Ah, la plage de Cocoyashi. Merveilleuse cette plage!Un lieu paradisiaque bourré de... ben d'eau et de sable chaud, devines. Ce genre d'endroit où on passe ses journées de vacances, loin de ces tirants en haut de la hiérarchie. Additionnez cette belle plage un soleil radieux et réconfortant. Il n'y a pas à chier. C'est une BELLE journée pour se détendre à la plage. Pioncer sur le sable, nager parmi la poiscaille, ou comme le dirait mon très chère colonel, s'assurer que les autochtones respectent la propreté du lieu... Que... QUOI?!
Cocoyashi, lundi matin. 8:00. Devant le bureau du colonel
Mes très chères collègues me demandaient en gueulant depuis une heure maintenant, de me casser faire la tâche qui m'était attribuée. Bien entendu, j'usais de ma légendaire répartie pour leur dire de bien aller se faire foutre par des écureuils défoncés à la bière. Malgré l'engueulade qui sévissait, le colonel ne daignait pas montrer sa tronche. Préférant laisser ses hommes négocier avec moi, sur cette dispute. Quelle est la cause de cette dispute? Eh bien, comme je le déclarai haut et fort...
-C'est dégueulasse! Je dois aller sur la plage pour demander aux troufions de respecter la propreté de la plage?! C'est pas un taff pour moi ça! Pourquoi j'irais pas directement ramasser les déchets pendant qu'on y est?!
-Je crois que ramasser les déchets fera aussi partie de ta mission...
-Mission?! Mais c'est une putain de punition! J'ai rien fait de mal moi!
Les Hommes postés devant l'entré du bureau du colonel étaient habitués à ce genre de crise, ce qui leur avait, au fil du temps, donné une patience tout à fait admirable ainsi qu'une voix qui portait fort loin. Seulement voila, moi ça me les brisait un peu qu'ils passent des heures à me dire de fermer ma gueule et de faire un boulot pourri.
Laissez moi au moins ramener mes amis avec moi que je me fasse pas chier!
Le colonel avait prévu cette réplique et il m'a demandé de te dire, je cite "Ils sont tous en mission, casses toi soldat Ombrien, ou je te mets aux patates pour le mois entier!".
Mais qu'il vienne me le dire en face si je l'emmerde! Il sait pas que je suis la au bout d'une heure?!
La fin de ma phrase fut marquée par l'ouverture de la porte du bureau du colonel. L'entrée massive de chêne grinça en laissant s'échapper la lumière des fenêtres du lieu de travail du patron. Une voix ne tarda pas à se faire entendre...
Soldat Ombrien, ça fait une heure que je vous écoute vous plaindre. J'ai une forte envie de vous savater avant de vous faire dégager mais, vous connaissant, même depuis l'infirmerie vous serez foutu de me faire chier. Vous voulez changer de mission? Aller sur la place tout seul ne vous plait pas? Eh bien certes, voici les documents les d'une nouvelle mission, vous la ferez avec un caporal à en devenir, en fin de formation... Par contre, si vous me cassez de nouveau les couilles, vous êtes virés.
Je ne me fis pas prié, m'emparai des documents que je me mis à lire sur la route, jusqu'à atteindre l'entrée de la base, où était censé m'attendre mon collègue improvisé. Sur le chemin, j'entamai la lecture des documents qui me parurent bien minces. Pour cause de leur petite taille, les documents ne contenaient qu'une seule information. La quelle? Eh bien celle que j'ai dit au futur caporal dès mon arrivé à la porté du jeune homme brun...
-Salut, t'es le mec en formation pour devenir caporal? Eh ben on est bien baisés: on doit assurer la sécurité sur la plage avec les civils et jouer les femmes de ménage... Je veux pas être pessimiste, mais tes débuts en caporal sont pas jouissifs...
Cocoyashi, lundi matin. 8:00. Devant le bureau du colonel
Mes très chères collègues me demandaient en gueulant depuis une heure maintenant, de me casser faire la tâche qui m'était attribuée. Bien entendu, j'usais de ma légendaire répartie pour leur dire de bien aller se faire foutre par des écureuils défoncés à la bière. Malgré l'engueulade qui sévissait, le colonel ne daignait pas montrer sa tronche. Préférant laisser ses hommes négocier avec moi, sur cette dispute. Quelle est la cause de cette dispute? Eh bien, comme je le déclarai haut et fort...
-C'est dégueulasse! Je dois aller sur la plage pour demander aux troufions de respecter la propreté de la plage?! C'est pas un taff pour moi ça! Pourquoi j'irais pas directement ramasser les déchets pendant qu'on y est?!
-Je crois que ramasser les déchets fera aussi partie de ta mission...
-Mission?! Mais c'est une putain de punition! J'ai rien fait de mal moi!
Les Hommes postés devant l'entré du bureau du colonel étaient habitués à ce genre de crise, ce qui leur avait, au fil du temps, donné une patience tout à fait admirable ainsi qu'une voix qui portait fort loin. Seulement voila, moi ça me les brisait un peu qu'ils passent des heures à me dire de fermer ma gueule et de faire un boulot pourri.
Laissez moi au moins ramener mes amis avec moi que je me fasse pas chier!
Le colonel avait prévu cette réplique et il m'a demandé de te dire, je cite "Ils sont tous en mission, casses toi soldat Ombrien, ou je te mets aux patates pour le mois entier!".
Mais qu'il vienne me le dire en face si je l'emmerde! Il sait pas que je suis la au bout d'une heure?!
La fin de ma phrase fut marquée par l'ouverture de la porte du bureau du colonel. L'entrée massive de chêne grinça en laissant s'échapper la lumière des fenêtres du lieu de travail du patron. Une voix ne tarda pas à se faire entendre...
Soldat Ombrien, ça fait une heure que je vous écoute vous plaindre. J'ai une forte envie de vous savater avant de vous faire dégager mais, vous connaissant, même depuis l'infirmerie vous serez foutu de me faire chier. Vous voulez changer de mission? Aller sur la place tout seul ne vous plait pas? Eh bien certes, voici les documents les d'une nouvelle mission, vous la ferez avec un caporal à en devenir, en fin de formation... Par contre, si vous me cassez de nouveau les couilles, vous êtes virés.
Je ne me fis pas prié, m'emparai des documents que je me mis à lire sur la route, jusqu'à atteindre l'entrée de la base, où était censé m'attendre mon collègue improvisé. Sur le chemin, j'entamai la lecture des documents qui me parurent bien minces. Pour cause de leur petite taille, les documents ne contenaient qu'une seule information. La quelle? Eh bien celle que j'ai dit au futur caporal dès mon arrivé à la porté du jeune homme brun...
-Salut, t'es le mec en formation pour devenir caporal? Eh ben on est bien baisés: on doit assurer la sécurité sur la plage avec les civils et jouer les femmes de ménage... Je veux pas être pessimiste, mais tes débuts en caporal sont pas jouissifs...