Monrow Hisako
• Pseudonyme : Coupe au carré.
• Age :25 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Pirate/Cuisinier
• Groupe : Pirate
• Age :25 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier :Pirate/Cuisinier
• Groupe : Pirate
• But :être le meilleur cuisinier au monde/ Devenir Shichibukai
• Équipement : Couteaux de cuisine.
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ?nope
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
• Équipement : Couteaux de cuisine.
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ?nope
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
Description Physique
Tout d’abord commençons par l’aspect général. Je mesure 1m89 pour environ 80kg. Ce qui place mon IMC dans la catégorie normale. Ma musculature me permets d’avoir des muscles assez long ce qui fait que je ne suis pas spécialement fort mais surtout rapide. Concernant ma force disons qu’elle se trouve dans la normale. Assez suffisante pour pouvoir me défendre et attaquer en cas de besoin.
Dans le détail vous pourrez apercevoir ma coupe blonde au carré. Celui-ci s’arrête juste au dessus de mes yeux et recouvre mes sourcils noirs. J’ai deux oreilles comme tout le monde, des yeux bleus azur et des un nez assez fin. Ma bouche est quand à elle normale sauf lorsque je souris, en effet celle-ci dévoile une dentition généreuse d’un blanc éclatant et un piercing sur la langue. Pour ce qui est des abdominaux ils ne sont pas vraiment apparent, et mes mains ont des doigts assez fin ce qui permet de manipuler avec précision les aliments que je cuisine. Pour ce qui est de mes habits je porte souvent une chemise blanche, une cravate orange et une sorte de béret/casquette de couleur verte. Le bas est composé d’une ceinture orange de la même couleur que la cravate et d’un pantalon noir. Les chaussures sont noires aussi.
Une petite particularité est que lorsque je souris on ne voit presque plus mes yeux et quand je rigole je place ma main derrière la tête. C’est assez courant pour moi de sourire et de rire. Je ne suis pas défaitiste vous le verrez dans ma psychologie. J’aime beaucoup amuser la galerie et les multiples grimaces faciales que je peux faire pourront en attester.
Dans le détail vous pourrez apercevoir ma coupe blonde au carré. Celui-ci s’arrête juste au dessus de mes yeux et recouvre mes sourcils noirs. J’ai deux oreilles comme tout le monde, des yeux bleus azur et des un nez assez fin. Ma bouche est quand à elle normale sauf lorsque je souris, en effet celle-ci dévoile une dentition généreuse d’un blanc éclatant et un piercing sur la langue. Pour ce qui est des abdominaux ils ne sont pas vraiment apparent, et mes mains ont des doigts assez fin ce qui permet de manipuler avec précision les aliments que je cuisine. Pour ce qui est de mes habits je porte souvent une chemise blanche, une cravate orange et une sorte de béret/casquette de couleur verte. Le bas est composé d’une ceinture orange de la même couleur que la cravate et d’un pantalon noir. Les chaussures sont noires aussi.
Une petite particularité est que lorsque je souris on ne voit presque plus mes yeux et quand je rigole je place ma main derrière la tête. C’est assez courant pour moi de sourire et de rire. Je ne suis pas défaitiste vous le verrez dans ma psychologie. J’aime beaucoup amuser la galerie et les multiples grimaces faciales que je peux faire pourront en attester.
Description Psychologique
Passons en mental bien que j’air l’air simple se cache en moi une personnalité assez complexe et des rêves plein la tête.
Je suis d’une nature calme et patiente. Bien sûr j’ai des limites mais il en faut beaucoup pour les atteindre. Lorsqu’une situation critique et tendue apparait je suis plutôt de nature à agir avec calme et à réfléchir avec ma tête plutôt qu’avec les poings. Il faut beaucoup de sang-froid pour ne pas rajouter de l’huile sur le feu comme on dit mais c’est aussi la clé du succès. J’ai tendance aussi dans ce genre de situations à faire un brin d’humour pour détendre l’atmosphère et faire en sorte de calmer les tensions et les esprits chauds comme la braise. De plus mon tempérament vient aussi du fait que je sois cuisinier, en tant que telle nous ne devons pas crouler sous la pression des commandes qui affluent.
Pour ce qui est du combat je ne reculerai jamais face à l’adversaire quitte à mourir surtout si mes compagnons seront attaqués. Je ne me prétends pas le plus fort de tous bien loin de là je veux juste pouvoir défendre ceux qui me tiens à cœur et surtout pouvoir poursuivre mon rêve.
Des défauts effectivement j’en ai perfectionniste dans l’âme j’essaye à ce que mes plats soit parfaits pour contenter les papilles des autres. J’ai horreur qu’un plat soit moyen ou pas mal, je veux juste qu’ils soient excellents. Ca ne m’empêchera pas de servir en cas de problème mais ca me donnerais un coup dans mon égo. De même en autre défaut important est que quand je m’énerve je n’ai plus de limites. Peu importe la pitié ou quoi que ce soit je ne ressens plus que de la haine et je ferais tout pour détruire la source de ce problème.
Biographie
Kage Berg vous connaissez cet endroit ? C’est de là où je viens du moins là où je suis né. Une petite île agréable couverte de pleine et de vaches. Le village où je vis compte 16 000 habitants ce qui la classe dans une petite bourgade. Parmi les vaches et les moutons on trouve tous les hommes qui passent leur temps à traite les vaches, tondre les moutons et fabriquer les aliments et manteaux dont les autres se vêtisse. C’est parmi cela que j’ai grandi. Mes parents s’aiment à la folie et vivent d’un troupeau de vaches qu’ils ont acheté. Bien sûr nous ne sommes pas riches pour autant mais nous vivons modestement. Je n’ai jamais eu à me plaindre de cela. Mon enfance fut des plus paisible mon père m’appris à cuisiner, m’occuper des vaches, faire aussi les taches ménagères. Ma mère l’aidait aussi dans son quotidien mais jamais nous n’avions manqué d’argent. Je grandissais petit à petit et mes parents travaillent toujours. Ca me fascinais de voir à quel point ils étaient dévoué dans leurs travails. Pour ma part Je regardais mon père et ma mère cuisiner quand venait l’heure du repas. Je trouvais cela fascinant et l’odeur qui envahissait l’espace me faisait saliver. Je voulais tout gouter d’aussi loin que je me souvienne.
Plus je grandissais plus les saveurs devenaient « fade ». Je goutais souvent les même choses et trouver des nouvelles idées et des saveurs différentes n’étaient pas choses aise dans cette ville. En effet comme celle-ci ne comptait que quelques habitants les commerces n’étaient pas forcément développer mis à part tout ce qui avait attrait au fromage et à la laine. C’était souvent lors de la foire aux vaches qu’on rencontrait beaucoup plus de monde qui étaient là pour découvrir les vaches, les croisements etc. Et c’était là ou parfois quelques vendeurs faisaient leurs apparitions. Ils en profitaient pour nous revendre des épices etc.…c’est de là ou je commençais à développer un différents panel de saveurs. Mais lorsque j’écoutais les conversations qui se faisaient, j’ai vite compris que le monde était plus vaste, et du coup mon intérêt profond pour la cuisine germait dans mon esprit et mon cœur.
C’est quand j’eu l’âge de 12 ans que je demandais au cuisinier du restaurant de l’île s’il pouvait me former à devenir chef. C’était un pirate lui aussi assez bedonnant mais qui avait parcouru les océans. Il connaissait les différentes saveurs que je ne connaissais pas et pouvais m’enseigner. J’eu l’autorisation de rejoindre son équipe en tant que commis au départ. Il était fort le bougre pour me passer des savons quand une assiette était cassée ou alors quand quelque chose était mal lavé. J’avais eu le soutien de mes parents qui m’encourageait à poursuivre la voie de la cuisine. J’avais quelques talents mais j’étais trop modeste pour le faire reconnaitre.
Après plusieurs années passé aux cotés du chef, j’étais parvenus à me hisser en tant que second de cuisine. C’est vers l’âge de 20 ans à peu près que le sentiment de devoir devenir pirate pour sillonner les mers et connaitre toutes les saveurs du monde se faisait sentir. Ses histoire m’avait envie de donner de poursuivre cette voie. Qu’importe si je prenais les pires dangers et si j’étais recherché par le gouvernement, ce que je voulais c’était de connaitre toutes les saveurs du monde. Je voulais créer un plat tellement unique que tous le monde se l’arracherait et pour ca j’avais besoin de prendre le large de devenir pirate. Pourquoi pirate car je voulais ma dose d’aventure aussi et prouver que je ne suis pas un faible. C’est alors que je mis en quête d’un équipage.
Plus je grandissais plus les saveurs devenaient « fade ». Je goutais souvent les même choses et trouver des nouvelles idées et des saveurs différentes n’étaient pas choses aise dans cette ville. En effet comme celle-ci ne comptait que quelques habitants les commerces n’étaient pas forcément développer mis à part tout ce qui avait attrait au fromage et à la laine. C’était souvent lors de la foire aux vaches qu’on rencontrait beaucoup plus de monde qui étaient là pour découvrir les vaches, les croisements etc. Et c’était là ou parfois quelques vendeurs faisaient leurs apparitions. Ils en profitaient pour nous revendre des épices etc.…c’est de là ou je commençais à développer un différents panel de saveurs. Mais lorsque j’écoutais les conversations qui se faisaient, j’ai vite compris que le monde était plus vaste, et du coup mon intérêt profond pour la cuisine germait dans mon esprit et mon cœur.
C’est quand j’eu l’âge de 12 ans que je demandais au cuisinier du restaurant de l’île s’il pouvait me former à devenir chef. C’était un pirate lui aussi assez bedonnant mais qui avait parcouru les océans. Il connaissait les différentes saveurs que je ne connaissais pas et pouvais m’enseigner. J’eu l’autorisation de rejoindre son équipe en tant que commis au départ. Il était fort le bougre pour me passer des savons quand une assiette était cassée ou alors quand quelque chose était mal lavé. J’avais eu le soutien de mes parents qui m’encourageait à poursuivre la voie de la cuisine. J’avais quelques talents mais j’étais trop modeste pour le faire reconnaitre.
Après plusieurs années passé aux cotés du chef, j’étais parvenus à me hisser en tant que second de cuisine. C’est vers l’âge de 20 ans à peu près que le sentiment de devoir devenir pirate pour sillonner les mers et connaitre toutes les saveurs du monde se faisait sentir. Ses histoire m’avait envie de donner de poursuivre cette voie. Qu’importe si je prenais les pires dangers et si j’étais recherché par le gouvernement, ce que je voulais c’était de connaitre toutes les saveurs du monde. Je voulais créer un plat tellement unique que tous le monde se l’arracherait et pour ca j’avais besoin de prendre le large de devenir pirate. Pourquoi pirate car je voulais ma dose d’aventure aussi et prouver que je ne suis pas un faible. C’est alors que je mis en quête d’un équipage.
Test RP
Ce jour là rien n’allait plus. Nous étions affamé presque en train de crever tellement la faim tiraillait nos estomacs. Cela faisait plusieurs jours que nous n’avions pas vus d’île et la faim faisait des ravages sur notre corps et nos estomacs. En tant que cuisinier rien n’es plus dur que de voir des matelots souffrir de la faim. Les provisions étaient à sec. Il ne restait que quelques épices et condiments tout au plus, rien pour nourrir un équipage entier. Je voulais être un pirate, c’était mon rêve mais celui-ci commençait à s’écrouler à cause de la famine qui faisait rage sur notre bateau. Il m’arrivait presque à regretter le temps passé sur mon île au restaurant. Nous avions tellement e provision dans ce restaurant que c’en était presque indécent. Certains faisaient mine de ne rien montrer, d’autres quand à eux se tordaient de douleurs tellement la fin serrer leur estomacs. Si à ce rythme là nous ne trouvions pas d’île pour nous réapprovisionner, j’étais sûr que tout l’équipage allait passer. Il restait seulement une seule solution dans ces cas là c’était le cannibalisme. Mais pour en arriver là, il fallait attendre encore quelques jours. Histoire que les autres ne soient pas choquer et qu’on soit sûr de ne pas voir de terre ou pouvoir poser les pieds.
Heureusement de l’eau nous en avions en quantité suffisante. On rationner quand même les réserves mais nous pouvions boirent un minimum. Au moins nous ne mourrions pas déshydrater a cause du soleil plombant notre navires de ses rayons incandescents. C’était ça être pirate ? J’avais été engagée en tant que cuistot sur ce navire mais personne ne m’avait consulté pour faire nos réserves de nourritures. Quand j’étais allé dans le garde mangé je ne pensais pas que nous avions si peu de réserves et je me disais que si nous ne trouvions pas d’île rapidement les ressources commenceraient à s’épuiser. Même les poissons aux alentours se faisaient rares, bien que plusieurs de mes compagnons d’infortunes faire des tentatives désespérer pour en récolter.
Puis quelques jours passèrent et les hommes n’avaient presque plus de forces et tenaient à peine sur leurs jambes. C’est alors que je fus appelé dans la cabine du capitaine pour un entretien avec lui. Que me voulait-il ? Il était rare qu’un de ses subordonnés aie la chance de rentrer dans sa cabine m’annoncerait-il une bonne nouvelle qui pourrait sauver l’équipage ? Je toquai à sa porte et entendit un « Entrez ! », ce que je fis aussitôt. Le capitaine était grand, fort et reconnu pour être assez susceptible. Il était imposant on aurait dit un barbare venu de contrée lointaine. Des mains faites pour détruire et prendre la vie, piller et voler. Il se leva à son tour et je fermais la porte. Lorsque celle-ci fut close il me regarda fixement dans les yeux et me dit :
-C’est simple cuistot je t’ai fait venir car on n’a pas 56 solutions. Soit tu tues les plus faibles et tu les cuisine, soit on crève tous de faim.
Ca y est l’idée était lancée. Un frisson glacial me parcouru le corps et j’essayai de le réprimander pour ne pas montrer mon effroi mais il l’aperçut. Ile ne souriait pas et lui aussi manquait de force tous comme nous tous. Il était bien plus résistant que nous et il pouvait encore se mouvoir à sa guise mais il ne pouvait combattre pour participer à un pillage de cargaison en cas de besoin. Que faire bon sang ? N’y avait-il pas une autre solution ? J’avais beau me triturer l’esprit, je savais que ce moment allait arriver au plus profond de moi et je savais que nous allions devoir en arriver là. Je n’avais encore jamais cuisiné d’humain et cela me rendait presque malade mais y avait-il une autre solution ?
-Ecoute c’est soit ça, soit je ne donne pas cher de notre peau le temps presse et tu ferais mieux de t’activer.
Je saluai le capitaine en clamant « Oui capitaine » et je sortais de sa cabine. Les larmes me montait presque aux yeux car je devais éliminer quelques compagnons pour être sur d’avoir à manger une quantité suffisante pour nous requinquer. Je fonçais droit dans mes cuisines et regardait le peu de choses que j’avais et essayer de composer directement un plat avec ce que j’avais. Il ne serait pas évident de trouver quelque chose mais ce ne serait rien comparer aux meurtres et aux types de viandes que je devais préparer. C’était donc ça la vie de pirates ? Les faibles meurent-ils à chaque fois ? Il fallait que je devienne fort si je voulais approcher le plus de mon but. Je sortis des cuisines et alla à la rencontre de trois compagnons les plus faibles et leurs dit qu’ils y avaient encore deux trois trucs à manger s’ils voulaient en profiter pour avoir de nouveau de l’énergie, mais qu’il fallait qu’ils viennent le soir pour n’éveiller aucun soupçon.
Le soir venus je vis les trois pirates rentrés et je leur sautai dessus avec le peu de force qu’il me restait pour les achever. Ce ne fut pas trop difficile mais le sang aspergea plusieurs fois le sol ainsi que les murs. Etait-ce une délivrance pour eux que de mourir et se sacrifier pour redonner des forces à leurs compagnons ? Je n’en savais rien et le saurait jamais. Des larmes coulaient le longs de mes jouent d’avoir tué mes camardes tandis qu’en même temps je commençais à faire à manger. Je mélangeais tout d’abord du ketchup, moutarde, sauce soja et un peu de miel qu’il restait ensemble. Pour quoi faire ? Une sauce barbecue que je mélangerais avec la chair.
Je prélevais le foie et le cœur pour les découper en tranche afin de les faire revenir dans une poêle pour faire de belles tranches. La viandes sentaient forts mais c’est comme chez les vaches. L’odeur me rappelait les vaches que nous cuisinions. A la fin de la cuisson je rajoutais un peu de sel et du poivre histoire de ne pas assécher la viande lors de la cuisson et que la viande garde sa tendresse. Le seul moyen d’enlever cette image de tuerie et de viande humaine était de la cuisiner comme on cuisinerait de la viande toute simple d’un animal. Je ne pouvais pas faire de miracles malheureusement sans rien d’autres que quelques épices et condiments, mais si cela fonctionnait tous le monde puiseraient des forces dans cette nourriture.
Une fois les cuissons terminait je faisais disparaitre les corps et lava la cuisine ensanglantée dans le peu de force qu’il me restait et le jour commençait à pointer. Je fis sonner la cloche pour prévenir que le repas était prêt. Les autres n’en croyaient pas leurs oreilles. Des larmes de joie coulaient le long de leurs joues et ils dévoraient leurs compagnons. Le but était rempli et je leur avais dit qu’il s’agissait de viande animale. Le capitaine me fit un sourire tandis qu’il mangeait une part de foie. Pour ce qui étaient de la disparition des trois autre camarades le capitaine leur avait dit qu’ils les avaient envoyé en mission pour trouver de la nourriture et qu’ils ne reviendraient probablement pas vu leur état.
C’est ainsi que j’ai pu sauver la vie de mes camarades et que j’étais devenu un vrai pirate sans cœur.
Heureusement de l’eau nous en avions en quantité suffisante. On rationner quand même les réserves mais nous pouvions boirent un minimum. Au moins nous ne mourrions pas déshydrater a cause du soleil plombant notre navires de ses rayons incandescents. C’était ça être pirate ? J’avais été engagée en tant que cuistot sur ce navire mais personne ne m’avait consulté pour faire nos réserves de nourritures. Quand j’étais allé dans le garde mangé je ne pensais pas que nous avions si peu de réserves et je me disais que si nous ne trouvions pas d’île rapidement les ressources commenceraient à s’épuiser. Même les poissons aux alentours se faisaient rares, bien que plusieurs de mes compagnons d’infortunes faire des tentatives désespérer pour en récolter.
Puis quelques jours passèrent et les hommes n’avaient presque plus de forces et tenaient à peine sur leurs jambes. C’est alors que je fus appelé dans la cabine du capitaine pour un entretien avec lui. Que me voulait-il ? Il était rare qu’un de ses subordonnés aie la chance de rentrer dans sa cabine m’annoncerait-il une bonne nouvelle qui pourrait sauver l’équipage ? Je toquai à sa porte et entendit un « Entrez ! », ce que je fis aussitôt. Le capitaine était grand, fort et reconnu pour être assez susceptible. Il était imposant on aurait dit un barbare venu de contrée lointaine. Des mains faites pour détruire et prendre la vie, piller et voler. Il se leva à son tour et je fermais la porte. Lorsque celle-ci fut close il me regarda fixement dans les yeux et me dit :
-C’est simple cuistot je t’ai fait venir car on n’a pas 56 solutions. Soit tu tues les plus faibles et tu les cuisine, soit on crève tous de faim.
Ca y est l’idée était lancée. Un frisson glacial me parcouru le corps et j’essayai de le réprimander pour ne pas montrer mon effroi mais il l’aperçut. Ile ne souriait pas et lui aussi manquait de force tous comme nous tous. Il était bien plus résistant que nous et il pouvait encore se mouvoir à sa guise mais il ne pouvait combattre pour participer à un pillage de cargaison en cas de besoin. Que faire bon sang ? N’y avait-il pas une autre solution ? J’avais beau me triturer l’esprit, je savais que ce moment allait arriver au plus profond de moi et je savais que nous allions devoir en arriver là. Je n’avais encore jamais cuisiné d’humain et cela me rendait presque malade mais y avait-il une autre solution ?
-Ecoute c’est soit ça, soit je ne donne pas cher de notre peau le temps presse et tu ferais mieux de t’activer.
Je saluai le capitaine en clamant « Oui capitaine » et je sortais de sa cabine. Les larmes me montait presque aux yeux car je devais éliminer quelques compagnons pour être sur d’avoir à manger une quantité suffisante pour nous requinquer. Je fonçais droit dans mes cuisines et regardait le peu de choses que j’avais et essayer de composer directement un plat avec ce que j’avais. Il ne serait pas évident de trouver quelque chose mais ce ne serait rien comparer aux meurtres et aux types de viandes que je devais préparer. C’était donc ça la vie de pirates ? Les faibles meurent-ils à chaque fois ? Il fallait que je devienne fort si je voulais approcher le plus de mon but. Je sortis des cuisines et alla à la rencontre de trois compagnons les plus faibles et leurs dit qu’ils y avaient encore deux trois trucs à manger s’ils voulaient en profiter pour avoir de nouveau de l’énergie, mais qu’il fallait qu’ils viennent le soir pour n’éveiller aucun soupçon.
Le soir venus je vis les trois pirates rentrés et je leur sautai dessus avec le peu de force qu’il me restait pour les achever. Ce ne fut pas trop difficile mais le sang aspergea plusieurs fois le sol ainsi que les murs. Etait-ce une délivrance pour eux que de mourir et se sacrifier pour redonner des forces à leurs compagnons ? Je n’en savais rien et le saurait jamais. Des larmes coulaient le longs de mes jouent d’avoir tué mes camardes tandis qu’en même temps je commençais à faire à manger. Je mélangeais tout d’abord du ketchup, moutarde, sauce soja et un peu de miel qu’il restait ensemble. Pour quoi faire ? Une sauce barbecue que je mélangerais avec la chair.
Je prélevais le foie et le cœur pour les découper en tranche afin de les faire revenir dans une poêle pour faire de belles tranches. La viandes sentaient forts mais c’est comme chez les vaches. L’odeur me rappelait les vaches que nous cuisinions. A la fin de la cuisson je rajoutais un peu de sel et du poivre histoire de ne pas assécher la viande lors de la cuisson et que la viande garde sa tendresse. Le seul moyen d’enlever cette image de tuerie et de viande humaine était de la cuisiner comme on cuisinerait de la viande toute simple d’un animal. Je ne pouvais pas faire de miracles malheureusement sans rien d’autres que quelques épices et condiments, mais si cela fonctionnait tous le monde puiseraient des forces dans cette nourriture.
Une fois les cuissons terminait je faisais disparaitre les corps et lava la cuisine ensanglantée dans le peu de force qu’il me restait et le jour commençait à pointer. Je fis sonner la cloche pour prévenir que le repas était prêt. Les autres n’en croyaient pas leurs oreilles. Des larmes de joie coulaient le long de leurs joues et ils dévoraient leurs compagnons. Le but était rempli et je leur avais dit qu’il s’agissait de viande animale. Le capitaine me fit un sourire tandis qu’il mangeait une part de foie. Pour ce qui étaient de la disparition des trois autre camarades le capitaine leur avait dit qu’ils les avaient envoyé en mission pour trouver de la nourriture et qu’ils ne reviendraient probablement pas vu leur état.
C’est ainsi que j’ai pu sauver la vie de mes camarades et que j’étais devenu un vrai pirate sans cœur.
Informations IRL
• Prénom : Alexandre
• Age :28
• Aime :One piece, Bleach, Manger, Piscine
• N'aime pas :Les haricots verts
• Personnage préféré de One Piece :
• Caractère : Pitre/impulsif parfois/Aime faire à manger
• Fait du RP depuis : 4 ans
• Disponibilité approximative : Plusieurs fois par semaine 3/4 jours je pense
• Comment avez-vous connu le forum ?Google et root-top
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Monrow Hisako le Mer 11 Juil 2018 - 14:19, édité 4 fois