Teach est un monstre. Non seulement il a battu Red, mais en plus il a créé un arbre qui faisait la moitié de l'île. Un arbre qui a presque détruit Thriller Bark. Mais en plus, il a fusionné les deux pour créer une île volante. La puissance des empereurs n'est pas que physique. Ils ont tous un petit quelque chose. Teach a sa capacité qui lui permet de contrôler et faire pousser des plantes. Ravrak a son immortalité. Kyori a sa maîtrise du sabre et son meitou. Pour devenir empereur, il me faut autre chose. Mon logia ne suffit pas. Face aux adversaires qui m'attendent, il sera même plus un handicap qu'autre chose. Mon Hasshoken ne s'exprimera pas tant que je n'aurais pas le haki de l'armement. Mais ce n'est pas ma priorité. Je dois trouver et développer une capacité qui m'est propre. Un truc que personne n'a et qui me donne un avantage. Devenir cyborg ? Non, trop cher, pas assez rentable, trop facile à détruire. Il me faut un truc utile, chiant à affronter, qui ne puisse être que difficilement contrer. D'un seul coup, le den den d'alarme résonne. Je me précipite sur le pont supérieur pour voir ce dont il s'agit. Et dès lors, je le vois. Il est là. Il arrive. Le bateau avec son pavillon noir.
Les hommes sont paniqués. Je crois qu'il n'a pas trop aimé ce que j'ai fait à son île. Sur son navire, Akemi Polio me pourchasse depuis que j'ai massacré son île. Comment il 'ma retrouvé ? On est sur le Nouveau Monde, il ne peut pas simplement me suivre à la trace. Il ne peut pas non plus savoir vers quelle île je vais puisque moi même je ne le sais pas encore. On est au beau milieu de la mer, et pourtant, il est parvenu à me trouver. Ça fait près de deux semaines, mon corps a récupéré de son traumatisme. Sauf mon doigt sectionné, évidemment. Même si je m'en suis fait un en terre. Comment il a pu me retrouver ? Il a des pouvoirs de divinations ? Un fruit du démon ? Une capacité hors norme ? Une chose sur le Nouveau Monde est vraie, on y rencontre que des gens d'exception, c'est pas une mer pour débutant. On a beau activé nos hélices, libérer les voiles, le bateau ennemi nous rattrape par je ne sais quel moyen. Il fait la même taille que le mien, soit quarante huit mètres de long, la même largeur. Il est noir, presque intégralement, même les voiles. Il apporte la mort, c'est clair et net. On peut le sentir dès qu'on le voit. J'avale difficilement ma salive. Je repense à notre combat. M'échapper m'a presque coûté la vie. Je n'ai pas réussit à lui faire de dégâts malgré toutes mes techniques. Même le chat noir n'a quasiment rien fait. Comment va-t-on s'en sortir cette fois ? Bon, déjà, on se calme. On est pas abordé encore que je sache. Il faut qu'ils nous atteignent pour ça. Or, si on les coule avant, on sera tranquille de ce côté.
« Chargez les canons, ouvrez les sabords à bâbord, affalez les voiles. Préparez-vous à jeter l'ancre à tribord et à carguez les voiles à mon signal. Préparez le Panache Canon maintenant ! Vertical 10°, Horizontal 75°.
Mais … capitaine, vos ordres se contredisent. »
Un regard suffit à remettre le matelot à sa place. Je suis du genre tout ou rien, aucune demie mesure avec moi. Ça passe ou ça casse, comme on dit. Là, ça va forcément casser. Reste à savoir si c'est eux, nous ou les deux. Je crois en mon bateau et sa puissance. Je sais qu'il peut et va faire la différence. On a un vent arrière, mais eux aussi, puisqu'ils arrivent de derrière nous. Et ils vont plus vite, on ne peut donc pas les semer. Il ne reste qu'un seul moyen pour moi, le combat. J'suis pas connu pour mes tactiques navales, et j'espère que ça va changer. C'est pour cette raison que j'étudie les combats passés et que j'apprends plein de termes que je ne retiens pas forcément. Leur bateau sera bientôt à portée de tir. On gagne un peu en vitesse, et c'est tout ce qu'il me faut pour ma manœuvre légèrement risquée. Ça peut aussi nous couler le bateau. Mais sans sacrifice, aucune victoire. Je saute à l'arrière du vaisseau et envoie des lames d'air droit sur celui d'Akemi. Il les détruit avec les siennes sans effort apparent. Je laisse son bateau se rapprocher, et quand je trouve que c'est assez prêt, soit cinquante mètres, je débute ma manœuvre. L'ancre est jetée à tribord, les voiles sont carguées et les hommes sont bien accrochés. Aussitôt, le bateau se met à tourner sur lui même autour de l'ancre.
Les hommes sont paniqués. Je crois qu'il n'a pas trop aimé ce que j'ai fait à son île. Sur son navire, Akemi Polio me pourchasse depuis que j'ai massacré son île. Comment il 'ma retrouvé ? On est sur le Nouveau Monde, il ne peut pas simplement me suivre à la trace. Il ne peut pas non plus savoir vers quelle île je vais puisque moi même je ne le sais pas encore. On est au beau milieu de la mer, et pourtant, il est parvenu à me trouver. Ça fait près de deux semaines, mon corps a récupéré de son traumatisme. Sauf mon doigt sectionné, évidemment. Même si je m'en suis fait un en terre. Comment il a pu me retrouver ? Il a des pouvoirs de divinations ? Un fruit du démon ? Une capacité hors norme ? Une chose sur le Nouveau Monde est vraie, on y rencontre que des gens d'exception, c'est pas une mer pour débutant. On a beau activé nos hélices, libérer les voiles, le bateau ennemi nous rattrape par je ne sais quel moyen. Il fait la même taille que le mien, soit quarante huit mètres de long, la même largeur. Il est noir, presque intégralement, même les voiles. Il apporte la mort, c'est clair et net. On peut le sentir dès qu'on le voit. J'avale difficilement ma salive. Je repense à notre combat. M'échapper m'a presque coûté la vie. Je n'ai pas réussit à lui faire de dégâts malgré toutes mes techniques. Même le chat noir n'a quasiment rien fait. Comment va-t-on s'en sortir cette fois ? Bon, déjà, on se calme. On est pas abordé encore que je sache. Il faut qu'ils nous atteignent pour ça. Or, si on les coule avant, on sera tranquille de ce côté.
« Chargez les canons, ouvrez les sabords à bâbord, affalez les voiles. Préparez-vous à jeter l'ancre à tribord et à carguez les voiles à mon signal. Préparez le Panache Canon maintenant ! Vertical 10°, Horizontal 75°.
Mais … capitaine, vos ordres se contredisent. »
Un regard suffit à remettre le matelot à sa place. Je suis du genre tout ou rien, aucune demie mesure avec moi. Ça passe ou ça casse, comme on dit. Là, ça va forcément casser. Reste à savoir si c'est eux, nous ou les deux. Je crois en mon bateau et sa puissance. Je sais qu'il peut et va faire la différence. On a un vent arrière, mais eux aussi, puisqu'ils arrivent de derrière nous. Et ils vont plus vite, on ne peut donc pas les semer. Il ne reste qu'un seul moyen pour moi, le combat. J'suis pas connu pour mes tactiques navales, et j'espère que ça va changer. C'est pour cette raison que j'étudie les combats passés et que j'apprends plein de termes que je ne retiens pas forcément. Leur bateau sera bientôt à portée de tir. On gagne un peu en vitesse, et c'est tout ce qu'il me faut pour ma manœuvre légèrement risquée. Ça peut aussi nous couler le bateau. Mais sans sacrifice, aucune victoire. Je saute à l'arrière du vaisseau et envoie des lames d'air droit sur celui d'Akemi. Il les détruit avec les siennes sans effort apparent. Je laisse son bateau se rapprocher, et quand je trouve que c'est assez prêt, soit cinquante mètres, je débute ma manœuvre. L'ancre est jetée à tribord, les voiles sont carguées et les hommes sont bien accrochés. Aussitôt, le bateau se met à tourner sur lui même autour de l'ancre.