Ah cette bonne odeur de … De quoi au juste ? Il y avait tellement de parfums différents ici que même le nez plus ou moins avisé de Zol ne s'y retrouvait plus. Cependant elle s'y trouvait, ici, le lieu où les odeurs peuvent faire tourner les têtes, la capitale de la senteur. La jeune femme armée de son ombrelle blanche n'allait certainement pas repartir d'ici sans un parfum à son image. Quelle image ? Elle s'était autoproclamée douce et puissante même si à l'heure actuelle le parfum qui l'aurait le mieux caractérisé était la semoule tant elle y pataugeait. Elle aurait aimé voler un de ces précieux parfums dans les plus agréables boutiques seulement ces dernières étaient vraiment très surveillées et Zol ne s'était pas assez préparée pour pouvoir dérober quoi que ce soit. D'un autre côté elle n'allait certainement pas repartir avec un parfum de pacotille. Non, si elle ne pouvait pas se l'offrir elle-même, ce sont les autres qui lui offrirait. La chasse aux portefeuilles pouvait commencer !
Sa première proie serait ce charmant homme d'une quarantaine d'année avec un costume, sortant très certainement de son travail. C'était le genre de gibier dont la jolie blonde raffolait : un portefeuille bien remplie et une excitation que ne peut plus satisfaire leur femme. Il faut dire qu'après quinze ans à passer à côté, cette dernière n'était plus bonne qu'à préparer le dîner. Zol avait d'ailleurs toujours trouver qu'une bonne soupe était le ciment d'un couple, le moyen que la femme à la poitrine commençant à tomber d'avoir une emprise sur son homme. Enfin, rien qui n'effrayait la jeune femme, à moins que la soupe brûlante ne lui arrive en pleine figure, il n'y avait aucun risque.
Zol s'approcha alors discrètement du monsieur puis fit tomber « malencontreusement » son sac par terre. Ce genre d'hommes sont de véritables anges, toujours prêts à venir en aide aux demoiselle « en détresse ». Le quarantenaire sourit alors à la jeune blonde et se pencha pour ramasser le sac. C'était à ce moment là que les mains baladeuses de Zol se saisirent de l'objet convoité dans la poche arrière droite de la proie. Comment ça il a forcément senti ? Mais bien sur qu'il a senti ! Il a d'ailleurs plutôt apprécié puisqu'il a donné sa carte de visite à notre protagoniste. Banquier ? Et bien voilà qui était un bonne pioche. Oh, il s'en rendrait sûrement compte à l'heure du souper, mais aller expliquer à votre femme qu'une charmante demoiselle à dérober votre portefeuille parce que vous avez bien voulu qu'elle vous touche le popotin !
En entrouvrant le portefeuille, cela représentait un joli petit pactole mais pas assez pour s'offrir le parfum de ses rêves. Elle devait continuer. Elle regarda autour d'elle et aperçu une maman et son fils réclamant cette barba-papa d'une couleur étrange et qui lui donnerait certainement bon nombre de caries. Elle hésitait regardant à la fois son sac ouvert où devait se trouver le portefeuille et son enfant à la limite de piquer une crise. C'est donc pour le bien des oreilles de toute la population ici présente que Zol allait maintenant agir ! Ces sucreries n'étaient pas si chères après tout. Zol sorties quelques berrys volés quelques minutes auparavant et s'approcha du vendeur.
« Je vais en prendre une s'il vous plaît, et bien grosse ! »
Le barba-papier plus communément appelé vendeur de barba-papa lui fit une bien jolie œuvre et lui la donna sous le nez du petit garçon. Zol s'approcha un peu plus et s'agenouilla assez pour être à hauteur de l'enfant mais également et surtout pour placer son ombrelle au-dessus du sac de la mère de façon à lui cacher totalement la vision sur son sac mais pas sur son fils. Elle glissa alors sa main droite dans le sac tout en tendant la barba-papa à l'enfant, main que pouvait voir la mère. Quand à l'ombrelle, elle avait cet embout qui lui permettait de l’apposer à son épaule.
« Tu en veux un bout ? »
« Mon fils n'a pas besoin de ça ! C'est moi sa mère et je vais lui payer sa barba-papa ! »
Elle parlait mais il était déjà trop tard, Zol s'était déjà saisi du portefeuille. Elle partie donc très rapidement avant d'entendre au loin « AU VOLEUUR ! ». Oui mais si elle avait laisser l'enfant prendre la barba-papa, elle n'aurait pas tout perdu, son fils aurait au moins été satisfait.
Zol ne se fit pas de souci, en revanche elle fut stoppée nette par la vue de ces magnifiques boucles d'oreilles, très certainement en or que portait cette élégante femme au loin. Elle s'approcha dans le but de les dérober....
Sa première proie serait ce charmant homme d'une quarantaine d'année avec un costume, sortant très certainement de son travail. C'était le genre de gibier dont la jolie blonde raffolait : un portefeuille bien remplie et une excitation que ne peut plus satisfaire leur femme. Il faut dire qu'après quinze ans à passer à côté, cette dernière n'était plus bonne qu'à préparer le dîner. Zol avait d'ailleurs toujours trouver qu'une bonne soupe était le ciment d'un couple, le moyen que la femme à la poitrine commençant à tomber d'avoir une emprise sur son homme. Enfin, rien qui n'effrayait la jeune femme, à moins que la soupe brûlante ne lui arrive en pleine figure, il n'y avait aucun risque.
Zol s'approcha alors discrètement du monsieur puis fit tomber « malencontreusement » son sac par terre. Ce genre d'hommes sont de véritables anges, toujours prêts à venir en aide aux demoiselle « en détresse ». Le quarantenaire sourit alors à la jeune blonde et se pencha pour ramasser le sac. C'était à ce moment là que les mains baladeuses de Zol se saisirent de l'objet convoité dans la poche arrière droite de la proie. Comment ça il a forcément senti ? Mais bien sur qu'il a senti ! Il a d'ailleurs plutôt apprécié puisqu'il a donné sa carte de visite à notre protagoniste. Banquier ? Et bien voilà qui était un bonne pioche. Oh, il s'en rendrait sûrement compte à l'heure du souper, mais aller expliquer à votre femme qu'une charmante demoiselle à dérober votre portefeuille parce que vous avez bien voulu qu'elle vous touche le popotin !
En entrouvrant le portefeuille, cela représentait un joli petit pactole mais pas assez pour s'offrir le parfum de ses rêves. Elle devait continuer. Elle regarda autour d'elle et aperçu une maman et son fils réclamant cette barba-papa d'une couleur étrange et qui lui donnerait certainement bon nombre de caries. Elle hésitait regardant à la fois son sac ouvert où devait se trouver le portefeuille et son enfant à la limite de piquer une crise. C'est donc pour le bien des oreilles de toute la population ici présente que Zol allait maintenant agir ! Ces sucreries n'étaient pas si chères après tout. Zol sorties quelques berrys volés quelques minutes auparavant et s'approcha du vendeur.
« Je vais en prendre une s'il vous plaît, et bien grosse ! »
Le barba-papier plus communément appelé vendeur de barba-papa lui fit une bien jolie œuvre et lui la donna sous le nez du petit garçon. Zol s'approcha un peu plus et s'agenouilla assez pour être à hauteur de l'enfant mais également et surtout pour placer son ombrelle au-dessus du sac de la mère de façon à lui cacher totalement la vision sur son sac mais pas sur son fils. Elle glissa alors sa main droite dans le sac tout en tendant la barba-papa à l'enfant, main que pouvait voir la mère. Quand à l'ombrelle, elle avait cet embout qui lui permettait de l’apposer à son épaule.
« Tu en veux un bout ? »
« Mon fils n'a pas besoin de ça ! C'est moi sa mère et je vais lui payer sa barba-papa ! »
Elle parlait mais il était déjà trop tard, Zol s'était déjà saisi du portefeuille. Elle partie donc très rapidement avant d'entendre au loin « AU VOLEUUR ! ». Oui mais si elle avait laisser l'enfant prendre la barba-papa, elle n'aurait pas tout perdu, son fils aurait au moins été satisfait.
Zol ne se fit pas de souci, en revanche elle fut stoppée nette par la vue de ces magnifiques boucles d'oreilles, très certainement en or que portait cette élégante femme au loin. Elle s'approcha dans le but de les dérober....