Katsue Yazaki
• Pseudonyme : Petite sirène
• Age : 24 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier : Poissonnière (ha ouioui c'est bien ça)
• Groupe : Civil
• Age : 24 ans
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier : Poissonnière (ha ouioui c'est bien ça)
• Groupe : Civil
• But : Sortir de la routine
• Équipement : Aucun équipement
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
• Équipement : Aucun équipement
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
Description Physique
Katsue, c'est un peu comme une jolie fleur quand vient le printemps. Belle, pleine de couleur et agréable à voir bouger au gré du vent. Déjà, les traits de son visage sont fins, une forme un peu ovale, mais une physionomie très douce. La peau est pâle, un peu bleutée à cause de la maladie, mais lisse et toujours bien hydratée. Alors brune d'origine, elle s'est teint les cheveux d'un mélange de bleu et violet foncé pour que le contraste ne soit pas trop marquant, que l'apparence soit harmonieuse. Les yeux sont en amande, d'une jolie couleur jaune-orangée, un peu comme l'aube ou le crépuscule. Et les cils très longs, noirs, souvent maquillés. D'ailleurs, ils sont en parfait accord avec les sourcils, assez froncés de nature et bien dessinés. Souvent, un phare à paupière vient colorer le visage avec du rose or, de l'argent ou du doré. Bien souvent ce sont des couleurs étincelantes qui font rayonner le visage. Et puis ses lèvres, comme son nez, sont fines et toutes petites, souvent rosées par un rouge à lèvre. Et quand elle se met à sourire, tout s'assemble et le visage rayonne, étincelle et met du baume au cœur.
Et pour une femme Katsue est un peu grande, elle tape vaguement dans les un mètre soixante-dix, pour une silhouette peut-être trop fine. Situation de maigreur presque alarmante et maladive qu'elle s'efforce de contrer en mangeant un peu tout ce qui lui tombe sous la main. Mais le corps n'est pas sans charme. Des jolies formes en haut et en bas et quelques muscles au niveau des bras. La démarche est légère et pleine de vie. Parfois Katsue donne l'impression de flotter en l'air, ou de marcher l'eau. Et puis elle porte bien souvent des lunettes de soleil sur la tête. Pour cacher son front qu'elle trouve trop large et protéger ses yeux clairs du soleil qui tape beaucoup sur l'île de Poiscaille. Alors la tenue est souvent décontractée, un peu dénudée : un maillot de bain sous une petite robe d'été colorée ou une petite jupe de printemps. Et quand vient le froid : parfois un beau jean mom et un gros sweet bien chaud. Mais jamais, et ce par n'importe quelle température, elle enlèverait ses créoles. La magnifique paire de boucles d'oreilles offerte par sa mère le jour de sa majorité.
Et puis souvent, même si elle masque son odeur par du parfum, elle ne peut s'empêcher de sentir le poisson.
Et pour une femme Katsue est un peu grande, elle tape vaguement dans les un mètre soixante-dix, pour une silhouette peut-être trop fine. Situation de maigreur presque alarmante et maladive qu'elle s'efforce de contrer en mangeant un peu tout ce qui lui tombe sous la main. Mais le corps n'est pas sans charme. Des jolies formes en haut et en bas et quelques muscles au niveau des bras. La démarche est légère et pleine de vie. Parfois Katsue donne l'impression de flotter en l'air, ou de marcher l'eau. Et puis elle porte bien souvent des lunettes de soleil sur la tête. Pour cacher son front qu'elle trouve trop large et protéger ses yeux clairs du soleil qui tape beaucoup sur l'île de Poiscaille. Alors la tenue est souvent décontractée, un peu dénudée : un maillot de bain sous une petite robe d'été colorée ou une petite jupe de printemps. Et quand vient le froid : parfois un beau jean mom et un gros sweet bien chaud. Mais jamais, et ce par n'importe quelle température, elle enlèverait ses créoles. La magnifique paire de boucles d'oreilles offerte par sa mère le jour de sa majorité.
Et puis souvent, même si elle masque son odeur par du parfum, elle ne peut s'empêcher de sentir le poisson.
Description Psychologique
Katsue est, de nature, quelqu'un de bienveillant. Très attentive, c'est une personne à l'écoute des autres, sur qui l'on peut compter. Digne de confiance et attachante, c'est souvent la bonne copine à qui l'on parle de ses soucis, la bonne oreille sur qui se reposer. C'est qu'elle est muette comme une tombe lorsqu'il s'agit de garder un secret. Elle connait les règles de bienséance et sait se montrer éloquente, charismatique. Elle ne parle pas beaucoup alors quand elle s'y met, elle a ce petit côté captivant. Kat est courageuse mais a souvent besoin des autres, elle n'est pas du genre débrouillarde mais plutôt coopérative. Elle déteste la solitude ou l'isolement. Souvent déterminée à faire les choses bien, il lui arrive de baisser les bras par manque de moyen ou manque de confiance. Elle ne croit ni en elle, ni en ses capacités. Et pourtant c'est quelqu'un de très dynamique et très endurant au travail : toujours prête à soulever les cartons remplis de poissons et à vendre et revendre et re-revendre aux clients. Mais elle a ce petit côté maladroit qui fait souvent rire, ce sourire innocent en guise d'excuse.
Katsue aime penser et réfléchir par elle-même, bien qu'elle se sente en constante influence lorsqu'elle regarde autour d'elle. Elle a ce petit côté borné mais toujours l'intelligence de remettre les choses en question, qu'il s'agisse d'elle ou du monde. Elle aime lire des vieux bouquins et enrichir sa culture sur ce qui l'entoure. Elle n'a jamais voyagé, elle n'est presque jamais sortie de sa ville et encore moins de son île. Alors parfois elle se dit qu'un peu d'air frais ne ferrait pas de mal, que sortir de la routine serait incroyable. Mais cette idée la fascine autant qu'elle lui fait peur. Face au monde, elle se sent minuscule, une petite mouche qui pourrait être écrasée à n'importe quel moment. Et puis Katsue a ce petit côté créatif, imaginatif et intrépide. Ce petit côté artistique qui ressort dans les tableaux qu'elle peint. Même si elle y met du cœur, ses chef-d'œuvre s'apparentent bien souvent à des dessins d'enfant de six ans : un rond pour la tête et des battons pour les membres. Et même si elle est consciente et réaliste du monde dans lequel elle vit, elle garde toujours au fond d'elle ce petit côté naïf, ce petit côté pur de l'enfance.
Katsue aime penser et réfléchir par elle-même, bien qu'elle se sente en constante influence lorsqu'elle regarde autour d'elle. Elle a ce petit côté borné mais toujours l'intelligence de remettre les choses en question, qu'il s'agisse d'elle ou du monde. Elle aime lire des vieux bouquins et enrichir sa culture sur ce qui l'entoure. Elle n'a jamais voyagé, elle n'est presque jamais sortie de sa ville et encore moins de son île. Alors parfois elle se dit qu'un peu d'air frais ne ferrait pas de mal, que sortir de la routine serait incroyable. Mais cette idée la fascine autant qu'elle lui fait peur. Face au monde, elle se sent minuscule, une petite mouche qui pourrait être écrasée à n'importe quel moment. Et puis Katsue a ce petit côté créatif, imaginatif et intrépide. Ce petit côté artistique qui ressort dans les tableaux qu'elle peint. Même si elle y met du cœur, ses chef-d'œuvre s'apparentent bien souvent à des dessins d'enfant de six ans : un rond pour la tête et des battons pour les membres. Et même si elle est consciente et réaliste du monde dans lequel elle vit, elle garde toujours au fond d'elle ce petit côté naïf, ce petit côté pur de l'enfance.
Biographie
Une fleur rouge.
Une fleur rose.
Une fleur violette.
Une fleur jaune.
Et puis à force de cueillir tout ce qui se trouve à mes pieds, je forme un petit bouquet. Les fleurs ne sont ni de la même taille, ni de la même forme. Certaines sont un peu abimées et d'autres intactes. Mais il n'y a plus grand-chose à ramasser. Les dernières roses et jonquilles se trouvent dans mes mains. Et un peu au-dessus je lève la tête et observe une petite abeille qui s'envole. Petit être qui esquive la fumée sortie d'un pot d'échappement. Petit être qui s'envole pour respirer un air plus frais. Et à sept ans déjà je déambule dans les rues de mon quartier pour aider ma mère. Chercher du pain ou déposer une lettre à la poste. Je slalome entre les immeubles et petites maisons pour rendre service, mais je suis apeurée par l'extérieur. La peur de se faire arrêter par quelqu'un ou de se perdre et de ne jamais retrouver mon chemin. Mais l'enfant peureux que je suis rentre chez lui les mains pleines pour offrir à sa mère ne serait-ce qu'un simple petit bouquet. Et dire je t'aime maman silencieusement.
Plus tard s'est ramenée dans l'année de mes onze ans une sale maladie. Rare et peu commune, c'est ma peau qui a commencé à divaguer dans des tons bleus, à être de plus en plus pâle. Moins de chaleur et moins de vie. Dans l'entourage personne ne savait ce qui m'arrivait et le médecin était trop cher pour qu'on puisse se le payer. Et même si c'était une situation d'urgence et bien mon père a préféré garder ses sous pour ouvrir son garage. Raisonnement incohérent : mais si je ne mourrais pas c'est que ce n'était pas grave. Alors j'ai essayé de me renseigner, de comprendre pourquoi ça m'arrivait à moi et pas aux autres. Et je me suis rendue à la bibliothèque. Des heures passées entre l'odeur des vieux livres et la vue sur les vagues dansantes de West Blue. J'arrivais de mieux en mieux à lire et puis j'apprenais plein de nouveaux mots. Je me faisais ma propre éducation et m'intéressais à tout ce qui me passait sous le nez. Malheureusement, très peu de livres de médecine mais beaucoup de récit d'aventures et de témoignages qui m'ont fait rêver.
Je n'ai jamais vraiment apprécié l'école. Perdue entre des matières trop compliquées pour moi et les moqueries des autres, je cherchais désespérément à comprendre le genre humain et ses intentions. Efforts vains. Je n'ai jamais cessée d'être avec mon amie Ezra, principalement l'une de mes seules amies. Elle ne me reniait pas pour ma différence mais m'aimait pour ma gentillesse et nos quelques points en commun. Alors quand les autres m'insultaient de poisson pourri, de face de thon ou de poiscaille périmé et bien pour elle, j'étais une petite sirène. Pure à l'intérieur et à l'extérieur. Et c'est à treize ans que cet évènement m'a rappelé que nous seul donnons un sens à ce qui nous entoure, et que nous sommes libre de rendre chaque évènement, chaque chose, positives ou négatives. Alors j'ai décidé de faire ce que je pouvais pour relativiser, pour rester optimiste. Une sorte de règle ou d'enjeux.
Après mes quinze ans, j'ai dû travailler au garage avec mon père. J'étais une main d'œuvre gratuite et plus ou moins efficace. Alors j'ai appris à réparer des petites barques, des petites voitures, et j'ai vu défiler des plans de bateau aussi fabuleux les uns que les autres. Je me demandais bien quel effet ça faisait de naviguer et d'aller où bon nous semblait. Je ne m'étais jamais réellement intéressée à la piraterie avant d'en voir un groupe débarquer. Des hommes assez sales et grossiers mais pas si méchants que ça. Ils disaient vouloir naviguer sur Grand Line et chercher le One Piece. Et faut dire que ce fameux trésor m'avait toujours laissé perplexe. Un homme qui mourrait en souriant pour annoncer au monde où est-ce que sa merveille était planquée, j'avais toujours trouvé ça louche. Mais ce que je trouvais beau, c'était le rêve et l'espoir qu'il avait animé dans certains cœurs, à défaut de l'avarice qu'il avait réveillée dans d'autres.
Ma vie n'a jamais été originale ou pleine d'aventure comme certains récit que j'ai pu lire. Je n'ai vécu que deux ou trois choses tout au plus. Je n'étais qu'une simple petite citoyenne qui, aujourd'hui, travaillais en tant que vendeuse de poisson sur l'île de Poiscaille en échange d'un maigre salaire pour vivre. Même si je n'avais pas beaucoup d'argent, l'amour de ma mère et de mes quelques amis me suffisait. Et puis j'aimais débattre et discuter avec les clients que je rencontrais. Leur demander s'ils avaient déjà voyagé et où ils aimeraient aller. S'ils avaient déjà rencontré des pirates ou s'ils n'y connaissaient rien. J'ai essayé de m'adapter au monde dans lequel je vis et je me disais toujours que même si j'étais enchaînée derrière un vieux stand de poisson puant et bien je pouvais quand même être une femme libre. Peut-être même bien plus libre que certains qui prenaient la mer présomptueusement la tête pleine de mauvaises attentions.
Test RP
« Le One Piece ! Aaaaahah ! Mesdames et Messieurs... Le One Piece lalalala ! Je l'ai trouvé ! Tagada Tsoin Tsoin ! Le trésor est à moi gnegnegne !!! »
17 h 50.
La journée se terminait doucement et il fallait dire que la vente avait été très réussie et le patron plutôt content cette fois-là. En ce mois de mars, les habitants commençaient tout doucement à ressortir acheter des produits frais sur le marché. Et du côté de notre étalage, plusieurs fournées de poissons fraichement pêchés se succédaient du matin au soir.
Mais alors que la fournée semblait se terminer sans encombre ce ne furent pas des cris, mais de véritables hurlements qui virent troubler la tranquillité du marché. Il était là : un homme d'une quarantaine d'années, qui titubait dans l'allée principale. Une bouteille d'alcool dans une main et un énorme sac dans l'autre, il se vantait d'avoir enfin trouvé le trésor de Gol D. Roger.
Troublée, perplexe et pleine d'interrogation, j'observais la scène sans dire le moindre mot. Me contentant de me forger une opinion sur toute cette mascarade. De toute évidence, l'homme ne devait pas être méchant, sûrement un peu soûl. Mais c'est alors, me coupant de toutes mes pensées, qu'il s'approcha de mes poissons avant de poser son gros sac sur l'étalage. D'abord, je sursautais, bien trop apeurée et puis je faisais un pas en arrière, même deux. Autour de moi, tout le monde semblait aussi en pleine incompréhension. Mais c'est sans faire durer le suspens qu'il m'adressa ces quelques mots :
« Huuuuuum. TOI. Je le sens ! Tu as une bonne tête ! Toi je peux te faire confiance, non ?
S'il te plait, tu es mignonne comme tout c'est pour ça que tu pourrais me garder mon trésoooooooor !! »
Je sursautais à nouveau. J'étais paralysée, complètement dépassée par la situation. Mais l'homme ne m'avait rien fait de mal après tout. Même si je ne le connaissais pas, je pouvais essayer de lui rendre un service. Accomplir une bonne action. Et puis il ne fallait pas le juger à sa dégaine, peut-être qu'il n'avait pas beaucoup d'argent. Il ne fallait pas non plus le juger à sa bouteille, on était pratiquement tous déjà passé par la case de l'ivresse. Alors, d'un air gentil mais réservé, j'acquiesçais d'un hochement de tête.
« Oh ! Merci !! Merci beaucoup !! Mes mouettes ne vont pas attendre longtemps !! »
Puis il disparut d'un coup vers la plage, laissant sur les carpes et truites son gigantesque sac. Et puis les passants et vendeurs retournèrent à leur occupation, tout en laissant toujours traîner un petit oeil curieux en ma direction.
J'ai pris le sac et l'ai posé sous l'étalage. L'idée de l'ouvrir m'effleura de peu. D'un côté, le mystère qui entourait ce trésor m'intriguait beaucoup, j'avais toujours cherché à comprendre Roger et ses intentions, à essayer d'interpréter cette fameuse mise à mort sur échafaud. Mais je me disais que cela faisait tellement de temps que le trésor était en haute mer, qu'un simple inconnu de l'île de Poiscaille n'aurait pu le débusquer si facilement.
La patience était une vertu, alors j'allais attendre et voir. Et si ce sac contenait vraiment le One Piece, la presse en parlerait afin de diffuser la nouvelle au monde. Et monsieur mouette ne tarderait plus, un trésor de cette envergure, on ne le laissait pas aux inconnus.
18 h 25.
Cela faisait plus d'une vingtaine de minutes que le sac traînait à mes pieds. Même si je continuais de sourire aux derniers clients, j'avais remarqué que quelques personnes s'étaient mises à rôder autour de notre stand. Et plus l'heure défilait, moins il y avait de gens sur le marché et plus les vendeurs quittaient l'étalage. J'aurais dû quitter vers dix-huit heures, mais ce sac m'empêchait de rentrer chez moi, je ne voulais pas faillir à ma mission.
Je savais qu'il y avait derrière moi, deux hommes côte à côte au coin d'une rue.
Peut-être deuux zigotos qui complotaient.
« Mais non Kat', arrête de te faire des idées, ça n'a rien à voir avec le sac. »
Et un client arriva, mains dans les poches. Il n'avait pas l'air méchant, mais je ne comprenais pas ce qu'il faisait ici, il n'y avait plus de poisson, tout avait été vendu.
« - Je peux vous aider monsieur ? Désolé mais nous avons tout vendu...
- Ah.. euh... il ne vous reste plus de poisson ? Même derrière, vous avez vérifié ? »
Il semblait un peu perdu, pas très confiant. Mais il s'approcha de moi, d'un petit pas. Et il me regardait, longuement.
« - Monsieur.. est-ce que tout va bi... »
Et à peine eusse le temps de terminer ma phrase que l'homme se jeta sur moi en effondrant l'étalage quant à ce même moment un coup de feu éclata derrière moi. Paniquée, je poussais un cri très fort et très aigüe pour alerter les habitants les plus proches, mais personne ne semblait à proximité. Et sans que je ne puisse rien voir venir, les deux loustics de derrière sautèrent sur le sac pour le voler.
« - Eh ! Mais qu'est-ce que vous faites ! Arrêtez ça tout de suite !! Ce sac n'est pas à vous !
- Désolé ma jolie, mais on emporte le pognon avec nous !
- Attendez, qu'est-ce qui vous dit qu'il y a de l'argent à l'intérieur, peut-être que le One Piece n'est pas seulement... »
Et ils se mirent à rire aux éclats comme si ma remarque semblait trop débile ou invraisemblable. Le fou qui m'avait plaqué à terre se releva tout autant amusé. Visiblement, ils formaient un trio. Et puis ils me tournèrent le dos avant de déguerpir en direction de la plage.
Mais j'étais décidée à ne pas me laisser humilier de la sorte. J'étais plus que décidée à récupérer le sac et le One Piece. Je voulais vraiment réussir la tâche que l'on m'avait confiée. Alors un peu déboussolée, je cherchais dans les cartons sous l'étalage s'il n'y avait pas de quoi se défendre, pour peu que le chef eusse laissé trainer ses affaires. Et au fur et à mesure que je cherchais désespérément, les trois hommes s'éloignaient.
« Allez Kat', ne baisse pas les bras tu peux y arriver. Tu ne vas pas encore te décourager. »
Et bingo ! J'attrapais une casserole et un couteau à viande ! Même si je n'étais pas sûre de ce que je faisais, une chose l'était : je ne voulais pas que ce trésor finisse dans les mains de vulgaires brigands prêts à tout pour un peu d'argent. Alors, d'un pas plus vif que d'habitude, je m'élançais à leur poursuite avant d'arriver derrière eux et de leur assener un violent coup dans la nuque. Le premier tomba a terre, le deuxième sentit violemment le coup, mais le troisième malheureusement m'attrapa le poignet et me fit une clé de bras. La casserole était tombée et il ne me restait plus que le couteau. Mais c'est alors que le deuxième arriva, me le piquant des mains.
« Je vois qu'on a pas assez usé des grands moyens. Alors que ce soit bien clair ma petite, il ne faut jamais, ô grand jamais mettre en colère un capitaine pirate ! »
J'eus un rire sarcastique.
« Un pirate ? Vous... vous n'êtes qu'une sale bouse puante oui ! »
Et je lui crachais au visage. Un cracha sincère qui remontait des tripes. J'eus néanmoins une moue de dégout après ça. Le crétin recula d'un pas avant de me planter le couteau dans la cuisse. Il ordonna à son acolyte de me laisser traîner par terre. Je criais et pleurais, me roulant à terre de douleur. Mes larmes venaient de la souffrance, mais aussi de l'échec. De la frustration d'avoir perdu et de l'angoisse de m'être opposée à des adversaires bien plus forts.
« - Ah qu'est-ce que j'te plein ma petite.
-Humpf... C'est vous qui me faites pitié... Votre coeur impure m'attriste et je suis peinée de voir qu'il existe des gens comme vous ici-bas. »
Et il me donna un dernier coup de pied dans les côtes avant de déguerpir. Me laissant trainer dans la rue sous le froid et le ciel s'assombrissant.
Informations IRL
• Prénom : Kat'
• Age : 19 ans
• Aime : L'univers de l'animation !
• N'aime pas : Peu de chose !
• Personnage préféré de One Piece : Robin !
• Caractère : Assez à l'affut de tout ce qui est susceptible de m'intéresser et puis motivée avec de l'imagination.
• Fait du RP depuis : Peu de temps (c'est mon premier forum rpg de manga)
• Disponibilité approximative : En soirée ou fin de semaine !
• Comment avez-vous connu le forum ? Sur google !
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Katsue Yazaki le Lun 12 Mar 2018 - 21:52, édité 3 fois