Après une dure journée de labeur, et, comme à son habitude, Kusachi avait englouti sa solde dans la taverne du coin. Voilà quelques jours que le navire où il s'était engagé mouillait dans le port d'Orange suite à une tempête. Plusieurs avaries étaient apparues et les réparations traînaient, forçant les marins à rester à terre en attendant de pouvoir reprendre les flots. Il avait bien tenté plus d'une fois d'aider pour avancer les processus et partir au plus vite, mais dans son infinie adresse, il avait souvent fait plus de nouveaux trous dans la coque qu'il y en avait auparavant. Malgré les bourdes, il avait réussi à garder son poste à bord et il n'avait plus qu'à tenir bon avant le grand départ. Pas un soucis en soit, mais comme dit précédemment, Kusa n'avait plus un sous en poche, l'agonie sera longue si le bateau ne reprenait pas la mer sous peu. Son seul lot de consolation, sa gourde, qu'il venait tout juste de remplir, de quoi faire un sevrage progressif en attendant la prochaine paye, ou plutôt la prochaine journée. Orange Town était un petit coin tranquille, tout mignon avec peu de divertissements mais un paysage ravissant.
→ Raaaaa On s'fait chier ici !
La notion touristique du coin était différente du point de vue de Kusachi. L'endroit était barbant et sans aucun intérêt. Peu intéressé par la socialisation avec les autres marins, leurs jeux de cartes et paris en tout genre, il n'était pas nécessaire de forcer les choses et se mélanger à l'équipage, surtout quand on ne sait pas combien temps on va rester à bord du même navire. En général, pas longtemps dans son cas, plus souvent renvoyé pour avoir commis de nombreuses bourde plutôt qu'une décision prise en son âme et conscience. Se laissant emporter dans sa solitude, il continua son chemin à la recherche d'un quelconque endroit tranquille où s'asseoir et continuer à boire sagement dans son coin, tout en ruminant et se plaignant.
→ Raz-le-bol des gens gentils, marre de ce boulot et de ce navire, vivement que je trouve mieux à faire. Trop longtemps que je traîne sans rien faire d'intéressant. Raaaaaa il peut pas se passer quelque chose une fois de temps en temps pour m'occuper, bordel !... Oh, charmant !
Le regard de Kusa se posa sur un petit muret encadrant un jardin en fleur. Ce n'était pas le spectacle avec toutes ces couleurs qu'il trouvait intéressant, juste le muret en pierre, parfait pour s'asseoir et passer le temps jusqu'à ce qu'il décide de retourner sur le navire et encore perdre du temps sur cette île. Avalant quelques goulées du contenu sa gourde, regardant les quelques passants du coin, grommelant des réponses à leurs sympathiques salut, Kusachi était bien, un moment apaisant. Jusqu'à ce qu'un élément vienne tout mettre en l'air.Hé, Kus... Kaz... Machin ! Le capitaine veut que tout le monde revienne au port, ils ont fini de bosser sur le bateau, on va pouvoir repartir. Magne toi si tu veux pas qu'on t'abandonne pas ici.
Un marin, travaillant lui aussi sur le même navire, était venu à sa rencontre et troubler le petit moment de paix de Kusachi. Il avait rapidement fait demi-tour et était parti à la recherche des autres, disséminés dans la ville.
→ BORDEL ! On peut jamais être tranquille. Je te jure, un jour, je vais couler ce bateau, ou quoi que ce soit, et je te tiendrais la tête sous l'eau. Je deviendrais un héros, ou quelque chose du genre, mon nom sera connu de tous ! Et.......... tu es déjà parti à quoi bon m'égosiller. Pfiou, je vais pouvoir me casser de ce trou, j'espère ne jamais avoir à faire escale aussi longue sur des îles où je connais que dalle. Allez, récréation terminée, en route !
Se relevant de son siège improvisé, le chemin vers le port droit devant lui, Kazuki prenait la direction de son navire, espérant repartir au plus vite. Mais une sensation bizarre le gênait, comme si on l'observait, quelqu'un qui se trouvait derrière lui, à jouer à son ombre.
Rapinerie, carabistouille & Gary Stu
(je suis considéré comme 700 doriki's (après mes deux autres RP's) ou 200 (avant)?)
Et une nouvelle journée à s'affamer, une!!! Pfffffffffffffffffffff, vivement que j'arrive à voler quelque berrys pour me renflouer, se disait Koshinida, un archéologue, cette journée-là. Il était allé dans le bar du coin, là-bas, ils servaient une bière exquise. Sur la route, quelqu'un avait fait tomber son mondiale, le journal voletait dans les airs et se rapprochait de l'archéologue qui le prit pour le lire tranquillement dans le bar, une fois arrivé, il prit une bière et commença à lire le journal. Il y lut quelque nouvelle, dont une qui concernait l'île, l'article avait une mauvaise et une bonne nouvelle
[1626] Menace sur Orange :
Tout a commencé alors qu'une livraison d'armes venaient d'être effectué a la caserne de la 473e Division. Des brigands de plusieurs bandes regroupées en une seule ont lancé une attaque sur le village et la caserne, où un seul bataillon était présent pour défendre les fortifications et la ville. Ce fut en partie grâce au courage de la 5e section du bataillon Ramsteil, présente pour la livraison, que les civils purent être mis en sécurité et protéger. Cependant, l'île ne doit son salut qu'au lieutenant-colonel Gallagher, revenu juste à temps d'exercices militaire de combats navals.
C'était donc ça tout le bruit que les gens faisaient dehors, il y avait eu une attaque dans la ville, mais pourquoi n'était-il pas au courant, c'était donc des brigands les trois gars qui étaient venus chez lui et avaient essayé de le piller, c'était donc des brigands les cadavres qui était enfermés dans l'arrière-salle (certes, c'est un peu glauque), c'était pour ça qu'ils n'avaient pas un berry sur eux, enfin bon ce n'était pas si grave, il commença à boire sa boisson et une fois le premier fini, en prit une deuxième, tout en buvant, il vit quelqu'un qui avait l'air pauvre en train de dépenser tout ses quelques berry's en bières, puis partir du bar. L'archéologue décida donc de le suivre, qui sait, peut être cachait-il de l'argent, il arriva finalement près du vagabond et l'entendit dire :
→ Raaaaa On s'fait chier ici !
Mais l'historien s'en contrefichait de l'ennui du moment qu'il pouvait vivre, il continua donc de suivre le démuni qui continuait de pousser des jurons, il avait l'air de chercher quelque chose, mais quoi ? De l'argent, parce que c'est bien ce qui lui manquait
→ Raz-le-bol des gens gentils, marre de ce boulot et de ce navire, vivement que je trouve mieux à faire. Trop longtemps que je traîne sans rien faire d'intéressant. Raaaaah, il peut pas se passer quelque chose une fois de temps en temps pour m'occuper, bordel ! ...
Oh, crois-moi, tu n'aimerais pas te retrouver dans une embuscade poursuivis par des pirates voulant ta peau, ce qui était déjà arrivé d'ailleurs, avec des ennuis a tout les coins de rues... Pensa Koshinida. Ce dernier vit ensuite que le vagabond avait l'air de regarder quelque chose, en suivant son regard, il vit un petit muret et eu l'impression que l'autre voulait s'asseoir dessus, et lui qui croyait que l'autre avait trouvé une belle somme d'argent
→Oh, charmant !
Apparemment ce n'était pas le spectacle avec toutes ces couleurs qu'il trouvait intéressant, juste le muret en pierre, puis quelqu'un appela l'alcoolique, Koshinida crut qu'il l'appellerait par son nom, mais non, il l'appela "machin", ce qui prouvait que l'autre n'était pas quelqu'un d'important, en tout cas, le nouveau venu dit au vagabond que le capitaine de leur navire voulait que leur équipage revienne au port, apparemment le navire avait eu des travaux et il était temps pour eux de repartir, en tout cas l'équipage n'avait pas l'air de tellement tenir le pauvre dans leur cœur
→ BORDEL ! On peut jamais être tranquille. Je te jure, un jour, je vais couler ce bateau, ou quoi que ce soit, et je te tiendrais la tête sous l'eau. Je deviendrais un héros, ou quelque chose du genre, mon nom sera connu de tous ! Et.......... Tu es déjà parti à quoi bon m'égosiller. Pfiou, je vais pouvoir me casser de ce trou, j'espère ne jamais avoir à faire escale aussi longue sur des îles où je connais que dalle. Allez, récréation terminée, en route !
Non on ne peut jamais être tranquille, si tu coule le bateau tu sera surtout connu pour ta bêtise, mort en coulant son bateau, tu deviendra surtout un ennemi des héros, ton nom sera connu de tous en mal et tu ne vas pas partir de ce trou si je sabote ton bateau. pensa Koshinida, pourquoi saboter le bateau? pour récupérer l'argent voyons, y a toujours de l'argent sur ses navires. L'alcoolique se releva de son siège improvisé, le chemin vers le port droit devant lui, il s'y dirigeait, c'est à ce moment que l'archéologue décida d'agir, d'un mouvement vif, il prit la gourde du vagabond et eut une drôle d'impression, il bondit en arrière par réflexe.
Et une nouvelle journée à s'affamer, une!!! Pfffffffffffffffffffff, vivement que j'arrive à voler quelque berrys pour me renflouer, se disait Koshinida, un archéologue, cette journée-là. Il était allé dans le bar du coin, là-bas, ils servaient une bière exquise. Sur la route, quelqu'un avait fait tomber son mondiale, le journal voletait dans les airs et se rapprochait de l'archéologue qui le prit pour le lire tranquillement dans le bar, une fois arrivé, il prit une bière et commença à lire le journal. Il y lut quelque nouvelle, dont une qui concernait l'île, l'article avait une mauvaise et une bonne nouvelle
[1626] Menace sur Orange :
Tout a commencé alors qu'une livraison d'armes venaient d'être effectué a la caserne de la 473e Division. Des brigands de plusieurs bandes regroupées en une seule ont lancé une attaque sur le village et la caserne, où un seul bataillon était présent pour défendre les fortifications et la ville. Ce fut en partie grâce au courage de la 5e section du bataillon Ramsteil, présente pour la livraison, que les civils purent être mis en sécurité et protéger. Cependant, l'île ne doit son salut qu'au lieutenant-colonel Gallagher, revenu juste à temps d'exercices militaire de combats navals.
C'était donc ça tout le bruit que les gens faisaient dehors, il y avait eu une attaque dans la ville, mais pourquoi n'était-il pas au courant, c'était donc des brigands les trois gars qui étaient venus chez lui et avaient essayé de le piller, c'était donc des brigands les cadavres qui était enfermés dans l'arrière-salle (certes, c'est un peu glauque), c'était pour ça qu'ils n'avaient pas un berry sur eux, enfin bon ce n'était pas si grave, il commença à boire sa boisson et une fois le premier fini, en prit une deuxième, tout en buvant, il vit quelqu'un qui avait l'air pauvre en train de dépenser tout ses quelques berry's en bières, puis partir du bar. L'archéologue décida donc de le suivre, qui sait, peut être cachait-il de l'argent, il arriva finalement près du vagabond et l'entendit dire :
→ Raaaaa On s'fait chier ici !
Mais l'historien s'en contrefichait de l'ennui du moment qu'il pouvait vivre, il continua donc de suivre le démuni qui continuait de pousser des jurons, il avait l'air de chercher quelque chose, mais quoi ? De l'argent, parce que c'est bien ce qui lui manquait
→ Raz-le-bol des gens gentils, marre de ce boulot et de ce navire, vivement que je trouve mieux à faire. Trop longtemps que je traîne sans rien faire d'intéressant. Raaaaah, il peut pas se passer quelque chose une fois de temps en temps pour m'occuper, bordel ! ...
Oh, crois-moi, tu n'aimerais pas te retrouver dans une embuscade poursuivis par des pirates voulant ta peau, ce qui était déjà arrivé d'ailleurs, avec des ennuis a tout les coins de rues... Pensa Koshinida. Ce dernier vit ensuite que le vagabond avait l'air de regarder quelque chose, en suivant son regard, il vit un petit muret et eu l'impression que l'autre voulait s'asseoir dessus, et lui qui croyait que l'autre avait trouvé une belle somme d'argent
→Oh, charmant !
Apparemment ce n'était pas le spectacle avec toutes ces couleurs qu'il trouvait intéressant, juste le muret en pierre, puis quelqu'un appela l'alcoolique, Koshinida crut qu'il l'appellerait par son nom, mais non, il l'appela "machin", ce qui prouvait que l'autre n'était pas quelqu'un d'important, en tout cas, le nouveau venu dit au vagabond que le capitaine de leur navire voulait que leur équipage revienne au port, apparemment le navire avait eu des travaux et il était temps pour eux de repartir, en tout cas l'équipage n'avait pas l'air de tellement tenir le pauvre dans leur cœur
→ BORDEL ! On peut jamais être tranquille. Je te jure, un jour, je vais couler ce bateau, ou quoi que ce soit, et je te tiendrais la tête sous l'eau. Je deviendrais un héros, ou quelque chose du genre, mon nom sera connu de tous ! Et.......... Tu es déjà parti à quoi bon m'égosiller. Pfiou, je vais pouvoir me casser de ce trou, j'espère ne jamais avoir à faire escale aussi longue sur des îles où je connais que dalle. Allez, récréation terminée, en route !
Non on ne peut jamais être tranquille, si tu coule le bateau tu sera surtout connu pour ta bêtise, mort en coulant son bateau, tu deviendra surtout un ennemi des héros, ton nom sera connu de tous en mal et tu ne vas pas partir de ce trou si je sabote ton bateau. pensa Koshinida, pourquoi saboter le bateau? pour récupérer l'argent voyons, y a toujours de l'argent sur ses navires. L'alcoolique se releva de son siège improvisé, le chemin vers le port droit devant lui, il s'y dirigeait, c'est à ce moment que l'archéologue décida d'agir, d'un mouvement vif, il prit la gourde du vagabond et eut une drôle d'impression, il bondit en arrière par réflexe.
Chaque pas ne faisait que renforcer cette sensation d'être épié et suivi pour Kusachi. Il aurait pu se retourner cent fois afin de vérifier, mais là seule chose présente à son esprit était la possibilité de ne plus jamais fouler ce sol. Après un court instant, il se sentait soulagé d'un poids au niveau de la ceinture, comme si entre-temps, il avait perdu quelque chose. Par un réflexe de survie, il plaça sa main au niveau de sa ceinture, là où sa gourde était censée être et..... plus rien. Sa plus grande possession venait de filer à l'anglaise, il était trahi, abandonné par son unique amour. Se retournant, vif comme l'éclair, afin de dévoiler le mystère et découvrir ce qui avait pu se passer et où sa réserve de spiritueux avait pu se cacher. Finalement, il s'avérait que sa gourde avait un complice. Ce dernier était à une portée raisonnable, et semblait troublé pour une quelconque raison échappant à Kazuki. Le voleur n'avait rien de bien impressionnant, pas plus épais d'une tranche de pain et pas vraiment intimidant. La seule chose qui pouvait être un danger était son duo de sabre, enfin fallait-il encore savoir s'en servir. Mais, en commettant cet acte de vol impardonnable contre la dernière ressource d'alcool en la possession de Kazu, il venait de s'attirer des problèmes bien plus grave que ce qu'il pouvait imaginer, autant armé qu'il pouvait l'être. Dégainant son bokken et le pointant en direction du criminel, la colère montait, sa respiration s'accélérait, cette action ne resterait pas impunie.
→ Oï, toi ! Tu vas me rendre ça de suite avant que tu termine la tête dans le sol. Rien à foutre de qui tu peux être, pourquoi tu m'as piqué ma gourde ou encore.... Ouais non, j'ai rien qui me vient en tête. Mais tu vas me filer ce qui m'appartient avant que j'aille le récupérer sur ton corps. Tu sais pas à qui tu te frottes gamin... J'ai vécu et fait des choses que tu ne pourrais que rêver, et encore, tu en ferais des cauchemars. Tu n'es rien, juste un misérable cafard à écraser. J'ai un bateau à prendre, pas le temps pour jouer à la nounou avec toi et t'apprendre les bonnes manières, maintenant, tu fais ce que je te dis où tu vas apprendre à me connaître. JE SUIS KUSACHI KAZUKI ET TOI, TU VAS ME RENDRE MA BOISSON !
Pourtant calme et inoffensif d'ordinaire, Kusachi approchait peu à peu de l'état d'esprit d'un berserker. L'alcool, c'est sacré, et, lui voler sa dernière ressource, c'était l'offense ultime. Hurlant ses dernières paroles, il était proche du point de rupture et de commencer à faire n'importe quoi en délivrant sa fureur, ou alors ce n'était que l'alcool qui lui montait à la tête. La partie d'échec était lancée. Regardant son adversaire dans le blanc des yeux, Kusachi pensait déjà à son premier coup. Pas vraiment un fin stratège, la seule idée qui lui venait en premier lieu était de foncer dans le tas et de conclure cette mascarade rapidement. Il ne voulait pas vraiment laisser le premier mouvement à l'adversaire, et comme celui-ci ne semblait pas vraiment réactif, ouvrir la marche semblait être la meilleure chose à faire.
→ Hé regarde là bas, un mignon petit écureuil, il fait un bruit bizarre, un genre de dfff
Indiquant une position aléatoire, Kazu avait décidé que ses chances étaient meilleures en faisant diversion avant de lancer l'assaut. Évitant de laisser trop de temps à son adversaire pour réfléchir et découvrir la supercherie, il sonna la charge, prêt à abattre le voleur en un coup gagnant. Pas d'ambition de le tuer, simplement de récupérer sa gourde et pouvoir repartir sereinement vers de nouvelles aventures.
le vagabond finit par se rendre compte du coups, tant mieux, une fois le combat terminé il serait plus facile de lui soutirer des information sur l'argent qu'il devait cacher quelque par sur le bateau qu'il allait remarquer.Le pauvre avait l'air totalement fou, encore un grand alcoolique qui pète les plombs quand on lui prends sa gourde, ses gars sont vraiment fou, mais parmi ces fous, la personne face à qui l'archéologue était avait l'air du plus fou de ces fous.
Il avait l'air près à en découdre, celui là, près à trucider celui qui lui avait pris son précieux bien, près à se battre, et ça c'est tout ce que voulait Koshinida, se battre, le battre pour lui soutirer les informations tant convoité, gagner des berrys grâce a ça et devenir riche, puis partir en mer, devenir pirate.
→ Oï, toi ! Tu vas me rendre ça de suite avant que tu termine la tête dans le sol. Rien à foutre de qui tu peux être, pourquoi tu m'as piqué ma gourde ou encore.... Ouais non, j'ai rien qui me vient en tête. Mais tu vas me filer ce qui m'appartient avant que j'aille le récupérer sur ton corps. Tu sais pas à qui tu te frottes gamin... J'ai vécu et fait des choses que tu ne pourrais que rêver, et encore, tu en ferais des cauchemars. Tu n'es rien, juste un misérable cafard à écraser. J'ai un bateau à prendre, pas le temps pour jouer à la nounou avec toi et t'apprendre les bonnes manières, maintenant, tu fais ce que je te dis où tu vas apprendre à me connaître. JE SUIS KUSACHI KAZUKI ET TOI, TU VAS ME RENDRE MA BOISSON !
Bon, peut être y avait-il moyen de discuter calmement pour atteindre un arrangement rentable, sans combat, sans sang, sans blessures et surtout, sans engueulade...
-Ecoute je veut bien te rendre la gourde a laquelle tu tiens tant si tu me dit où vous cachez l'or
Il avait l'air près à en découdre, celui là, près à trucider celui qui lui avait pris son précieux bien, près à se battre, et ça c'est tout ce que voulait Koshinida, se battre, le battre pour lui soutirer les informations tant convoité, gagner des berrys grâce a ça et devenir riche, puis partir en mer, devenir pirate.
→ Oï, toi ! Tu vas me rendre ça de suite avant que tu termine la tête dans le sol. Rien à foutre de qui tu peux être, pourquoi tu m'as piqué ma gourde ou encore.... Ouais non, j'ai rien qui me vient en tête. Mais tu vas me filer ce qui m'appartient avant que j'aille le récupérer sur ton corps. Tu sais pas à qui tu te frottes gamin... J'ai vécu et fait des choses que tu ne pourrais que rêver, et encore, tu en ferais des cauchemars. Tu n'es rien, juste un misérable cafard à écraser. J'ai un bateau à prendre, pas le temps pour jouer à la nounou avec toi et t'apprendre les bonnes manières, maintenant, tu fais ce que je te dis où tu vas apprendre à me connaître. JE SUIS KUSACHI KAZUKI ET TOI, TU VAS ME RENDRE MA BOISSON !
Bon, peut être y avait-il moyen de discuter calmement pour atteindre un arrangement rentable, sans combat, sans sang, sans blessures et surtout, sans engueulade...
-Ecoute je veut bien te rendre la gourde a laquelle tu tiens tant si tu me dit où vous cachez l'or
En pleine charge pour se débarrasser du truand face à lui, Kusachi fut rempli d'incompréhension quand celui-ci, plutôt que se préparer à encaisser le coup ou l'esquiver, resta planté au même endroit tout en posant une question. La situation était cocasse, mais il ne pouvait pas s'arrêter en plein dans son action pour prendre un temps pour réfléchir à ce qui était en train de se passer. A hauteur de son adversaire, il se freina dans sa course, se bloquant avec son pied, et plutôt que d'utiliser son bokken et mettre fin directement à l'affrontement, il envoya au sol le voleur avec un coup d'épaule en plein dans le torse de ce dernier. Avant de faire quoi que ce soit, Kazu se donna un peu de temps pour réfléchir à tout ça. Pourquoi était-il resté figé, sans vouloir faire quoi que ce soit, et surtout, qu'est ce qu'une histoire d'or venait faire dans l'histoire. Sans être un homme de logique, Kazuki était complètement perdu face à la réaction qu'il avait eu face à lui.
Enfin, ce qui est fait est fait comme le dit si bien le dicton, et sans mal, du bout de son bokken, Kazuki put ramasser la gourde, qui, elle aussi, était au sol. Une fois son précieux artefact entre ses mains, il en avala une goulée tout en regardant le type au sol. Avait-il un problème, ou n'était-ce qu'un voleur de bas étage incapable de faire face à une situation pareille, tout cela resterait un mystère. Le point positif, c'est que sa tension était redescendue, la simplicité pour avoir mis au tapis ce gars avait été bon pour se calmer les nerfs.
→ T'as un soucis dans ta tête gamin ? Va falloir faire mieux que ça si tu veux survivre dans ce monde de charognard. Enfin j'ai ma gourde, m'en fiche de ce que tu peux faire maintenant.
Tournant les talons, la gourde de nouveau à la ceinture, bokken à l'épaule, Kusachi reprenait son chemin pour retourner au bateau et reprendre son activité normale, bien que peu engageante. Cependant, son esprit tentait désespérémment de trouver la logique derrière toute cette affaire, enfin, lui-même avait demandé de l'action, de quoi allait-il se plaindre, aussi courte soit-elle. Après quelques pas, Kazu s'arrêta.
→ Oh, à propos de ton or, aucune idée de quoi tu parles. Allez, salut.
Levant la main en l'air histoire de faire dans la politesse et dire au revoir, le pirate reprit sa marche.
Koshinida avait réussi à esquiver de peu le coup que le vagabond lui avait fait, un coup puissant, mais il fut tout de même un peu touché et malgré l'esquive, le coup lui avait fait des dommages importants, de sorte qu'il fût projeté au sol, quand il cherchait un accord, l'historien avait interverti la gourde avec une autre qui elle était vide, il savait très bien que face à un marché aussi étrange en pleine attaque, le vagabond serait étonné et n'aurait pas fait attention.
Il fit le mort le tant que l'autre parte et une fois ce dernier partis, l'archéologue se releva et alla se cacher près tout près dans un buisson du parc le plus proche, un moment, un chien arriva et failli se vider sur lui, pas la peine de préciser la situation, mais le chien s'envola vers d'autres cieux.
Koshinida se doutait qu'en remarquant que la gourde n'était pas la bonne, le vagabond reviendrait, abruti par sa soif d'alcool et sûrement bien plus téméraire, il déposa donc la gourde du vagabond par terre, tout près du lieu du choc et attendit le retour du vagabond
Il fit le mort le tant que l'autre parte et une fois ce dernier partis, l'archéologue se releva et alla se cacher près tout près dans un buisson du parc le plus proche, un moment, un chien arriva et failli se vider sur lui, pas la peine de préciser la situation, mais le chien s'envola vers d'autres cieux.
Koshinida se doutait qu'en remarquant que la gourde n'était pas la bonne, le vagabond reviendrait, abruti par sa soif d'alcool et sûrement bien plus téméraire, il déposa donc la gourde du vagabond par terre, tout près du lieu du choc et attendit le retour du vagabond
Continuant son chemin tranquillement, Kazuki n'avait pas eu à se plaindre de sa victime, il n'avait pas bronché dans son dos et avait probablement dû accepter son sort. Après tout, il n'avait pas grande chance en agissant de la sorte. Il espérait que ceci lui avait puis lui apprendre quelque chose et que cette leçon le guiderait dans sa vie, tel un maître chinois mystérieux servant de guide spirituel, mais au plus profond de lui-même, il s'en foutait. Maintenant il n'y avait plus qu'à retourner au bateau et embarquer avant que le capitaine ne décide de reprendre la mer. Après tout, Kazu n'était pas un membre important, et ça n'était qu'une question de temps avant qu'il se fasse jeter de l'équipage à force d'accumuler les bourdes, donc ne pas être attendu ne serait pas une surprise. Alors bien parti pour arriver sur le port sans problème, une distraction apparu au coin d'une rue.
Un artisan local, qui, profitant de la présence de quelques visiteurs, faisait la dégustation de sa cuvée spéciale de gnôle. Un événement immanquable pour l'alcoolique notoire. Oubliant rapidement son but premier, il se dirigea vers l'étale du monsieur, qui vantait en tout point les mérites de son alcool. Écoutant avec un semblant d'intérêt afin de se mélanger aux quelques personnes présente et éviter de passer pour un pilier de bar en manque de boisson, le temps fila tant le vieil homme avait de choses à raconter à propos de son nectar. Mais le marin tenait bon, il se devait d'attendre le temps qu'il faudrait rien que pour le plaisir de boire un coup gratuitement.
Alors que le moment d'avoir un verre entre les mains approchait de plus en plus, un son de cloche se faisait entendre. Venant droit du port, Kusachi savait très bien de quoi il s'agissait : l'annonce du départ de son navire. Il n'avait que très peu de temps devant lui pour retourner à bord de cette coque de noix, mais il était tiraillé dans sa décision de partir du fait que l'homme qu'il avait écouté tergiverser pendant un long moment était en train de verser de sa gnôle dans des gobelets pour faire goûter son audience. Choix cornélien, il ne pouvait choisir, la décision était bien trop complexe à prendre pour lui, surtout sans avoir le temps d'y réfléchir. Alors, profitant d'un éclair de génie, il piqua la bouteille de gnôle et pris la tangente vers le port, espérant arriver à temps pour s'échapper de l'endroit.
Une course folle, pleine d'espoir, à travers la rue pour atteindre son but... Mais sans succès. Au moment où il posa les pieds dans le port d'Orange, il ne pouvait voir que le navire avec lequel il était venu en train de quitter la zone et reprendre la mer. Le départ avait été sacrément rapide, probablement parce que Kusa était le seul manquant à l'appel de l'équipage et que c'était plus simple de l'abandonner sur l'île sans rien dire plutôt que de voir le virer de l'équipage plus tard en devant lui donner de l'argent pour son licenciement. Pour se consoler, il avait tout de même la bouteille qu'il avait embarquée dans sa course, enfin, il n'y avait pas grand chose dedans, le vieux avait pratiquement tout vidé pour remplir les verres des intéressés. Avalant le peu qu'il y avait, il recracha rapidement le tout. Ce n'était rien de plus qu'une immondice, un atroce breuvage, une sorte de mélange entre différents fonds de bouteilles et probablement des produits pas vraiment fait pour être consommé. Encore une déception. Et tout ceci n'était la faute que d'une seule personne : l'apprenti voleur, le gamin ridicule qu'il avait envoyé au sol en un coup. Il lui fallait le retrouver et décharger ses nerfs sur celui-ci, au moins le fait de devoir rester sur Orange sans un sous serait plus supportable après avoir fait manger la poussière à quelqu'un.
Faisant le chemin inverse, Kazu se préparait à flanquer une correction à celui qui était à l'origine de tous ces maux récent. Il passa devant l'étalage de vendeur de gnôle, plus personne n'était devant, et les gobelets pour la dégustation étaient tous au sol, et n'avaient visiblement pas été bu entièrement. Il n'avait pas été le seul à regretter d'avoir posé les lèvres sur ce poison. Retour au point d'origine, là où il avait plus ou moins combattu. Plus personne dans les alentours, plus personne sur le sol.
→ Merde alors, il a foutu le camp cette enflure....