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contrat d'assassin

C'est l'histoire d'un homme humain et une femme sirène. Hum, commencer ainsi serait un faux départ, autant recommencer depuis le début. Toutes les histoires qui commencent comme ça finissent toujours mal. Ce n'était pas un secret, bien au contraire il y a un mal à l'intérieur des adultes de ce monde qui poussent les uns à détester les autres. La peur de l'étranger est un virus qui ne cesse de prendre le dessus sur les êtres de raisons. C'est dans la diversité culturelle doit être une richesse pour l'humanité et non une richesse pour le porte-monnaie. En ce bas monde, là où toute chose à un prix il est encore question de convoitise du corps de l'autre à des fins purement monétaire.

Les nombreuses persécutions des humains envers le peuple des mers encra un sentiment de colère et de haine puissante à l'encontre des oppresseurs. Le divorce était prononcé, le point de rupture était atteint. Entre les deux races il ne subsistait rien si ce n'est de l'agressivité. Bien sûr ce n'était pas la guerre, le tableau dépeint pouvait laisser croire que la situation l'était, mais disons qu'un pacte de raison régissait la cohabitation de deux mondes. Cela était encore plus visible sous l'océan, une bulle aussi minuscule qu'un quartier de la ville d'Alubarna parquait les visiteurs tel des animaux en cage.

C'était peut-être le juste châtiment pour des centaines d'année de souffrance d'un peuple au combien généreux, mais ceux qui peuple plus de la majorité des îles de ce monde, le peuple tristement nommé humain n'avaient plus accès aux joyaux des mers. Une séparation net et brutale séparant les peuples. Certain diront que ce n'est que pour la justice que de laisser l'île des homme-poissons aux homme-poissons. D'autre prôneront la sécurité, avec cette barrière le peuple se sent en sécurité recroquevillé derrière des mégalitres d'eau de mer.

Aujourd'hui - 11h

C'est à l'intérieur de ce box géant que Shoma et les siens se retrouvaient à genoux, les mains au-dessus de leur tête. Quel coup de génie pouvait se dire n'importe quel officier de la marine en voyant un tel spectacle. Tous les Spectres au complet soumis, arme au sol, n'opposant pas la moindre résistance. D'un côté comme de l'autre on pouvait sentir la haine, le dégout et l'animosité. Depuis leur arrivée sur l'île, les Spectres c'était vu offrir un traitement de faveur encore jamais vu et cette situation n'était pas pour arranger les choses.

Aujourd'hui - 8h30

Alors que tout semblait bien se passer en ce début de journée, la Quica s'en alla trouver Shoma. Poser dès le matin sur le pont de son navire petit thé à la menthe en main et narguilé au bec le capitaine des Spectres se demandait comment il allait pouvoir faire main basse sur cette île. L'arrivée du baron de la drogue de Grandline stoppa le pirate dans son moment de détente. En bon hôte, Shoma proposa son partenaire de le rejoindre, mais ce dernier refusa, car il préférait ne pas toucher ce genre de produit qui peut très vite devenir additif. Le narco-trafiquant n'avait pas totalement tord, depuis qu'il avait commencé à fumer, Shoma se faisait un plaisir de fumer dès qu'il avait un moment de libre.

Voyant que ce dernier n'était pas ici pour profiter avec lui de ses petits plaisirs simple que pouvait offrir la vie de pirate Shoma lui demanda clairement ce qu'il voulait. Entrer dans le vif du sujet, une des qualités du chef des Spectres. Se posant sur une chaise en face du supernovas, la Quica lui demanda un service. Voir l'homme qui ne compte que sur lui pour arriver demander un service était quelque chose que Shoma n'était pas encore prêt à voir, mais par curiosité il lui demanda de développer son sujet afin de voir si les deux hommes pouvaient trouver un terrain d'entente sur le fameux service.

La Quica avait apprit qu'un des hommes de son principal rival se trouvait sur l'île et avait déjà fait parler de lui. Curieux et intrigué par cette histoire Shoma demanda de plus ample détails sur la nature du service. Connaissant parfaitement la palette de qualité qu'il pouvait mettre aux services des autres, le capitaine des Spectres se doutait au fond de lui que si son partenaire faisait appel à lui, il s'agissait sans doute d'une mission d'assassinat. Malgré tout Shoma voulait savoir pourquoi et pourquoi c'était à lui de s'occuper de cette basse besogne. La Quica était accompagnée d'une flopée de ses hommes, alors il n'y avait pas de raison de laisser ces hommes sur le côté, quand ils pouvaient être tout aussi efficace que lui.

C'est non sans mal que la Quica avoua à Shoma que ce n'était pas la première fois qu'il tentait d'éliminer ce type, mais en vain. Chacune de ses tentatives pour faire disparaître cette épine de son pied se solda par la perte de ses assassins. Vados de son nom n'était pas qu'un simple homme de main, il était qualifié, professionnel et adepte de ce genre de mission d'assassinat, voilà pourquoi il ne tombait dans aucun des pièges que lui tendait la Quica. Jusqu'à présent face à lui il s'était cassé les dents, mais aujourd'hui avec la présence d'un autre assassin de renom il pouvait s'en défaire.

L'histoire que venait de lui raconter son partenaire avait de quoi réjouir le capitaine des Spectres. De l'action, il n'était pas contre. Depuis son entrevu avec le Généralissime Shoma se retrouvait pieds et poings liés et dans le collimateur des hautes instances de l'île, malgré tout il n'était pas contre un petit assassinat dans les règles de l'art comme il le faisait avant. Tous les feux étaient au vert pour que Shoma accepte de rendre ce service à son partenaire en affaire, mais comme rien n'était gratuit il attendait une contre-partie de la part du trafiquant. Hé oui, depuis l'annonce et l'officialisation de leur alliance les Spectres n'avaient pas encore reçu le paiement promis.

Les deux hommes étaient d'accord, une fois le meurtre réalisé la Quica donnerait à Shoma son dû. En disant cela Shoma espérait obtenir l'argent une fois arrivé sur le nouveau monde, mais ce dernier lui indiqua que l'argent était actuellement en sa possession à l'intérieur d'un coffre qui se trouvait sur son navire. Le filou, contrairement à Annia qui avait perdu ses navires sur l'île en fête celui que l'on nomme dans la pègre l'homme aux petits oiseaux avaient toujours une longueur d'avance quand il s'agit de récolte d'information.

Qu'importe les petits secrets et manigance du trafiquant, Shoma n'attendait de lui que l'argent qu'il lui avait promis, le reste il s'en fichait royalement. Pour le supernova ce contrat allait renflouer les caisses de son équipage et financer l'achat d'une flotte une fois arrivée sur le nouveau monde.


Aujourd'hui - 9h45

Shoma s'était mis d'accord avec la Quica, il allait se charger en personne du meurtre. Il n'y a pas de quoi en faire un fromage, ce n'était qu'un mort de plus dans la longue liste des gens tombés sous sa lame. Néanmoins, le trafiquant voulait s'assurer de la mort de ce dernier et envoya avec le capitaine pirate deux de ses hommes. Ils étaient là pour attester que le travail était bien accompli, du moins c'était l'explication officielle. Devant l'insistance de son partenaire Shoma ne posa pas de question, mais il sentait bien qu'il y avait quelque chose d'étrange, il y avait anguille sous roche.

D'ordinaire quand un assassin accepte un contact, il prend une preuve que la cible est bien morte et puis le tour est jouée. Une photo de la gorge tranchée, d'une balle en pleine tête, le coeur voir la tête si l'envie lui prend. Jamais un assassin n'est suivi dans son travail pour attester de son crime, à moins que l'on souhaite taire quelque chose et s'assurer que l'exécuteur n'en sache pas plus qu'il ne doit savoir. Tout en accordant son souhait à son nouvel ami, Shoma allait tenter de découvrir ce qu'il ne voulait pas ébruiter ou divulguer.

Les informateurs de la Quica avaient repéré la cible. Ce dernier logeait dans une auberge du coin, si l'on peut faire une touche d'humour. L'homme en question ne s'était pas caché, signe de la confiance qu'il a en ses propres capacités. Pour ne pas attirer trop l'attention Shoma posta ses observateurs à l'extérieur. Certes ils avaient des ordres de leur chef, mais Shoma lui avait reçu des ordres de ceux qui font la loi sur l'île et si jamais son nom étaient associés à du grabuge, personne ne quitterait cette île. L'un des hommes du narco-trafiquant refusa. Sa fidélité n'était que pour son patron et ne jurait que par ses ordres, du coup d'un coup-de-poing en plein foie Shoma l'envoya poursuivre sa nuit.


"Ma cible, mes directives."

Tout en maintenant son autre main sur la bouche de sa première victime de la journée afin d'éviter qu'il ne crie avant de s'effondrer, le capitaine des Spectres regarde le second homme de main de la Quica afin de voir s'il était en accord avec ce qu'il venait de dire.

Le groupe étant maintenant réglé sur l'heure de Shoma il ne devrait plus y avoir de débordement et la mission pouvait enfin commencer.


Aujourd'hui - 11h10

Alors qu'il se trouvait toujours à la disposition de l'armée royale, Shoma observait le commandant des troupes qui le maintenait au sol. Le triton semblait à cran et n'attendait qu'un prétexte pour s'emparer de lui et le mettre au arrêt. Au même moment dix de ses hommes qui étaient montés sur son navire en sortirent et déclarèrent qu'il n'y avait personne. Presque en même temps d'autre soldat qui inspectaient le reste des navires sortirent également. Même constat, il n'y avait personne. La fouille des navire n'avait rien donné.


"Si vous me dites ce que vous cherchez je peux peut-être vous aidé."

Commandant triton: "Tsss"

"Il n'y a rien ici qui ne soit durement obtenu à la surface."

Commandant triton: "Maudit pirate"


Shoma savait ce que cherchait l'armée royale, mais c'était trop tard, il s'en était emparé et avait fait le nécessaire pour le faire disparaître. Il n'y avait plus aucun moyen pour que quiconque ne le trouve et ne s'en serve contre ses intérêts.

Voyant que cela ne menait nulle part, le commandant triton rappela ses troupes. Aucune charge n'allait être retenu contre les Spectres et leurs alliés, mais l'absence de preuve ne voulait pas pour autant dire qu'ils étaient blanchis de cette affaire. Une fois relâchée Shoma compris que son séjour sur l'île des homme-poissons prenait fin.


Commandant triton: "Le généralissime vous informe que vous avez jusqu'à la fin de la journée pour quitter cette île."

C'était un ordre qui venait d'en haut. Les Spectres n'étaient plus le bienvenu et l'hospitalité du royaume de Ryuugu prenait fin. Le groupe allait devoir rejoindre le nouveau monde sous peine de se retrouver en conflit avec l'armée royale.

Aujourd'hui - 9h50

Ce qui est embêtant avec les ennemis puissants, c'est que l'on ne peut pas profiter du combat tout en restant discret. Un guerrier puissant nécessite que l'on se donne à fond afin de réussir à le vaincre et généralement, à moins de se battre dans une forêt ou en plein désert, il y a toujours des indésirables qui vous observent, indésirable qui se retrouveront en première ligne pour vous dénoncer. Ce qui est chiant, c'est que Shoma ne pouvait se permettre de se retrouver au milieu d'une affaire de meurtre alors que l'armée le tenait déjà à la gorge.

Pour vaincre son adversaire, Shoma allait compter sur la sournoiserie. Le crime sera parfait sans bruit, sans témoin. Un coup mortel qui ne laisserait aucune chance à son vis-à-vis.

En ayant connaissance de ce qu'il devait faire et sous quelle condition, Shoma s'était prémuni d'une puissante drogue, enfin techniquement il s'agissait d'une produit médicale, mais à forte dose, celle-ci devenait mortel. Une piqure directement dans les veines et le drogué risquait l'overdose. Ce qui était pas mal avec ce produit, c'est qu'en cas d'overdose, l'organisme souffre d'insuffisance respiratoire ce qui faciliterait grandement le meurtre.

D'un coup de main derrière la tête de la femme de ménage qui sortait les poubelles, le capitaine pirate entra dans l'édifice. Shoma avait une bonne vingtaine de minutes devant lui avant qu'elle ne se réveille. L'auberge était relativement calme et peu de sa salarié étaient présents, c'était vraiment le top pour l'assassin. Regardant le registre des chambres, Shoma trouva la localisation exacte de sa cible et gagna l'étage tout en prenant soin de ne pas être vu.

Une fois à l'étage, Shoma repéra un homme vêtu de la même tenue que la femme qu'il avait neutralisée à l'extérieur. Ce dernier sortait d'une chambre et poussait un chariot. C'était sans nul doute l'homme charger de l'entretien des chambres, à première vu il faisait à peu près la même dimension que lui. Une idée lui arriva très vite, mais celle-ci n'allait pas forcément plaire à ce pauvre homme qui ne demandait qu'à faire son travail.

Pour ne pas faire de victime supplémentaire, Shoma approcha l'agent d'entretien, profita qu'il se trouvait de dos et subtilisa un oreiller sale, le poussa dans la chambre qu'il venait de finir tout en faisant pression sur son visage à l'aide de l'objet volé. L'action ne dura que quelques secondes, juste le temps de le priver d'air et de voir son corps tombé par manque d'oxygène. Bien sûr Shoma rattrapa le corps de sa victime et le posa sur le lit avant de s'emparer de ses vêtements.

Aujourd'hui - 11h15

L'armée s'était retirée et avait "foutu" la paix à cette veille bande de pirate sans jamais dire pourquoi ils avaient autant insisté pour procéder à leur arrestation. Profitant de sa nouvelle liberté retrouvé, Shoma s'en alla rejoindre la Quica. Les deux hommes se regardèrent et sans même parler le trafiquant compris que la mission était un succès.

Profitant des derniers préparatifs de l'équipage avant de quitter l'île, Shoma retrouva son partenaire. Les deux hommes eurent une courte discussion. Le trafiquant demanda au pirate de lui remettre ce qu'il avait trouvé, mais Shoma lui répondit que ce n'était déjà plus en sa possession. Ce genre de choses n'étant pas dans le contrat, il n'avait pas jugé utile de le converser. Il n'en restait plus aucune trace.


Aujourd'hui - 10h00

Vêtu de sa nouvelle tenue, Shoma s'en alla frapper à la porte de l'intéresser. D'un mouvement de main ferme, mais sans trop en faire, il s'annonça. Comme dans chaque hôtel, il y avait cette petite phrase magique passe partout "C'est la femme de ménage pour l'entretien", mais cette fois c'était plus dans le style "c'est pour l'entretien quotidien". De l'autre côté de la porte la cible rétorqua que ce n'était pas la peine. Si la chambre était occupée il était de rigueur de ne pas insister et de passer à une autre chambre le temps que l'hôte quitte les lieux, mais Shoma lui insista. Il fallait libérer la chambre maintenant et au diable la courtoisie.

Ne comprenant pas l'insistance de l'agent d'entretien, la cible se rapprocha de son arme à feu, le plaça près de sa jambe et très discrètement s'approcha de la porte afin de regarder par le judas. Une fois assez proche, il regarda Shoma, mais ce dernier se retrouvait de côté et incliné vers son panier à linge sale et propre. D'une voix menaçante, l'homme envoya Shoma se faire "foutre", mais celui-ci compris que la distance qui les séparaient n'étaient plus que de quelques centimètres, alors en utilisant son fruit du démon, il lia son ombre à la sienne.

# Kage Kage Mane

Pris dans la toile de l'araignée, la cible du supernovas n'avait plus le contrôle de ses mouvements et ouvrit la porte sans qu'aucune violence. En bon invité, Shoma ne se fit pas prié pour entrer à l'intérieur de la chambre. La première chose que fit le pirate fut de faire déposer l'arme à feu tranquillement sur la table basse qui se situait près du lit, puis il se posa sur une chaise, du coup l'autre en fit tout autant.

Maintenant qu'il se trouvait sur un pied d'égalité, Shoma demanda à sa victime son nom, son affiliation, la raison de sa venu, ses liens avec la Quica etc. C'était l'interrogatoire de base afin de voir si ce dernier pouvait être coopératif avant la mise à mort. En bon professionnel, ce dernier ne voulait rien lâcher, pas un mot, rien ne semblait vouloir sortir de sa bouche, pas même une menace. Normalement certain laisse échapper quelques informations comme "tu verras xxx prendra sa revanche", "mon maître xxx ne t'oubliera pas".

Comprenant que c'était peine perdue, Shoma sorti le matériel qu'il avait choisi pour la mise à mort et l'appliqua directement à sa cible. Impassible, froid comme la faucheuse, l'homme de main envoyée à la poursuite du chef de Los Santos regarda le capitaine pirate lui donner la mort. Par respect et son indéfectibilité vis-à-vis de ses pairs qu'il n'avait pas vendus en échange de sa vie ou d'un quelconque marché qui dans tous les cas n'aurait jamais eu lieu, Shoma lui donna une dose encore plus forte. En lui injectant près des 3/4 du flacon, la mort du rapide et presque indolore.

Shoma regarda droit dans les yeux sa cible mourir. C'était le jeu quand on exerçait le métier d'assassin que de savoir qu'une personne peut à tout moment venir pour nous faucher.

Quand la vie sa victime la quitta, Shoma le déposa sur son lit et plaça aiguille et produit près du corps afin de le maquiller en suicide, puis il se mit à chercher dans la chambre ce qui pouvait bien avoir sur lui qui pourrait indiquer un quelconque lien avec des organisations criminels. C'est non sans effort que Shoma réussi à trouver quelque chose de bien intéressant. Ceci expliquant cela l'étoile du sud compris pourquoi son partenaire avait besoin de faire taire cet homme.

Aujourd'hui - 16h00

Alors qu'il se trouvait sur son navire en compagnie de Maria et Opacho, la jeune femme lui demanda s'il n'était vraiment pas au courant de la raison de la fouille de leur navire plus tôt dans la journée par les forces du royaume Ryuugu. Shoma lui répondit de le suivre dans ses appartements. Une fois à l'abri des regards indiscret, Shoma sortie plusieurs photos de sa chaussure. Sur ces photos on pouvait très facilement voir La Quica en train de vendre des esclaves homme-poisson et plus particulièrement de sirène dont le prix explose sur le marché et se délecter de viande de triton.



"L'homme que j'ai tué, il comptait faire chanter la Quica avant de remettre ces photos à l'armée. Si jamais il avait réussi non seulement l'alliance aurait volé en éclat, mais nous nous retrouverions complice d'un cannibale et esclavagiste au beau milieu d'un territoire hostile."

Maria: "Il a mangé de la chair humaine."

"Moins je pose de question et mieux je me porte, en tout cas Opacho je veux que tu ranges ça dans l'un de tes coffres, on ne sait jamais un jour cela pourrait nous être utile."

Opacho:"Ok Ok Chef"






# Kage Kage Mane
Spoiler:
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma