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La soif de pouvoir. ~

« La ville du début et de la fin »
« Là où tout commence et où tout se termine »


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Cela faisait déjà quelques temps que notre héros ne s’était pas rendu ici ; la dernière fois il était venu pour suivre la trace de Satoshi Noriyaki, l'homme qu'il souhaite rayer de la carte une bonne fois pour toute, pour venger les mémoires de son père. Aujourd’hui, notre marine favori faisait route vers cette île pour une mission d'importance capitale. Il avait été appelé en renfort avec une vingtaine d'hommes sous ses ordres pour défendre ce qu'il restait de Logue Town. Même si ceux qui était affilié à sa flotte ne semblait pas avoir un réel potentiel, Zetsu n'avait pas dit non à cette mission pour la simple et bonne raison qu'il cherchait en permanence le combat. La soif de puissance était forte en lui, bien plus importante que celle de n'importe qui. Ça vous ferait quoi vous de voir que celui qui vous à humilié toute votre enfance est bien plus fort que vous et qu'il vous humilie à chaque affrontement ? Et bien Zetsu a un sentiment amer au fond de lui, il veut le battre à tout prix et pour ça il faut qu'il se batte toujours et encore pour devenir toujours plus fort. Aujourd’hui en attente de l'autorisation de sortie de l'Amiral en Chef Mr Kenpachi, notre héros recherchait la perle rare pour garnir cette flotte, il feuilletait les registres où étaient répertoriés tous les marins d'East Blue, mais malheureusement aucuns ne lui plaisait, il allait devoir se faire attribuer ses hommes au hasard. Je suis certains qu'au fond de vous vous vous moquez de lui, mais pour lui, gagner avec une équipe de bas niveau est toujours mieux récompensé qu'avec une équipe de dix Commandant.

Le bateau dans lequel on l'avait envoyé bougeait dans tous les sens, les vents étaient violents et l'atmosphère y était lourde. La tension était au plus haut point parmi les rangs de sa flotte, on pouvait le sentir dans leur regard hésitant. Les goutes de sueurs tombaient une à une sur leurs uniformes tandis que leurs mains commencèrent à trembler de plus en plus au fur et à mesure que l'ont se rapprochait de l'île. Zetsu quand à lui était toujours plonger dans ses papiers, je vous avouerais qu'entrer dans cette pièce vous arrêterais votre cœur net tellement l'ombre du Commandant faisait peur. A chaque orage, on pouvait voir apparaître une silhouette affolante qui ne semblait se nourrir que de sang, un vrai démon. La tempête faisait rage au point de non retour, les objets tremblaient sur sa table et lui, dans un regard plein de désespoir il cherchait mais ne trouvait pas. Le bateau était enfin à quais, les recrues s'activaient sur le pont. Le Commandant se leva puis sortit de sa cabine, heureux de voir qu'ils n'avaient pas besoin d'ordre pour se bouger. Du pont on pouvait distinguer la fumée des combats en ville, apparemment le Q.G. n'était plus qu'un tas de cendre.


Dernière édition par Zetsu Noriyaki le Dim 12 Juin 2011 - 11:33, édité 1 fois
    La vengeance est un cercle fermé...

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    Zetsu et son équipage débarquèrent à une rapidité étonnante après avoir remarqué la quantité de fumée qui s’échappait du centre. Il semblerait que le stress des recrues s'était échappé au moment où ils entendirent les cris de leurs confrères se battant comme des ours pour défendre leur justice. La révolution veut donner le pouvoir au peuple certes, mais que fera-t-elle si lui même se retourne contre eux ? C'est ainsi que le Commandant voulait que cette mission se termine. Pousser l'un de ses hommes à tuer les civils, les pousser à se retourner contre leurs idéaux, pour ensuite les empêcher pendant toute cette ère de se manifester. Ils n'allaient surement pas se laisser faire comme cela mais il était confiant, il savait pertinemment que si ils avaient réussi à faire ça c'est qu'ils n'étaient pas impuissant, le leader de l'attaque devait être un stratège compétant. Les vingt et uns hommes qui venaient d’amarrer se lancèrent dans une course effréné en ayant comme direction le centre ville, tous avaient dégainé leurs armes, les civils se faisaient de plus en plus rares au fur et à mesure qu'ils se rapprochaient du centre de la ville, les hommes commençaient à s’essouffler et ils essayaient peu à peu de se trouver une raison pour se défiler. L'approche du combat les perturbaient, mais pas Zetsu, lui restait de marbre, il voulait devenir plus fort, sa soif de vengeance le consumait, elle devenait de la soif de combat, un appétit voulant à tout pris des affrontements pour devenir plus fort et arriver au but final, une haine incommensurable qui finira par le perdre. La place de l’échafaud. Tout était en cendre, tout était devenu poussière, les rires fusaient dans le camps ennemis, d'un coup de pied sec dans le sol Zetsu les fit taire, puis s'exprima :

    « Arrêtez votre char ! Vous savez qu'il y avait des civils qui vivaient ici ? Si vous voulez vraiment faire une révolution, attaquez vous directement à la marine bande de lâches ! »

    D'un geste totalement synchronisé, ils détournèrent la tête vers nos hommes. Ceux qui les avaient combattu au part avant s'étaient réfugiés derrière les renforts qui allaient prendre le relais. Ils devaient être une quarantaine, ce n'était sans doute que le premier front. Zetsu dégaina ses sabres, puis les brandit d'un air fier vers le ciel sombre et nuageux du jour. Courant sous les goutes d'eau, il se dirigeait vers celui qui semblait être le leader de cette escouade mais deux personnes l'arrêta. Ils croisèrent le fer en laissant diverses étincelles jaillirent de leurs épées, puis une ouverture vît le jour devant le Commandant Noriyaki. Il n'hésita pas et trancha dans le vif, puis laissa une trainé de sang derrière lui. Le premier était mort, le second semblait avoir peur. Il tremblait tandis que le regard de Zetsu se posa sur lui, le regard noir et perturbant, un regard que seuls les concernés par ce cycle éternel de la vengeance peuvent comprendre. Profitant de l'absence de garde du révolutionnaire, notre héros lui trancha la gorge net puis la silhouette du leader vînt se dessiner petit à petit, au fur et à mesure que le corps du gêneur tombait. Le marin posa son regard sur l'homme puis n'attendit pas pour avancer à vive allure vers lui afin de murmurer :

    « Shoki No Mai... »
      La bataille est fini, mais la guerre ne fait que commencer !

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      Ce groupe de mots voulait dire "Première Danse", qui en fait allait être le début d'un enchaînement visant à tuer l'ennemi. Rares sont ceux qui voient la troisième, mourant de la lame de Zetsu bien avant. Le Commandant allait lancer son attaque. Il pris ses deux sabres, lames vers l'arrière puis baissa les yeux pendant quelques minutes durant lesquelles un silence pesant s'éternisait. D'un seul coup, il leva la tête, fixant son adversaire en plongeant son regard dans le sien puis il se mis à courir à grande vitesse vers lui. Des étincelles volaient, du sang jaillissait, le combat redondait dans toute la ville, les hommes des deux grands s'étaient arrêtés de se battre pour contempler le choc des titans. Zetsu semblait gérer le combat et prendre le dessus, ayant envoyé plus de coups que son ennemi, mais un élément perturbateur et improbable vint changer la donne. Un pigeon était venu jeter un mauvais sort. Une substance blanche qui avait maintenant parcouru plusieurs dizaine de mètres s'était écrasé sur le front du Marin, puis avait dégouliné sur ses yeux, l'empêchant de pouvoir se concentrer sur son ennemi. Les pigeons envahissaient les villes et les villages et les habitants tentaient de les chasser parce que leurs crottes bouchaient les gouttières des toitures. Aussi ils transmettent des maladies, des bactéries qui peuvent provoquer une sorte de pneumonie qui est transportée par l'air des fientes (crotte de pigeons). Les pigeons provoquaient aussi des parasites qui pouvaient se transmettre à l'homme. Plusieurs solutions étaient expérimentées, pour limiter la population des pigeons dans les villes :

      - Supprimer les œufs ;

      - Éloigner les pigeons vers des pigeonniers installés à la campagne. On ne peut rien faire d'autre. Mais malgré tout cela les pigeons sont des compagnons pour certaine personne qui leur donne de la nourriture.

      Mais revenons sur cette magnifique image où nous voyons l'homme dangereux qui regarde toujours vers son cousin Satoshi. Maintenant son regard est blanc comme neige, un vrai petit ange tout mignon qui vient de se faire percer la jambe. Même en ayant les yeux couvert ses réflexes étaient toujours là. Il recula d'un bon en arrière et tenta d'enlever la fiente, mais il ne pu tout faire. Son adversaire n'attendit pas et bondit sur lui, mais le Commandant Noriyaki n'était pas bête. Il avait au moins enlevé le blanc qui était devant ses yeux. Et pour surprendre son ennemi, il chuchota :

      « Saido No Mai ...! »


      Le révolutionnaire se rapprochait de plus en plus du marin, Zetsu pointa ses sabres vers lui et commença à marcher, puis courir, puis sprinter, pour enfin arriver devant son adversaire. Il commença lentement à soulever ses sabres, puis d'un coup il se faufila derrière son adversaires et planta ses deux katanas dans son dos. Le sang jaillit, tâchant grandement l'uniforme noir du Commandant. La mort avait été donné, c'était un pas en plus vers la vengeance de Zetsu. Malheureusement pour lui sa gaité ne fut que de courte durée. Au moment où il se retourna, il se rendit compte que tous ses hommes étaient mort. Il était maintenant pleinement dans le cercle vicieux de la vengeance. Ses yeux s'emplir de haine, ses dents se serrèrent, puis enfin l'homme qu'il avait planté plus tôt redressa légèrement la tête, sortant le commandant de ses pensées malsaines, pour lui adresser ses dernières paroles.

      « Tu n'es qu'un imbécile, je ne dirigeais que cette équipe, le vrai chef ce n'est pas moi ! Si tu en as vraiment dans le pantalon et que tu veux venger tes amis, passes par la trappe en dessous de la place de l'échafaud, c'est là bas que mon chef est. »
        The Empire Strike Back

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        Un long silence, un éclair ravageur, et une épée tranchant une tête. Il avait trop parler, on ne dénonce jamais un camarade, même si celui ci est révolutionnaire. Mais bon, Zetsu était du genre à foncer tête baisser quand il s'agit de venger quelqu'un. Il était partit en sprint après avoir donné le coup de grâce et était arrivé au QG provisoire de la marine sur le port. Les enfants pleuraient, les femmes criaient, et les hommes déprimaient. Tous pensaient qu'ils allaient mourir de la main des révolutionnaires. C'est vrai qu'ils n'ont pas bonne réputation même si tout part d'un bon sentiment, mais ça personne le sait, le Gouvernement fait tant de censure qu'ils passent presque pour des pires emmerdeurs que les pirates. Noriyaki était un dur à cuire, il ne songeait même pas s'arrêter pour réconforter les quelques personnes ayant perdu un proche, alors que lui même avait eu cette expérience il y a bien longtemps. Comme quoi ça vous bouffe de l'intérieur cette idée de vengeance. Enfin, il était arrivé, personne ne se bougeait, tous les marins pensaient que c'était perdu, tout ce que Zetsu aimait pas, il allait les faire bouger ces féniasses. D'un saut majestueux il se mit en auteur et contempla de tout son corps les visages ébahis de ses compatriotes.

        « Relevez la tête mes frères car aujourd’hui est un grand jour. Armez vos fusils, aiguisez vos lames et baïonnettes, musclez vos bras et allons au combat. Épée à la ceinture, fusil en dessous du bras, marchons pour cette ville, redonnons lui sa saveur d'antan, redonnons lui ses peines et ses joies, redonnons un toit à ces citoyens, et honorons la mémoire des soldats morts aux combats pour cette ville, vous n'allez quand même pas dire à leur famille que leur sacrifice à été vain ?! Maintenant, placez vos ombres derrière la mienne et marchons vers la place de l'échafaud, que ce jour reste gravé dans les mémoires, nous leur déclarons la guerre ! »

        On lui avait appris à changer de caractère pour se servir des autres, mais il ne l'avait sans doute jamais fait aussi bien, les pulsions meurtrières du à la vengeance semblaient plus forte que jamais, mais il cachait tout ça, en marchant, marchant vers la place centrale, vers le plus rude combat qu'il aura du faire depuis sa mère lui avait donné la vie.
          Si une femme ne peut briser le cercle de la vengeance, alors personne ne pourra rien y faire...

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          Des cris à l'unisson, tous ces soldats avaient retrouvé espoir, tous étaient prêt à venger la mort de leurs compatriotes, au devant de cette pagaille, Zetsu Noriyaki. Il allait sans aucun doute tuer ce chef, quoi qu'il lui en coûte. On lui avait bandé la jambe, mais ça devait encore être douloureux, des petits chocs électriques à chaque pas, une vision qui devient flou de temps à autres, bref, une blessure profonde quoi. Stop, c'était le signe qu'avait fait le commandant de l'opération. Ils étaient maintenant très près de la place, il fallait observer la moindre chose qui pourrait mettre la mission en péril. D'une part ils se devaient de compter le nombre d'homme posté devant. Zetsu savait tout ça et avait envoyé quelques éclaireurs pars les ailes est et ouest, apparemment il y avait 5 gardes, rien de très conséquent face aux 30 hommes qu'ils étaient. Mais avant ils étaient 90. Donc, un coup de feu, deux, trois jusqu'à cinq. Tous mort. Et hop, les trente cinq hommes se levèrent et coururent vers l'échafaud, d'après le leader il y avait une trappe en dessous, pourtant par terre il n'y avait rien. Zetsu s'en tirait les cheveux, mais un bleu à la voix tremblante et hachée s'exprima avec fierté.

          « C...C'est ça ! J...je l'ai trouvé ! C'est ici ! Venez voir ! »


          Le commandant s'empressa de le rejoindre. Il posa son oreille sur le mur, des bruits de pas. Il fallait faire vite, il s'adressa à ses hommes en leur disant qu'il fallait tous les tuer au moment même ou ils allaient ouvrir la trappe. Noriyaki poussa de toutes ses forces contre le mur de pierre, avant qu'il ne pivote sur lui même. Dans le même temps il dégaina un de ses sabres et trancha la gorge du garde. C'était une vraie forteresse ce machin, et personne ne connaissait son existence. Ils marchèrent, marchèrent, sans savoir combien de temps avait passé, mais ils continuèrent, sans cesse, avant d'arriver dans un hall. Sept chemins, trente cinq hommes. Cinq hommes par chemin que disait Zetsu. Bien, ils faisaient les groupes, s’apprêtèrent à partir quand tout à coup, par les sept chemins sortirent les révolutionnaires.

          « C... C'est une embuscaaaaaaaaaaaaaade ! »

          Z
          etsu quand à lui s'eclipsa en empruntant le chemin de devant. Il arriva dans une étrange pièce. Une femme entra. Elle se présenta comme la seconde du leader, et comme connaisseuse de la vie du Commandant. Elle s'exprima sur la moindre parcelle de l’existence de l'homme en face d'elle, lui indiquant qui il avait perdu et qui il voulait perdre. Noriyaki avait entendu bien des sermons en ce qui concernait sa vengeance, mais personne ne pouvait comprendre ce qu'il ressentait. Pourtant c'était bien la première fois qu'une femme lui faisait la morale. La vengeance n'est pas la solution aux problèmes, ils ne mènent qu'à l'autodestruction patati et patata, mais n'importe quoi. Pendant qu'elle exprimait ses idéaux de la vie parfaite, Zetsu avait dégainé son arme. Il sprinta vers elle et essaya de lui trancher la gorge, mais il n'était pas sur ses gardes. Elle dégaina à son tour, dévia l'attaque du commandant et le désarma de son premier katana. Finalement ce n'était pas par les mots qu'elle allait faire revenir Zetsu du côté lumineux. Donc lui tout de suite il sortit son deuxième sabre, croisa le fer pendant quelques minutes avant de tomber à terre et de se voir pointer la gorge par une lame acéré. En tant que marin on lui avait appris à ne pas toujours compter sur son arme de prédilection, il donna un coup de pied dans l'épée de la jeune femme, puis il courra récupérer ses katanas. Mais sa blessure à la jambe le faisait souffrir, il allait sans doute perdre, il devait en finir en un seul coup. Un coup qu'il allait tester sur elle, un coup qu'il venait, en quelques secondes, il y a quelques instant, d'inventer.

          « Kuro No Mai... »


          Il jeta une de ses lames vers la jeune femme, elle se planta devant elle. Ils courra vers celle ci et sauta en prenant appuis sur le manche. Il se retrouva derrière la dame, et ferma les yeux en lui tranchant la tête, pour tomber au sol avec elle, la jambe baignée de sang. Il ne lui aura même pas demandé son nom...
            L'enchaînement fatal

            La soif de pouvoir. ~ Walter10

            Oh, mais c'est qu'il dort encore le petit Zetsu... Quand est ce qu'il va se réveiller ? Ah maintenant, d'ailleurs il a sursauté, faut dire que se réveiller dans une marre de sang à côté d'une tête coupée c'est pas très encourageant, mais il devait le faire. La douleur avait surement passé, je peux pas ressentir ce qu'il a mais vu la tronche qu'il tire il doit en voir de toutes les couleurs. Mais que font ses hommes ? Ils sont tous mort peut être ? Ah non...

            « Commandant ? Commandant Noriyaki ?! Hého ! Commandant ! »

            Il aurait pu la faire moins fort, après le combat qu'il avait fait ça a du lui exploser les oreilles ça, le pauvre petit sergent ne va sans doute pas s'en tirer comme ça. Pourtant, il continuait, d'ailleurs tous les autres se ramenaient et l'un d'eux le leva, ouah, ils sont pas si méchant les marins dans le fond, sauf Zetsu. Comment dire, hum, il est quelque peu prétentieux, vilain et ... Oh pi c'est pas si grave, tant qu'il dépasse pas le niveau du Capitaine Arashibourei je l'aimerais toujours. C'est vrai que lui il a du niveau. Quel imbécile pourrait croire que ce n'est pas lui qui a tué Vargas alors qu'il le détestait à un point qui dépasse l'entendement humain. Vous me direz, c'est normal c'est un homme poisson. Mais et alors ! La vie, si on l'a ce n'est pas pour que quelqu'un nous l'ôte mince ! Bref, retournons à nos moutons. Zetsu avait trois possibilités :

            - Abandonner le front et retourner soigner ses blessures puis revenir le lendemain, mais ça impliquerait que le chef puisse se barrer.

            - Continuer sans ses hommes pour se battre en un contre un contre le leader de cette révolution, mais il pourrait mourir sur la route.

            - Continuer avec ses hommes, qui pourraient le soigner, et se battre en un contre un contre le leader mais dans une sorte d'arène composée de ses hommes comme spectateur.


            Il avait choisi la troisième, mais non parce qu'il les appréciait, la seule et unique raison pour laquelle il avait choisi cette option c'était qu'il voulait se battre à son casi-maximum contre lui, et il souhaitait aussi que quelqu'un voie ses exploits, pour qu'une personne en particulier entende son nom. Il en avait marre d'être invisible aux yeux de son cousin, c'était l'occasion rêvé ! Bref, deux de ses sous fifres en uniforme le portèrent, et l'un derrière le bandait, le pchitait, lui donnait des cachets, bref la routine pour se sentir bien. En s’engouffrant dans l'immensité de cette cavité souterraine, la fraicheur se faisait sentir et l'atmosphère commençait peu à peu à devenir lourde. Ouai, ils se retournaient à chacun de leur pas, ils se couvraient mutuellement, vu le nombre qu'ils étaient une embuscade allait tous les tués. Ca devait bien faire deux heures qu'ils n'avaient pas bu et qu'ils marchaient, ils espéraient tous bientôt voir le bout. Un deux un deux, voila qu'ils sombraient dans une folie furieuse, maintenant leur cerveau était tout retourné, ils comptaient leur pas. Zetsu levait les yeux au ciel, sans doute en se demandant qui lui avait collé des mecs pareil, mais au moins ils lui avaient sauvé la mise.

            Poc.


            Hola, c'est quoi ce truc stressant là. Vous vous imaginez marcher dans une putain de galerie bien sombre et d'entendre le bruit d'un caillou qui tombe ? Vous faites quoi ? Eh ben vous levez les yeux tient, comme eux ! Là y'a quoi ? Une putain de trappe. Une putain de trappe avec un putain de mec là haut. Les marins, vous savez c'que j'en pense ? Ce sont des imbéciles. Ils étaient tous en train d'essayer de monter à l'échelle sans réfléchir, seuls les meilleurs étaient resté. Zetsu n'avait même pas eu l'envie de les sauver. Bref, ils étaient maintenant monté bien haut, et bien évidemment, l'ombre de l'homme qui était apparu plus tôt était revenu, alors on vit sa main s'approcher doucement de l'échel...

            *Putain mais tu fous quoi avec la caméra Brian ?! J'suis en train d'bosser là ! Recadre moi ça sur l'image ! Rhaa que des incapables dans cette putain de boite !*

            Bref, voila maintenant on a raté l'image. Là on a affaire à une bande de six marins écrasé comme des merdes en dessous d'une putain d'échelle. Et on aura même pas vu la scène à cause de certaines personnes. Bon, ils ont certes fait une chute longue comme les affront à Gaius Julius Caesar qu'on fait les gaulois Astérix & Obelix mais au moins ils ont contribué au sauvetage de ceux qui ne sont pas monté, maintenant ils n'oseront pas y aller. Bon, Zetsu remets l'échelle vers la trappe et fait un petit clin d'oeil à son pote en blanc le plus responsable. Au moment ou l'ombre apparait, pouf, un coup de révolver et y'a pu d'ombre, enfin si y'a une ombre mais elle est en train de tomber. Sachant que lui il se fera plus mal que les six marins décédés plus tôt vu que c'est une chute en ligne droite à quatre vingt dix degrés. Mais passons les détails métaphysique et logique, au moins ils ont passé la trappe, mais problèèèème. Les voila maintenant devant LE chef. LE chef qui fait pas loin de deux mètres pour cent kilos. Un mastodonte dans l'genre des basketteurs mythiques comme Shaquille O'Neal. Tenue noble, coiffure correcte, bon ok c'est un mastodonte bien habillé, mais quand même il est costaud le lascars. Bref, voyons le combat de plus près, avec une musique pour faire bien passer le tout.


            Regards noirs, pensées inconnues, veines qui ressortent, tension montante. J'ai résumé avec brio ce qu'il se passe depuis maintenant quelques secondes. Zetsu a déjà dégainé ses deux lames, il semblerait qu'il se sente un peu mieux, pourtant on sait tous très bien qu'avec ce qu'il s'est mangé au dernier combat ça va pas être de la tarte. Pourtant son regard ne vascile pas, il n'est plus là, à quoi pense-t-il, que va-t-il faire ?

            *Passage in Zetsu*


            « Mamaaaaaaaaaaaan ? Il est où papaaaaaaaaaaaaa ? »
            « Il est parti pêcher en mer mon chéri, avec tes tontons. »
            « C’est pourquoi qu’il nous a pas emmené ? »
            « Oncle Takeshi ne voulait pas, il voulait être entre frère. »
            « Maiiiiis euuuuuu c'est pô juste.., c’est quand qu’il rentre ? »
            « Je ne sais pas mon chéri, patience est maître mot. »

            A ce moment là, le petit chéri à son papa et à sa maman ne se doutait pas qu’il allait passer la pire semaine de sa vie, et que sa mentalité allait changer du tout au tout. A partir de ce moment précis, il ne voulait plus perdre, pour venger son père. Ne plus perdre. Plus jamais, quelqu’en soit les circonstances. Et si un jour, il devait perdre, ce sera pour mourir.


            *Passage in Narrateur*


            Il a chuchoter quelque chose d'inodible, mais je crois que c'était le nom de sa technique pour entrer dans le combat, la Danse du Commencement. A voir ses mouvements et les attaques qu'il porte à différents endroits en glissant autour de son adversaire j'avais bien raison, bref, aucun effet sur son adversaire qui se fiche de lui avec un sourire en coin pas très très apprécié par notre Commandant. Haha ; Il s'est éloigner pour reprendre de plus belle avec sa deuxième attaque, ha non. Son ennemi continu de sourire, il n'a rien eu, en fait il est rapide, puissant et inflexible, ça va pas être de la tarte pour Zetsu. Ses compatriotes l'avaient remarqué et avaient bien tenté de s'approcher de leur ennemi commun mais... Cette puissance, cette pulsion meurtrière croissant minute après minute les avaient éloigné, la peur s'était fait ressentir dans toute la pièce, incroyable. Bref, il ne fallait pas qu'il lui laisse une seconde de répis, aller vas y Zetsu, cogne, horizontal, vertical, coup de boule, tranche dans l'vif mon gars !

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