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Soumettons les et rendons les dépendant

Groove 24. On arrive tous devant Soumission et Dépendance. Bon, comme je reprends la boutique, il y a quelques changements à faire. Niveau personnel, on ne va rien changer. Ça fonctionnait jusqu'à présent, ça va continuer à le faire. La salle on va la modifier par contre. Un seul grand truc, j'aime pas. C'est une petite boutique pour l'instant, il n'y a pas vraiment d'enchères. On fait plus dans le personnalisé désormais. Pour commencer, on détruit l'escalier. C'est facile avec ma force. Des hommes sont parti chercher du matos pour qu'on commence à créer ma boutique. Ils reviennent les bras chargés et commencent à installer l'ambiance. Des panneaux de bois sont mis devant les pierres sur les murs afin de donner un style oriental que j'apprécie durant un tête-à-tête. Pour le sol, on met des tatamis. Ça ne se salit pas, c'est facile à laver, c'est confortable, convivial. On installe ensuite les cloisons, des shojis, les papiers de riz qui donne un côté charmant. La pose est plus rapide que la terraformation. Cinq jours pour tout détruire, trois jours pour tout mettre à niveau et une journée à tout installer.

Il ne reste plus qu'à acheter les meubles. Je donne des indications précises quant à ce que je désire. On sépare la grande pièce en quatre plus petites. Les cloisons sont mouvantes, ça c'est pratique. Si quelqu'un souhaite un plus grand espace, on peut le lui offrir. C'est la dixième journée de travaux aujourd'hui. Il est dix heures du matin, et tout est presque finit. On fignole, je vérifie que tout soit parfait. Derrière, là où les acheteurs ne vont pas, il y a plusieurs cages de différents gabarits pouvant accueillir divers individus. La cuisine ne sera pas extraordinaire, mais quand même mieux que ce qu'ils avaient avant. Un esclave en bonne santé vaut plus cher qu'un en mauvaise condition physique. Alors je paie plus en nourriture et soins que mon prédécesseur.

« Bon, on revoit les prix ?
Un humain, c'est 500 000 berrys. Longs-bras, longues jambes, tontatas, minks c'est 700 000. Un habitant céleste c'est 800 000. Un homme poisson, c'est 1 000 000. Un géant c'est 50 000 000. Une sirène c'est 70 000 000.
On a les cages pour tout ce beau monde ?
Elles arrivent dans la journée. Mais on a celles qui étaient déjà là avant.
Cool. »

Si dans la partie boutique le sol est en tatamis, pour les cages des esclaves, il est en pierre brute. Je ne vais quand même pas jeter mon argent par la fenêtre. Je ne suis pas riche à ce point là. La boutique, c'est bon. Maintenant, il faut de la marchandise. On en a pas beaucoup, et en plus, on a que des humains ici. Je demande à Patrick de venir m'aider à trouver des produits. Il est ravi. Pendant ce temps, Tara, la seule femme de la boutique, s'occupe de dresser les esclaves pour qu'ils soient bien dociles et ne répondent jamais à leurs maître.


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On est dans une zone franche, toujours le groove 24. Ici, on peut voler, kidnapper, tuer, personne ne s'en formalise et la marine n'intervient pas. Patrick et moi cherchons des cibles. On traîne avec nous deux charrettes à bulle pour pouvoir transporter les futurs-esclaves. On commence nos recherches dans les bars, cherchant des poivrots, des abrutis. Dès que je rentre, plus personne ne parle. Ils savent tous qui je suis et combien je vaux. Avec une prime comme la mienne, on fait taire tout le monde.

« Bien le bonjour bande d'abrutis pas frais. Aujourd'hui, c'est votre jour de chance. Vous avez quelqu'un dont vous souhaitez vous débarrasser ? Un collègue, un ami, un rival, un emmerdeur ? Donnez moi son nom, sa localisation et je vous en débarrasse. Pour un certain prix évidemment.
Attends. Tu veux qu'on te paye pour tuer des gens ?
Oui.
Vas te faire voir. » Hop, mon épée lui tranche la gorge, sa tête roule sur le sol. « Quelqu'un d'autre ? » Personne ne répond. Je regarde le tenancier et lui demande si tout le monde a payé. Malheureusement, oui. Bon, bah alors on y va à l'ancienne. Avec des sorus, je me dirige vers chacun homme l'un après l'autre. Je leur donne un coup sur la nuque, et ils tombent dans les vapes. Le barman n'en revient pas. Il sort son fusil de dessous le bar.

« T'inquiètes pas, tu risques rien. C'est juste eux que je veux. Fais passer le message. Je cherche des gens à qui personne ne tient, dont on veut se venger. A livrer au groove 24, à Soumission et Dépendance, c'est ma salle des ventes. Les gens peuvent aussi venir se constituer esclaves.
Qui voudrait faire ça ?
Quelqu'un qui n'a pas d'argent pour se payer à manger, à boire et un toit au dessus de la tête. Quelqu'un qui s'est enfui de chez lui. Quelqu'un qui a perdu ses illusions et ne sait pas quoi faire. J'accepte tout le monde. Je paie 100 000 par esclave en bonne santé. Quatre repas par jour, de bonnes conditions de détention, un médecin qui vient examiner régulièrement. C'est plus que certains ne peuvent se permettre. En échange, je leur demande une complète soumission à mes règles. Ceux qui refuseront et tenteront de n'avoir que les avantages apprendront à ne pas tenter de me tromper. 15% de la somme sera reversée aux esclaves. Cette offre est valable pendant deux semaines uniquement. Compris ? Transmets le message maintenant. Et vous aussi. »

J'ai laissé quelques péquenots quand même pour raconter l'histoire. Patrick ne comprend pas pourquoi j'ai dit ça. Aller à la chasse aux esclaves, c'est bien, ça occupe. Mais ça prend du temps et ça n'est pas toujours efficace. Alors si on peut faire venir les gens chez moi, ça ne nous prend pas de temps, ça ne nous coûte rien, ce n'est que du bénéfice, puisque ça fait plus de marchandises à vendre. C'est gagnant-gagnant pour moi en fait. Avoir des esclaves qui se présentent à toi pour 100 000 berrys alors que tu les revends minimum 500 000 berrys, ça fait de la marge pour moi. Même en les nourrissant quatre fois par jour et en faisant venir le médecin une fois par semaine, ça me revient moins cher que de passer du temps à chercher et kidnapper des gens. Même en leur donnant 15% de leur vente, soit environ 75 000 berrys, je reste large sur les profits. Finalement, ce sont les gens qui vont faire le boulot pour moi. Ils vont raconter la rumeur qui va prendre de l'importance et attirer encore plus de personnes. La rumeur enfle très vite. Il ne faut donc pas longtemps pour que des SDFs et des pauvres viennent se présenter à mon entreprise. J'ai toujours dit que l'humanitaire était important. Combiné à la stupidité humaine, ça permet de faire un maximum de profit. J'adore ces humains à la con.


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« Patron ?
Mmmh.
On a un petit problème. On a ni de longs-bras, ni de longues-jambes, ni de minks, ni de tontatas, ni d'anges.
Ça peut être un problème, en effet. Il nous faudrait en capturer.
Comment on peut faire ?
Attends, j'ai une idée. Je vais poster une annonce libre. On va engager des mercenaires pour les capturer et faire le taff. En même temps, ça fera connaître la boutique sur les océans.
T'es un génie patron.
Ouais, je sais. »

Modestie quand tu me tiens …Qui aurait cru que j'étais philanthrope ? Je ne veux qu'aider le monde en fait. Aider le monde à m'aider et me rendre encore plus riche que je ne le suis actuellement. Mais chut, ça ne se dit pas il paraît.

« Capitaine !
Quoi matelot ?
Un géant a été repéré seul pas loin d'ici. Il sème la terreur sur son passage.
Vite, on y va avant qu'il parte.
A vos ordres. »

On fonce vers l'endroit qu'il m'a indiqué. J'arrive bien avant lui grâce à des sorus et ma terre. Je repère le géant grâce à sa taille. Je lui arrive à la cheville. Ça ne m'impressionne nullement. J'ai combattu aux côtés d'un géant, Jormungard Sovereign à Las Camp. J'ai affronté la division géante de la marine sur Drum. En voir un ne me fait plus rien. En battre un est à ma portée.

« HEY ! GROS CUL DE MORUE !
Quoi ? Comment tu m'as appelé microbe ?
TU PUES AUTANT QUE MA GRAND-MERE APRES QU'ELLE AIT CHIE PARTOUT SUR ELLE ! Tu t'es jamais lavé ou quoi ?
Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! »

Il beugle et me balance son poing droit. Évidemment, le poing suffit à m'écraser vu sa taille. Je tourne sur le côté juste avant de me faire toucher. Puis d'une frappe bien calée sur son poignet, je détourne son coup qui s'écrase sur le sol sans me causer le moindre dégât. Il beugle autant qu'une vache qu'on va abattre. J'ai du y aller trop fort parce que son poignet forme un angle droit avec son bras. Il me demande ce que je lui ai fait. Je lui réponds que je vais lui remontrer. Je me propulse devant sa cheville gauche, et la frappe avec la même force. Aussitôt on entend un craaaac, puis il tombe sur le sol en hurlant de douleur. Il ne peut plus bouger. Il ne peut pas se relever avec une jambe et le bras opposé en moins. Il tente, mais il abandonne vite.

« Je te laisse deux choix. Viens avec moi, suis mes règles et on te retape comme neuf. Refuses, tentes de fuir ou de m'abattre, et je te tues sans délai. Tu as compris ?
Oui.
Alors ? Quelle est ta réponse ?
… Non ! Me touche surtout pas. »

Je voulais le toucher. Le pauvre. On dirait que je l'ai traumatisé … Je croyais que les géants étaient forts. Celui-là ne l'est pas. Je le fais avancer sur le sol avec ma terre qui roule sous son corps. De retour à la boutique, je présente notre nouveau prix. Le plus cher actuellement. Je le rentre dans sa cage puis appelle le toubib, comme promis. Voilà, maintenant on est prêt pour ouvrir demain. On a des humains, des hommes-poissons et un géant. J'espère que les enchères vont vite grimper. Le lendemain matin, des clients arrivent de bonne heure. Artanis les installe comme il faut. Ils cherchent de la marchandise pouvant travailler, étant forte physiquement. Le patron leur fait visiter les différents produits que nous avons. En voyant le géant, ils n'en reviennent pas. Ils sont surpris et demandent comment on a réussit à en avoir un. Le show-man leur dit que c'est moi qui l'a capturé. Ils sont un peu moins surpris et décident de l'acheter. J'ai fait une vivre card avec Artanis. De cette manière, s'il y a un problème, je peux revenir facilement sur Shabondy.


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