Ces derniers jours nous avons regonflé les rangs de l’équipage, suite à nos actions envers les Tempiestas, les mafieux semblent craindre ma présence pour leur business alors que la population qui subit leur présence pour certains décident d’agir en rejoignant mon équipage, souhaitant être libre c’est la meilleure solution pour eux d’ailleurs mais je reste sélectif, il faut qu’ils aient un minimum de connaissance sur les armes la navigation etc… .
Ce qui était du coup de l’objectif pour remonter à une soixantaine d’hommes, il a été atteint.
Nous avons changé plusieurs fois de quartier général dû à certaines répliquent de la famille que j’ai grandement affaiblit, rien de bien grave mais je préfère changer de place dans ce même quartier histoire d’éviter trop les affrontements, je n’ai pas envie de perdre déjà mes nouvelles recrues, elles pourront toujours me servir.
Maintenant nous logeons dans ce qui se rapproche d’une ancienne banque, je dors dans la salle des coffres et les autres s’éparpillent entre les appartements au-dessus de la banque, l’accueille et les bureaux.
Aujourd’hui Léonardo, deux membres de l’équipage et moi allons faire quelques courses en ville. Léonardo a besoin d’équipement médical pour mieux nous soigner et tout bonnement faire le plein de ce qu’il a utilisé pour les dernières violentes batailles. Les deux gars sont là pour nous accompagner et moi c’est juste histoire de me changer de ce quartier miteux qui pue le rat mort.
En chemin je m’allume une tige, mes getas commencent à être usées, malgré qu’elles soient en bois, je sens bien qu’une va casser. Nous continuons notre avancée en ville.
Ces derniers temps, j’ai vu que je faisais pas mal parlé de moi. Sur le journal d’hier j’ai vu que ma prime avait quasiment doublé, de 58 millions de berrys sur ma gueule je suis passé à 94 millions, bordel, je dois me faire de plus en plus discret, si la Marine en apprend trop sur mes vacances sur cette île, il est clair qu’ils vont investiguer l’île de fond en comble.
Pour ça, je me suis préparé, j’ai enroulé une vieille écharpe autour du bas de mon visage, cachant ainsi ma bouche et mon nez, mon chapeau cache mon œil blessé ainsi que le haut de mon visage, plongé dans l’ombre.
Une fois en ville les regards à mon encontre me font peur, le jugement des gens, m’ont-ils reconnu ? Non. Tout ça c’est dans ma tête. Impossible que l’on me reconnaisse.
Les gars font leurs petits achats, quelques personnes semblent se douter que nous sommes des pirates, je sue à petite goutte. Déjà que j’ai chaud sous cet accoutrement, le stress d’une attaque de mafieux en ville me fait assez flipper je dois dire, nous ne sommes que quatre, même si j’ai un pouvoir maudit et une expérience en combat, contre une ville où les mafieux pullules je ne pas faire grand-chose.
Ce qui était du coup de l’objectif pour remonter à une soixantaine d’hommes, il a été atteint.
Nous avons changé plusieurs fois de quartier général dû à certaines répliquent de la famille que j’ai grandement affaiblit, rien de bien grave mais je préfère changer de place dans ce même quartier histoire d’éviter trop les affrontements, je n’ai pas envie de perdre déjà mes nouvelles recrues, elles pourront toujours me servir.
Maintenant nous logeons dans ce qui se rapproche d’une ancienne banque, je dors dans la salle des coffres et les autres s’éparpillent entre les appartements au-dessus de la banque, l’accueille et les bureaux.
Aujourd’hui Léonardo, deux membres de l’équipage et moi allons faire quelques courses en ville. Léonardo a besoin d’équipement médical pour mieux nous soigner et tout bonnement faire le plein de ce qu’il a utilisé pour les dernières violentes batailles. Les deux gars sont là pour nous accompagner et moi c’est juste histoire de me changer de ce quartier miteux qui pue le rat mort.
En chemin je m’allume une tige, mes getas commencent à être usées, malgré qu’elles soient en bois, je sens bien qu’une va casser. Nous continuons notre avancée en ville.
Ces derniers temps, j’ai vu que je faisais pas mal parlé de moi. Sur le journal d’hier j’ai vu que ma prime avait quasiment doublé, de 58 millions de berrys sur ma gueule je suis passé à 94 millions, bordel, je dois me faire de plus en plus discret, si la Marine en apprend trop sur mes vacances sur cette île, il est clair qu’ils vont investiguer l’île de fond en comble.
Pour ça, je me suis préparé, j’ai enroulé une vieille écharpe autour du bas de mon visage, cachant ainsi ma bouche et mon nez, mon chapeau cache mon œil blessé ainsi que le haut de mon visage, plongé dans l’ombre.
Une fois en ville les regards à mon encontre me font peur, le jugement des gens, m’ont-ils reconnu ? Non. Tout ça c’est dans ma tête. Impossible que l’on me reconnaisse.
Les gars font leurs petits achats, quelques personnes semblent se douter que nous sommes des pirates, je sue à petite goutte. Déjà que j’ai chaud sous cet accoutrement, le stress d’une attaque de mafieux en ville me fait assez flipper je dois dire, nous ne sommes que quatre, même si j’ai un pouvoir maudit et une expérience en combat, contre une ville où les mafieux pullules je ne pas faire grand-chose.