mais qu’il était davantage dû à une pulsion de la part de mon père. Il était du genre impulsif et aimait bien tout contrôler, même si fait surprenant, il n’a jamais levé la main sur ma mère ou moi. Mon père était protecteur et n’avait pas un mauvais fond, mais disons juste qu’il n’était pas très malin… C’est d’ailleurs ces choix qui les mèneront à sa perte, puisque lui et ma mère décéderont quelque temps plus tard à Luvneelpraad lors du fameux incident de 1600.
Cela faisait maintenant quelques mois que nous nous étions installés à Luvneelpraad, non loin du port. Notre maisonnette était traditionnelle et avait une vue sur l’artère qui desservait directement le grand port, ce qui était une aubaine pour nous, car à proximité de tout service, mais cela entraînaient des nuisances sonores parfois déplaisantes. Ma mère avait trouvé grâce à son joli minois un emploi à mi-temps dans une taverne du coin, tandis que mon père alternait les missions sur le port, principalement de l’extraction de marchandises. Les journées se suivaient et se ressemblaient, jusqu’à cette fameuse journée de septembre, c’était un lundi je crois. La pluie diluvienne se faisait incessante et malgré tout, il faisait une chaleur inhabituelle pour la saison. Les gens vaquaient donc à leurs occupations, en ne souciant pas de ce qui allait arriver.
La mer commença à s’affoler vers 10 heures alors que je promenais non loin de chez moi à côté du port. Une vague proche des dix mètres fit son apparition pour aller frapper la digue située non loin du port. La construction s’envola en une multitude de morceaux et c’est à ce moment que je me rendis compte que quelque chose clochait. Les gens du port commencèrent à hurler tout en courant dans la direction inverse à la mienne. Si la logique avait voulu que je suive le mouvement, mon instinct m’indiqua d’aller vers le port rejoindre mon père. Mais à peine le temps que j’eusse fait une vingtaine de mètres, le sol se mit à trembler à s’ouvrir légèrement. Spectaculaire, insensé, intense… Autant de mots pour qualifier l’événement que j’ai pu voir en direct. Je fis donc demi-tour afin de me rendre à la maison afin de vérifier que ma mère allait bien. Je m’immisçais à travers la foule tout en me protégeant des éventuels coups. Le vrombissement se faisait de plus en plus fort et commença à faire s’écrouler des pans entiers de quartiers en quelques instants. Les pauvres habitants qui s’étaient terrés chez eux devaient sans doute être morts, tout comme ceux qui se disaient que frôler les murs pour avancer était une bonne idée. Je pris ensuite la première à droite pour me rendre chez moi, du moins ce qu’il en restait…
Sur place, taule, gravats et pierres étaient au sol et gisait non loin de là un corps. Je m’imaginais déjà le pire, ce qui était normal au vu des circonstances, et il s’avéra que mon intuition fut juste. Je vis donc ma mère me regarder tout en crachant du sang, ce qui était trop dur pour moi à l’époque et encore maintenant. Je me mis naturellement à pleurer et dans un ultime effort ma mère m’avoua de ne pas m’inquiéter et d’arrêter de pleurer. Le sol venait d’arrêter de trembler, mais cela ne m’apportait guère, car ma mère venait de mourir sous mes yeux. Durant le reste de cette horrible journée, je restai devant la maison à pleurer toutes les larmes de mon corps, sans soutiens sur lequel m’appuyer.
Les semaines et les mois passèrent avant de m’être remis de ses évènements. J’avais maintenant dix-huit ans et encore toutes mes dents. Survivre dans un environnement devenu de plus en plus hostile fut difficile, car la nourriture manquait à l’inverse des logements vacants qui étaient devenus monnaie courante. Les gens avaient pour la plupart fui cette ville suite à cet incident et peu d’entre eux sont restés. Certains étaient bien venus s’installer dans le coin, mais il s’agissait bien souvent de malfrats et de révolutionnaires que je n’appréciais pas particulièrement. Parmi les gens encore présents, j’étais devenu ami avec Guy les bons tuyaux. C’était un homme pas foncièrement méchant, mais qu’il fallait éviter de froisser, car il était prêt à sacrifier sa vie pour ses idéaux. Je suivis donc les conseils de cet homme qui au passage m’aida à survivre dans ce milieu, surtout durant les premières années. Ces conseils étaient aussi divers que variés, certains utiles et d’autres non, mais les seuls qui me restèrent en travers de la tête concernaient l’analyse et l’enquête. En effet, Guy était un révolutionnaire reconnu de ses pairs pour être méticuleux et arriver à toujours atteindre ses objectifs. L’homme avait fait tomber plusieurs petits réseaux de vols et de proxénètes sans avoir eu à utiliser la violence… tout du moins c’est ce qu’il disait. Il m’enseigna quelques règles simples comme le fait que chaque détail pouvait avoir son importance ou encore que le témoignage oculaire était une preuve peu fiable.
Une fois ce bagage en poche, ce qui a pris une bonne dizaine d’années, la décision de quitter Luvneel pour l’exotisme fût la plus logique. C’est donc sans aucun sou que je me retrouvai à prendre la mer avec pour seul bagage un sac remplis de babioles diverses et variés. Il fallait dire que la survie n’était pas mon fort, et que tout homme censé n’aurait jamais pris des livres dans son paquetage. J’enchaînais les voyages seul plutôt que mal accompagné, jusqu’au moment où mon chemin croisa celui d’un révolutionnaire en bien mauvaise posture. Non loin de ce pays appelé Goa, mon rafiot frappa une bicoque imposante qui appartenait à des gens bien organisés. Si la logique aurait voulait que je fuis le combat, notamment parce que personne ne m’avait vu, je décidai de grimper sur le bateau pour voir ce qui se passait et le choc fût là. En effet, une mutinerie avait lieu au sein du bateau. Des révolutionnaires s’attaquant les uns les autres à entendre les cris, du moins c’est ce que je pensais. La vérité était que deux agents du gouvernement avaient infiltré la cellule révolutionnaire du coin et qu’ils avaient décidé de les éliminer.
Une fois sur le pont du bateau, un coup d’épée passa à proximité de ma tête, ce qui me déstabilisa au plus haut point. Je tentai en vain de saluer les hommes en train de se battre mais sans succès. Je me mis à attraper une bouteille de rhum quand un des hommes s’approcha à vive allure de moi pour me frapper. L’homme en question me blessa le bras, mais me laissa ainsi l’opportunité de lui fracasser le divin breuvage sur le haut du crâne. Il tomba directement dans les pommes alors qu’un cri de douleur sorti de ma cage thoracique. Le combat dura encore un long moment, bien que je ne fus que spectateur. Les deux survivants au massacre s’approchèrent de moi en me dévisageant dans un premier temps, puis en me demandant d’un ton ferme ce que je venais faire ici. Je leur expliquai que mon navire voguait sur les flots, jusqu’au moment où il frappa la bicoque sur laquelle les hommes étaient. Des rires fusèrent sur le navire, puis celui qui semblait être le chef du groupe m’invita à boire un coup dans sa cabine après avoir jeté les cadavres par-dessus bord, car c’était selon lui écologique et que ça permettait de renouveler la faune et la flore. L’un des corps jeté appartenait à l’homme que j’avais assommé, qui me lança d’ailleurs des noms d’oiseaux avant de se noyer dans la mer impitoyable que je traversais.
Le capitaine du navire était un révolutionnaire de la première heure et ma visite ne lui plaisait pas plus que ça. Il était cependant courtois et me posa d’innombrables questions sur ma vie, comme pour savoir si j’étais ou non un ennemi. Après avoir subi un long interrogatoire de plus d’une heure, il me demanda si je voulais rejoindre la révolution. Je ne savais pas quoi dire, car je ne pensais pas grand-chose de ce groupe, mise à part les « on dit ». Je suivis ma logique et accepta sa proposition, notamment parce que si je refusais j’avais une chance d’être jeté à la mer, mais également parce que je ne voulais pas me faire d’ennemis aujourd’hui.
Je suivis durant un long moment Jean-Pierre dans ses périples. Les missions étaient aussi diverses que variés, bien que je me cantonnais souvent au sale boulot. La vie suivait son cours jusqu’au jour où des assassinats eurent lieu sur Goa. Les gens avaient peur, moi le premier. Certains habitants du pays se réunirent pour prendre le large direction le Sultanat des Pétales. Cette destination qui m’était inconnue fût choisie car selon les dires de Michel, l’endroit était joli et il y avait pleins de femmes et de boissons. Une raison suffisante pour un bon nombre de révolutionnaire, mais pas pour moi. En effet, j’avais d’autres chats à fouetter pour le moment que d’aller ma la couler douce sur une île de rêve, notamment aider la veuve et l’orphelin sur Dawn.
Informations IRL
Tu me connais déjà, sinon je te divulguerais les infos en temps voulu.
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