La mer était calme, je mettais couché et je contemplé la facilité avec laquelle les mouettes volaient au gré du vent. Elle avait cette habitude si particuliére de ..... pas le temps de m'envoler dans mes rêverie que j'avais accosté sur une plage, pour une fois que ce n'était pas d'énorme rochers qui aprés moult réparations faisait quand même un peu de dégât à mon rafiot. Au moins j'étais sur de pouvoir dire *terre en vue !!!!*... enfin bref, la sensation d'air frais était quand même faiblard comparé à cette tendre odeur de viandes faite à la broche. Peu de viande sont réussi de cette façon car elles ont la particularité d'être cuit pendant de long moment pour qu'au final la chair puisse être couper même avec un poil de dos d'un vieux mineur suant. Il faut dire que l'endroit était plutôt plaisant une belle plage de sable blanc des cocotiers et autres arbres fruitiers peignés ce paysage haut en pureté, et la dans des vagues ajoutaient une certaine serrainité que je n'avais pas profité depuis un moment... c'est à dire 2/3 minutes.
Je mis mon katana dans mon foulard rouge et je partais enfin à la quête de ce menu spécial grosses ratiches, je m'enfoncais dans ce labyrinthe de merveilles fruitiers jusqu'au moment où une route de terre se présenta à moi. Sans attendre je suivais mon instinct qui me dicta d'aller dans la direction la plus approprié et la plus logique qui soit c'est à dire, la droite ... allez savoir pourquoi !!!!! Rien de tel qu'une balade en forêt pour se vider l'esprit .... oui car aprés une heure de marche *sous le soleil des cocotiers* n'était plus au rendez-vous et c'est une maigre forêt qui s'offrait à moi, laissant passer les rayons du soleil je pouvais profiter d'une brise légère et d'une chaleur plus que supportable, agréable si le plaisir venait de m'assoupire au détour d'un tronc au confort exaltant.
Mais il n'était en rien l'heure se buler entre deux feuillage mais plutôt de suivre sur ma direction quand j'aperçu le panneau *Village De Goat, BIENVENUE *. Encore une fois l'île avait tout l'air de vouloir ouvrir leur bras au nouveaux arrivants, une aubaine pour moi car j'en avais marre de tomber sur des marines abides de ma tête qui n'était même pas encore mise à prix !!!!
La bonne odeur s'approcha de plus en plus intensément et il ne me fallu pas longtemps pour trouver la personne responsable de ce festin. Un vieille homme se plaisait à saupoudrer sa chère et tendre viande qu'il bissutait de tout son long. Ce qui avait bien sur pour conséquence de lui bruler les lévres, mais son exaspérance fut vite oublié quand il me parla :
- Salout le nouveau !!!! alors tu viens visiter notre tout jeune village ? c'est gentil à toi d'être ici .... * il me regarde d'un mauvais oeil* villadiou non d'une moule, tu s'rais pas un pirate par hasard ?
je serrais les dents de légéres frustrations mais de mon petit sourire je lui répondis le plus fraichement possible, l'heure n'était point à la bagarre ou à la remise à niveau :
- Non non vous inquiétez pas, je veux juste me me ravitailler car mon voyage en mer fut long et mon navire et assez loin, donc un p"tit repos s'impose avant que je reparte euh .... chez moi pour m'occuper de mes patates...
Une seconde suffit au vieux pour crier au abois et exprimer tout son bon sentiment en me donnant une belle ration de viande. Alléché de tout ça je le remerçie, je lui demanda où je pouvais trouver une taverne pour ... *boire de l'eau*, il me conseilla *le squale* qui était d'ailleurs le seul bar du village.
Je grignotais un peu avant de rentrer dans cette fameuse taverne, un endroit simple sans once de décoration mais vite rattrapé par la charmante jeune fille qui allait me servir. Je ne m'interessé pas beaucoup au femme et à l'idée du couple puisque mon aventure étant mon principal objectif je ne me pensais guére sur la question. Mais elle était tout ce que j'aimais les traits fins, mignonne sans trop de forme, juste ce qu'il faut ou il faut, et avec des lunettes qui lui allait à merveilles peut être l'élèment clé du petit plus de la beauté féminine. Comme à mon habitude je restais neutre sans montrer quelques élèment qui aurait pu montrer mon affection pour sa beauté.
Je commandais une chopine, me replongea dans les divers projets que j'avais en tête et surtout de ma prochaine destination surement l'île du karaté, un nom qui prétait à vouloir cette fois si prendre d'énorme précaution envers les habitants et surement les marines qui devaient patrouiller amplement la plupart de la journée. Quand j'étais libéré un court instant de mes pensées je profitais que la servante ai le dos tourné pour comment dire ... la matter, bon juste son profil quand je le pouvais.
Malheureusement j'avais oublié un détail, j'avais pas un rond sur moi et l'idée de me barrer ne me plaisait absolument pas du fait que c'est une fille qui me plaisait qui me servait. Ca sentait la merde, le slip plein et la grosse bouse de vache, j'étais dans la caca, la grosse boutade peut être pire que dans les moments où je me faisait courser par la marine. J'essayais de garder mon calme et de boire lentement le temps de trouver une bonne raison de pas payer, jste au moment ou les portes de la taverne s'ouvriraient pour laisser entrer un groupe de personnes qui d'aprés moi ne semblaient pas trés net de têtes. Ils s'asseyèrent au fond de la salle et l'un d'eux gueula à gorge déployait qu'on leur améne à boire, je remarquais qu'ils portaient un sac bien remplis selon moi de piéces d'or car rien ne ressemble au tendre bruit de la fortune et du clinquant scintillement de l'or. Alors que j'essayais toujours de trouver désespérément une solution à mon problème j'entendais les divers remarques que la servante faisait à ces personnes qui selon moi n'avait vraiment pas que des bonnes intentions, restant maître de moi et je continuais à boire. S'ensuivit de ricanements et de quelques mots que je ne pus entendre, mais je compris vite la chose quand sans le vouloir je croisa le regard de la jeune fille, sa mine inquiéte et ça façon de remonter ses lunettes montrait une certaine frustration, elle avait sans doute déjà connu ce moment où tout peut nous être perdu quand la terreur s'améne, c'était le cas avec cette bande de bouffons. La colére et la compassion se mêlaient car pour une fille aussi jolie il n'était pas permis de changer ce beau minoie en charisme de peur, elle se mit de profil devant moi et posa sa main sur le comptoir alors que l'autre était victime des dents qui été le principal indice de son anxiété, je posa ma main sur la sienne et lui dit :
- Je vous promet que tout se passera bien.
je l'avais surement sortit de sa peur puisqu'elle fut surpris de mon geste et encore plus de mes paroles, elle me fit plusieurs non de la tête d'affilés mais rien ne m'empêcha de me lever et d'aller en direction de ce groupe déjà bien entamé par l'alcool :
- Salut les gars, dite vous auriez pas un peu de monnaie car j'ai rien pour payer mon addition et je voudrais commencer une nouvelle ardoise. Si vous voulez j'ai de la bonne viande avec moi, je peux peut être vous l'échanger contre deux ou trois berrys qu'est ce que vous en pensez ?
Le groupe me regarda un instant avant de se lever tout ensemble, ils avaient l'air interessé par mon gigot et le fait qu'il dégainérent leur sabre me fit comprendre que ce n'était pas des enfants de coeur. Le chef s'avança un grand gars mince avec une banane ridicule, habillé d'un long manteau en cuir noir et des bottes ornées de plaques de métal rouillées, le parfait bandit suivis de ses majorettes. J'avais laissé mon sac au comptoir mais la jeune servante eu la bonne idée de le cacher en attendant que je régle cette affaire, quelques hommes déjà saoul n'allait pas être bien dur, je fis quelques pas en arriére pour me permettre de tous les avoir devant moi. Il me fallu assez de temps pour me concentrer assez de temps pour me permettre d'en avoir un certain nombre :
Mon attaque me permit d'avoir les cinq premier, deux autres se présentaient à moi je bloqua de ma lame les deux coups de sabres alors que les deux autres voulurent m'empaler sur mes côtés. D'un geste suicidaire je sauta pour donner un double coup de pied qui me permettait de mettre à terre deux autres ennemis mais aussi de me changer de la trajectoire des deux autres bandits, aprés une roulade en arriére il me restait trois adversaires deux bandits et leur chef qui ne semblait ne pas vouloir intervenir pour le moment.
Pour l'instant sans égratinures sauf mon mal de dos soudain je pouvais déjà m'estimais heureux de ma situation, le groupe baissait en effectif à vue d'oeil et il ne me restait pas grand monde avant de réussir à gérer tout mes problèmes. L'un des deux bandits essaya de vouloir combattre mais déjà au vu de ça marche c'était peine perdu :
Le deuxiéme était un peu paniquait ce qui lui avait vallu de ce faire écraser la gueule dans le plancher, son boss ne devait pas trop aimer l'échec. Marre de cette remise à niveau de ma part il sortit de son manteau une belle et haut combien piquante arme du nom de fléau, lui déjà semblait plus frais à combattre et son arme allait surement parler pour lui. Les armes "lourdes" n'était pas à prendre à la légère et je devais faire attention à ne pas briser mon sabre car même si ceux des bandits trainés cela reviendrais au même si j'essayais de parer un de ses coups.
Il attaque le premier en voulant écraser son boule sur moi mais je dus sauter en arriére pour éviter mais mon insouciance permit à mon adversaire d'être plus rapide que moi en m'attrapant par le col et de me donner une belle mandale qui me fit aller direct dans le comptoir. L'atterissage fut assez dur à supporter, mais grâce à l'aide de la servante je pus me remettre debout, alors que le boss préparait son attaque en faisant tourner la boule de son arme je me mit en position pour éviter une de ces erreurs qui auraient pu me coûter plus qu'une défaite. je courus vers lui j'évitais une seconde fois son fléau par le côté mais ma riposte fut stoppé cette fois-ci par un coup de pied qui me fit juste reculer, mais son arme de part ma faiblesse arriva aussi trop vite pour que je puisse l'esquiver, elle se planta dans mon épaule avant de me faire valdinguer dans les tables et chaises. Un coup dur qui m'avait mit mon bras gauche HS pour ce combat, il fallait faire quelque chose mais quoi ? Ses attaques au fléau étant lentes, il remettait la balance de niveau grâce à ses coups de pongs et pieds rapides, solution me rendre plus rapide l'espace d'un instant.
Sortis de mes débris je sourais à l'instar de mon ennemi qui commençait à être pas mal agacé, il fonça vers moi et comme à son habitude depuis le début de son combat voulut écraser son arme sur ma tête aprés avoir risquais ma lame à vouloir me pousser d'un côté et de dévier la trajectoire de la boule j'enchainais mon combos que j'avais mis au point. je plantais alors la lame dans l'un des maillons de la chaine ce qui bloqua l'arme pour un instant, quand à moi étant plus léger je pris appui puis fonça sur mon ennemi surpris de cette action :
Je dus utiliser le peu de force qui me resté pour mette KO le bonhomme, je souffrais pas mal de ma blessure mais la servante aprés m'avoir remercié me dit de me reposer un instant pour qu'elle aille chercher du secours. J'avais eu peur qu'elle me balance aux marines au vue de mon état pitoyable dans lequel j'étais, mais elle expliqua tout ce qui c'était passé au habitants et aprés une multitudes de remerciments, une bonne bourse en poche ou plutôt en sac et le souvenir d'une merveilleuse femme, je repartais alors en mer le coeur léger malgrés mon statue.
Je mis mon katana dans mon foulard rouge et je partais enfin à la quête de ce menu spécial grosses ratiches, je m'enfoncais dans ce labyrinthe de merveilles fruitiers jusqu'au moment où une route de terre se présenta à moi. Sans attendre je suivais mon instinct qui me dicta d'aller dans la direction la plus approprié et la plus logique qui soit c'est à dire, la droite ... allez savoir pourquoi !!!!! Rien de tel qu'une balade en forêt pour se vider l'esprit .... oui car aprés une heure de marche *sous le soleil des cocotiers* n'était plus au rendez-vous et c'est une maigre forêt qui s'offrait à moi, laissant passer les rayons du soleil je pouvais profiter d'une brise légère et d'une chaleur plus que supportable, agréable si le plaisir venait de m'assoupire au détour d'un tronc au confort exaltant.
Mais il n'était en rien l'heure se buler entre deux feuillage mais plutôt de suivre sur ma direction quand j'aperçu le panneau *Village De Goat, BIENVENUE *. Encore une fois l'île avait tout l'air de vouloir ouvrir leur bras au nouveaux arrivants, une aubaine pour moi car j'en avais marre de tomber sur des marines abides de ma tête qui n'était même pas encore mise à prix !!!!
La bonne odeur s'approcha de plus en plus intensément et il ne me fallu pas longtemps pour trouver la personne responsable de ce festin. Un vieille homme se plaisait à saupoudrer sa chère et tendre viande qu'il bissutait de tout son long. Ce qui avait bien sur pour conséquence de lui bruler les lévres, mais son exaspérance fut vite oublié quand il me parla :
- Salout le nouveau !!!! alors tu viens visiter notre tout jeune village ? c'est gentil à toi d'être ici .... * il me regarde d'un mauvais oeil* villadiou non d'une moule, tu s'rais pas un pirate par hasard ?
je serrais les dents de légéres frustrations mais de mon petit sourire je lui répondis le plus fraichement possible, l'heure n'était point à la bagarre ou à la remise à niveau :
- Non non vous inquiétez pas, je veux juste me me ravitailler car mon voyage en mer fut long et mon navire et assez loin, donc un p"tit repos s'impose avant que je reparte euh .... chez moi pour m'occuper de mes patates...
Une seconde suffit au vieux pour crier au abois et exprimer tout son bon sentiment en me donnant une belle ration de viande. Alléché de tout ça je le remerçie, je lui demanda où je pouvais trouver une taverne pour ... *boire de l'eau*, il me conseilla *le squale* qui était d'ailleurs le seul bar du village.
Je grignotais un peu avant de rentrer dans cette fameuse taverne, un endroit simple sans once de décoration mais vite rattrapé par la charmante jeune fille qui allait me servir. Je ne m'interessé pas beaucoup au femme et à l'idée du couple puisque mon aventure étant mon principal objectif je ne me pensais guére sur la question. Mais elle était tout ce que j'aimais les traits fins, mignonne sans trop de forme, juste ce qu'il faut ou il faut, et avec des lunettes qui lui allait à merveilles peut être l'élèment clé du petit plus de la beauté féminine. Comme à mon habitude je restais neutre sans montrer quelques élèment qui aurait pu montrer mon affection pour sa beauté.
Je commandais une chopine, me replongea dans les divers projets que j'avais en tête et surtout de ma prochaine destination surement l'île du karaté, un nom qui prétait à vouloir cette fois si prendre d'énorme précaution envers les habitants et surement les marines qui devaient patrouiller amplement la plupart de la journée. Quand j'étais libéré un court instant de mes pensées je profitais que la servante ai le dos tourné pour comment dire ... la matter, bon juste son profil quand je le pouvais.
Malheureusement j'avais oublié un détail, j'avais pas un rond sur moi et l'idée de me barrer ne me plaisait absolument pas du fait que c'est une fille qui me plaisait qui me servait. Ca sentait la merde, le slip plein et la grosse bouse de vache, j'étais dans la caca, la grosse boutade peut être pire que dans les moments où je me faisait courser par la marine. J'essayais de garder mon calme et de boire lentement le temps de trouver une bonne raison de pas payer, jste au moment ou les portes de la taverne s'ouvriraient pour laisser entrer un groupe de personnes qui d'aprés moi ne semblaient pas trés net de têtes. Ils s'asseyèrent au fond de la salle et l'un d'eux gueula à gorge déployait qu'on leur améne à boire, je remarquais qu'ils portaient un sac bien remplis selon moi de piéces d'or car rien ne ressemble au tendre bruit de la fortune et du clinquant scintillement de l'or. Alors que j'essayais toujours de trouver désespérément une solution à mon problème j'entendais les divers remarques que la servante faisait à ces personnes qui selon moi n'avait vraiment pas que des bonnes intentions, restant maître de moi et je continuais à boire. S'ensuivit de ricanements et de quelques mots que je ne pus entendre, mais je compris vite la chose quand sans le vouloir je croisa le regard de la jeune fille, sa mine inquiéte et ça façon de remonter ses lunettes montrait une certaine frustration, elle avait sans doute déjà connu ce moment où tout peut nous être perdu quand la terreur s'améne, c'était le cas avec cette bande de bouffons. La colére et la compassion se mêlaient car pour une fille aussi jolie il n'était pas permis de changer ce beau minoie en charisme de peur, elle se mit de profil devant moi et posa sa main sur le comptoir alors que l'autre était victime des dents qui été le principal indice de son anxiété, je posa ma main sur la sienne et lui dit :
- Je vous promet que tout se passera bien.
je l'avais surement sortit de sa peur puisqu'elle fut surpris de mon geste et encore plus de mes paroles, elle me fit plusieurs non de la tête d'affilés mais rien ne m'empêcha de me lever et d'aller en direction de ce groupe déjà bien entamé par l'alcool :
- Salut les gars, dite vous auriez pas un peu de monnaie car j'ai rien pour payer mon addition et je voudrais commencer une nouvelle ardoise. Si vous voulez j'ai de la bonne viande avec moi, je peux peut être vous l'échanger contre deux ou trois berrys qu'est ce que vous en pensez ?
Le groupe me regarda un instant avant de se lever tout ensemble, ils avaient l'air interessé par mon gigot et le fait qu'il dégainérent leur sabre me fit comprendre que ce n'était pas des enfants de coeur. Le chef s'avança un grand gars mince avec une banane ridicule, habillé d'un long manteau en cuir noir et des bottes ornées de plaques de métal rouillées, le parfait bandit suivis de ses majorettes. J'avais laissé mon sac au comptoir mais la jeune servante eu la bonne idée de le cacher en attendant que je régle cette affaire, quelques hommes déjà saoul n'allait pas être bien dur, je fis quelques pas en arriére pour me permettre de tous les avoir devant moi. Il me fallu assez de temps pour me concentrer assez de temps pour me permettre d'en avoir un certain nombre :
Hoko no Kage
Mon attaque me permit d'avoir les cinq premier, deux autres se présentaient à moi je bloqua de ma lame les deux coups de sabres alors que les deux autres voulurent m'empaler sur mes côtés. D'un geste suicidaire je sauta pour donner un double coup de pied qui me permettait de mettre à terre deux autres ennemis mais aussi de me changer de la trajectoire des deux autres bandits, aprés une roulade en arriére il me restait trois adversaires deux bandits et leur chef qui ne semblait ne pas vouloir intervenir pour le moment.
Pour l'instant sans égratinures sauf mon mal de dos soudain je pouvais déjà m'estimais heureux de ma situation, le groupe baissait en effectif à vue d'oeil et il ne me restait pas grand monde avant de réussir à gérer tout mes problèmes. L'un des deux bandits essaya de vouloir combattre mais déjà au vu de ça marche c'était peine perdu :
Danmen Giri
Le deuxiéme était un peu paniquait ce qui lui avait vallu de ce faire écraser la gueule dans le plancher, son boss ne devait pas trop aimer l'échec. Marre de cette remise à niveau de ma part il sortit de son manteau une belle et haut combien piquante arme du nom de fléau, lui déjà semblait plus frais à combattre et son arme allait surement parler pour lui. Les armes "lourdes" n'était pas à prendre à la légère et je devais faire attention à ne pas briser mon sabre car même si ceux des bandits trainés cela reviendrais au même si j'essayais de parer un de ses coups.
Il attaque le premier en voulant écraser son boule sur moi mais je dus sauter en arriére pour éviter mais mon insouciance permit à mon adversaire d'être plus rapide que moi en m'attrapant par le col et de me donner une belle mandale qui me fit aller direct dans le comptoir. L'atterissage fut assez dur à supporter, mais grâce à l'aide de la servante je pus me remettre debout, alors que le boss préparait son attaque en faisant tourner la boule de son arme je me mit en position pour éviter une de ces erreurs qui auraient pu me coûter plus qu'une défaite. je courus vers lui j'évitais une seconde fois son fléau par le côté mais ma riposte fut stoppé cette fois-ci par un coup de pied qui me fit juste reculer, mais son arme de part ma faiblesse arriva aussi trop vite pour que je puisse l'esquiver, elle se planta dans mon épaule avant de me faire valdinguer dans les tables et chaises. Un coup dur qui m'avait mit mon bras gauche HS pour ce combat, il fallait faire quelque chose mais quoi ? Ses attaques au fléau étant lentes, il remettait la balance de niveau grâce à ses coups de pongs et pieds rapides, solution me rendre plus rapide l'espace d'un instant.
Sortis de mes débris je sourais à l'instar de mon ennemi qui commençait à être pas mal agacé, il fonça vers moi et comme à son habitude depuis le début de son combat voulut écraser son arme sur ma tête aprés avoir risquais ma lame à vouloir me pousser d'un côté et de dévier la trajectoire de la boule j'enchainais mon combos que j'avais mis au point. je plantais alors la lame dans l'un des maillons de la chaine ce qui bloqua l'arme pour un instant, quand à moi étant plus léger je pris appui puis fonça sur mon ennemi surpris de cette action :
Karitoriki gari
Je dus utiliser le peu de force qui me resté pour mette KO le bonhomme, je souffrais pas mal de ma blessure mais la servante aprés m'avoir remercié me dit de me reposer un instant pour qu'elle aille chercher du secours. J'avais eu peur qu'elle me balance aux marines au vue de mon état pitoyable dans lequel j'étais, mais elle expliqua tout ce qui c'était passé au habitants et aprés une multitudes de remerciments, une bonne bourse en poche ou plutôt en sac et le souvenir d'une merveilleuse femme, je repartais alors en mer le coeur léger malgrés mon statue.