Ont étaient tous à moitié mort de faim !!! J'étais adossé à la cabine de l'embarcation et je remerciais le ciel de m'avoir un jour mis cette casquette bleue sur mon chemin. Le soleil tapait fort, la mer ne bougeait pas beaucoup et l'enfer devait se trouver tout proche car ma vision se troublé de temps en temps preuve que je manquais cruellement d'entrainement sur ma quête de devenir l'un des meilleurs épéiste du monde. Même pas une mouette en vue au moins elles avaient l'intelligence de se mettre surement à l'ombre et d'aller à des endroits ou il y a de l'eau et des vivres, car nous nous étions plantés en mer comme des pecnos sans rien pour survivre à par nos armes et la conviction de trouver une île à chaque instant qu'une goutte de sueur de notre front tombée sur le sol du navire dont l'état était quand même assez médiocre.
Mais comme on dit la patience est mère de sureté et nos vœux furent exaucés quand nous entendirent les éclats de rires et la musique provenant d'une île ou apparemment joie et vivacité était de goût, que la fête perpétuelle était la devise et que rien ne pouvait ébranler cette ensemble festif. Par manque de force le navire s'échoua légèrement sur la plage, je pris mon sabre et je descendais enfin du rafiot pour profiter de la terre ferme, mais il faut bien l'avouer c'est vraiment la merde de marcher dans le sable et surtout quand on n'est entre la frontière du cannibalisme et du contrôle de sois. Nous nous avancèrent alors dans les tréfonds de cette immensité décoratif et colorée, de multiples piscines et un nombres de parasols qui me fit donner l'idée qu'on devrait absolument en piquer un pour mettre dans le bateau, pour le reste, les bars étaient pleins à craqué de liquides en tout genre et les barbecues marchaient plein gaz pour faire cuire toutes cette bonne viande.
Moi qui déjà ne suivait aucune règle en vigueur, je perpétué cela en m'asseyant carrément dans les marches de la piscine ce qui me permettait de me rafraîchir et d'enfin pouvoir boire un cou.. bon certes j'étais trempé mais parfois pour rester en vie il faut pouvoir se rendre ridicule, enfin pour ma part je m'en battait le dard de tout ces joyeux fêtards et de toute façon ma conscience ayant presque toujours raison je suivait son idée de profiter des marches pour enfin revivre. En sortant de l'eau je me mis torse nue et pantalon retroussé jusqu'au genou, ma casquette toujours sur ma tête, mon foulard rouge plus mon sabre toujours autour de ma taille et le reste écharpe, chaussures, tee-shirt dans mon sac en bandoulière. Le corps de meilleur mine je devais ou plutôt devrais-je dire ONT devait régler le principal problème de la bouffe car la on avaient tous les crocs et un peu de loyal piraterie ne ferait pas de mal. A noter qu'aucun marines n'étaient en vue donc ça sentait bon le p'tit pillage qui nous aideront grandement dans nos aventures futures.
Mais comme on dit la patience est mère de sureté et nos vœux furent exaucés quand nous entendirent les éclats de rires et la musique provenant d'une île ou apparemment joie et vivacité était de goût, que la fête perpétuelle était la devise et que rien ne pouvait ébranler cette ensemble festif. Par manque de force le navire s'échoua légèrement sur la plage, je pris mon sabre et je descendais enfin du rafiot pour profiter de la terre ferme, mais il faut bien l'avouer c'est vraiment la merde de marcher dans le sable et surtout quand on n'est entre la frontière du cannibalisme et du contrôle de sois. Nous nous avancèrent alors dans les tréfonds de cette immensité décoratif et colorée, de multiples piscines et un nombres de parasols qui me fit donner l'idée qu'on devrait absolument en piquer un pour mettre dans le bateau, pour le reste, les bars étaient pleins à craqué de liquides en tout genre et les barbecues marchaient plein gaz pour faire cuire toutes cette bonne viande.
Moi qui déjà ne suivait aucune règle en vigueur, je perpétué cela en m'asseyant carrément dans les marches de la piscine ce qui me permettait de me rafraîchir et d'enfin pouvoir boire un cou.. bon certes j'étais trempé mais parfois pour rester en vie il faut pouvoir se rendre ridicule, enfin pour ma part je m'en battait le dard de tout ces joyeux fêtards et de toute façon ma conscience ayant presque toujours raison je suivait son idée de profiter des marches pour enfin revivre. En sortant de l'eau je me mis torse nue et pantalon retroussé jusqu'au genou, ma casquette toujours sur ma tête, mon foulard rouge plus mon sabre toujours autour de ma taille et le reste écharpe, chaussures, tee-shirt dans mon sac en bandoulière. Le corps de meilleur mine je devais ou plutôt devrais-je dire ONT devait régler le principal problème de la bouffe car la on avaient tous les crocs et un peu de loyal piraterie ne ferait pas de mal. A noter qu'aucun marines n'étaient en vue donc ça sentait bon le p'tit pillage qui nous aideront grandement dans nos aventures futures.