Ce matin la j'avais décidé de venir sur cette île de North blue pour pouvoir goûter à des saveurs qui peut être étaient originale. J'avais décider de rentrer dans une taverne assez typique pour goûter le meilleur plat qu'ils pouvaient me donner en échange de quelques berrys. Mais pour ça il fallait en trouver. Je regardais dans mes poches et me souvenait que que je voulais garder mes quelques économies que je m'étais faites. Je pris la direction des rues afin de voir qu'elle cible était probablement la mieux garnies en termes d'argent pour tout dérober. Je vis un Mr assez imposant, bedonnant, avec une grosse moustache noire épaisse et un chapeau melon. Il arboré un monocle sur son œil gauche et était seul. A en juger par sa posture, sa façon de marcher et ses vêtements il ne pouvait pas être de la classe pauvre ou moyenne.
Je me dirigeais vers lui et le heurta afin de pouvoir le détrousser de ses biens. Je m'excusant platement en me courant devant lui, son portefeuille en poche et m'en alla joyeusement pour voir combien j'avais ou hériter. J'ouvris le bien voler et garda les liquidités. Les reste je le jeta dans une poubelle et m'amusa de cette situation tantôt pauvre, tantôt riche. J'entrais dans le bar et décida de prendre des travers de porcs. Ce met délicieux n'a rien d'exceptionnelle mais tout réside dans la sauce qui l'accompagne et c'était précisément cette sauce que je voulais goûter afin de voir une possible excitation de mes papilles gustatives. Le plat arriva quelques minutes plus tard fumant, accompagné de frites et de salade vertes. Basique en terme visuel mais tout était une question de saveur et de goût. Je prenais un peu de sauce et sentait les différents arômes qui touchait des parties de mes papilles gustatives. Rien de bien folichon mais le plat était bon et pouvait retaper un homme mal-en-point.
Je sortais du bar lorsque le gros monsieur se tenait la face à moi avec un autre type. Pas très balaise, mais d'après ce que je comprenais dans leur charabia il m'en voulait de l'avoir dépouiller. Le gars qui accompagner le gros monsieur me fonça déçu et je me pris un violent coup de poing en plein visage. Ma tête parti en arrière et je ressentait des picotements. Je manquait de tomber mais je me remis sur pied. Apparement il 'était pas armé mais moi oui et je pouvais le tuer. Néanmoins je refusait de faire ça car trop dangereux mais le type ne comptait pas en rester là.
-écoute jeune homme soit tu me rend l' argent et mon portefeuille, soit je dis à ce gars de te tuer.
-Désolé monsieur mais cet argent n'existe plus il m'a servi à prendre un bon repas.
Ni une ni deux je me repris un coup de poing. Celui ci diriger dans l'estomac me fit bien plus mal et les coups pleuvaient non stop. Je croyais que j'allais y passer. Du sang coulait de mon nez, mon arcade était fendue et ma lèvre saignait fortement. Il fallait que je réagisse si je voulais pas rester sans vie agonisant sur le trottoir. Je me redressais et avant de me prendre un coup je planta un de mes couteau de cuisine en plein dans l'estomac de mon agresseur. Il allait y rester malheureusement il se viderait de son sang et mourra quelques instant plus tard.
Sans demander mon reste je pris la fuite car cet acte n'en resterait pas la j'allais. M'attirer de gros ennuis et il 'e fallait pas traîner dans les parages. C' est alors que je décidais de couper parmis toute les ruelles. Malheureusement un marine me barrait la route et sentait sur cette histoire n'allait pas être de tout repos
.Je me dirigeais vers lui et le heurta afin de pouvoir le détrousser de ses biens. Je m'excusant platement en me courant devant lui, son portefeuille en poche et m'en alla joyeusement pour voir combien j'avais ou hériter. J'ouvris le bien voler et garda les liquidités. Les reste je le jeta dans une poubelle et m'amusa de cette situation tantôt pauvre, tantôt riche. J'entrais dans le bar et décida de prendre des travers de porcs. Ce met délicieux n'a rien d'exceptionnelle mais tout réside dans la sauce qui l'accompagne et c'était précisément cette sauce que je voulais goûter afin de voir une possible excitation de mes papilles gustatives. Le plat arriva quelques minutes plus tard fumant, accompagné de frites et de salade vertes. Basique en terme visuel mais tout était une question de saveur et de goût. Je prenais un peu de sauce et sentait les différents arômes qui touchait des parties de mes papilles gustatives. Rien de bien folichon mais le plat était bon et pouvait retaper un homme mal-en-point.
Je sortais du bar lorsque le gros monsieur se tenait la face à moi avec un autre type. Pas très balaise, mais d'après ce que je comprenais dans leur charabia il m'en voulait de l'avoir dépouiller. Le gars qui accompagner le gros monsieur me fonça déçu et je me pris un violent coup de poing en plein visage. Ma tête parti en arrière et je ressentait des picotements. Je manquait de tomber mais je me remis sur pied. Apparement il 'était pas armé mais moi oui et je pouvais le tuer. Néanmoins je refusait de faire ça car trop dangereux mais le type ne comptait pas en rester là.
-écoute jeune homme soit tu me rend l' argent et mon portefeuille, soit je dis à ce gars de te tuer.
-Désolé monsieur mais cet argent n'existe plus il m'a servi à prendre un bon repas.
Ni une ni deux je me repris un coup de poing. Celui ci diriger dans l'estomac me fit bien plus mal et les coups pleuvaient non stop. Je croyais que j'allais y passer. Du sang coulait de mon nez, mon arcade était fendue et ma lèvre saignait fortement. Il fallait que je réagisse si je voulais pas rester sans vie agonisant sur le trottoir. Je me redressais et avant de me prendre un coup je planta un de mes couteau de cuisine en plein dans l'estomac de mon agresseur. Il allait y rester malheureusement il se viderait de son sang et mourra quelques instant plus tard.
Sans demander mon reste je pris la fuite car cet acte n'en resterait pas la j'allais. M'attirer de gros ennuis et il 'e fallait pas traîner dans les parages. C' est alors que je décidais de couper parmis toute les ruelles. Malheureusement un marine me barrait la route et sentait sur cette histoire n'allait pas être de tout repos