Ylda Freydja
• Pseudonyme : The Shield
• Age : 21 ans
• Sexe : Femme,
• Race :Humain...
• Métier : Fabricante de boucliers en bois/acier/autre (ne sais pas fabriquer autre chose avec ces matériaux que de bons boucliers)
• Groupe : Marine
• Age : 21 ans
• Sexe : Femme,
• Race :Humain...
• Métier : Fabricante de boucliers en bois/acier/autre (ne sais pas fabriquer autre chose avec ces matériaux que de bons boucliers)
• Groupe : Marine
• But : Chercher à éliminer la marine de tous les ripoux, de ceux qui abusent de leur statut et du système. Elle espère un jour trouver des boucliers aussi puissants que les sabres légendaires.
• Équipement :
Deux boucliers Rondache en acier (elle se bat à coup de bouclier).
Un denden mushi pour contacter ses parents.
Le matos d'artisan pour exercer son métier lorsqu'elle le peu.
• Parrain : Aucun, mais y'avait plein de gens cool sur la CB
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? //
Codes du règlement :
• Équipement :
Deux boucliers Rondache en acier (elle se bat à coup de bouclier).
Un denden mushi pour contacter ses parents.
Le matos d'artisan pour exercer son métier lorsqu'elle le peu.
• Parrain : Aucun, mais y'avait plein de gens cool sur la CB
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? //
Codes du règlement :
Description Physique
Elle n'est pas spécialement belle Ylda, trop grande pour une femme, arrivant aux deux mètres, la bonne taille pour briser le front de ceux qui l'emmerde avec le sien. Elle se démarque de la foule avec son corps robuste, quatre-vingt-cinq kilos il faut dire, les épaules à peine plus fines qu'un homme standard. C'est un diamant brute et il n'y a pas sur son île de joailliers assez bons pour l'appréhender à la perfection. Elle ne fait pas femme, elle ne veut pas être femme. Bien que sur Boréa les femmes ne soient pas spécialement gracieuses, Ylda à un gabarit qui surpasse quasiment toutes les femmes de l'île, les muscles sculptés, aux courbes travaillées, vifs, entraînés et violentés. Le goût de l'effort, c'est ce qu'on lit sur ce corps lorsqu'on a l'occasion de voir un peu de peau. Hématomes, éraflures, pansements. À se demander si un jour elle a eut le corps totalement intact ne serait-ce qu'une seconde. La jeune femme à de larges hanches, lui permettant d'assurer ses appuis avec des jambes musclées, sa taille est un peu plus fine, seule chose avec sa poitrine ne dépassant le le 100B permettant de montrer qu'elle est une femme et non un homme si l'on se fit seulement à son corps.
Elle pourrait avoir un mari, si son regard à la couleur Terre de sienne ne renvoyait pas sans cesse à une sorte de rage combative, ses yeux en amande, fins et larges s'étirent sur son visage lui donnant une expression grincheuse ou colérique. Une longue chevelure jamais maîtrisée s'accorde à la couleur de ses yeux et lui descend jusqu'au bas du dos, deux fines tresses entourent son crâne pour éviter que ses cheveux ne lui revienne sans cesse dans la bouche. Parfois elle recrache quelques mèches rebelles qui viennent se loger entre ses lèvres fines et arquées, sévères et légèrement plus pâles que sa chevelure. Bien que grande, elle n'a pas de mal à entendre tous ce que les petits garnements agités de Lavallière grâce à de grandes oreilles aussi blanches que le reste de sa peau, qui s'étirent au dessus d'une mâchoire triangulaire qui affine son visage et adoucie légèrement son imposante carrure. Elle passe souvent ses doigts blancs et sec à cause de son métier de fabricante de bouclier sur un nez fin légèrement retroussé sur lequel elle a toujours l'impression d'avoir de la poussière de bois.
Pour mieux dissimuler son corps de femme, Ylda s'habille d'une chaude cape en fourrure noire qui cache un plastron en métal, le reste de sa tenue se compose de pièces de cuir renforcé. Sur chacune des pièces on retrouve le symbole de la famille: un crâne d'ours, ce même symbole se retrouve sur son plastron en bas relief. Deux grosses lanières en cuir entour son torse comme un corsage, laissant uniquement le plastron visible, ces lanières permette d'y loger deux accroches essentielles pour ses deux boucliers en acier que jamais elle ne quitte. Ce sont ses deux armes, ces deux amis les plus fidèles, ceux qui lui ressemblent le plus, froid, résistants et protecteurs. Sur le premier, le symbole familiale ornementés de tatouages traditionnels en relief, sur le second, il y a son symbole à elle un marteau où figure un crâne d'ours.
Ylda n'a pas réellement de toc, mais, elle a la mauvaise habitude de frapper doucement sur la première surface plate et horizontale à portée de main lorsqu'elle s'ennuie où n'a rien à faire (c'est à dire pas très souvent). On ne voit jamais sa peau, sauf son cou et son visage, mais elle déteste qu'on la regarde avec trop d'insistance. Si on l'observe trop, elle commencera par faire craquer ses mains, puis progressivement les poignets puis la nuque, avant d'aller décorer le mur le plus proche de l'empreinte faciale de l'observateur.
Ylda a le pas lourd, elle n'a pas un physique discret et ne cherche pas à ce que sa présence soit discrète, mais à ce que son corps le soit en le cachant, le pas lourd de ses bottes annonce son arrivée avant que sa voix rauque et grave, franche et sèche n'accoste son interlocuteur.
Il y a quelque chose que jamais personne n'a réussit à voir chez Ylda: ce sont ses tatouages, purement "vikings" et traditionnels, fait dans la douleur et le sang, nul sinon le tatoueur ne les connait, le seul homme qui sera un jour en mesure de les voir avec l'accord d'Ylda c'est l'homme à qui elle aura confié son coeur.
Elle pourrait avoir un mari, si son regard à la couleur Terre de sienne ne renvoyait pas sans cesse à une sorte de rage combative, ses yeux en amande, fins et larges s'étirent sur son visage lui donnant une expression grincheuse ou colérique. Une longue chevelure jamais maîtrisée s'accorde à la couleur de ses yeux et lui descend jusqu'au bas du dos, deux fines tresses entourent son crâne pour éviter que ses cheveux ne lui revienne sans cesse dans la bouche. Parfois elle recrache quelques mèches rebelles qui viennent se loger entre ses lèvres fines et arquées, sévères et légèrement plus pâles que sa chevelure. Bien que grande, elle n'a pas de mal à entendre tous ce que les petits garnements agités de Lavallière grâce à de grandes oreilles aussi blanches que le reste de sa peau, qui s'étirent au dessus d'une mâchoire triangulaire qui affine son visage et adoucie légèrement son imposante carrure. Elle passe souvent ses doigts blancs et sec à cause de son métier de fabricante de bouclier sur un nez fin légèrement retroussé sur lequel elle a toujours l'impression d'avoir de la poussière de bois.
Pour mieux dissimuler son corps de femme, Ylda s'habille d'une chaude cape en fourrure noire qui cache un plastron en métal, le reste de sa tenue se compose de pièces de cuir renforcé. Sur chacune des pièces on retrouve le symbole de la famille: un crâne d'ours, ce même symbole se retrouve sur son plastron en bas relief. Deux grosses lanières en cuir entour son torse comme un corsage, laissant uniquement le plastron visible, ces lanières permette d'y loger deux accroches essentielles pour ses deux boucliers en acier que jamais elle ne quitte. Ce sont ses deux armes, ces deux amis les plus fidèles, ceux qui lui ressemblent le plus, froid, résistants et protecteurs. Sur le premier, le symbole familiale ornementés de tatouages traditionnels en relief, sur le second, il y a son symbole à elle un marteau où figure un crâne d'ours.
Ylda n'a pas réellement de toc, mais, elle a la mauvaise habitude de frapper doucement sur la première surface plate et horizontale à portée de main lorsqu'elle s'ennuie où n'a rien à faire (c'est à dire pas très souvent). On ne voit jamais sa peau, sauf son cou et son visage, mais elle déteste qu'on la regarde avec trop d'insistance. Si on l'observe trop, elle commencera par faire craquer ses mains, puis progressivement les poignets puis la nuque, avant d'aller décorer le mur le plus proche de l'empreinte faciale de l'observateur.
Ylda a le pas lourd, elle n'a pas un physique discret et ne cherche pas à ce que sa présence soit discrète, mais à ce que son corps le soit en le cachant, le pas lourd de ses bottes annonce son arrivée avant que sa voix rauque et grave, franche et sèche n'accoste son interlocuteur.
Il y a quelque chose que jamais personne n'a réussit à voir chez Ylda: ce sont ses tatouages, purement "vikings" et traditionnels, fait dans la douleur et le sang, nul sinon le tatoueur ne les connait, le seul homme qui sera un jour en mesure de les voir avec l'accord d'Ylda c'est l'homme à qui elle aura confié son coeur.
Description Psychologique
Si elle n'est pas entrain de s'entraîner où en mission, Ylda passe le temps avec ce qu'elle aime le plus: faire des boucliers. C'est une logique familiale qu'elle entretient à coeur. Ce précepte qui veut que "La meilleure défense c'est l'attaque" à était dérivé pour l'inverser, "La meilleure attaque c'est la défense", c'est ainsi que les combattants de la famille Freydja chargent dans les rangs adverses avec deux imposants boucliers. Il ne sert à rien de tuer un adversaire, lui fracasser le crâne avec assez de force pour le mettre K.O est amplement suffisant. C'est pour ça qu'Ylda entretient ses boucliers avec plus de précautions que son propre corps. Au final si ses boucliers sont impénétrables son corps n'en souffrira pas. Si ses défenses sont impénétrables, ses hommes ne souffriront pas.
En parlant d'hommes, Ylda vie quelque choses d'étrange, désabusés par les actes de mauvais soldats de la Marine, c'est dans le but de purifier l'éthique des soldats qu'elle s'est engagée: gravir les échelons et rétablir l'éthique de ce que doit être l'armée. Elle s'est ainsi engagée en voyant d'un mauvais oeil tous les marins, persuadée qu'ils étaient tous pareils, mais un problème s'est vite posé dans son monde manichéen: la nuance existe. Ylda a du mal à ne pas caser les gens entre la case "gentil" et "méchant", considérer qu'il y a des hommes "mauvais" qui servent le bien et inversement, que des millions de conjectures sont possibles, tous autant de cas que d'êtres vivants et c'est quelque chose qui pose problème à Ylda. À Boréa, les gens ont le coeur sur la main, aident les nécessiteux, les guident, logent et nourrissent même parfois, ils font tout ce qui est en leurs capacités pour aider les gens dans le besoin et pourtant cela entre dans les lois de Boréa. Pour Ylda faire le bien au nom du bien commun implique de ne pas faire souffrir les gens. Ce paradoxe entre la confrontation de la culture de Boréa et l'idéal de la marine pousse Ylda à souvent douter de ses propres capacité, à savoir si elle est au bon endroit ou non, si au final elle sert correctement la marine, si elle arrivera au poste voulu où elle éduquera les hommes de la marine sur ce qu'est la juste, mais elle ne sait même plus ce qu'est la réelle justice. Sa vision se trouble à mesure qu'elle côtoie des hommes et des femmes au comportement limite, mais qui agissent pour le bien de l'intérêt général.
À cause de ce comportement Ylda est une femme à l'épaisse carapace, il est difficile de réellement la connaître, de savoir ses peurs les plus profondes, la perte de ses parents, la destruction de son île, sa phobie maladive des objets rouillés, chose qui la fait hurler, perdre ses moyens. Cette phobie la ronge depuis le décès de son grand père et la mise à l'oublie de ses œuvres, voir ses boucliers sombrer dans l'oublie à mesure qu'ils rouillaient. Ylda cache ses craintes, ses faiblesses, ses sentiments qu'ils soient positifs où négatifs, tout ce qui peu altérer le cours d'une mission, tout ce qui peut empêcher l'esprit de prendre le bon choix. Cela ne l'empêche pas d'être une jeune femme avenante, elle veut connaître ses coéquipiers, leurs prénoms, leurs origines, tout ce qu'ils accepteront de dévoiler sans y être forcé. Elle respecte par dessus tout l'intimité des gens et leurs sentiments. Si elle se sent mal-aimé de quelqu'un elle ne cherchera à aucun moment à attiser le conflit, elle ne communiquera avec lui dans le seul cadre du travail.
Ylda à l'image du bouclier est une femme protectrice, qui prend sous son aile les gens qu'elle juge être dans la détresse, même si cela l'amène parfois à faire preuve d'insubordination. Sur le champ de bataille elle se place au devant du combat, n'hésitant pas à devancer la première ligne, elle est fière et droite sur le champ de bataille et refuse de tuer une personne, si le jugement existe c'est pour que chaque personne y est le droit, même s'il en découle le mort. Chaque homme à le droit de se défendre avec un avocat. Si elle refuse les armes alors qu'elle combat le crime c'est pour mieux couvrir ses alliés, l'intérêt du groupe passe avant tout. Pour un soldat en arme de perdu, combien de ses camarades pourra-t-elle protéger avec ses boucliers?
La protectrice est aussi une femme très susceptible et pudique, aussi sensible aux regards qu'aux mots. Elle n'a que peu de second degrés et s'énerve rapidement, surtout sur les blagues les plus idiotes qu'elle prend souvent personnellement ou comme agressives, ses réactions font rire ses camarades d'équipages et lorsqu'elle comprend qu'on l'a piégée elle grommelle et râle en partant lustrer ses boucliers.
En parlant d'hommes, Ylda vie quelque choses d'étrange, désabusés par les actes de mauvais soldats de la Marine, c'est dans le but de purifier l'éthique des soldats qu'elle s'est engagée: gravir les échelons et rétablir l'éthique de ce que doit être l'armée. Elle s'est ainsi engagée en voyant d'un mauvais oeil tous les marins, persuadée qu'ils étaient tous pareils, mais un problème s'est vite posé dans son monde manichéen: la nuance existe. Ylda a du mal à ne pas caser les gens entre la case "gentil" et "méchant", considérer qu'il y a des hommes "mauvais" qui servent le bien et inversement, que des millions de conjectures sont possibles, tous autant de cas que d'êtres vivants et c'est quelque chose qui pose problème à Ylda. À Boréa, les gens ont le coeur sur la main, aident les nécessiteux, les guident, logent et nourrissent même parfois, ils font tout ce qui est en leurs capacités pour aider les gens dans le besoin et pourtant cela entre dans les lois de Boréa. Pour Ylda faire le bien au nom du bien commun implique de ne pas faire souffrir les gens. Ce paradoxe entre la confrontation de la culture de Boréa et l'idéal de la marine pousse Ylda à souvent douter de ses propres capacité, à savoir si elle est au bon endroit ou non, si au final elle sert correctement la marine, si elle arrivera au poste voulu où elle éduquera les hommes de la marine sur ce qu'est la juste, mais elle ne sait même plus ce qu'est la réelle justice. Sa vision se trouble à mesure qu'elle côtoie des hommes et des femmes au comportement limite, mais qui agissent pour le bien de l'intérêt général.
À cause de ce comportement Ylda est une femme à l'épaisse carapace, il est difficile de réellement la connaître, de savoir ses peurs les plus profondes, la perte de ses parents, la destruction de son île, sa phobie maladive des objets rouillés, chose qui la fait hurler, perdre ses moyens. Cette phobie la ronge depuis le décès de son grand père et la mise à l'oublie de ses œuvres, voir ses boucliers sombrer dans l'oublie à mesure qu'ils rouillaient. Ylda cache ses craintes, ses faiblesses, ses sentiments qu'ils soient positifs où négatifs, tout ce qui peu altérer le cours d'une mission, tout ce qui peut empêcher l'esprit de prendre le bon choix. Cela ne l'empêche pas d'être une jeune femme avenante, elle veut connaître ses coéquipiers, leurs prénoms, leurs origines, tout ce qu'ils accepteront de dévoiler sans y être forcé. Elle respecte par dessus tout l'intimité des gens et leurs sentiments. Si elle se sent mal-aimé de quelqu'un elle ne cherchera à aucun moment à attiser le conflit, elle ne communiquera avec lui dans le seul cadre du travail.
Ylda à l'image du bouclier est une femme protectrice, qui prend sous son aile les gens qu'elle juge être dans la détresse, même si cela l'amène parfois à faire preuve d'insubordination. Sur le champ de bataille elle se place au devant du combat, n'hésitant pas à devancer la première ligne, elle est fière et droite sur le champ de bataille et refuse de tuer une personne, si le jugement existe c'est pour que chaque personne y est le droit, même s'il en découle le mort. Chaque homme à le droit de se défendre avec un avocat. Si elle refuse les armes alors qu'elle combat le crime c'est pour mieux couvrir ses alliés, l'intérêt du groupe passe avant tout. Pour un soldat en arme de perdu, combien de ses camarades pourra-t-elle protéger avec ses boucliers?
La protectrice est aussi une femme très susceptible et pudique, aussi sensible aux regards qu'aux mots. Elle n'a que peu de second degrés et s'énerve rapidement, surtout sur les blagues les plus idiotes qu'elle prend souvent personnellement ou comme agressives, ses réactions font rire ses camarades d'équipages et lorsqu'elle comprend qu'on l'a piégée elle grommelle et râle en partant lustrer ses boucliers.
Biographie
Sa voix a percé le souffle du vent le jour de sa naissance lors d'une après-midi hivernale à Boréa en 1606: Ylda venait d’accoster dans ce vaste monde. L'histoire révéla avec le temps qu'elle gueulait toujours aussi fort que le jour de sa naissance. Ses premières années ne sont pas très intéressantes, elle a seulement brisé les tympans de ses parents les premières semaines, puis lorsqu'elle faisait ses dents, lorsqu'elle tombait lorsqu'elle apprenait à marcher et enfin lorsqu'on refusait de la prendre à la forge. Une criarde qui a vite perdu se défaut dès lors que son grand père l'autorisa à tenir un petit marteau et à frapper sur de l'acier. Elle se prenait déjà pour une grande forgeronne de boucliers, comme son père, son père avant lui et les autres membres de la famille Freydja.
L'histoire de Freydja est difficile à connaître pour les autres puisque finalement, très peu de personnes ont accès à son coeur, à une amitié sincère avec elle. Enfant unique, sans frères ni sœurs, sa mère à simplement mal vécu l'accouchement et avec son père d'un commun accord ont préféré ne pas donner vie à un second enfant. Ylda a apprit à maîtriser le marteau avec son père et son grand-père, art habituellement réservé aux hommes, mais unique héritière du savoir, la jeune fille a dû beaucoup travailler pour gagner la confiance des hommes qui redoutaient qu'elle ne soit pas assez fort, juste parce qu'elle était une fille. C'était une idée que sa mère trouvait aberrante, traiter une fille différemment sous prétexte qu'elle était une fille. Mais c'est dans cette optique de différence entre les sexe qui a poussé Ylda à refuser son appartenance au genre féminin et se conformer au genre masculin, à la fois par soucis de reconnaissance personnelle que de refus.
Finalement elle aurait bien aimé avoir de la barbe comme son père qui longuement jouait avec à la fenêtre, le soir, dans le maison en bordure de ville, non loin de Lavallière entre quelques arbres proches de la rive de Noth Blue. Son père regrettait toujours de se tortiller la barbe lorsque sa femme qui la dominait d'une demie tête devait défaire les nœuds avec un peigne. C'était les rares instants de sa vie où elle voyait son père avec une larme au coin des yeux, lui qui ne disait jamais rien, même lorsqu'il se frappait la main avec le marteau, ici c'était l'un des rares moments où elle voyait son père pleurnicher face à sa femme qui soupirait, presque exaspérée qu'il ne sache pas entretenir sa barbe seul.
Le couronnement du roi en 1620 fut le seul jour où Ylda entra dans la capitale avec sa famille, suivre le nouveau roi, le voir se présenter au peuple, admirer l'homme qui allait régner sur le royaume, guider le peuple vers plus de prospérité, Ylda avait quatorze ans et dans deux ans elle entrerait dans son service militaire. Durant ses premières années, elle avait déjà maîtrisé la base de la confection de boucliers, bien qu'elle n'arrivait toujours pas à les faire droits. Fort heureusement son grand-père prenait de longues heures depuis plusieurs années pour lui expliquer les gestes à appliquer, corriger ses erreurs, détailler les étapes de fonctions, il n'avait presque plus de dents, mais son sourire ne faisait pas peur, ses mains plus usées par le travail que l'âge lui rendait ses caresses rugueuses sur les joues d'Ylda, mais elle ne disait rien, au contraire, l'expérience avait une texture qu'elle appréciait tout particulièrement.
Le coup d'Etat de 1622 provoqua une vague de terreur chez les Freydja, que le grand père ne supporta pas, voir le nouveau roi déchu, la famille royale mise à l'écart acheva la longue vie du grand-père qu'Ylda pleura longuement peu de temps avant son entrée pour le service militaire. La marine la dégoûtait, dire qu'ils se disaient au service du peuple et pourtant le roi Maximilian n'était plus à son trône, il n'avait rien fait! Il servait son peuple avec du cœur, tendresse et fermeté, toutes les qualités d'un roi comme son père avant lui. La jeune demoiselle ne comprenait pas, la marine n'avait finalement rien de bon? Comment pouvait-il y avait des hommes pareils? La justice qu'elle avalait ici avait-elle le même goût amer partout sur les Blues et Grand-Line? L'enfant unique laissa ses parents après l'enterrement de son grand-père veuf pour deux ans afin de faire son service militaire.
Ce fut deux longues années de souffrance, Ylda se retrouvait plus ou moins confronté à des gens de son âge pour la première fois, bien sûr elle avait eu des "copains", toujours plus grands qu'eux, mais les filles grandissaient plus que les garçons lors des premières années. Mais ici elle rivalisait avec bon nombres de garçons et dominait toutes les filles d'une demie-tête. Si à Boréa tout le monde avaot le physique pour vivre dans ces climats difficiles, Ylda avait de larges épaules, un corps trop trapu et de "grosses" hanches, une taille trop peu marquée et une poitrine bien plate pour une femme qui devra allaiter des enfants. En comparaison elle était bien laide et rien ne la rassura. Pendant deux ans on leur imposait l'entraînement martial, l'éducations sous couvert de la marine, l'endoctrinement gagna la plupart des esprits de sa "génération", les enseignements étaient dispensés par des Boréalins ce qui favorisait la crédulité des jeunes adultes, mais Ylda n'y cru pas, elle s'y refusait et plusieurs fois fut réprimandée par ses instructeurs, puis par ses "camarades" ou plutôt des bourreaux qui suivaient aveuglement la marine, voix de la justice. Son seul refuge: ses boucliers, ceux qu'elle avait à disposition étaient en bien mauvaise qualité comparé à ceux de l'atelier. Ses parents lui manquaient atrocement.
Pendant la seconde année de son service militaire, Boréa parvint à rétablir son roi, Maximilian de nouveau au pouvoir, il lança alors la grande chasse aux sorcière, la marine était en mauvaise posture sur l'île. L'enseignement s'améliora, mais pas la condition d'Ylda face aux autres membres de sa promotion. Elle finit tant bien que mal son service militaire et revint dans son foyer retrouver ses parents, célébrer son retour, son père avait déjà une barbe qui ne blanchissait plus qu'à cause de la neige tout comme la chevelure de sa mère. Durant ces deux années le physique d'Ylda s'était encore élargie et ses courbes de femme s'étaient affirmées. À présent majeure elle pouvait reprendre son travail. Mais lorsqu'elle revint à l'atelier, il n'y avait plus rien de son grand-père, plus aucune trace de lui alors qu'il n'était mort que depuis deux ans. Ses parents indiquèrent qu'ils avaient tout stocké dans le sous-sol, lieux humide, très propice à la dégradation des œuvres du défunt. Ce qu'elle trouva dans la cave la rendit folle de tristesse, on avait laissé à l'abandon l'oeuvre de son grand père, tout ce qu'il avait, sans exception, tout rouillait, se dégradait, tombait dans l'oublie, on oubliait qu'il avait été, quel grand maître du bouclier il fut. Se refusant à le laisser dans l'oublie, elle remonta deux boucliers, deux de ses plus grandes œuvres en métal et s’attela pendant de longs mois à les restaurer, à les sauver de la rouille, à reprendre leur forme, le premier bouclier décrivait parfaitement le symbole de la famille, le crâne d'ours et des symboles de Boréa. Le second était vierge, aussi elle y grava son propre symbole et ses propres décorations: un marteau avec à l'intérieur le crâne d'ours, elle ornementa comme son grand père le faisait avant.
La même année que la fin de son service militaire en 1624 un nouveau colonel de la marine arriva, celui-ci brilla par ses initiatives, sa volonté de purger les erreurs de l'ancien représentant. Face à cette lueur, Ylda se décida à intégrer la marine dans le but d'égaler ce colonel, bien sûr elle ne se battait pas comme les autres, mais elle fit ses classes au QG Noth Blue, mais avant de partir elle se fit tatouer pour la première fois tout un bras, du poignet à l'épaule, en décrivant l'histoire de son grand-père pour que jamais il ne tombe dans l'oublie. Elle perfectionna son art du bouclier puis intégra un équipage, elle ne fit confiance à personne, elle avait peur qu'ils soient tous pourris, qu'ils soient vicieux comme celui qui avait renversé son roi à Boréa. Mais plus les missions passaient, plus elle se retrouvait dans pensées contraires, ses camarades étaient bons, mais ils n'étaient pas manichéen discutaient les ordres et se faisaient réprimander, alors qu'elle suivait les ordres, mais elle ne se sentait pas plus vertueuse lorsqu'elle mettait en prison une femme qui volait pour nourrir ses enfants. Elle ne savait même plus pourquoi elle était là puisqu'elle ne comprenait même pas le sens qu'on donnait au mot "Justice" dans la marine. À chaque repos, elle retournait à Boréa se faire tatouer et voir ses parents de plus en plus grisonnant.
Maintenant elle a vingt et un an et cela fait trois ans qu'elle est sur les Blues, il serait peut-être temps pour elle de chercher un équipage pour partir chasser des pirates sur Grand Line?
L'histoire de Freydja est difficile à connaître pour les autres puisque finalement, très peu de personnes ont accès à son coeur, à une amitié sincère avec elle. Enfant unique, sans frères ni sœurs, sa mère à simplement mal vécu l'accouchement et avec son père d'un commun accord ont préféré ne pas donner vie à un second enfant. Ylda a apprit à maîtriser le marteau avec son père et son grand-père, art habituellement réservé aux hommes, mais unique héritière du savoir, la jeune fille a dû beaucoup travailler pour gagner la confiance des hommes qui redoutaient qu'elle ne soit pas assez fort, juste parce qu'elle était une fille. C'était une idée que sa mère trouvait aberrante, traiter une fille différemment sous prétexte qu'elle était une fille. Mais c'est dans cette optique de différence entre les sexe qui a poussé Ylda à refuser son appartenance au genre féminin et se conformer au genre masculin, à la fois par soucis de reconnaissance personnelle que de refus.
Finalement elle aurait bien aimé avoir de la barbe comme son père qui longuement jouait avec à la fenêtre, le soir, dans le maison en bordure de ville, non loin de Lavallière entre quelques arbres proches de la rive de Noth Blue. Son père regrettait toujours de se tortiller la barbe lorsque sa femme qui la dominait d'une demie tête devait défaire les nœuds avec un peigne. C'était les rares instants de sa vie où elle voyait son père avec une larme au coin des yeux, lui qui ne disait jamais rien, même lorsqu'il se frappait la main avec le marteau, ici c'était l'un des rares moments où elle voyait son père pleurnicher face à sa femme qui soupirait, presque exaspérée qu'il ne sache pas entretenir sa barbe seul.
Le couronnement du roi en 1620 fut le seul jour où Ylda entra dans la capitale avec sa famille, suivre le nouveau roi, le voir se présenter au peuple, admirer l'homme qui allait régner sur le royaume, guider le peuple vers plus de prospérité, Ylda avait quatorze ans et dans deux ans elle entrerait dans son service militaire. Durant ses premières années, elle avait déjà maîtrisé la base de la confection de boucliers, bien qu'elle n'arrivait toujours pas à les faire droits. Fort heureusement son grand-père prenait de longues heures depuis plusieurs années pour lui expliquer les gestes à appliquer, corriger ses erreurs, détailler les étapes de fonctions, il n'avait presque plus de dents, mais son sourire ne faisait pas peur, ses mains plus usées par le travail que l'âge lui rendait ses caresses rugueuses sur les joues d'Ylda, mais elle ne disait rien, au contraire, l'expérience avait une texture qu'elle appréciait tout particulièrement.
Le coup d'Etat de 1622 provoqua une vague de terreur chez les Freydja, que le grand père ne supporta pas, voir le nouveau roi déchu, la famille royale mise à l'écart acheva la longue vie du grand-père qu'Ylda pleura longuement peu de temps avant son entrée pour le service militaire. La marine la dégoûtait, dire qu'ils se disaient au service du peuple et pourtant le roi Maximilian n'était plus à son trône, il n'avait rien fait! Il servait son peuple avec du cœur, tendresse et fermeté, toutes les qualités d'un roi comme son père avant lui. La jeune demoiselle ne comprenait pas, la marine n'avait finalement rien de bon? Comment pouvait-il y avait des hommes pareils? La justice qu'elle avalait ici avait-elle le même goût amer partout sur les Blues et Grand-Line? L'enfant unique laissa ses parents après l'enterrement de son grand-père veuf pour deux ans afin de faire son service militaire.
Ce fut deux longues années de souffrance, Ylda se retrouvait plus ou moins confronté à des gens de son âge pour la première fois, bien sûr elle avait eu des "copains", toujours plus grands qu'eux, mais les filles grandissaient plus que les garçons lors des premières années. Mais ici elle rivalisait avec bon nombres de garçons et dominait toutes les filles d'une demie-tête. Si à Boréa tout le monde avaot le physique pour vivre dans ces climats difficiles, Ylda avait de larges épaules, un corps trop trapu et de "grosses" hanches, une taille trop peu marquée et une poitrine bien plate pour une femme qui devra allaiter des enfants. En comparaison elle était bien laide et rien ne la rassura. Pendant deux ans on leur imposait l'entraînement martial, l'éducations sous couvert de la marine, l'endoctrinement gagna la plupart des esprits de sa "génération", les enseignements étaient dispensés par des Boréalins ce qui favorisait la crédulité des jeunes adultes, mais Ylda n'y cru pas, elle s'y refusait et plusieurs fois fut réprimandée par ses instructeurs, puis par ses "camarades" ou plutôt des bourreaux qui suivaient aveuglement la marine, voix de la justice. Son seul refuge: ses boucliers, ceux qu'elle avait à disposition étaient en bien mauvaise qualité comparé à ceux de l'atelier. Ses parents lui manquaient atrocement.
Pendant la seconde année de son service militaire, Boréa parvint à rétablir son roi, Maximilian de nouveau au pouvoir, il lança alors la grande chasse aux sorcière, la marine était en mauvaise posture sur l'île. L'enseignement s'améliora, mais pas la condition d'Ylda face aux autres membres de sa promotion. Elle finit tant bien que mal son service militaire et revint dans son foyer retrouver ses parents, célébrer son retour, son père avait déjà une barbe qui ne blanchissait plus qu'à cause de la neige tout comme la chevelure de sa mère. Durant ces deux années le physique d'Ylda s'était encore élargie et ses courbes de femme s'étaient affirmées. À présent majeure elle pouvait reprendre son travail. Mais lorsqu'elle revint à l'atelier, il n'y avait plus rien de son grand-père, plus aucune trace de lui alors qu'il n'était mort que depuis deux ans. Ses parents indiquèrent qu'ils avaient tout stocké dans le sous-sol, lieux humide, très propice à la dégradation des œuvres du défunt. Ce qu'elle trouva dans la cave la rendit folle de tristesse, on avait laissé à l'abandon l'oeuvre de son grand père, tout ce qu'il avait, sans exception, tout rouillait, se dégradait, tombait dans l'oublie, on oubliait qu'il avait été, quel grand maître du bouclier il fut. Se refusant à le laisser dans l'oublie, elle remonta deux boucliers, deux de ses plus grandes œuvres en métal et s’attela pendant de longs mois à les restaurer, à les sauver de la rouille, à reprendre leur forme, le premier bouclier décrivait parfaitement le symbole de la famille, le crâne d'ours et des symboles de Boréa. Le second était vierge, aussi elle y grava son propre symbole et ses propres décorations: un marteau avec à l'intérieur le crâne d'ours, elle ornementa comme son grand père le faisait avant.
La même année que la fin de son service militaire en 1624 un nouveau colonel de la marine arriva, celui-ci brilla par ses initiatives, sa volonté de purger les erreurs de l'ancien représentant. Face à cette lueur, Ylda se décida à intégrer la marine dans le but d'égaler ce colonel, bien sûr elle ne se battait pas comme les autres, mais elle fit ses classes au QG Noth Blue, mais avant de partir elle se fit tatouer pour la première fois tout un bras, du poignet à l'épaule, en décrivant l'histoire de son grand-père pour que jamais il ne tombe dans l'oublie. Elle perfectionna son art du bouclier puis intégra un équipage, elle ne fit confiance à personne, elle avait peur qu'ils soient tous pourris, qu'ils soient vicieux comme celui qui avait renversé son roi à Boréa. Mais plus les missions passaient, plus elle se retrouvait dans pensées contraires, ses camarades étaient bons, mais ils n'étaient pas manichéen discutaient les ordres et se faisaient réprimander, alors qu'elle suivait les ordres, mais elle ne se sentait pas plus vertueuse lorsqu'elle mettait en prison une femme qui volait pour nourrir ses enfants. Elle ne savait même plus pourquoi elle était là puisqu'elle ne comprenait même pas le sens qu'on donnait au mot "Justice" dans la marine. À chaque repos, elle retournait à Boréa se faire tatouer et voir ses parents de plus en plus grisonnant.
Maintenant elle a vingt et un an et cela fait trois ans qu'elle est sur les Blues, il serait peut-être temps pour elle de chercher un équipage pour partir chasser des pirates sur Grand Line?
Test RP
Quelle petite journée et pourtant une grosse prise. Ce n'était pas tant la prime des pirates qui impressionnait l'équipage dans lequel se trouvait Ylda, mais plutôt le trésor colossal qu'ils avaient débusqués. Les pirates ne furent pas difficiles à capturer, presque offert non loin sur leur bateau, une attaque éclair sans pertes, quelques blessures, mais rien de létal. Le trésor prit quelques heures à trouver et à ramener, de grosses caisses aux cliquetis délicats, des Berrys comme ils n'en avaient jamais vu, tellement que certains s'imaginaient quels sabres, maisons, navires, vêtements, livres ils pourraient s'offrir. Ylda elle même s'imaginait la qualité des matériaux qu'elle pourrait s'offrir en pour se fabriquer armure et boucliers. Comment ne pas être tenter de rêver à ses projets les plus fous? Mais comment oser être tenter par la trahison, le vol, la mutinerie.
L'idée avait émergée quelques heures après le début du voyage retour. Ylda était sur le pont à remplir ses corvées, cela ne la dérangeait pas le moins du monde du moment que tout le monde participait à charge égale à l'entretient du bateau. Le front perlé de sueur, la marine avait prit le soin de retirer sa cape en fourrure pour ne pas l’abîmer, ses mains plongeaient dans l'eau savonneuse et brossait le mat noircissait avec le temps. D'un coup elle entendit deux mousses parler, au début elle ne prêta pas beaucoup d'attention aux dire.
-T'sais que la salle où le trésor est stocké n'a aucune surveillance? Pas même des suppérieurs!
-Tu m'étonnes, ces sales riches savourent un bon repas pendant que nous on se sert la ceinture.
-On pourrait emporter une partie du trésor, je sais que d'autres gars sont avec nous. Puis qui a compter la valeur exact d'un trésor de quasiment cent millions... Avec ne serait-ce que un million je pourrait correctement nourrir ma femme qui attend le second...
-Moi je pourrais peut-être mettre ça à la banque et espérer que les intérêts m'aident à mieux me loger.
Ylda s'arrêta net lorsqu'ils quittèrent le pont, elle grimaça et se redressa en recrachant une mèche qui s'était logée entre ses fines lèvres. Ils n'avaient pas tort, beaucoup de jeunes mousses gagnaient mal leur vie et ceux qui n'arrivaient pas à gravir les échelons malgré leurs années d'expériences étaient désabusés. Elle ne fit rien de plus, il n'était pas recommander d'intervenir maintenant, même si tout en elle bouillonnait, que devait-elle faire? Si elle était dans la marine c'était pour servir une cause noble, rendre la justice, qu'elle soit implacable et juste, son but est de rendre le monde meilleur, d'aider ceux et celles opprimés par la piraterie et les tortionnaires, les dirigeants injustes et les commerçants malhonnêtes, sauver les abandonnés et tous ceux dans le besoin. Mais d'un autre côté, pouvait-elle réellement blâmer ces marins de prendre pour eux, de voler pour mieux manger, aider leurs enfants, assurer d'entretenir une maison où même se loger dans une auberge, se payer le voyage pour retourner chez eux pendant leurs permissions? Doit-on parler d'avidité et de trahison? Plutôt de nécessité, après tout elle n'avait jamais connu un supérieur capable de sacrifier une partie de son salaire pour ses membres d'équipages, mine de rien le pouvoir rend égoïste, allait-elle finir comme ça? Si elle venait à gravir les échelons, allait-elle oublier qu'elle avait commencé au bas de l'échelle?
Pensive, la Boréalienne se redressa et avisa la loge des supérieurs, on y entendait quelques cris et rires joyeux, eux aussi on ne pouvait pas les blâmer de profiter de leur statut, ils avaient sûrement et durement gagnés leur statu. Elle prit le soin de ranger le matériel qu'elle utilisait et elle descendit vers la coque où étaient tenus prisonniers les pirates et le trésor. À mesure qu'elle s'approchait, les voix s'élevaient, résonnant dans le bois courbé à la perfection. Comme elle s'y attendait il y a trois groupes: Les marins qui ne supportaient pas l'idée de voler et qui considéraient cette pensée comme un acte de trahison, les marins qui eux étaient désabusés par les difficultés qu'ils avaient à vivre et aimeraient mieux gagner leur vie et enfin, les pirates, leur capitaine était un homme au crâne rasé, fin et pourtant grand, il n'avait pas une grosse prime, mais c'était à se demander comment il avait accumulé tant de richesses? La réponse n'était pas si simple, mais Ylda qui resta temporairement en retrait, toujours à douter du camp à choisir, remarqua bien que le capitaine Falcon était un homme à la langue habile, il utilisait les mots des partisans du vol pour les brosser dans le sens du poil, leur faire comprendre qu'en les délivrant ils auraient assez de Berry pour ne plus souffrir de leurs problème pendant longtemps, ceux qui au contraire maintenaient qu'il ne fallait pas voler étaient qualifiés de moutons, d'hommes sans réflexions, discréditant les capacités d'analyse pour mieux flatter l'idiotie de ses "alliés" marins et mieux les manipuler. Il y avait quelque chose de surprenant, il y avait quelques un de ses supérieurs directs, ceux qui avaient uniquement un ou deux grades de plus qu'elle, était-il pourris jusqu'à la moelle, où bien eux aussi avaient-ils des problèmes?
-Assez!
De ses deux mètres Ylda s'avança le pas lourd pour s'interposer entre les différents partis. Elle n'était pas la plus forte, mais son regard dissuadait la plus plupart des autres de venir l'emmerder. Dans sa cage, Falcon était debout, il la détaillait de ses yeux vitreux, le crâne tatoué de l'emblème de son navire: un serpent sortant d'une mâchoire de crâne humain.
-Hey ma petite mademoiselle, tu serais pas venu soutenir la cause des justes? De ceux qui veulent mettre un terme aux abus des plus riches et des supérieurs?
-J'crois pas qu'nous ayons élever les porcs ensemble Falcon, donc vous pouvez garder le tutoiement dans vot cul sinon j'vous dilate suffisamment pour qu'il y rentre et j'suis pas votre chose donc plus jamais vous me traitez comme tel, sinon j'grave vot visage dans le mur d'en face.
Quelques voix s'élevèrent, protestant les mots de la grande femme, elle ne fit rien et contenta d'observer la scène. Beaucoup protestaient et hurlaient, elle pouvait le comprendre, chaque parti avec ses revendications et voulaient absolument avoir raison sur les autres. Le brouhaha reprenait et devenait insoutenable, mais personne ne se décidait à lever les armes, même si certain essayaient de crocheter les serrures des cages de l'équipage de Falcon, cela dura de longues minutes avant qu'Ylda ne puisse parler, mais avant qu'elle ne prenne la parole, il fallut que quelques marins encouragés par Falcon se jettent armes dégainées sur les autres.
N'ayant le choix, Ylda s'équipa de ses deux rondaches et se jeta au devant de la mêlée pour repousser les quelques marins avec de violents coups de boucliers, elle ne laissait aucun parti s'avancer vers l'autre puis il scanda après avoir frapper au plexus un dernier marin trop insistant.
-Ne voyez-vous donc pas cette situation de sourds? Regardez Falcon! C'est exactement ce qu'il veut, vous allez libérer un pirate? Une personne qui appartient au groupe d'êtres humains que vous traquez pour la justice? Vous allez donc jusqu'à renier premier principe de votre métier? Pour quoi hein! Pour quoi?! De l'argent! Je veux dire, vous êtes de marins! Vous croyez pas que l'intérêt du monde prime sur nos petites vies? Oui nos supérieurs bouffent sûrement de la viande qui vaut plus que mon salaire mensuel, où ils rient assis sur des sièges qui valent plus que ce que je débourse chaque mois pour me loger! Ils ont aussi oublier que la vie pouvait être dure, mais cela vous oblige-t-il a devenir comme eux? Quelques milliers de Berry pour votre famille... Cela est-il plus important que cet argent vous serve dans un but égoïste que dans le but de construire des logements, aider les orphelins, ceux qui ont tout perdu, ceux que les pirates ont volés, truandés, manipulés! Comme Falcon qui cherche à violer votre morale! Vos principes! Vos idéaux de justice pour s'en sortir! Cet homme! Ces hommes sont des pirates! En temps que tel et maintenant qu'ils sont capturés, ils doivent être jugés puis subir la sentence de ce jugement.
Il y avait un silence relatif, elle semblait avoir calmer les esprits, elle comprenait les différents points de vus, à son sens le vol était moins légitime que l'intérêt commun, l'individualisme ne menait à rien, l'esprit de groupe devait dominer. Elle s'apprêtait à partir lorsqu'elle entendit la voix de Falcon.
-T'es une petite chienne en fait, tu supportes les riches, tu participes à la pauvreté, au final ce qui t'intéresse c'est de gagner en échelons hein?
Elle s'arrêta net alors que les pirates convaincu du vol commençaient à lui hurler dessus, elle se retourna et son regard roux vint se loger dans ceux de Falcon. Son visage habituellement inamical était devenu littéralement haineux, le sang tapait contre ses veines elle resserrait la prise sur la poigne de ses boucliers. En silence, elle avança lentement, se mordant la lèvre inférieur pour refréner une envie de meurtre. Un supérieur direct s'interposa devant elle.
-Freydja, recule, si tu avances je te mettrai au trou.
La seule réponse qu'il parvint à avoir c'est la tranche de son bouclier dans le bras, juste au niveau de l'artère, de son autre bouclier elle lui mit le plat du bouclier dans le torse avant de l'écarter.
-Je me fou que tu me mettes au trou, les traites, les profiteurs, ceux qui agissent plus par opportunisme que par besoin je les écrase, t'as pas besoin de plus d'argent, t'es supposé mieux vivre que n'importe qui ici, t'es juste là pour t'engraisser.
Elle passa son chemin jusqu'aux barreau et se saisit du col de Falcon.
-J'compte pas te tabasser à mort, tu seras jugé et mit au trou, peut-être même Impel Down vu les trésors que t'as, c'est si suspect qu'une petite pointe comme toi mérité ce trou infernal. Par contre sache que j'vais enfoncer ton cas pour que tu pourrisses bien en tôle, j'ai connu des pirates avec une bonté d'âme, c'est si rare qu'eux j'avais envie de croire qu'il y avait des pirates capables d'être autre chose que des sous merdes de ton genre, qui profitent des autres, manipule leur douleur pour servir tes intérêts. Tu mérites qu'on t’arraches les dents et la glotte, qu'on coupe les liens de ta langue pour qu'elle s'enfonce dans ta gorge et que tu t'étouffes avec.
Elle fit demi tour après l'avoir cogné contre les barreaux, sans écouter les protestations elle prit la sortie et soupira.
-Cet argent sera mieux employé à servir l'intérêt commun, après si vous voulez servir vos propres intérêts allez-y, je ne dirai rien tant qu'on ne saura rien, mais s'il y a soupçons je n'hésiterai pas à balancer les noms de tous les voleurs. Si voulez gagner plus mais que vous rester à de si faibles échelons, c'est que vous êtes faibles et que vous ne montez pas votre capacité à servir l'intérêt commun de votre plein grès.
Puis elle remonta, chercher quelques corvées à faire pendant que beaucoup flânaient au sous-sol.
L'idée avait émergée quelques heures après le début du voyage retour. Ylda était sur le pont à remplir ses corvées, cela ne la dérangeait pas le moins du monde du moment que tout le monde participait à charge égale à l'entretient du bateau. Le front perlé de sueur, la marine avait prit le soin de retirer sa cape en fourrure pour ne pas l’abîmer, ses mains plongeaient dans l'eau savonneuse et brossait le mat noircissait avec le temps. D'un coup elle entendit deux mousses parler, au début elle ne prêta pas beaucoup d'attention aux dire.
-T'sais que la salle où le trésor est stocké n'a aucune surveillance? Pas même des suppérieurs!
-Tu m'étonnes, ces sales riches savourent un bon repas pendant que nous on se sert la ceinture.
-On pourrait emporter une partie du trésor, je sais que d'autres gars sont avec nous. Puis qui a compter la valeur exact d'un trésor de quasiment cent millions... Avec ne serait-ce que un million je pourrait correctement nourrir ma femme qui attend le second...
-Moi je pourrais peut-être mettre ça à la banque et espérer que les intérêts m'aident à mieux me loger.
Ylda s'arrêta net lorsqu'ils quittèrent le pont, elle grimaça et se redressa en recrachant une mèche qui s'était logée entre ses fines lèvres. Ils n'avaient pas tort, beaucoup de jeunes mousses gagnaient mal leur vie et ceux qui n'arrivaient pas à gravir les échelons malgré leurs années d'expériences étaient désabusés. Elle ne fit rien de plus, il n'était pas recommander d'intervenir maintenant, même si tout en elle bouillonnait, que devait-elle faire? Si elle était dans la marine c'était pour servir une cause noble, rendre la justice, qu'elle soit implacable et juste, son but est de rendre le monde meilleur, d'aider ceux et celles opprimés par la piraterie et les tortionnaires, les dirigeants injustes et les commerçants malhonnêtes, sauver les abandonnés et tous ceux dans le besoin. Mais d'un autre côté, pouvait-elle réellement blâmer ces marins de prendre pour eux, de voler pour mieux manger, aider leurs enfants, assurer d'entretenir une maison où même se loger dans une auberge, se payer le voyage pour retourner chez eux pendant leurs permissions? Doit-on parler d'avidité et de trahison? Plutôt de nécessité, après tout elle n'avait jamais connu un supérieur capable de sacrifier une partie de son salaire pour ses membres d'équipages, mine de rien le pouvoir rend égoïste, allait-elle finir comme ça? Si elle venait à gravir les échelons, allait-elle oublier qu'elle avait commencé au bas de l'échelle?
Pensive, la Boréalienne se redressa et avisa la loge des supérieurs, on y entendait quelques cris et rires joyeux, eux aussi on ne pouvait pas les blâmer de profiter de leur statut, ils avaient sûrement et durement gagnés leur statu. Elle prit le soin de ranger le matériel qu'elle utilisait et elle descendit vers la coque où étaient tenus prisonniers les pirates et le trésor. À mesure qu'elle s'approchait, les voix s'élevaient, résonnant dans le bois courbé à la perfection. Comme elle s'y attendait il y a trois groupes: Les marins qui ne supportaient pas l'idée de voler et qui considéraient cette pensée comme un acte de trahison, les marins qui eux étaient désabusés par les difficultés qu'ils avaient à vivre et aimeraient mieux gagner leur vie et enfin, les pirates, leur capitaine était un homme au crâne rasé, fin et pourtant grand, il n'avait pas une grosse prime, mais c'était à se demander comment il avait accumulé tant de richesses? La réponse n'était pas si simple, mais Ylda qui resta temporairement en retrait, toujours à douter du camp à choisir, remarqua bien que le capitaine Falcon était un homme à la langue habile, il utilisait les mots des partisans du vol pour les brosser dans le sens du poil, leur faire comprendre qu'en les délivrant ils auraient assez de Berry pour ne plus souffrir de leurs problème pendant longtemps, ceux qui au contraire maintenaient qu'il ne fallait pas voler étaient qualifiés de moutons, d'hommes sans réflexions, discréditant les capacités d'analyse pour mieux flatter l'idiotie de ses "alliés" marins et mieux les manipuler. Il y avait quelque chose de surprenant, il y avait quelques un de ses supérieurs directs, ceux qui avaient uniquement un ou deux grades de plus qu'elle, était-il pourris jusqu'à la moelle, où bien eux aussi avaient-ils des problèmes?
-Assez!
De ses deux mètres Ylda s'avança le pas lourd pour s'interposer entre les différents partis. Elle n'était pas la plus forte, mais son regard dissuadait la plus plupart des autres de venir l'emmerder. Dans sa cage, Falcon était debout, il la détaillait de ses yeux vitreux, le crâne tatoué de l'emblème de son navire: un serpent sortant d'une mâchoire de crâne humain.
-Hey ma petite mademoiselle, tu serais pas venu soutenir la cause des justes? De ceux qui veulent mettre un terme aux abus des plus riches et des supérieurs?
-J'crois pas qu'nous ayons élever les porcs ensemble Falcon, donc vous pouvez garder le tutoiement dans vot cul sinon j'vous dilate suffisamment pour qu'il y rentre et j'suis pas votre chose donc plus jamais vous me traitez comme tel, sinon j'grave vot visage dans le mur d'en face.
Quelques voix s'élevèrent, protestant les mots de la grande femme, elle ne fit rien et contenta d'observer la scène. Beaucoup protestaient et hurlaient, elle pouvait le comprendre, chaque parti avec ses revendications et voulaient absolument avoir raison sur les autres. Le brouhaha reprenait et devenait insoutenable, mais personne ne se décidait à lever les armes, même si certain essayaient de crocheter les serrures des cages de l'équipage de Falcon, cela dura de longues minutes avant qu'Ylda ne puisse parler, mais avant qu'elle ne prenne la parole, il fallut que quelques marins encouragés par Falcon se jettent armes dégainées sur les autres.
N'ayant le choix, Ylda s'équipa de ses deux rondaches et se jeta au devant de la mêlée pour repousser les quelques marins avec de violents coups de boucliers, elle ne laissait aucun parti s'avancer vers l'autre puis il scanda après avoir frapper au plexus un dernier marin trop insistant.
-Ne voyez-vous donc pas cette situation de sourds? Regardez Falcon! C'est exactement ce qu'il veut, vous allez libérer un pirate? Une personne qui appartient au groupe d'êtres humains que vous traquez pour la justice? Vous allez donc jusqu'à renier premier principe de votre métier? Pour quoi hein! Pour quoi?! De l'argent! Je veux dire, vous êtes de marins! Vous croyez pas que l'intérêt du monde prime sur nos petites vies? Oui nos supérieurs bouffent sûrement de la viande qui vaut plus que mon salaire mensuel, où ils rient assis sur des sièges qui valent plus que ce que je débourse chaque mois pour me loger! Ils ont aussi oublier que la vie pouvait être dure, mais cela vous oblige-t-il a devenir comme eux? Quelques milliers de Berry pour votre famille... Cela est-il plus important que cet argent vous serve dans un but égoïste que dans le but de construire des logements, aider les orphelins, ceux qui ont tout perdu, ceux que les pirates ont volés, truandés, manipulés! Comme Falcon qui cherche à violer votre morale! Vos principes! Vos idéaux de justice pour s'en sortir! Cet homme! Ces hommes sont des pirates! En temps que tel et maintenant qu'ils sont capturés, ils doivent être jugés puis subir la sentence de ce jugement.
Il y avait un silence relatif, elle semblait avoir calmer les esprits, elle comprenait les différents points de vus, à son sens le vol était moins légitime que l'intérêt commun, l'individualisme ne menait à rien, l'esprit de groupe devait dominer. Elle s'apprêtait à partir lorsqu'elle entendit la voix de Falcon.
-T'es une petite chienne en fait, tu supportes les riches, tu participes à la pauvreté, au final ce qui t'intéresse c'est de gagner en échelons hein?
Elle s'arrêta net alors que les pirates convaincu du vol commençaient à lui hurler dessus, elle se retourna et son regard roux vint se loger dans ceux de Falcon. Son visage habituellement inamical était devenu littéralement haineux, le sang tapait contre ses veines elle resserrait la prise sur la poigne de ses boucliers. En silence, elle avança lentement, se mordant la lèvre inférieur pour refréner une envie de meurtre. Un supérieur direct s'interposa devant elle.
-Freydja, recule, si tu avances je te mettrai au trou.
La seule réponse qu'il parvint à avoir c'est la tranche de son bouclier dans le bras, juste au niveau de l'artère, de son autre bouclier elle lui mit le plat du bouclier dans le torse avant de l'écarter.
-Je me fou que tu me mettes au trou, les traites, les profiteurs, ceux qui agissent plus par opportunisme que par besoin je les écrase, t'as pas besoin de plus d'argent, t'es supposé mieux vivre que n'importe qui ici, t'es juste là pour t'engraisser.
Elle passa son chemin jusqu'aux barreau et se saisit du col de Falcon.
-J'compte pas te tabasser à mort, tu seras jugé et mit au trou, peut-être même Impel Down vu les trésors que t'as, c'est si suspect qu'une petite pointe comme toi mérité ce trou infernal. Par contre sache que j'vais enfoncer ton cas pour que tu pourrisses bien en tôle, j'ai connu des pirates avec une bonté d'âme, c'est si rare qu'eux j'avais envie de croire qu'il y avait des pirates capables d'être autre chose que des sous merdes de ton genre, qui profitent des autres, manipule leur douleur pour servir tes intérêts. Tu mérites qu'on t’arraches les dents et la glotte, qu'on coupe les liens de ta langue pour qu'elle s'enfonce dans ta gorge et que tu t'étouffes avec.
Elle fit demi tour après l'avoir cogné contre les barreaux, sans écouter les protestations elle prit la sortie et soupira.
-Cet argent sera mieux employé à servir l'intérêt commun, après si vous voulez servir vos propres intérêts allez-y, je ne dirai rien tant qu'on ne saura rien, mais s'il y a soupçons je n'hésiterai pas à balancer les noms de tous les voleurs. Si voulez gagner plus mais que vous rester à de si faibles échelons, c'est que vous êtes faibles et que vous ne montez pas votre capacité à servir l'intérêt commun de votre plein grès.
Puis elle remonta, chercher quelques corvées à faire pendant que beaucoup flânaient au sous-sol.
Informations IRL
• Prénom : Gaëtan
• Age : 20 ans soon
• Aime : Les Kebabs, les Tacos et les jeux de rôle sur table!
• N'aime pas : Le théorème des 3 femmes à la retraite dans le métro parisien : Théorie qui démontre que peu importe l'heure où vous passez dans une station de métro ayant 2 correspondances possible il y aura toujours 3 bonnes femmes en cannes pour bloquer le couloir assez large pour laisser passer 5 personnes !
• Personnage préféré de One Piece : C'est trop difficile, mais Ener, un des personnage le plus badass pour moi !
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Euh, Curieux, poseur de 1000 questions, enjoué, très sociable et adore rencontrer du monde, j'aime beaucoup les blagues et tout type d'humour
• Fait du RP depuis : 5 ans
• Disponibilité approximative : Très variable, à cause des études, mais cet été ça sera assez régulier:)
• Comment avez-vous connu le forum ? Top Site après un reprise de One Piece
ONE PIECE REQUIEM ©
Dernière édition par Ylda Freydja le Ven 26 Mai 2017 - 12:50, édité 2 fois