Il dort, parfait. Je m'approche de son lit, je sors ma dague, et je l'abats sur sa poitrine. Manque de pot, il se retourne à ce moment là, esquivant ainsi le coup. Je crains qu'il ne se réveille, mais non, il dort encore. Je plante la lame à sa place, mais il s'étire et mon attaque rate sa cible. Je sors ma seconde dague et enfonce les deux dans son corps qui ondule comme un serpent. J'ai manqué, une fois de plus. J'en ai marre. Je prends le pichet rempli d'eau sur la table de nuit, et je lui balance à la gueule. Puis mes armes trouvent le chemin de sa carotide. Je vais enfin parvenir à le toucher ! Je vais le tuer ! Dès l'instant où mes lames vont pénétrer sa peau, j'aurais gagné, il mourra dans les secondes suivantes. Hélas, quand elles parviennent enfin à le toucher, elles éclatent en morceaux. Son corps est aussi dur que de l'acier. Il triche ! Il a pas le droit de tricher ! Je réessaie plusieurs fois avec les morceaux restants, d'autres armes, mais rien n'y fait. Je parviens pas à percer sa peau. Après une trentaine d'essais, j'abandonne. Je ne peux pas le tuer. Je sors de la cabine du capitaine et la moitié du bateau m'attend dehors.
« T'as essayé de le tuer ? » Je vois les regards noirs, méchants, emplis de haine et de colère.
« Non. » Je bluffe.
« Arrête de mentir. Tu viens d'essayer de tuer le capitaine. Notre capitaine. » Je sens que je vais passer un sale quart d'heure. Je peux probablement en tuer une trentaine, mais il en reste encore près de cent, plus le capitaine. Ça va être impossible de m'en sortir. Alors autant en faire tomber le plus possible.
« Ok, j'ai tenté de le supprimer.
A mon tour alors.
Ah non, on avait dit moi.
Non, c'était moi.
Non moi.
Reculez les gars, c'est moi le prochain.
On avait pas dit qu'on attendait demain ?
On s'en fou.
On veut le tuer !
Ouais, tuons le !
Massacrons le capitaine !
Petit conseil. Si vous planifiez de tuer le capitaine, faîtes le en silence, ça fonctionne généralement mieux.
T'as raiso*/ » Tout le monde se tourne vers celui qui vient de parler. On a tous reconnu sa voix dès sa première intonation.
« C'est bon ? Vous avez finit ? J'aimerais bien retourner dormir si vous avez finit votre raffut.
Tu dors pas ?
Vous m'avez réveillé. C'est pas comme ça que je vais progresser les gars.
Bon, bah puisque t'es réveillé, viens voir. On t'a préparé une surprise.
Elle a intérêt à être bonne»
« T'as essayé de le tuer ? » Je vois les regards noirs, méchants, emplis de haine et de colère.
« Non. » Je bluffe.
« Arrête de mentir. Tu viens d'essayer de tuer le capitaine. Notre capitaine. » Je sens que je vais passer un sale quart d'heure. Je peux probablement en tuer une trentaine, mais il en reste encore près de cent, plus le capitaine. Ça va être impossible de m'en sortir. Alors autant en faire tomber le plus possible.
« Ok, j'ai tenté de le supprimer.
A mon tour alors.
Ah non, on avait dit moi.
Non, c'était moi.
Non moi.
Reculez les gars, c'est moi le prochain.
On avait pas dit qu'on attendait demain ?
On s'en fou.
On veut le tuer !
Ouais, tuons le !
Massacrons le capitaine !
Petit conseil. Si vous planifiez de tuer le capitaine, faîtes le en silence, ça fonctionne généralement mieux.
T'as raiso*/ » Tout le monde se tourne vers celui qui vient de parler. On a tous reconnu sa voix dès sa première intonation.
« C'est bon ? Vous avez finit ? J'aimerais bien retourner dormir si vous avez finit votre raffut.
Tu dors pas ?
Vous m'avez réveillé. C'est pas comme ça que je vais progresser les gars.
Bon, bah puisque t'es réveillé, viens voir. On t'a préparé une surprise.
Elle a intérêt à être bonne»