Kyobashi Shubaki
• Pseudonyme : Pas encore mais c’est envisageable.
• Age : 18
• Sexe : Homme
• Race : Humain...
• Métier : Aucun en particulier
• Groupe : Pirate
• Age : 18
• Sexe : Homme
• Race : Humain...
• Métier : Aucun en particulier
• Groupe : Pirate
• But : Se faire reconnaître d’un Empereur pour rejoindre sa flotte, être connu sur toute les mers jusqu’au Nouveau Monde. Devenir le sabreur le plus puissant du monde
• Équipement : Deux lames simples. Rien d’autre
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
• Équipement : Deux lames simples. Rien d’autre
• Parrain : Aucun
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
Description Physique
Alors comme ça, vous voulez savoir à quoi je ressemble ? Alors venez regarder de plus près, mais pas trop quand même. Depuis toujours, on me dit que je suis trop grand pour mon âge, même encore aujourd’hui, c’est juste tout les autres qui sont plus petits, c’est tout. Il y a d’autres personnes certainement qui font 2M10 à 18 ans, non ? Bon, puis faut dire que je suis pas tout fin non plus, après tout, il faut bien s’entretenir physiquement, donc c’est normal de vouloir se muscler, gyéhéhéhé. A part ça, je suis roux, et le premier qui fait une remarque je lui éclate les dents. Ouais je suis roux, même que je laisse un peu pousser parce que j’aime bien, si quelqu’un a un problème qu’il vienne me le dire… Et vous le verrez très vite mais j’ai plusieurs marques sur tout le corps, des cicatrices, des marques de lames principalement, je te raconterai plus tard pour ça. Je suis un peu barbu aussi, je rase de temps en temps, mais bon, vu que ça revient, autant laisser pousser un peu. Pour mes yeux, c’est banal, des yeux verts, sans fioritures, mais t’es venu pour quoi, me demander la couleur d’mes yeux, t’es sérieux ?
Franchement, tu me demande de ses trucs inutiles. M’enfin bon, pour ce qui est de ma tenue, je porte des longs pardessus, qui laisse entrevoir mon torse musclé et viril, ils sont souvent bordeaux ou noir, j’suis pas fan des couleurs des couleurs criardes, c’est pour les gamins. Et moi j’suis pas un… Oh un papillon !… Euh pardon j’en étais ou ? Ah oui, ma tenue. Alors avec le manteau, j’ai deux sabres à la ceinture qui ne me quitte pas, c’est mes beautés, mes bijoux, et il est hors de question de les abandonner, même pour dormir, et donc j’ai une belle ceinture, avec une boucle en forme de cornes. Ensuite, je porte des pantalons noirs aussi, un classique, et des bottes de cuir noir elle aussi, parce qu’il faut admettre que ça me donne un look vachement cool. Voilà pour les vêtements, après t’as pu voir un peu comment je me tenais pendant que je te parlais, donc tu sais que je sais rester calme quand je parle, mais que mes yeux regardent toujours partout aux alentours, et quand je marche on me reconnaît aussi, avec mes grandes foulées et mon allure désinvolte de personne qui est en pays conquis, eh ben c’est vrai, car un jour tout ça ce sera à moi. Ouais, c’est certain.
Franchement, tu me demande de ses trucs inutiles. M’enfin bon, pour ce qui est de ma tenue, je porte des longs pardessus, qui laisse entrevoir mon torse musclé et viril, ils sont souvent bordeaux ou noir, j’suis pas fan des couleurs des couleurs criardes, c’est pour les gamins. Et moi j’suis pas un… Oh un papillon !… Euh pardon j’en étais ou ? Ah oui, ma tenue. Alors avec le manteau, j’ai deux sabres à la ceinture qui ne me quitte pas, c’est mes beautés, mes bijoux, et il est hors de question de les abandonner, même pour dormir, et donc j’ai une belle ceinture, avec une boucle en forme de cornes. Ensuite, je porte des pantalons noirs aussi, un classique, et des bottes de cuir noir elle aussi, parce qu’il faut admettre que ça me donne un look vachement cool. Voilà pour les vêtements, après t’as pu voir un peu comment je me tenais pendant que je te parlais, donc tu sais que je sais rester calme quand je parle, mais que mes yeux regardent toujours partout aux alentours, et quand je marche on me reconnaît aussi, avec mes grandes foulées et mon allure désinvolte de personne qui est en pays conquis, eh ben c’est vrai, car un jour tout ça ce sera à moi. Ouais, c’est certain.
Description Psychologique
Alors t’en veux encore, tu veux te glisser dans ma tête et savoir ce que je pense ? Ben c’est parti alors hein. D’abord, tu l’as vu, mais je suis quelqu’un de vachement franc, j’hésite pas vraiment à dire ce que je pense aux gens, que ce soit en bien ou en mal, même quand il faudrait pas. Ouais, c’est ça, du genre tête brûlée. Celui qui fonce avant de réfléchir, celui qui cogne avant de poser les questions. Après tout, si la personne en face est à terre et sous ma botte, elle à plus vraiment de raison de me mentir non ? En tout cas c’est comme ça que je vois les choses. D’ailleurs, en parlant de mensonge, j’aime pas DU TOUT quand les gens mentent. Le mensonge, c’est la pire bassesse auquel on peut s’adonner, je serais certainement plus enclin à pardonner un meurtre justifié qu’un mensonge injustifié, c’est te dire. Aussi, j’aime la baston, ça, un bon combat ça se refuse pas, je suis pas idiot non plus, je sais quand un adversaire est trop fort pour moi, mais, à part en cas de désavantage bien trop net, je ne fuirai pas. D’une, parce que tournent le dos à son adversaire, c’est le meilleur moyen de te faire tuer, et de deux, parce qui si je fuis, ça veut dire que j’accepte ma défaite, hors, ma défaite n’a pas eu lieu tant que je ne suis pas à terre, inconscient. Ça c’est les principales choses à savoir au niveau de mon caractère global, après si tu veux savoir les choses plus communes.
Hmmm… Disons déjà que je suis pas quelqu’un qu’on peut réellement qualifié de sympa, je suis pas «gentil» et je le serais jamais, je suis plutôt droit dans mes principes et mon honneur. Ce qui ne m’empêche pas pour autant de me lancer dans ma future carrière, après tout, comme je te l’ai déjà dit, tout sera un jour à moi si je me donne assez fort. Aussi, je parle fort et bruyamment, et je me laisse distraire de temps en temps, genre des fois il m’arrive de… Quoi, il y a de la tarte à la fraise au menu !!.. Hmmm, pardon, ouais c’est ce genre de chose qui m’arrive. Et accessoirement, oui, j’aime bien la fraise, et les tartes, du coup j’aime les tartes à la fraise, voila. Sinon, je suis plutôt sociable, voir même collant, mais comme ma compagnie est souvent agréable, ben c’est pas trop un problème, et de toute façon si t’as un problème avec moi on le règle avec nos poings puis après tout va mieux, ok ?
Hmmm… Disons déjà que je suis pas quelqu’un qu’on peut réellement qualifié de sympa, je suis pas «gentil» et je le serais jamais, je suis plutôt droit dans mes principes et mon honneur. Ce qui ne m’empêche pas pour autant de me lancer dans ma future carrière, après tout, comme je te l’ai déjà dit, tout sera un jour à moi si je me donne assez fort. Aussi, je parle fort et bruyamment, et je me laisse distraire de temps en temps, genre des fois il m’arrive de… Quoi, il y a de la tarte à la fraise au menu !!.. Hmmm, pardon, ouais c’est ce genre de chose qui m’arrive. Et accessoirement, oui, j’aime bien la fraise, et les tartes, du coup j’aime les tartes à la fraise, voila. Sinon, je suis plutôt sociable, voir même collant, mais comme ma compagnie est souvent agréable, ben c’est pas trop un problème, et de toute façon si t’as un problème avec moi on le règle avec nos poings puis après tout va mieux, ok ?
Biographie
Ma vie ? Tu veux vraiment tout savoir, je te préviens c’est pas toujours rose guimauve hein, y a même des passages qui font peur, t’es sûr, bon bah c’est toi qui voit hein. Vient pas te plaindre si je te file des cauchemars.
Alors tout a commencé il y a 18 ans, au royaume de Luvneel, dans Luvneelgrad elle-même. Et ouais, c’est là que je suis né. Mes parents, c’étaient des commerçants, et plutôt bon par-dessus le marché, chacun avait sa petite spécialité, mon père, c’était les épices et ma mère, les bijoux. Mais j’ai toujours trouvé ce royaume pourri, il était bien trop encastré dans les traditions. Même petit, je parvenais déjà à comprendre que cette île ne serait pas un endroit ou j’atteindrai les plus hauts sommets. Mes parents eux-même n’était pas très enthousiaste à l’idée de vivre sur cette île. Ils étaient nés ici et ils n’avaient jamais vraiment pu sortir de cette île, mais il ne se cachait pas de me dire que dès qu’ils auraient réuni l’argent pour le voyage, nous changerions très probablement d’endroit ou vivre, apparemment, j’avais une tante à Inu Town, dans la ville de Patland, alors on voulait s’installer près de chez elle, mais il fallait payer et la traversée et la maison.
« Dès que ta mère et moi on a l’argent, on ira sur Inu Town, c’est promis.»
La promesse était actée, et j’ai donc attendu patiemment, je ne faisais pas de crise de caprice ou quoi, j’étais même ce que l’on pourrait qualifier de sage et poli. Je savais déjà que ça m’énervait la politesse, mais j’acceptais, parce que je savais que cela ne durerait pas. Ouais, définitivement, j’aurais mieux fait de mal tourner dès maintenant, ça m’aurait épargné du temps. Le pire, c’est que je pense que mes parents ont pensé bien faire en faisant ça ces idiots. Je venais d’avoir quelque chose comme 5 ans si je me rappelle bien. Faut dire, c’est une étape de ma vie plutôt dure à oublier.
J’étais comme à mon habitude, j’étais tranquillement en train d’étudier, ouais je sais, je faisais même l’effort d’étudier, j’étais vraiment trop parfait à l’époque, quand mon père est entré dans ma chambre, un grand sourire sur le visage.
« Bon mon petit Kyo, j’ai une bonne nouvelle, on part vers Inu Town ! »
« C’est vrai ? » J’étais beaucoup trop surexcité pour penser clairement, j’allais pouvoir quitter cette île de l’ennui après seulement 5 ans dessus ? Cela semblait trop beau. Je sautais littéralement sur place en préparant mes affaires. Mes parents aussi avaient tout sortis, ils avaient même réussi à faire en sorte que nos meubles nous soit livrés quand on arriverait sur Inu Town. Quand on est arrivé sur les quais, mes parents m’ont dit de monter dans le bateau en attendant qu’il règle les formalités avec le capitaine. Puis, d’un coup, le marin qui m’avait fait monter fit tomber la passerelle devant lui et me retint lorsque j’entrepris alors de sortir. Mes parents me firent des grands gestes d’adieux des quais.
« Papa, Maman, qu’est-ce qui se passe ? » Je hurlais tout en cherchant à me débarrasser du marin, mais il avait trop de force et j’étais trop petit.
« Ta tante est prévenu mon petit Kyo, tu vivras chez elle, tu finiras comme tu le souhaite mon petit, ne te cantonne pas à ce qu’on te dit que t’es capable de faire ! » Ma mère pleurait tout en me criant cela.
« Oublie pas Kyo, tu reste toujours notre fils, mais si tu veux avoir ta chance, il faut que tu partes seul. Il t’aurait fallu attendre un temps beaucoup trop long pour qu’on puisse partir tous ensemble. » Comment mon père pouvait il sourire et pleurer en même temps ?
« J’men fiche du temps que ça prends, tu m’avais promis papa ! »
Le bateau partait déjà, tandis que la silhouette de mes parents s’effaçaient petit à petit, je tachais de me souvenir du contour de leur visage. Ils me faisaient toujours de grands gestes d’adieux de la main tout en pleurant et souriant.
Ceux-là, je les retiendrai jusqu’à la fin de mes jours, ils avaient pas à me mentir. C’est depuis ce jour là que je tolère plus le mensonge en fait.
L’équipage du bateau passa ensuite son temps à me surveiller durant le trajet, de peur que je fasse une bêtise, et finalement ils avaient raison, j’étais prêt à retourner sur mon île à la nage si il fallait pour les rejoindre. Même une fois arrivé sur Inu Town, ils prirent bien soin de m’accompagner jusque chez ma tante, de toute façon je ne savais pas ou elle habitait. Elle était sympa dans le fond ma tante Amako, c’était la sœur de ma mère, et quand elle avait appris ce qu’elle comptait faire, elle se disait qu’elle n’avait pas changé depuis qu’elles étaient petites. Toujours à passer derrière ceux qu’elle aime. Franchement, je ne l’écoutais qu’à moitié, et elle le voyait bien, mais quand j’ai exprimé mon envie de retourner sur Luvneel, elle réagit très fermement.
« Tu crois que ma sœur s’est décarcassée à te trouver un bateau qui t’emmène jusqu’à moi pour te donner une chance dans la vie, tout ça pour que tu revienne à peine 2 semaine après. Tu la blesserais encore plus en revenant. »
Même si ça me coûtait de le reconnaître, elle n’avait pas tort, qui plus est, je n’avais pas de quoi faire le voyage. Soit, alors il voulait que j’ai une chance, alors je deviendrai quelqu’un d’important. Et je savais parfaitement Quel voie m’aiderait dans ce but là. Avec leurs avis de recherches, les pirates se font très vite connaître lorsqu’ils ont une prime, et plus la prime est haute, plus ça montrait que t’étais important, de toute façon, j’étais pas fait pour la vie bien rangée et disciplinée de soldat de la Marine. Je grandit alors à Patland dans cet objectif. Ma tante était une personne très agréable, et elle me laissait très libre de mes actions. Je n’avait pas réellement de problème dans cette éducation. Ils allaient voir mes vieux, que je pouvais devenir le gars le plus reconnu de toute les mers. Le Pirate le plus reconnu.
Mes premières années furent consacrés à de l’entraînement physique, ma tante n’était pas ultra riche, mais elle parvenait tout de même à me payer un peu de matériel. Comme des poids par exemple. Mais ce fut bien elle qui me fit découvrir ma future spécialité. Elle n’avait jamais objecté à l’idée que je devienne un pirate, au contraire, elle louait même l’ambition que je mettais dans cet objectif. Ainsi, elle me ramena alors en cadeau des épées de bois. Je devais avoir environ 9 ans. Elle me dit :
« Les pirates, ça se bat à l’épée dans les histoires, vas-y essaie, j’essaierai d’être ton adversaire »
Elle ramassa alors une épée et me tendit les deux autres qui restait. Sans réfléchir, je me saisis des 2 en même temps. Cela m’avait semblé logique. Ce fut brouillon, très brouillon, voire complètement ridicule, très certainement. Mais j’aimais bien la sensation des 2 épées de bois dans ma main, je trouvais que ça m’allait bien, et puis, ça me donnait un air plutôt cool il fallait dire. Ma tante était pas vraiment une adepte du combat, mais disons qu’elle avait plus de chance face à un enfant, c’est sûr. Le «combat» s’acheva quand je réussis je ne sais pas comment à faire voltiger son épée dans les airs. Hé, mais c’est que j’avais réussi apparemment, j’avais gagné mon premier combat de sabre. Ouep, ça me convenait.
« Hé, je crois que je vais être un épéiste, peut-être même le plus fort du monde qui sait ? »
Lui aussi ça devait être quelqu’un d’important le plus grand épéiste du monde, reconnu par tout les autres sabreurs comme le meilleur d’entre tous. Ouais, c’était un rôle qui pourrait me convenir. Je trouvais aussi mieux de me battre avec deux lames plutôt qu’une, c’est ainsi que mon style à deux lames est née, bon c’est sûr c’était surtout une ébauche, mais ça allait avoir de la gueule, c’était sûr.
Je grandit alors a peu près paisiblement jusqu’à la destruction de l’ambassade de la Marie, j’avais 11 ans et j’étais là, bon bien planqué parce que j’étais paniqué, mais quand même j’étais là. Quel culot qu’ils avaient eu les révolutionnaires. Quoi, tu me trouve trop amical avec eux, ben c’est parce que je les soutient bien évidemment, le Gouvernement Mondial, c’est qu’un ramassis d’aristos bourré de privilège et de tradition et qui savent pas voir le monde autrement qu’avec l’ancienne vision. Dommage que toutes les actions des révolutionnaires se passent dans l’ombre, je les auraient peut-être rejoint sinon, gyehéhéhéhé !
M’enfin bon, Patland devint le lieu ou venaient les révolutionnaires, et c’était pas pour me déplaire. Mais bon, pour le coup j’évitais de me mêler de leurs affaires, c’était pas mon problème et pas mon ambition alors.
En quelques années, l’île avait su retrouver un peu de stabilité, et, du haut de mes 14 ans, j’enchaînai les petits boulots pour pouvoir économiser de quoi m’acheter 2 vrais sabres. Je continuai à m’entraîner avec des épées de bois, mais elles n’étaient plus adaptées à mon entraînement. Mon style à deux lames commençait lui à se préciser, Un style rapide et brutale, sans fioritures et sans extra, simple, brutal et destructeur.
J’étais alors en train de livrer un colis ce jour-là, quand je découvrit enfin la dureté du réel. J’avais reçu un petit boulot de la part de Chinko, un petit receleur du coin, c’était pas très dangereux et ça payait plutôt bien. Mais, être le livreur, ça vous place en face de situation plutôt dangereuse. Le gars chez qui je devais livrer s’appelait Mirio, son nom me disait pas grand-chose, mais il vivait dans une de ces baraques, une sacrée maison avec deux étages, le grand jardin, une vue sur la mer impeccable, bref, le gars devait pas être pauvre. Mais, quand j’ai toqué à la porte, il n’y eût pas de réponse, je retentai, et cette fois-ci, j’entendis du bruit venir de l’intérieur. Plusieurs bruits… Avant de comprendre dans quoi je m’étais fourré, Deux hommes cagoulés ouvrirent la portent et me firent rentrer de force dans la maison, un troisième, qui était resté à l’intérieur. M’entoura immédiatement de ses bras pour m’immobiliser. Je tentais de me débattre, mais il était extrêmement costaud, impossible de me défaire de sa prise. Les deux autres vinrent l’aider, et, très rapidement, je me retrouvait ligoté et attaché, ficelé comme un morceau de viande et installé de force contre un mur du salon. Un homme entra dans la pièce, il se présenta comme étant Mirio.
« Ne t’en fait pas mon petit, si Chinko a respecté notre accord, tu pourras repartir comme si de rien n’était et oublier toute cette histoire. Sinon, eh ben tu en discuteras avec lui, mais nous devrons lui envoyer un message clair, il ne peut pas nous escroquer comme ça. »
Je tremblais comme une feuille, mes liens étaient beaucoup trop solide, je ne pouvait qu’attendre et espérer. Le dénommé Mirio ouvrit son colis, et je compris immédiatement à sa tête qu’il n’était pas satisfait.
« Eh bien je suis navré pour toi, jeune livreur, mais je crois que tu vas devoir subir pour lui faire comprendre. »
Je ne put rien faire, pendant près de 10 minutes, on me frappa, puis, une fois qu’il se furent lassé, Mirio sortit un couteau de sa poche, et dit :
« Surtout ne tente pas de bouger, ça ferait encore plus mal » Il avait une lueur mauvaise dans les yeux, comme si il voulait plutôt que je bouge que l’inverse en fait, que je tente de me débattre. Il me taillada un peu partout, jamais trop profond, mais juste assez pour que cela reste, je fit des efforts surhumains pour ne pas hurler, mais c’était impossible de me contenir.
Une fois qu’il eut finit, il se releva, me jeta une liasse de Berry à la figure, puis dit :
« Sache que c’est Chinko qui t’a mit dans cette situation, il savait parfaitement ce que tu risquais, avec ça tu as bien assez pour te payer de quoi te venger, si jamais tu le souhaite.»
Il venait de me payer pour me donner les moyens de me venger ? Là, il avait pas à me le dire 2 fois. Là-dedans, il y avait bien assez pour le payer les deux sabres dont j’avais besoin, la nuit allait tomber, mais Chinko ne verrait pas le prochain lever du soleil.
Ce gars m’avait sérieusement amoché, mais je ne pouvait pas me permettre e juste allez me soigner. Non, il fallait que j’agisse au plus vite, je fit tout ce que je pouvait pour cacher mes blessures, grâce à ma grande taille et à la barbe qui commençait à me pousser, je réussit à me faire passer pour un adulte auprès du marchand, je prit en vitesse mes deux sabres et m’infiltrai chez Chinko durant la nuit. Je lui ai fait très peur quand il m’a vu, après tout, un fou à moitié sanguinolent, qui tenait deux sabres à la main et qui le regardait avec l’expression que j’avais à ce moment là. Moi aussi j’aurai tenté de fuir. Mais, même blessé, j’étais un peu trop rapide pour lui. Mon coup fût net, rapide, et sans aucune once d’hésitation. De ma main droite, je lui plantait la lame directement dans le flanc, le forçant à s’arrêter et le faisant tomber par terre, puis, de ma main gauche, sans même lui laisser le temps de comprendre, j’abattais ma deuxième lame dans son front. Je n’avais même pas hésité une seconde. C’était même plus facile que ce à quoi je me serais toujours attendu. Je pensais déjà à tout ce qui venait après, à savoir, faire disparaître le corps et tout nettoyer. Chinko vivait en bordure du village, c’était donc plus facile pour éviter de croiser des gens, le mieux était encore de le jeter à la mer. Il se ferait tranquillement emporté par le courant. Le nettoyage prit le reste de la nuit, et, peu avant l’aurore, je partit jeter le corps à la mer, en espérant ne plus jamais en entendre parler, plus jamais s’il vous plaît.
En fait, le corps fût découvert, il a bien évidemment été rejeté par le courant sur le rivage, mais sa réputation le précédait, c’était un petit receleur, l’enquête conclut à un règlement de compte, mais rien ne permit de remonter jusqu’à moi, j’avais trop bien nettoyer la scène de crime.
A partir de la, rien de bien palpitant jusqu’à mes 18 ans, mes blessures cicatrisèrent, et tout le monde crut que c’était des accidents de sabre durant l’entraînement. Je n’aimais clairement pas mentir, mais avouer un meurtre, c‘était différent. Je mesurais la limite entre la franchise et la bêtise simple quand même. Mes deux lames solidement accroché à ma ceinture, j’étais prêt à partir à l’aventure, le premier objectif était simple, trouver un équipage à rejoindre, à partir de là, le propulser jusqu’au sommet de la piraterie, ouais, ça partait bien, et de mon côté, devenir le plus grand sabreur du monde était un bel objectif à apporter dans la balance.
Alors tout a commencé il y a 18 ans, au royaume de Luvneel, dans Luvneelgrad elle-même. Et ouais, c’est là que je suis né. Mes parents, c’étaient des commerçants, et plutôt bon par-dessus le marché, chacun avait sa petite spécialité, mon père, c’était les épices et ma mère, les bijoux. Mais j’ai toujours trouvé ce royaume pourri, il était bien trop encastré dans les traditions. Même petit, je parvenais déjà à comprendre que cette île ne serait pas un endroit ou j’atteindrai les plus hauts sommets. Mes parents eux-même n’était pas très enthousiaste à l’idée de vivre sur cette île. Ils étaient nés ici et ils n’avaient jamais vraiment pu sortir de cette île, mais il ne se cachait pas de me dire que dès qu’ils auraient réuni l’argent pour le voyage, nous changerions très probablement d’endroit ou vivre, apparemment, j’avais une tante à Inu Town, dans la ville de Patland, alors on voulait s’installer près de chez elle, mais il fallait payer et la traversée et la maison.
« Dès que ta mère et moi on a l’argent, on ira sur Inu Town, c’est promis.»
La promesse était actée, et j’ai donc attendu patiemment, je ne faisais pas de crise de caprice ou quoi, j’étais même ce que l’on pourrait qualifier de sage et poli. Je savais déjà que ça m’énervait la politesse, mais j’acceptais, parce que je savais que cela ne durerait pas. Ouais, définitivement, j’aurais mieux fait de mal tourner dès maintenant, ça m’aurait épargné du temps. Le pire, c’est que je pense que mes parents ont pensé bien faire en faisant ça ces idiots. Je venais d’avoir quelque chose comme 5 ans si je me rappelle bien. Faut dire, c’est une étape de ma vie plutôt dure à oublier.
J’étais comme à mon habitude, j’étais tranquillement en train d’étudier, ouais je sais, je faisais même l’effort d’étudier, j’étais vraiment trop parfait à l’époque, quand mon père est entré dans ma chambre, un grand sourire sur le visage.
« Bon mon petit Kyo, j’ai une bonne nouvelle, on part vers Inu Town ! »
« C’est vrai ? » J’étais beaucoup trop surexcité pour penser clairement, j’allais pouvoir quitter cette île de l’ennui après seulement 5 ans dessus ? Cela semblait trop beau. Je sautais littéralement sur place en préparant mes affaires. Mes parents aussi avaient tout sortis, ils avaient même réussi à faire en sorte que nos meubles nous soit livrés quand on arriverait sur Inu Town. Quand on est arrivé sur les quais, mes parents m’ont dit de monter dans le bateau en attendant qu’il règle les formalités avec le capitaine. Puis, d’un coup, le marin qui m’avait fait monter fit tomber la passerelle devant lui et me retint lorsque j’entrepris alors de sortir. Mes parents me firent des grands gestes d’adieux des quais.
« Papa, Maman, qu’est-ce qui se passe ? » Je hurlais tout en cherchant à me débarrasser du marin, mais il avait trop de force et j’étais trop petit.
« Ta tante est prévenu mon petit Kyo, tu vivras chez elle, tu finiras comme tu le souhaite mon petit, ne te cantonne pas à ce qu’on te dit que t’es capable de faire ! » Ma mère pleurait tout en me criant cela.
« Oublie pas Kyo, tu reste toujours notre fils, mais si tu veux avoir ta chance, il faut que tu partes seul. Il t’aurait fallu attendre un temps beaucoup trop long pour qu’on puisse partir tous ensemble. » Comment mon père pouvait il sourire et pleurer en même temps ?
« J’men fiche du temps que ça prends, tu m’avais promis papa ! »
Le bateau partait déjà, tandis que la silhouette de mes parents s’effaçaient petit à petit, je tachais de me souvenir du contour de leur visage. Ils me faisaient toujours de grands gestes d’adieux de la main tout en pleurant et souriant.
Ceux-là, je les retiendrai jusqu’à la fin de mes jours, ils avaient pas à me mentir. C’est depuis ce jour là que je tolère plus le mensonge en fait.
L’équipage du bateau passa ensuite son temps à me surveiller durant le trajet, de peur que je fasse une bêtise, et finalement ils avaient raison, j’étais prêt à retourner sur mon île à la nage si il fallait pour les rejoindre. Même une fois arrivé sur Inu Town, ils prirent bien soin de m’accompagner jusque chez ma tante, de toute façon je ne savais pas ou elle habitait. Elle était sympa dans le fond ma tante Amako, c’était la sœur de ma mère, et quand elle avait appris ce qu’elle comptait faire, elle se disait qu’elle n’avait pas changé depuis qu’elles étaient petites. Toujours à passer derrière ceux qu’elle aime. Franchement, je ne l’écoutais qu’à moitié, et elle le voyait bien, mais quand j’ai exprimé mon envie de retourner sur Luvneel, elle réagit très fermement.
« Tu crois que ma sœur s’est décarcassée à te trouver un bateau qui t’emmène jusqu’à moi pour te donner une chance dans la vie, tout ça pour que tu revienne à peine 2 semaine après. Tu la blesserais encore plus en revenant. »
Même si ça me coûtait de le reconnaître, elle n’avait pas tort, qui plus est, je n’avais pas de quoi faire le voyage. Soit, alors il voulait que j’ai une chance, alors je deviendrai quelqu’un d’important. Et je savais parfaitement Quel voie m’aiderait dans ce but là. Avec leurs avis de recherches, les pirates se font très vite connaître lorsqu’ils ont une prime, et plus la prime est haute, plus ça montrait que t’étais important, de toute façon, j’étais pas fait pour la vie bien rangée et disciplinée de soldat de la Marine. Je grandit alors à Patland dans cet objectif. Ma tante était une personne très agréable, et elle me laissait très libre de mes actions. Je n’avait pas réellement de problème dans cette éducation. Ils allaient voir mes vieux, que je pouvais devenir le gars le plus reconnu de toute les mers. Le Pirate le plus reconnu.
Mes premières années furent consacrés à de l’entraînement physique, ma tante n’était pas ultra riche, mais elle parvenait tout de même à me payer un peu de matériel. Comme des poids par exemple. Mais ce fut bien elle qui me fit découvrir ma future spécialité. Elle n’avait jamais objecté à l’idée que je devienne un pirate, au contraire, elle louait même l’ambition que je mettais dans cet objectif. Ainsi, elle me ramena alors en cadeau des épées de bois. Je devais avoir environ 9 ans. Elle me dit :
« Les pirates, ça se bat à l’épée dans les histoires, vas-y essaie, j’essaierai d’être ton adversaire »
Elle ramassa alors une épée et me tendit les deux autres qui restait. Sans réfléchir, je me saisis des 2 en même temps. Cela m’avait semblé logique. Ce fut brouillon, très brouillon, voire complètement ridicule, très certainement. Mais j’aimais bien la sensation des 2 épées de bois dans ma main, je trouvais que ça m’allait bien, et puis, ça me donnait un air plutôt cool il fallait dire. Ma tante était pas vraiment une adepte du combat, mais disons qu’elle avait plus de chance face à un enfant, c’est sûr. Le «combat» s’acheva quand je réussis je ne sais pas comment à faire voltiger son épée dans les airs. Hé, mais c’est que j’avais réussi apparemment, j’avais gagné mon premier combat de sabre. Ouep, ça me convenait.
« Hé, je crois que je vais être un épéiste, peut-être même le plus fort du monde qui sait ? »
Lui aussi ça devait être quelqu’un d’important le plus grand épéiste du monde, reconnu par tout les autres sabreurs comme le meilleur d’entre tous. Ouais, c’était un rôle qui pourrait me convenir. Je trouvais aussi mieux de me battre avec deux lames plutôt qu’une, c’est ainsi que mon style à deux lames est née, bon c’est sûr c’était surtout une ébauche, mais ça allait avoir de la gueule, c’était sûr.
Je grandit alors a peu près paisiblement jusqu’à la destruction de l’ambassade de la Marie, j’avais 11 ans et j’étais là, bon bien planqué parce que j’étais paniqué, mais quand même j’étais là. Quel culot qu’ils avaient eu les révolutionnaires. Quoi, tu me trouve trop amical avec eux, ben c’est parce que je les soutient bien évidemment, le Gouvernement Mondial, c’est qu’un ramassis d’aristos bourré de privilège et de tradition et qui savent pas voir le monde autrement qu’avec l’ancienne vision. Dommage que toutes les actions des révolutionnaires se passent dans l’ombre, je les auraient peut-être rejoint sinon, gyehéhéhéhé !
M’enfin bon, Patland devint le lieu ou venaient les révolutionnaires, et c’était pas pour me déplaire. Mais bon, pour le coup j’évitais de me mêler de leurs affaires, c’était pas mon problème et pas mon ambition alors.
En quelques années, l’île avait su retrouver un peu de stabilité, et, du haut de mes 14 ans, j’enchaînai les petits boulots pour pouvoir économiser de quoi m’acheter 2 vrais sabres. Je continuai à m’entraîner avec des épées de bois, mais elles n’étaient plus adaptées à mon entraînement. Mon style à deux lames commençait lui à se préciser, Un style rapide et brutale, sans fioritures et sans extra, simple, brutal et destructeur.
J’étais alors en train de livrer un colis ce jour-là, quand je découvrit enfin la dureté du réel. J’avais reçu un petit boulot de la part de Chinko, un petit receleur du coin, c’était pas très dangereux et ça payait plutôt bien. Mais, être le livreur, ça vous place en face de situation plutôt dangereuse. Le gars chez qui je devais livrer s’appelait Mirio, son nom me disait pas grand-chose, mais il vivait dans une de ces baraques, une sacrée maison avec deux étages, le grand jardin, une vue sur la mer impeccable, bref, le gars devait pas être pauvre. Mais, quand j’ai toqué à la porte, il n’y eût pas de réponse, je retentai, et cette fois-ci, j’entendis du bruit venir de l’intérieur. Plusieurs bruits… Avant de comprendre dans quoi je m’étais fourré, Deux hommes cagoulés ouvrirent la portent et me firent rentrer de force dans la maison, un troisième, qui était resté à l’intérieur. M’entoura immédiatement de ses bras pour m’immobiliser. Je tentais de me débattre, mais il était extrêmement costaud, impossible de me défaire de sa prise. Les deux autres vinrent l’aider, et, très rapidement, je me retrouvait ligoté et attaché, ficelé comme un morceau de viande et installé de force contre un mur du salon. Un homme entra dans la pièce, il se présenta comme étant Mirio.
« Ne t’en fait pas mon petit, si Chinko a respecté notre accord, tu pourras repartir comme si de rien n’était et oublier toute cette histoire. Sinon, eh ben tu en discuteras avec lui, mais nous devrons lui envoyer un message clair, il ne peut pas nous escroquer comme ça. »
Je tremblais comme une feuille, mes liens étaient beaucoup trop solide, je ne pouvait qu’attendre et espérer. Le dénommé Mirio ouvrit son colis, et je compris immédiatement à sa tête qu’il n’était pas satisfait.
« Eh bien je suis navré pour toi, jeune livreur, mais je crois que tu vas devoir subir pour lui faire comprendre. »
Je ne put rien faire, pendant près de 10 minutes, on me frappa, puis, une fois qu’il se furent lassé, Mirio sortit un couteau de sa poche, et dit :
« Surtout ne tente pas de bouger, ça ferait encore plus mal » Il avait une lueur mauvaise dans les yeux, comme si il voulait plutôt que je bouge que l’inverse en fait, que je tente de me débattre. Il me taillada un peu partout, jamais trop profond, mais juste assez pour que cela reste, je fit des efforts surhumains pour ne pas hurler, mais c’était impossible de me contenir.
Une fois qu’il eut finit, il se releva, me jeta une liasse de Berry à la figure, puis dit :
« Sache que c’est Chinko qui t’a mit dans cette situation, il savait parfaitement ce que tu risquais, avec ça tu as bien assez pour te payer de quoi te venger, si jamais tu le souhaite.»
Il venait de me payer pour me donner les moyens de me venger ? Là, il avait pas à me le dire 2 fois. Là-dedans, il y avait bien assez pour le payer les deux sabres dont j’avais besoin, la nuit allait tomber, mais Chinko ne verrait pas le prochain lever du soleil.
Ce gars m’avait sérieusement amoché, mais je ne pouvait pas me permettre e juste allez me soigner. Non, il fallait que j’agisse au plus vite, je fit tout ce que je pouvait pour cacher mes blessures, grâce à ma grande taille et à la barbe qui commençait à me pousser, je réussit à me faire passer pour un adulte auprès du marchand, je prit en vitesse mes deux sabres et m’infiltrai chez Chinko durant la nuit. Je lui ai fait très peur quand il m’a vu, après tout, un fou à moitié sanguinolent, qui tenait deux sabres à la main et qui le regardait avec l’expression que j’avais à ce moment là. Moi aussi j’aurai tenté de fuir. Mais, même blessé, j’étais un peu trop rapide pour lui. Mon coup fût net, rapide, et sans aucune once d’hésitation. De ma main droite, je lui plantait la lame directement dans le flanc, le forçant à s’arrêter et le faisant tomber par terre, puis, de ma main gauche, sans même lui laisser le temps de comprendre, j’abattais ma deuxième lame dans son front. Je n’avais même pas hésité une seconde. C’était même plus facile que ce à quoi je me serais toujours attendu. Je pensais déjà à tout ce qui venait après, à savoir, faire disparaître le corps et tout nettoyer. Chinko vivait en bordure du village, c’était donc plus facile pour éviter de croiser des gens, le mieux était encore de le jeter à la mer. Il se ferait tranquillement emporté par le courant. Le nettoyage prit le reste de la nuit, et, peu avant l’aurore, je partit jeter le corps à la mer, en espérant ne plus jamais en entendre parler, plus jamais s’il vous plaît.
En fait, le corps fût découvert, il a bien évidemment été rejeté par le courant sur le rivage, mais sa réputation le précédait, c’était un petit receleur, l’enquête conclut à un règlement de compte, mais rien ne permit de remonter jusqu’à moi, j’avais trop bien nettoyer la scène de crime.
A partir de la, rien de bien palpitant jusqu’à mes 18 ans, mes blessures cicatrisèrent, et tout le monde crut que c’était des accidents de sabre durant l’entraînement. Je n’aimais clairement pas mentir, mais avouer un meurtre, c‘était différent. Je mesurais la limite entre la franchise et la bêtise simple quand même. Mes deux lames solidement accroché à ma ceinture, j’étais prêt à partir à l’aventure, le premier objectif était simple, trouver un équipage à rejoindre, à partir de là, le propulser jusqu’au sommet de la piraterie, ouais, ça partait bien, et de mon côté, devenir le plus grand sabreur du monde était un bel objectif à apporter dans la balance.
Test RP
J’étais pratiquement sûr pourtant, disons sûr à 98%, ça avait beau être écrit en petit, j’étais certain d’avoir lu sabreur, bon disons 95%. Bon, dans le doute, il valait mieux que j’aille relire le panneau. Alors, dans le cadre de la fête du village de Manshon, nous organisons notre concours de… brasseur… Ah, je crois que j’avais mal lu. Bordel, ce concours avait lieu dans 3 heures, et j’avais strictement aucune idée de comment on pouvait bien fabriquer de la bière. Pour ce qui est de la goûter je dis pas, mais là. Et puis, j’allais pas abandonner maintenant, j’avais pas de thunes sur moi, le pire c’est que je devais gagner si je voulait trouver de quoi bouffer. Merde… Comment j’allais bien pouvoir m’en sortir... Hé attends, j’avais pas forcément besoin d’être le meilleur. Si tout les autres étaient moins bon, c’était pas grave, non ? Non mais, si je voulais gagner, je devais le faire à l’honnête, attendez, depuis quand je veux agir selon les règles ?
Aaaaah mais ça suffit les réflexions internes ! Depuis quand je me prend la tête pour savoir si je dois gagner à l’honnête. C’était qu’un concours de boisson et j’avais besoin d’argent, tant pis pour les autres. Bon, il faudrait quand même essayer des trucs, alors j’imagine qu’on ne sera pas séparés lors des épreuves. Si je reste bine attentif sur mes adversaires, je peux au moins voir quel truc ils mettent dans la marmite et les imiter, peut-être… Je suis foutu.
Bon, ne perdons pas espoir, déjà, le temps que j’ai, je vais le consacrer à savoir ce qui compose la bière et comment on la brasse, attends, j’apprends ça ou moi ? Aaaah mais merde, pourquoi l’univers ne soutient jamais mes bonnes idées, je vais pas demander au barman, il va participer au concours lui aussi, j’ai vu son nom. Impossible de lui demander, ça ferait vraiment suspect, et puis, si il est pas trop bête, il refusera, parce qu’on aide pas ses adversaires. Bon, il me semblait que j’avais pas trop le choix, j’allais devoir improviser, gyéhéhéhéhé ! Ma spécialité.
J’ai donc attendu, achetant aussi du matériel de «au cas ou». C’est ainsi que je me présentait sur le lieu du concours, gardant mon sourire au lèvre, mais quand même stressé. La vache, on peut dire qu’ils avaient vu les choses en grand, en plus il y avait de la foule. on était réparti dans un grand carré entre les 4 concurrents, moi y compris. Chacun avait son côté. Réparti de manière assez large, de manière à garder une dizaine de mètre d’écart entre chaque table, même gâcher les bières se révélerait compliqué.
« Alors, est-ce que nos concurrent sont prêt !!!»
C’était un adulte d’environ 30 ans qui présentait le concours, blond, avec des lunettes de soleil, il me disait vaguement quelque chose, mais j’aurais pas su dire d’où. Bon, eh ben, il fallait y aller.
«Et en face de moi, j’ai le jeune, mais néanmoins talentueux Lockart, qui a déjà participé 3 fois au concours. On l’applaudit !»
Petite acclamation dans la foule, visiblement, les participants sont connus ici.
« A ma gauche, vous la connaissez, la douce et pétillante Lola, tenancière de l’Auberge de la Flèche, et arrivée deuxième du concours de l’année dernière !»
Un peu plus de bruit pour la jeune fille, visiblement, les gens ont leur préférence.
«A ma droite, un nouveau venu, qui espère sûrement vous impressionner de ses talents. Il s’appelle Kyobashi !»
Des applaudissements d’encouragement léger, ben visiblement je suis pas le chouchou du public.
«Et enfin, derrière moi, on a le champion en titre, le tenancier du Bar de notre beau village, le champion en titre, le seul, l’unique, Reikyoooooo !»
Un déluge d’applaudissements, des encouragements, plus besoin de chercher le favori, c’était un barman à lunettes d’1M50.
« Et sans plus attendre, nous déclarons le début du concours, mesdames et messieurs, commencez… MAINTENANT ! »
Dans un même mouvement, ou presque, les 3 participants commençaient déjà à ajouter le liquide dont on disposait dans l’eau. Pas trop compliqué à suivre comme processus, il fallait que je m’exécute. Immédiatement j’ajoutai le liquide.
« Oh la la, en voilà un qui rajoute son malt avec une violence surprenante, et surtout, à une température sûrement encore fraîche, est-ce une préparation spéciale de son village natal ? »
Comment ça trop fraîche ? Merde, les autres avaient allumés leur feu bien avant moi, du coup, le tout était plus chaud, logique, je devais faire 10 degrés de moins qu’eux a vue de nez. Ah merde, moi et ma concentration légendaire ! Attendez, c’est quoi la suite, mélanger ? En tout cas c’est ce qu’il font, attendez, la fille elle a rajouté un truc, mince, j’ai pas vu j’étais concentrée sur autre chose. La récompense était en train de s’envoler à vue de nez…
« Attendez, mais que fait notre nouveau participant ? Il a retiré une partie de sa préparation ? Mais pourquoi ? Sait-il ce qu’il fait ?»
J’ai entendu des rires dans l’assistance, mais j’étais trop occupé à improviser pour m’en soucier. D’accord, j’avais commencé en rajoutant un truc à température trop fraîche… Mais si je faisait grimper sa température bien trop haut dans une partie puis que je la reversais, par mon génie de la mathématique, je dirais que les températures devraient s’équilibrer. Sûrement... Peut-être…
« Oh la, tandis que nos 3 participants locaux maîtrisent leur brassage d’une main de maître, il semblerait que Kyo nous ai développés des techniques pour le moins farfelues.»
J’attendis de voir des bulles dans l’autre préparation pour la remettre à l’intérieur du récipient, et… incroyable, cela semblait avoir réellement réchauffé le tout ! Mais maintenant, la préparation avait prit une couleur bizarre. Bon, ben l’essentiel, c’est que ça marchait. Alors, tout en mélangeant en continu, je continuait à faire bouillir une partie que j’enlevais, puis je la remettais, j’ai bien eu le temps de le faire 3 fois avant d’entendre un :
« STOP, fin du brassage pour tout les concurrents, laissez vos présentations ici ou elles seront fermentés et tournés en bière, le jury goûtera à ce moment là et rendra son verdict »
Décidément, j’avais pas de chance, mon mélange était relativement propre, mais avait une couleur beaucoup trop foncée par rapports à ceux des autres. Et merde, et en plus l’entrepôt de fermentation était gardé, je pouvais pas m’infiltrer sans me faire repérer, fait chier ! Et maintenant, c’était le nain barman qui allait rafler la récompense. J’ai passé le reste de la nuit seul, dans la rue parce que j’avais pas une thune en plus. Le résultat aurait lieu le lendemain, je savais d’avance que j’avais perdu, mais je devais m’y présenter, par honneur. Le jury était là, goûtant chacune des préparations à l’aveugle, pour être totalement impartial. Quand vint le tour de la mienne, je fût prit d’une soudaine crise de panique. Et leur tête quand ils goûtèrent, après les 3 excellentes bières qu’ils avaient goûter, ils devaient penser à une tentative de meurtre pour saboter le concours. Le premier juge retira son bandeau et hurla :
« Qui a créé cette… cette… MERVEILLE ! »
Quoi ? Une merveille ? J’avais bien entendu ?
« Euh, c’est moi ! »
« Monsieur, je ne sais pas comment vous avait fait, mais vous avez réussi à accentuer le côté malté de cette bière à un point ou sa finesse s’exprime parfaitement, quel était votre méthode ? »
Sans déconner ? Tout ceux qui goûtaient à ma préparation affichaient la même expression que cet homme, il fallait que j’essaie. A l’instant ou je portait ma mixture dans ma bouche, je le sentit aussi. Mais, mais, mais oui, elle était trop bonne cette bière !!! Mais comment j’avais fait !?
« Alors là, très sincèrement monsieur le juge, j’en ai aucune idée, ça vous va si je vous dit que j’ai mal réglé mon feu ? »
Ouais, encore une fois, beaucoup trop honnête…
« Oh, vous voulez garder vos secrets, je comprends, mais ce n’est pas grave, car nous avons bel et bien notre grand vainqueur !!!! »
J’avais gagné, et à l’honnête en plus. Ce n’est que plus tard que j’ai découvert que j’avais utilisé une réelle méthode de brassage, apparemment, cela s’appelait le «brassage par décoction». Ouais c’est un nom qui sonnait bien, je trouve aussi.
En tout cas « OUAIIIIIS, J’ai gagnééééé !! Prends ça dans ta face le nain !!! Gyéhéhéhéhé ! »
Et c’est sur ses sages paroles que j’ai achevé le concours de brasserie de Manshon.
Aaaaah mais ça suffit les réflexions internes ! Depuis quand je me prend la tête pour savoir si je dois gagner à l’honnête. C’était qu’un concours de boisson et j’avais besoin d’argent, tant pis pour les autres. Bon, il faudrait quand même essayer des trucs, alors j’imagine qu’on ne sera pas séparés lors des épreuves. Si je reste bine attentif sur mes adversaires, je peux au moins voir quel truc ils mettent dans la marmite et les imiter, peut-être… Je suis foutu.
Bon, ne perdons pas espoir, déjà, le temps que j’ai, je vais le consacrer à savoir ce qui compose la bière et comment on la brasse, attends, j’apprends ça ou moi ? Aaaah mais merde, pourquoi l’univers ne soutient jamais mes bonnes idées, je vais pas demander au barman, il va participer au concours lui aussi, j’ai vu son nom. Impossible de lui demander, ça ferait vraiment suspect, et puis, si il est pas trop bête, il refusera, parce qu’on aide pas ses adversaires. Bon, il me semblait que j’avais pas trop le choix, j’allais devoir improviser, gyéhéhéhéhé ! Ma spécialité.
J’ai donc attendu, achetant aussi du matériel de «au cas ou». C’est ainsi que je me présentait sur le lieu du concours, gardant mon sourire au lèvre, mais quand même stressé. La vache, on peut dire qu’ils avaient vu les choses en grand, en plus il y avait de la foule. on était réparti dans un grand carré entre les 4 concurrents, moi y compris. Chacun avait son côté. Réparti de manière assez large, de manière à garder une dizaine de mètre d’écart entre chaque table, même gâcher les bières se révélerait compliqué.
« Alors, est-ce que nos concurrent sont prêt !!!»
C’était un adulte d’environ 30 ans qui présentait le concours, blond, avec des lunettes de soleil, il me disait vaguement quelque chose, mais j’aurais pas su dire d’où. Bon, eh ben, il fallait y aller.
«Et en face de moi, j’ai le jeune, mais néanmoins talentueux Lockart, qui a déjà participé 3 fois au concours. On l’applaudit !»
Petite acclamation dans la foule, visiblement, les participants sont connus ici.
« A ma gauche, vous la connaissez, la douce et pétillante Lola, tenancière de l’Auberge de la Flèche, et arrivée deuxième du concours de l’année dernière !»
Un peu plus de bruit pour la jeune fille, visiblement, les gens ont leur préférence.
«A ma droite, un nouveau venu, qui espère sûrement vous impressionner de ses talents. Il s’appelle Kyobashi !»
Des applaudissements d’encouragement léger, ben visiblement je suis pas le chouchou du public.
«Et enfin, derrière moi, on a le champion en titre, le tenancier du Bar de notre beau village, le champion en titre, le seul, l’unique, Reikyoooooo !»
Un déluge d’applaudissements, des encouragements, plus besoin de chercher le favori, c’était un barman à lunettes d’1M50.
« Et sans plus attendre, nous déclarons le début du concours, mesdames et messieurs, commencez… MAINTENANT ! »
Dans un même mouvement, ou presque, les 3 participants commençaient déjà à ajouter le liquide dont on disposait dans l’eau. Pas trop compliqué à suivre comme processus, il fallait que je m’exécute. Immédiatement j’ajoutai le liquide.
« Oh la la, en voilà un qui rajoute son malt avec une violence surprenante, et surtout, à une température sûrement encore fraîche, est-ce une préparation spéciale de son village natal ? »
Comment ça trop fraîche ? Merde, les autres avaient allumés leur feu bien avant moi, du coup, le tout était plus chaud, logique, je devais faire 10 degrés de moins qu’eux a vue de nez. Ah merde, moi et ma concentration légendaire ! Attendez, c’est quoi la suite, mélanger ? En tout cas c’est ce qu’il font, attendez, la fille elle a rajouté un truc, mince, j’ai pas vu j’étais concentrée sur autre chose. La récompense était en train de s’envoler à vue de nez…
« Attendez, mais que fait notre nouveau participant ? Il a retiré une partie de sa préparation ? Mais pourquoi ? Sait-il ce qu’il fait ?»
J’ai entendu des rires dans l’assistance, mais j’étais trop occupé à improviser pour m’en soucier. D’accord, j’avais commencé en rajoutant un truc à température trop fraîche… Mais si je faisait grimper sa température bien trop haut dans une partie puis que je la reversais, par mon génie de la mathématique, je dirais que les températures devraient s’équilibrer. Sûrement... Peut-être…
« Oh la, tandis que nos 3 participants locaux maîtrisent leur brassage d’une main de maître, il semblerait que Kyo nous ai développés des techniques pour le moins farfelues.»
J’attendis de voir des bulles dans l’autre préparation pour la remettre à l’intérieur du récipient, et… incroyable, cela semblait avoir réellement réchauffé le tout ! Mais maintenant, la préparation avait prit une couleur bizarre. Bon, ben l’essentiel, c’est que ça marchait. Alors, tout en mélangeant en continu, je continuait à faire bouillir une partie que j’enlevais, puis je la remettais, j’ai bien eu le temps de le faire 3 fois avant d’entendre un :
« STOP, fin du brassage pour tout les concurrents, laissez vos présentations ici ou elles seront fermentés et tournés en bière, le jury goûtera à ce moment là et rendra son verdict »
Décidément, j’avais pas de chance, mon mélange était relativement propre, mais avait une couleur beaucoup trop foncée par rapports à ceux des autres. Et merde, et en plus l’entrepôt de fermentation était gardé, je pouvais pas m’infiltrer sans me faire repérer, fait chier ! Et maintenant, c’était le nain barman qui allait rafler la récompense. J’ai passé le reste de la nuit seul, dans la rue parce que j’avais pas une thune en plus. Le résultat aurait lieu le lendemain, je savais d’avance que j’avais perdu, mais je devais m’y présenter, par honneur. Le jury était là, goûtant chacune des préparations à l’aveugle, pour être totalement impartial. Quand vint le tour de la mienne, je fût prit d’une soudaine crise de panique. Et leur tête quand ils goûtèrent, après les 3 excellentes bières qu’ils avaient goûter, ils devaient penser à une tentative de meurtre pour saboter le concours. Le premier juge retira son bandeau et hurla :
« Qui a créé cette… cette… MERVEILLE ! »
Quoi ? Une merveille ? J’avais bien entendu ?
« Euh, c’est moi ! »
« Monsieur, je ne sais pas comment vous avait fait, mais vous avez réussi à accentuer le côté malté de cette bière à un point ou sa finesse s’exprime parfaitement, quel était votre méthode ? »
Sans déconner ? Tout ceux qui goûtaient à ma préparation affichaient la même expression que cet homme, il fallait que j’essaie. A l’instant ou je portait ma mixture dans ma bouche, je le sentit aussi. Mais, mais, mais oui, elle était trop bonne cette bière !!! Mais comment j’avais fait !?
« Alors là, très sincèrement monsieur le juge, j’en ai aucune idée, ça vous va si je vous dit que j’ai mal réglé mon feu ? »
Ouais, encore une fois, beaucoup trop honnête…
« Oh, vous voulez garder vos secrets, je comprends, mais ce n’est pas grave, car nous avons bel et bien notre grand vainqueur !!!! »
J’avais gagné, et à l’honnête en plus. Ce n’est que plus tard que j’ai découvert que j’avais utilisé une réelle méthode de brassage, apparemment, cela s’appelait le «brassage par décoction». Ouais c’est un nom qui sonnait bien, je trouve aussi.
En tout cas « OUAIIIIIS, J’ai gagnééééé !! Prends ça dans ta face le nain !!! Gyéhéhéhéhé ! »
Et c’est sur ses sages paroles que j’ai achevé le concours de brasserie de Manshon.
Informations IRL
• Prénom : Lucas
• Age : 21
• Aime : Le basket, les animés, et la bouffe
• N'aime pas : les lunettes 3D au cinéma et ma coupe de cheveux, pas grand-chose d'autre
• Personnage préféré de One Piece : Le véritable maître de tous, Ivankov
• Caractère : Quelques mots ? ALors je dirais : prout, j'ai faim et j'aime bien l'humour
• Fait du RP depuis : 6 mois (en gros)
• Disponibilité approximative : A peu près tout le temps
• Comment avez-vous connu le forum ? Un peu au pif il faut le dire
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Kyobashi Shubaki le Ven 8 Juin 2018 - 21:38, édité 5 fois