L’ABANDONNE
• Pseudonyme : Sute Raremashita (捨てられました)
• Age : 18 ans
• Sexe : Homme
• Race :Humain
• Groupe : Civil
• But : Devenir un puissant et respect personnage afin de protéger qui il souhaitera
• Équipement : Deux chaines en acier qui servent au combat.
• Parrain : Google, un moteur comme ça !
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Peut être que non…
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises
Le regard et la classe, on fait avec.
Je ne suis pas une bête en l’art de montrer des muscles saillants, peser 100 kilos et soulever des altères d’une tonne avec m…mes paupières. Bon, je ne vais pas non plus me rabaisser et vous dire que je suis un squelette en manque de calcium car je suis plutôt robuste j’ai de la matière dans les cuisses, les bras et les abdos mais pas de quoi soulever une montagne. J’ai une bonne gueule, des cheveux longs blonds et je dirai soyeux. J’aime beaucoup mettre des vêtements blancs qui me mettent en valeur et la capuche c’est le petit plus qui fait tout mon style.
Mais ne vous y trompez pas mon regard joueur, charmeur n’est qu’une façade parmi une multitude. On me qualifie beaucoup par mon regard car je n’ai pas vraiment de ton, on va dire que dans ma voix se détache la douceur et le bonheur. Tout le reste se passe dans mes deux yeux ambrés. La colère, la tristesse, l’amour, la haine, l’excitation. ABSOLUMENT TOUT. Disons que je fais carrément flippé, du moins je suis taré quoi… Quand on est face à quelqu’un qui sourit de toute ses dents, rigole et en même temps vous foudroies du regard… Ca tétanise et affole bien sûr. Je donne toujours une petite indication de jeu pour que la dite-personne puisse savoir comment réagir, par exemple : « Je vais te botter les fesses, passes moi le broc d’eau que je te l’éclate sur la tête. » Je vous taquine je ne m’énerve que très rarement. Enfin passons, je tiens énormément a mon foulard or et je ne le quitte jamais c’est autant un doudou qu’un précieux trésor. J’arbore un long T-shirt noir, deux chaînes autour de ma taille de plus ou moins 3 mètres et un slim blanc accompagné par des chaussures montantes qui m’ont coutées la peau des cuisses pour ne pas dire au-dessus.
Bien évidemment ça ne suffira pas mesdames et messieurs veulent du détail du sang, de la souffrance, des faiblesses, de quoi se moquer. Bien ! J’ai un tic très particulier, je suis tout le temps heureux sauf cas exceptionnels où je dois tuer ou encore je vois des gens que j’aime de se faire décapiter, vous m’excuserez ! Le second bien plus physique, dès que je me marche je me mets à bouger comme si je dansais mais plus en sautillant et tout en même temps je fais tournoyer les deux extrémités de mes chaines dans mes mains. OOOOH CE N’EST PAS MIGNON, DES CHAINES EN ACIER CA FAIT TREEES MAL. Oui… Je sais monter le ton… Même si avec ma tranquillité ce n’est pas crédible… Sinon je ne peux pas tenir en place je gigote quand je suis assis plus de 10 minutes de trépigne si je suis debout, oui on dirait un enfant mais j’ai 18 ans donc la ferme !
… Pour…Pourquoi vous avez peur d’un coup… Il y a un colosse derrière moi c’est ça… Aaaaah non ! C’est mon regard ! Je vous avais prévenu il fallait rester calme ! D’ailleurs si j’avais dû me battre j’aurais beaucoup utilisé mes jambes, mes poings aussi mais je déstabilise toujours mes adversaires avant le coup de grâce … De plus, je me défends toujours je n’attaquerai jamais le premier, je ne suis pas là pour exterminer mais pour aimer et partager ! Seulement on n’a pas toujours le choix !
Un ange dans un esprit de fou mais qui n’est pas si taré puisqu’il est gentil enfin c’est ce qu’on me dit après moi je fais confiance ca reste a voir…
Comme vous l’aurez remarqué, je suis un garçon rempli d’amour de bonté, de sourire et d’aventure. Disons que j’aime la vie les gens et je n’attends rien d’eux en retour, s’ils veulent me donner de l’attention cela me touchera puis je leur donnerai le quadruple ! Oui je m’attache, et surtout à part trahison je ne me détache pas… Le pire étant que je ne prends pas position entre pirates marine gouvernement je peux aimer tout le monde. Règle à préciser… Imaginons que vous au premier rang êtes mon ami, enchanté moi c’est Sute ça va ? Oui merci et vous ? Alor qu’est-ce que vous faites dans la… Oui pardon je suis fou et distrait je tiens à le préciser, pas fou au mauvais terme je suis juste déganté disons ! Je m’égard davantage…
Donc monsieur mon ami… MADAME autant pour moi, c’est la coupe qui… Donc, madame vous êtes mon amie (euh) et le jeune bout de chou au fond l’est aussi. Vous, n’aimant pas ce petit bébé le buter, alors vous me trahissez et donc mourrez ! Voilou ! En fait, je me range de ceux que j’aime et qui ne trahissent pas ! C’est vrai qu’au premier abord on me voit comme quelqu’un de pétillant, de gentil et sans souci mais j’ai connu les pires souffrances physique et mentales tout comme d’autres. C’est pour ça que malgré mon caractère invisible je reste un hyper sensible… Trêve de lamentation je déteste me plaindre et je suis vite saouler par ce type de personne. Mais si je tiens à toi alors je n’en prendrai pas compte parce que tu comptes éhé !
J’ai un complexe oui, il est sportif ! Aahahaha, vous avez compris complexe sportif ???Oui donc je suis très bon public mais en revanche mon humour ne fait rire, évidemment, que moi… Mon complexe c’est ma remise en question, permanente je ne serai jamais fier de moi j’aimais content de moi ! En réalité, la seule haine que je puisse nourrir c’est celle que je me donne… Je veux pouvoir réussir absolument tout et malgré que je sois redoutable au combat de corps… Ça ne me suffit pas… Et cette hantise je vais la pulvériser pour aider tous ceux qui sont importants à mes yeux et ainsi m’aider. Oui je l’ai décidé mon objectif sera de trouver un met fameux auquel je conspire, un fruit du démon. Je suis le plus heureux aux cotés de mes gens et je le serai peut-être enfin à mes propres cotés ! Je n’ai rien contre la solitude car elle m’apporte toute ma sagesse ma patience et mon énergie mais disons que mon ambition et mes limites ne vivent pas le grand amour… Ils vivent l’un de l’autre mal compris et mal accompagnés… J’espère que ça vous aura plu moi j’y retourne j’ai, du chemin !... Hein? Mon camp ?... Comme je vous ai dit j’ai tué pour protéger ou me protéger mais je suis capable d’apprécier et d’aimer qui voudra ! Bonne soirée :
Arittake no yume wo kakiatsume
Sagashimono wo sagashi ni yuku no sa ONE PIECE
Rashinban nante juutai no moto
Netsu ni ukasare kaji wo toru no sa
HOKORI kabutteta takara no chizu mo
Tashikameta no nara densetsu janai!
…
Sagashimono wo sagashi ni yuku no sa ONE PIECE
Rashinban nante juutai no moto
Netsu ni ukasare kaji wo toru no sa
HOKORI kabutteta takara no chizu mo
Tashikameta no nara densetsu janai!
…
- Traduction:
- Rassemblons tous nos rêves,
Et allons chercher nos désirs ! One Piece !
Les boussoles ne causent que du retard.
Rempli d'excitation, j'ai pris la barre.
Si nous pouvons vérifier la vieille carte au trésor poussiéreux,
Alors ce n'est plus une légende !
Le plaisir réside dans l’envie de vivre
Je suis né d’une famille que je n’ai appris qu’à connaitre pendant 8 huit ans. Disons que mes parents m’ont inculqué le bonheur, l’amour, l’aventure puis ils sont partis me disant que ce n’était pas contre moi mais qu’ils voulaient plus de libertés… Alors sur leur bateau ils sont partis s’amuser comme des fous… Pour toujours… Mais surtout sans moi… Tant pis si eux sont heureux ! Et puis ils n’étaient pas seuls, ils étaient entourés d’ange avec des capes blanches ! Qu’est-ce qu’ils pleuraient de rire en partant c’était tellement prisant que voulu nager pour les rejoindre… Seulement une chose me séparait encore d’eux… Mes bras n’avaient pas encore appris la capacité nage… D’ailleurs tout le monde pleuraient de joie, tout Logue Town ! C’était génial on a fêté ça pendant des jours, qu’est-ce qu’on a pu vivre heureux !
J’ai fini par être recueilli après un an dans les rues par une plutôt vieille dame du nom de Rose, elle aimait beaucoup jardiner et cuisiner, surtout ce que j’adorais c’était l’odeur de vanille qui se dégageait quand je rentrais chez nous. Ça me reboostais, on vivait si paisiblement tous les deux j’avais l’impression que c’était ma mère mais plus grand-mère que mère mère quoi ! Puis un jour elle devait être fatigué alors elle n’a pas voulu se lever du coup Ba j’étais de nouveau seul.
Mais ce n’était pas grave car moi ce que j’adorais c’était grimper sur les toits des maisons au crépuscule courir de cheminée en cheminée jusqu’au port des jumeaux. Puis m’asseoir sur les tuiles les plus proches de la mer et humer les vagues qui venaient éclabousser les pavés leur donnant un éclat sombre qui reflétait le soleil dans ces dernières lueurs. Mon regard se tournait vers l’horizon qui scintillait, l’astre orange se couchait lentement tandis que sa couleur teintait le ciel qui finissait avec les nuages par se vernir d’un mauve étrangement poétique. Ce ciel il m’inspirait chaque soir et plus les couleurs se mêlaient les unes autres plus cela était magnifique. Et puis comme un bouquet final de feu d’artifice la nuit se mettait à crépiter tachetant délicatement le ciel de petites lucioles blanches. Elles étaient des milliers berçant la mer du chant du vent frais et apaisant. Dans cette eau qui s’assombrissait dans ce calme émue par sa propre beauté, ricochaient quelques éclats de ses pierres qui s’échouaient dans cet infiniment grand accompagné par les clapotements des bateaux qui tanguaient, dansant même intimement pour ne pas réveiller le port qui dormait sous la chaleur des foyers. C’est à ce moment précis que c’est éveillé en moi cette envie de savoir ce à quoi ressemblait le ciel autre part dans des contrées lointaines. Un jour, quand je serais enfin prêt, je m’en irai…
En attendant le charme qui dorlotait mes nuits n’étaient pas assez long… Car après deux ans à errer pour quelques morceaux de pains je fus impitoyablement nommé Sute Raremashita… Je fus tellement maltraité physiquement et mentalement par des lâches, des impuissants des gens qui prenaient plaisir à me faire saigner à me faire hurler à me torturer à se soulager sur moi… Je fus tellement traumatisé qu’aujourd’hui je ne peux me rappeler de mon vrai nom… Puis à force de fréquenter ses tendres énergumènes je finis par apprendre que des combats a mort avaient lieux illégalement derrière la ville. Je me suis inscrit à l’âge de 13 ans… Je me suis d’abord entrainer par moi-même puis je suis entré dans l’arène. Je vous avoue avoir eu de la chance les premiers combats étaient contre des vieilles peaux mais au fur et à mesure mes adversaires s’équipaient, étaient de plus en plus fort. Et une nuit se fut l’angoisse qui m’envahit je suis tombé contre un gars de mon âge… Je ne pouvais pas le tuer pas lui… Non pas cette fois…
Il avait deux chaines en acier un peu usé, lui aussi a ses mouvements n’était plus si convaincu de combattre. Mais il finit par l’élancer en hurlant ; Après une dizaine de coups qu’il avait échoué je compris qu’il était trop frustré et qua sa technique et sa vitesse laissaient à désirer. Assez simple à comprendre je fini par analyser sa mécanique. Si je lançais mon poing, il se courbait vers l’arrière puis effectuait un pas de recul pour balancer son corps avec puissance vers l’avant et frapper de ses chaines. Si je le touchais il tentait de m’attraper en ligotant le membre attaquant. Mais de ses armes qu’il ne maitrisait pas, il n’en tirait rien. Ainsi, il finissait par enchainer des coups en faisant des cercles avec ses bras pour faire tournoyer ses lianes argentées. C’était la faille, lorsqu’il projettera son coup je saisirai la chaine et lorsque, par reflexe, il tirera vers lui pour se dégager je me laisserai emporter pour lui mettre un coup de genou sous le menton et le mettre K.O.… Seulement K.O. J’avais bien prévu et le jeune homme se retrouva projeter à son tour sur quelques mètres. Je demandais à ce que le combat se finisse mais il voulait que je le tue. J’avançais trop doucement et les costauds autour de moi commençaient à s’exaspérer… Ils finirent par céder et se jetèrent sur moi mais c’est à ce moment que des coups de feu retentirent… Des marines ! Tout le monde déguerpissait à toute allure… J’allais à mon tour m’enfuir quand j’entendis quelqu’un suffoquer derrière moi et je failli l’oublier, ce vaillant camarade. Alors appuyé sur mon épaule je l’emportais le plus vite que je pouvais entre les ruelles de la ville afin de semer les marines. Par un miracle hasardeux, on finit par réussir :
« - *Kof kof* Merci… Mille fois merci aussi de ne pas m’avoir…*KOF* *KOF*
-Ne t’en fais pas garde ton souffle pour toi, c’est normal je n’allais pas me tuer par la même occasion, c’était tout comme si je l’avais fait sur toi !
- Hun hun… Ah ! Tu m’as bien abimé quand même enflure ! Hehe !
- Dis celui qui m’a sauté dessus avec ses chaines ! Aha ! »
On se mit à rire puis le calme revint le temps d’un instant à l’affut de la moindre ombre, la moindre odeur, le moindre bruit :
« -Je voudrais te les offrir ses chaines elles ont servi à descendre l’ancre du bateau de pêche de mon père… C’est mon dernier souvenir de lui… Emporté par la maladie… Il a passé son temps à me nourrir me protéger tu en as fait de même alors prends je t’en supplie ne dis rien de plus et tire-toi j’ai honte…
-Mais…
-J’ai dis tire-toi !
-Oui d’accord je les prends tes chaines, merci mon ami ! Moi c’est ton nom qui m’intéresse !
- Ahoki enchanté mon ami !
-Enchanté
- Bon trêve de douceur va-t’en il te cherche autant que les autres ils savent qu’on est là…*Kof*
-Mais toi ?
-OOOH ! *KOF**KOF* MAIS CA SUFFIT LES CLICHES C’EST BON FU…
-CHUT !
-fuis… Mon frère est dans…
-Nan mais là j’entends plus du coup ça marche pas...
-Ah oui…
- Donc si tu pouvais juste articuler…
-Oui bon ça va … Donc je disais mon frère est dans la marine je pourrais négocier toi… D‘après ce qu’on dit…
-Oui… Effectivement…
-On à 15 ans maintenant on a encore des choses à vivre et toi plus encore maintenant aller file ! Dirige toi vers le port et prends le bateau de mon père tu le reconnaîtras, il s’appelle « le requin » !
- Merci infiniment…
-Oui, Oui au revoir…
- Au revoir Ahoki. »
C’est ainsi que je mis jusqu’à l’aube pour trouver sa putain de barque j’ai même eu le temps de le recroiser et qu’il m’accompagne jusqu’à son #@\# de radeau ! C’est là que j’ai pu voir que c’était en fait un gaillard boiteux qui avait une jambe en fer. Pourtant il était drôlement habile le précèdent soir et puis je m’étonnais davantage d’avoir affronté un tel gabarit ! Je parti enfin en mer pour la première fois, avec le temps et les années je clarifiais de plus en plus mon but et après mes désirs de couchés et levés de soleil vint l’idée de devenir un mangeur d’un fruit du démon. Et hop, le plus intéressant je vais vous le raconter et pour vous dire le choc, je venais d’avoir 18 ans !
Bon, oui j’ai gardé le plus triste pour la fin mais vous comprendrez que je ne veux pas m’attarder car ce n’est pas de pleurs que je dois me nourrir pour un si beau cadeau au final. Je dois faire honneur à la mémoire de mes parents car j’appris par un des vieux marines qui exécuta mes parents dans North Blue que ce furent des pirates… Les marines étaient venu les chercher pour les exécuter ils eurent deux faveurs l’une de ne pas être exécutés sur l’île où l’on vivait ,et de plus sous, mes yeux et l’autre que la ville entière couvre ces pleurs derrière des rires pour me montrer et me donner une dernière fois la plus belle preuve d’amour de parents, de proches, d’amis… Me donner leur bonheur. Voilà ce que je cherche a procuré aux autres de l’amour, de la joie, du bonheur, des rires et tout ça dans la paix mais je dois d’abord savoir les protéger du mieux que je peux, il me faut donc être plus puissant que jamais ! En route…
Habataitara modoranai to itte
Mezashita no wa aoi aoi ano sora
Kanashimi wa mada oboerarezu
Setsunasa wa ima tsukami hajimeta
Anata e to idaku kono kanjou mo
Ima kotoba ni kawatteiku
Michinaru sekai no yume kara mezamete
Kono hane wo hiroge tobi datsu
…
Mezashita no wa aoi aoi ano sora
Kanashimi wa mada oboerarezu
Setsunasa wa ima tsukami hajimeta
Anata e to idaku kono kanjou mo
Ima kotoba ni kawatteiku
Michinaru sekai no yume kara mezamete
Kono hane wo hiroge tobi datsu
…
- Traduction:
- Tu dis toujours que si tu pouvais voler, jamais tu ne redescendrais
Tu n'a d'yeux que pour ce ciel bleu, ce ciel si bleu
Tu as encore à apprendre ce qu'est la tristesse
Alors que tu aperçois à peine ce qu'est la douleur
Même les sentiments que j'ai pour toi,
Doivent être exprimés avec des mots
Alors que tu t'éveilles d'un rêve t'ayant transporté dans un monde inconnu,
Déploie tes ailes, et envole-toi !
Test RP: Sumairu
Le chahut des grandes galeries s’entendaient tout autant que les brouhahas incessant venant du Red Café… Je déambulais assez discrètement car j’avais un peu les chocottes de tomber sur la bien connue Chouchou Sushi… Peut-être me prenais-je un peu trop de haut… C’est vrai j’avais déjà tué pour me défendre mais je ne me sentais pas particulièrement en danger pour autant… Et pourtant, je m’inquiétais de voir un jour ma tête mise à prix… Que de mauvaises pensées j’avais! Mais je n’arrivais pas à me détendre. Je finis par rencontrer une maison de jeux, un panneau indiquait que dans peu de temps un concours de poker commencerait, la somme d’entrée n’étant pas si faramineuse, je décidais d'aller jeter un œil. L’endroit semblait plutôt hybride, disons que d’un côté nous avions la gentilhommerie, le luxe, le calme, les rires niais, mais la classe de discours toujours intéressant et fort amical. Et de l’autre côté l’écurie là où toute la mauvaise racaille ou du moins les plus pauvres s’occupaient dans un boucan dérangeant et malfaisant. Cela sentait bien le plan foireux, mais je n’avais guère l’égo de me présenter du bon côté de la barrière, car un gentleman ne se qualifie pas lui-même il laisse l’opinion faire son effet. Enfin, il fallait que je relativise, je pouvais faire de belles rencontres aussi du côté des grandes gueules et de la franche camaraderie ! Je demandais alors au réceptionniste d’échanger mes 2000 Berry en jetons. Bien sûr, pour avoir un peu de marge je pris le minimum nécessaire pour jouer. Et puis, je ne suis qu’amateur en poker je peux l’admettre.
On m’accompagna a une table et le croupier commença à distribuer, je fus comme par hasard présenté a la table la plus froide et la plus flippante de toute... Génial. Un grand costaud avec une petite tête ne servant qu’à parler, on aurait mieux fait de ne lui greffer qu’une bouche… Encore que je ne pense pas qu’il y est grande chose de greffer a l’intérieur de ce crane de titan… Un barbu avec quatre fusils à gros calibre surement pour compenser autre chose… Un gars maquillé en clown qui, a chaque carte, riait jaune, qui tapait du pied au sol, qui n’arrêtait pas de tourner ses cartes dans sa main ou pour réfléchir léchait sa lame de long en large tout en continuant de rire… Et une espèce de nain super actif qui criait ou ronchonnait dès qu’il y avait une raison valable, pour lui… OU même sans raison. Les parties défilaient et ma somme devenait de plus en plus intéressante. Enfin, j’arrivais à la dernière table, cette fois ci j’étais plutôt décontracté car elle était mixte deux gentlemen et trois cancres dont je faisais surement parti. J’étais assez obnubilé par la foule qui traversait l’allée et tout aussi attiré par le magasin qui se trouvait en face. C’était un menuisier son enseigne était en bois sculpté, en forme de bateau un très beau bateau ! J’aurais aimé en avoir un similaire, de plus qu’il était unique, a la place de mon embarcation de fortune. J’avais une main pas si mauvaise mais je ne m’attendais pas à remporter les cent mille Berry.
Puis, élevant de nouveau mes yeux perçant vers ce magasin, qui semblait m’apaiser de par ce qu’il en dégageait, le temps fut comme figé quand je reconnu deux personnes qui m’avaient été enlevé en même temps que mon cœur et mes larmes. Mes parents… Mon corps se propulsait déjà hors du siège mais ma raison me scotcha a celui-ci aussitôt … En effet, si je sortais de la partie je perdais mes trente mille Berry, et de plus je risquerais de fâcher les esprits et de me faire égorger aussitôt si l’un de mon groupe de cancre était un peu chatouilleux. Et je ne suis pas du genre à abandonner. De plus, la partie semblait bientôt terminée, plus que deux cartes au tirage…
Le temps était d’une lenteur extrême mes yeux alternaient entre la table, la voix du croupier, celles de joueurs, et mes espoirs au loin... Les sons se confondaient peu à peu créant une eau sous laquelle je serais en train de suffoquer par le stress. J’avais l’impression d’avoir les oreilles immergées, là où les voix et les gestes sont amortis, comme si je me trouvais dans une autre dimension. J’entendais mon cœur battre comme si j’écoutais les battements effrénés d’un tambour. Les gouttes sur mon front dessinaient lentement un cours d’eau qui finissait en pluie sur mes cartes. Les mains moites, je sentais que mon touché devenait maladroit. Ma vision s’étirait petit à petit. Autour de moi, la bouche du croupier semblait articuler chaque mot et ses gestes semblaient le faire danser au-dessus du jeu. Les jetons que mes opposants jetaient vers le milieu du plateau brillaient lorsqu’ils passaient sous le lustre, et leur collision résonnait comme des coups de fusil assourdissant. Le jeu de carte battu claquait comme des crépitements dans les doigts du meneur de jeu. Mais le pire était cette sensation, cette émotion qui m’envahissait tout comme les voix dans ma tête. Cette force, cette vibration qui embrase le corps d’une couleur chaude et nostalgique.
Musique Immerive: https://youtu.be/vbKKW_cTTCk
Cette émotion que je n’avais pas ressenti depuis 10 ans, ce sourire qui s’affichait sur mes lèvres, ses larmes qui n’expliquaient aucune tristesse mais dans mon souffle un soulagement,… Oui c’est ça ! Cette sensation d’excitation et de tendresse ! Du bonheur, de l’amour aussi ! Mes jambes ne répondaient plus qu’aux tremblements qui partaient de mes doigts. Lorsque le croupier finit par crier si je souhaitais me coucher ou doubler. J’eus une impulsion incontrôlable, je me suis levé d’une puissance nouvelle et couru hors de la maison, faisant voler dans un éclat strident les vieilles rondelles en métal. Ils étaient en train de quitter l’enseigne. Je commençais déjà à les perdre de vue !
*Non pas maintenant, pas encore, je ne veux pas encore les perdre dans une marée de gens heureux, les laisser m’échapper. Non, je les aime, s’il vous plait restez, j’ai besoin de vous. Besoin de votre amour, vos rires, vos chansons qui m’endormaient le soir. Nos balades qui faisaient rayonner le soleil dans mes pupilles. J’ai envie de vous prendre dans mes bras vous dire comme j’ai grandi comme j’ai appris grâce a vous. Vous dire combien vous êtes précieux, comme vous êtes ma joie. Ne partez pas ! NON JAMAIS !*
Je les voyais au loin, après des mouvements de têtes qui me tordaient les cervicales, à travers l’amas de gens, effrayés, étonnés, curieux, dépassés par mon attitude. Ils prirent un virage qui menait directement au Red café. Ca y est! J’y étais! Mes larmes se décuplaient, ma voix tremblait, mon corps entier trouvait enfin un équilibre, retrouvait son cœur. Dans un dernier mouvement élancé je projetais ma voix pour les arrêter, dos à moi :
- PAPA, MAMAN !
- … Sumairu …
Informations IRL
• Prénom : Yoann
• Age : 19 ans
• Aime : Ba je ne sais pas j’ai pas encore commencer a RP… Je te dirai si j’aime plus tard…
• N'aime pas : TU ne me donne pas d’ordre hein ! Attention je hurle !
• Personnage préféré de One Piece : Admiral Kizaru de très loin :3
• Caractère : Disons que je ne suis pas quelqu’un qui se décrit facilement au risque de faire preuve de vantardise. Donc faisons simple, je suis quelqu’un de gentil, serviable, toujours motivé et plutôt imaginatif !
• Fait du RP depuis : 3 ans
• Disponibilité approximative : 5j/7j
• Comment avez-vous connu le forum ? Pendant un speed dating :3
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Sute Raremashita le Mar 23 Mai 2017 - 22:10, édité 11 fois