Deux ans, deux ans que Zayn travaillait au compte d’Antoni Caesar Bambano, celui que l’on surnommait le Padre. En se mettant au service du chef de la famille Bambana, le jeune loup espérait gravir les échelons et, dans ses rêves les plus fous, lui prendre sa place. Mais ça semblait utopique tant le Padre avait l’air inaccessible. Et surtout, contrairement à ce qu’il avait pensé en rejoignant l’organisation, se faire une réputation parmi les mafiosi n’est pas tâche aisée. En deux ans, il a prouvé ses capacités à vendre de l’opium, mais il n’en restait pas moins un simple bleu pour le boss. Frustrant à coup sûr. Zayn avait une très très haute estime de lui, il ne pouvait tolérer de rester un “bleu”. Que faire dans ces conditions ?
L’élégant mercanti avait imaginé un nombre incalculable de plans, pour faire de lui l’un des hommes les plus influents de la famille. Cependant, il a mûri en deux ans. Très sûr de lui, trop sûr de lui, il comprenait peu à peu les rouages de l’organisation dans laquelle il avait mis les pieds. Ici, ce n’était ni son beau faciès ni son charisme qui allait l’aider, il fallait prouver. Or, pour prouver il se devait d’accomplir des actes forts. Chez les mafiosi, cette notion n’est pas dénuée de sens. Elle comprenait surtout deux actes bien précis : faire gagner une grande quantité d’argent ou tuer un adversaire de la famille. Bien que prétentieux concernant ses capacités à manipuler autrui, le jeune homme était beaucoup craintif lorsqu’on parlait d’assassinats. Les rivaux des Bambana étaient dangereux, risquer d’éventuelles représailles ne l’intéressait guère. L’argent était donc le meilleur moyen de lui faire prendre du galon dans l’organisation. Sauf que ce n’est pas en vendant des petites doses d’opium qu’il allait réussir. Il fallait frapper un grand coup. Mais comment faire ?
Il ne pouvait compter sur personne, tout le monde rêvait d’être dans les petits papiers du patron. Dans ce milieu, on a pas le temps de faire ami-ami et ça Zayn ne l’a que trop bien remarqué. Le jeune avait essayé de se faire des alliés en arrivant dans la famille. Il s’était confronté à la dur réalité. Ici, on respecte que la puissance, pas les beaux parleurs.
L’élégant mercanti avait imaginé un nombre incalculable de plans, pour faire de lui l’un des hommes les plus influents de la famille. Cependant, il a mûri en deux ans. Très sûr de lui, trop sûr de lui, il comprenait peu à peu les rouages de l’organisation dans laquelle il avait mis les pieds. Ici, ce n’était ni son beau faciès ni son charisme qui allait l’aider, il fallait prouver. Or, pour prouver il se devait d’accomplir des actes forts. Chez les mafiosi, cette notion n’est pas dénuée de sens. Elle comprenait surtout deux actes bien précis : faire gagner une grande quantité d’argent ou tuer un adversaire de la famille. Bien que prétentieux concernant ses capacités à manipuler autrui, le jeune homme était beaucoup craintif lorsqu’on parlait d’assassinats. Les rivaux des Bambana étaient dangereux, risquer d’éventuelles représailles ne l’intéressait guère. L’argent était donc le meilleur moyen de lui faire prendre du galon dans l’organisation. Sauf que ce n’est pas en vendant des petites doses d’opium qu’il allait réussir. Il fallait frapper un grand coup. Mais comment faire ?
Il ne pouvait compter sur personne, tout le monde rêvait d’être dans les petits papiers du patron. Dans ce milieu, on a pas le temps de faire ami-ami et ça Zayn ne l’a que trop bien remarqué. Le jeune avait essayé de se faire des alliés en arrivant dans la famille. Il s’était confronté à la dur réalité. Ici, on respecte que la puissance, pas les beaux parleurs.
Dernière édition par Zayn Shrewd le Dim 25 Juin 2017, 23:08, édité 1 fois