Encore un nouveau jour se levait sur l’île glaciaire, mais ce jour-là avait une odeur particulière… Celle de la liberté. Le soleil n’en était qu’à ses balbutiements et nous étions tous déjà levés, réveillés et apprêtés près des quais où nous attendait un rafiot amarré et prêt à décoller. Enfin, réveillé… J’étais le seul à être frais comme un gardon de si bon matin tandis que mes trois compagnons avaient la tête dans les nuages et pestaient toutes les trois minutes de ce réveil « brutal » qu’ils avaient dû subir, mais je les laissai vociférer noms et fientes d’oiseaux tellement je n’en avais cure. Je sifflotai même ma joie de vivre en chargeant les dernières vivres sur la petite caravelle, jonglant à des moments avec les caisses avec un petit sourire presque enfantin.
Pourquoi étais-je aussi heureux de si bonne heure ? Eh bien… Trois jours auparavant, je m’étais rendu au quartier général de la Marine, sur North Blue, suite à une convocation officielle. Cependant, ce n’était pas un ordre de mission ou un rappel à l’ordre : c’était une invitation à la cérémonie de promotion des Commandants. Ca ne voulait sans doute pas dire grand-chose pour les autres, mais pour moi, ce grade était une délivrance. Pour la première fois sur cette très longue année, j’allais pouvoir me déplacer librement, sans devoir rendre des comptes à un supérieur directement sur les lieux, et prendre mes propres décisions. Certes, ça voulait dire que je n’aurais plus personne sur qui reposait la faute si quelque chose se passait mal, mais j’étais prêt à en payer le prix parce que commandant, c’était le pied… Même si je me retrouvais chef d’une assez grosse escouade, ce qui me terrifiait.
« Hoy…Hoy…HOY ! On s’réveille là-dedans ! Putain, mais il bug encore c’con ! Hé oh, Commandant Kagami, vous m’recevez ?!
- Hein ?! »
Je fus sorti violemment de mes songes par mon bras droit, ce qui me fit perdre la concentration de mon fruit et sursauter en arrière. Manque de bol, à cause du poids retrouvé des caisses, je basculai en arrière et la rambarde de sécurité ne suffit pas à m’empêcher de passer par-dessus bord, heureusement rattrapé in extremis par mes deux autres hommes de main, me suspendant par les pieds juste au-dessus de l’eau glaciale. Les deux caisses de vivre n’eurent pas la même chance et terminèrent leur course au fond de la mer… Putain ! À chaque battement de mon cœur, je croyais que celui-ci allait sortir de ma poitrine pendant ma remontée et je m’assis pour reprendre mon souffle, la main agrippant mon pectoral et mon regard planté dans celui de Juno. Ce dernier croisa les bras derrière la tête et sifflota nerveusement, une longue perle de sueur coulant le long de sa tempe.
« Putain ! … T’aurais pu… Faire attention… Enfoiré ! L’insultai-je entre deux respirations paniquées. J’aurais pu… Y passer ! Tu le sais pourtant… Que j’peux pas… Nager !
- … Je sais… Désolé, chef.
- Ca-calme toi, Kagami… Re-respire un bon coup. S’inquiéta Iban qui m’épongeait le front.
- J’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette scène, mais dans un contexte différent… Impression de déjà-vu ?
- Ta gueule… Nick. C’est pas… le moment… »
Je restai assis pendant une dizaine de minute, histoire de retrouver des couleurs, puis je me redressai sans trop faire le fier et me dirigeai vers la barre.
« Bon, aller… On a assez perdu de temps. Cap sur Tanuki les gars. »
Deux jours de navigation plus tard où allait de bon train injures, arnaques et bousculades amicales, nous arrivâmes à destination. Ah, les prairies verdoyantes et les moutons angoras à perte de vue… Ca m’avait manqué. Enfin, cela ne faisait pas si longtemps que je n’y avais pas mis les pieds, mais je préférais nettement ce contexte, où je n’y allais pas pour une mission ou autre, juste pour mon plaisir… Même si c’était pour le travail. Je remarquai tout de même un léger évènement suspect : une lueur d’une longue-vue qui apparût furtivement sur les quais et, juste après, un attroupement qui se forma sur les bords du quai. Mais qu’est-ce que ça voulait bien dire ce bordel ?
Plus on se rapprochait, plus je pouvais distinguer cette masse qui s’agglutinait sur les quais… Mais… Quoi ?! D’un coup, une ovation s’éleva, des banderoles se brandirent et des confettis furent lancés alors que le navire finissait sa route pour s’amarrer. Il y avait bien une dizaine de personnes qui s’étaient amenés, la plupart des poissonniers que je connaissais pas mal. Sur les banderoles, on pouvait lire : « BON RETOUR KAGAMI ! », ou encore « FELICITATION KAGAMI POUR TA PROMOTION ! », « LES PIRATES N’ONT QU’À BIEN SE TENIR ! » et d’autres messages tous plus gentil les uns que les autres…
« Eh beh ! Ils savent bien recevoir, dans ton pat’lin ! S’exclama le blond qui replaçait bien sa casquette.
- Dis-Dis, t’as pré-prévenu qu’on a-allait venir ou qu-quoi ?
- Il voulait bien s’faire mousser j’parie… Tocard…
- Mais… Mais… J’ai juste envoyé une lettre pour annoncer la nouvelle à mes parents… Je… Je… ne pensais pas que ça allait prendre cette ampleur… snif…
- Eh mais… C’est qu’il brait, not’ petit Kagami ! Viens là toi ! Nick m’attrapa sous son bras et me passa un léger savon.
- Pitoyable…
- GRAND FRERE !!!! FELICITATION !!!!! »
Ce cri m’avait achevé, les larmes coulèrent en torrent sur mes joues et je tombai à genoux sur le pont du bateau, sous les regards du blond, du bleuté et de l’argenté. Putain, comme ça faisait du bien de rentrer à la maison ! Lorsque le bois craqua sous l’impact contre les quais, je levai les yeux… Et je remarquai toute ma famille, alignée, en première ligne. Mon petit frère se jeta dans mes bras et m’offrit l’un de ces plus beaux sourires.
« Dis, c’est vrai que tu restes quelques jours ?! On pourra jouer au Sheepball ensemble ! S’exclama t-il joyeusement. Tes amis pourront même jouer avec nous !
- Oui Haruto… Pas de soucis.
- Mais d’où il décide tout seul, lui ? Pesta Juno, mais il se prit un coup de coude par Nick.
- Ferme là… Laisse-le profiter.
- Je v-vais chialer…
- Eh bien… Je vois que le jeune pleurnichard a bien grandi… Bon retour Kagami.
- Daigo…
- Ne t’inquiète pas pour tes amis, ils sont le bienvenu au dojo. Enchaîna Aika, ma mère.
- En plus, je remarque que l’un d’entre eux manie le sabre… Tu t’es bien entouré, fils. Ajouta Eijirô
- Merci, Père. »
Seul mon grand-père resta silencieux, il me regardait, mais son attention était plus portée sur mes deux sabres accrochés à sa ceinture. Il se tourna légèrement vers l’assemblée et annonça :
« Je pense que Kagami a tout de même quelque chose d’assez important à faire avant que l’on profite de sa présence. Pas vrai ?
- O-oui, grand père.
- Eh bien, va. On va s’occuper de ramener tes affaires au dojo… Même si on a pas vu Hojimo à la forge depuis hier... Finit Tenka en me chuchotant dans mes oreilles.
- Hein ?
- Va, Kagami, on te retient plus.
- O-oui. Allez les gars, on se dépêche ! Criai-je à mes hommes tout en commençant à courir, un air un peu grave sur le visage.
- oh… OH ! Attends ! Putain… Mais qu’est-ce qu’il a encore. Eh bien, Tchao ! Et merci pour l’accueil, c’était super ! S’éclipsa le blond.
- Mais quel connard ce type… Ronchonna l’argenté.
- Eh mais… A-attendez moi ! S’exclama le bleuté. »
Merde, merde, merde ! Vite, elle était où déjà, la maison du vieux ? Putain, pourquoi fallait-il toujours que ça finisse comme ça ! Je traçai vers le centre du village tout en faisant travailler ma mémoire. C’était la première, ou la deuxième à gauche ? Fais chier… Ah, trouvé ! C’était à gauche de la taverne « Les Sangliers Dodus ». En espérant sincèrement que le vieux était juste happé par un de ces bouquins. Pour une fois où j’avais besoin de lui en plus !
Soudainement, je m’arrêtai devant une porte, talonné par mes collègues qui reprirent difficilement leur souffle. Agacé, Juno tenta de m’insulter une nouvelle fois, mais je l’interrompis directement d’un signe de la main tout en désignant de l’autre la porte entrebâillé. A regarder de plus prêt, on pouvait dire qu’elle avait été fracturée avec l’aide d’un pied-de-biche. Rapidement, on se plaqua contre le mur, deux de chaque côté de l’ouverture, et on dégaina nos armes. Faisant appel à mes souvenirs lointains, j’essayai de visualiser l’intérieur du bâtiment avant d’y rentrer : entrée avec escalier, lieux de vie au rez-de-chaussée et les chambres à l’étage. Je fis alors signe à mon bras droit de me suivre pour couvrir le premier étage, tandis que Nick et Iban s’occupait du bas.
Après un lent décompte, j’ouvrai lentement la porte sans en bruit tout en me tenant bien à couvert et Juno s’engouffra directement, suivi de près par le tireur d’élite et le médecin et je fermai la marche. Chacun prit l’une des ouvertures en se postant juste devant et, à l’unisson, les ouvrit d’un coup. Et là, rien… Personne. On se rejoignait tous dans ce qui semblerait être la chambre principale et on partageait un peu ce qu’on avait découvert… Que dalle, en somme. Même pas des traces de luttes… C’était très louche. Putain, pourquoi rien ne se déroulait comme prévu !
« Chut les gars … ! Murmurai d’un coup Nick en se baissant. J’entends des bruits de pas en bas… »
Comme si ça ne suffisait pas…
Pourquoi étais-je aussi heureux de si bonne heure ? Eh bien… Trois jours auparavant, je m’étais rendu au quartier général de la Marine, sur North Blue, suite à une convocation officielle. Cependant, ce n’était pas un ordre de mission ou un rappel à l’ordre : c’était une invitation à la cérémonie de promotion des Commandants. Ca ne voulait sans doute pas dire grand-chose pour les autres, mais pour moi, ce grade était une délivrance. Pour la première fois sur cette très longue année, j’allais pouvoir me déplacer librement, sans devoir rendre des comptes à un supérieur directement sur les lieux, et prendre mes propres décisions. Certes, ça voulait dire que je n’aurais plus personne sur qui reposait la faute si quelque chose se passait mal, mais j’étais prêt à en payer le prix parce que commandant, c’était le pied… Même si je me retrouvais chef d’une assez grosse escouade, ce qui me terrifiait.
« Hoy…Hoy…HOY ! On s’réveille là-dedans ! Putain, mais il bug encore c’con ! Hé oh, Commandant Kagami, vous m’recevez ?!
- Hein ?! »
Je fus sorti violemment de mes songes par mon bras droit, ce qui me fit perdre la concentration de mon fruit et sursauter en arrière. Manque de bol, à cause du poids retrouvé des caisses, je basculai en arrière et la rambarde de sécurité ne suffit pas à m’empêcher de passer par-dessus bord, heureusement rattrapé in extremis par mes deux autres hommes de main, me suspendant par les pieds juste au-dessus de l’eau glaciale. Les deux caisses de vivre n’eurent pas la même chance et terminèrent leur course au fond de la mer… Putain ! À chaque battement de mon cœur, je croyais que celui-ci allait sortir de ma poitrine pendant ma remontée et je m’assis pour reprendre mon souffle, la main agrippant mon pectoral et mon regard planté dans celui de Juno. Ce dernier croisa les bras derrière la tête et sifflota nerveusement, une longue perle de sueur coulant le long de sa tempe.
« Putain ! … T’aurais pu… Faire attention… Enfoiré ! L’insultai-je entre deux respirations paniquées. J’aurais pu… Y passer ! Tu le sais pourtant… Que j’peux pas… Nager !
- … Je sais… Désolé, chef.
- Ca-calme toi, Kagami… Re-respire un bon coup. S’inquiéta Iban qui m’épongeait le front.
- J’ai l’impression d’avoir déjà vécu cette scène, mais dans un contexte différent… Impression de déjà-vu ?
- Ta gueule… Nick. C’est pas… le moment… »
Je restai assis pendant une dizaine de minute, histoire de retrouver des couleurs, puis je me redressai sans trop faire le fier et me dirigeai vers la barre.
« Bon, aller… On a assez perdu de temps. Cap sur Tanuki les gars. »
Deux jours de navigation plus tard où allait de bon train injures, arnaques et bousculades amicales, nous arrivâmes à destination. Ah, les prairies verdoyantes et les moutons angoras à perte de vue… Ca m’avait manqué. Enfin, cela ne faisait pas si longtemps que je n’y avais pas mis les pieds, mais je préférais nettement ce contexte, où je n’y allais pas pour une mission ou autre, juste pour mon plaisir… Même si c’était pour le travail. Je remarquai tout de même un léger évènement suspect : une lueur d’une longue-vue qui apparût furtivement sur les quais et, juste après, un attroupement qui se forma sur les bords du quai. Mais qu’est-ce que ça voulait bien dire ce bordel ?
Plus on se rapprochait, plus je pouvais distinguer cette masse qui s’agglutinait sur les quais… Mais… Quoi ?! D’un coup, une ovation s’éleva, des banderoles se brandirent et des confettis furent lancés alors que le navire finissait sa route pour s’amarrer. Il y avait bien une dizaine de personnes qui s’étaient amenés, la plupart des poissonniers que je connaissais pas mal. Sur les banderoles, on pouvait lire : « BON RETOUR KAGAMI ! », ou encore « FELICITATION KAGAMI POUR TA PROMOTION ! », « LES PIRATES N’ONT QU’À BIEN SE TENIR ! » et d’autres messages tous plus gentil les uns que les autres…
« Eh beh ! Ils savent bien recevoir, dans ton pat’lin ! S’exclama le blond qui replaçait bien sa casquette.
- Dis-Dis, t’as pré-prévenu qu’on a-allait venir ou qu-quoi ?
- Il voulait bien s’faire mousser j’parie… Tocard…
- Mais… Mais… J’ai juste envoyé une lettre pour annoncer la nouvelle à mes parents… Je… Je… ne pensais pas que ça allait prendre cette ampleur… snif…
- Eh mais… C’est qu’il brait, not’ petit Kagami ! Viens là toi ! Nick m’attrapa sous son bras et me passa un léger savon.
- Pitoyable…
- GRAND FRERE !!!! FELICITATION !!!!! »
Ce cri m’avait achevé, les larmes coulèrent en torrent sur mes joues et je tombai à genoux sur le pont du bateau, sous les regards du blond, du bleuté et de l’argenté. Putain, comme ça faisait du bien de rentrer à la maison ! Lorsque le bois craqua sous l’impact contre les quais, je levai les yeux… Et je remarquai toute ma famille, alignée, en première ligne. Mon petit frère se jeta dans mes bras et m’offrit l’un de ces plus beaux sourires.
« Dis, c’est vrai que tu restes quelques jours ?! On pourra jouer au Sheepball ensemble ! S’exclama t-il joyeusement. Tes amis pourront même jouer avec nous !
- Oui Haruto… Pas de soucis.
- Mais d’où il décide tout seul, lui ? Pesta Juno, mais il se prit un coup de coude par Nick.
- Ferme là… Laisse-le profiter.
- Je v-vais chialer…
- Eh bien… Je vois que le jeune pleurnichard a bien grandi… Bon retour Kagami.
- Daigo…
- Ne t’inquiète pas pour tes amis, ils sont le bienvenu au dojo. Enchaîna Aika, ma mère.
- En plus, je remarque que l’un d’entre eux manie le sabre… Tu t’es bien entouré, fils. Ajouta Eijirô
- Merci, Père. »
Seul mon grand-père resta silencieux, il me regardait, mais son attention était plus portée sur mes deux sabres accrochés à sa ceinture. Il se tourna légèrement vers l’assemblée et annonça :
« Je pense que Kagami a tout de même quelque chose d’assez important à faire avant que l’on profite de sa présence. Pas vrai ?
- O-oui, grand père.
- Eh bien, va. On va s’occuper de ramener tes affaires au dojo… Même si on a pas vu Hojimo à la forge depuis hier... Finit Tenka en me chuchotant dans mes oreilles.
- Hein ?
- Va, Kagami, on te retient plus.
- O-oui. Allez les gars, on se dépêche ! Criai-je à mes hommes tout en commençant à courir, un air un peu grave sur le visage.
- oh… OH ! Attends ! Putain… Mais qu’est-ce qu’il a encore. Eh bien, Tchao ! Et merci pour l’accueil, c’était super ! S’éclipsa le blond.
- Mais quel connard ce type… Ronchonna l’argenté.
- Eh mais… A-attendez moi ! S’exclama le bleuté. »
Merde, merde, merde ! Vite, elle était où déjà, la maison du vieux ? Putain, pourquoi fallait-il toujours que ça finisse comme ça ! Je traçai vers le centre du village tout en faisant travailler ma mémoire. C’était la première, ou la deuxième à gauche ? Fais chier… Ah, trouvé ! C’était à gauche de la taverne « Les Sangliers Dodus ». En espérant sincèrement que le vieux était juste happé par un de ces bouquins. Pour une fois où j’avais besoin de lui en plus !
Soudainement, je m’arrêtai devant une porte, talonné par mes collègues qui reprirent difficilement leur souffle. Agacé, Juno tenta de m’insulter une nouvelle fois, mais je l’interrompis directement d’un signe de la main tout en désignant de l’autre la porte entrebâillé. A regarder de plus prêt, on pouvait dire qu’elle avait été fracturée avec l’aide d’un pied-de-biche. Rapidement, on se plaqua contre le mur, deux de chaque côté de l’ouverture, et on dégaina nos armes. Faisant appel à mes souvenirs lointains, j’essayai de visualiser l’intérieur du bâtiment avant d’y rentrer : entrée avec escalier, lieux de vie au rez-de-chaussée et les chambres à l’étage. Je fis alors signe à mon bras droit de me suivre pour couvrir le premier étage, tandis que Nick et Iban s’occupait du bas.
Après un lent décompte, j’ouvrai lentement la porte sans en bruit tout en me tenant bien à couvert et Juno s’engouffra directement, suivi de près par le tireur d’élite et le médecin et je fermai la marche. Chacun prit l’une des ouvertures en se postant juste devant et, à l’unisson, les ouvrit d’un coup. Et là, rien… Personne. On se rejoignait tous dans ce qui semblerait être la chambre principale et on partageait un peu ce qu’on avait découvert… Que dalle, en somme. Même pas des traces de luttes… C’était très louche. Putain, pourquoi rien ne se déroulait comme prévu !
« Chut les gars … ! Murmurai d’un coup Nick en se baissant. J’entends des bruits de pas en bas… »
Comme si ça ne suffisait pas…
Dernière édition par Kan Kagami le Mer 23 Mai 2018 - 13:18, édité 2 fois