de la ROCQUE Palethan
• Pseudonyme : Liquidateur de Baston
• Age : 38
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Vendeur de chaussures à l'origine, appelé comme soldat pour servir le Royaume de Pariss. Désormais renégat enrôlé dans la marine du GM.
• Groupe : Marine
• Age : 38
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Vendeur de chaussures à l'origine, appelé comme soldat pour servir le Royaume de Pariss. Désormais renégat enrôlé dans la marine du GM.
• Groupe : Marine
• But : Purger Parisse de sa gangrène révolutionnaire
• Équipement : Une canne acéré en acier
• Parrain : Le nom du membre qui vous a fait découvrir le forum, le cas échéant.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Reroll (de Rastignac)
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myo
Codes du règlement :
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Description Physique
A votre première rencontre avec lui, votre premier avis serait que cet homme, a déjà vu l'enfer ou l'a déjà parcouru. Ce n'est pas tout à fait exact mais l'idée est là. C'est bien la grande silhouette d'un homme brisé par les vicissitudes de la guerre qui se présente devant vous. Ses cheveux grisonnants sont bien précoce pour son âge. Les cernes qui ornent ses yeux sont immuables et vous montre une sorte de fatigue naturelle, c'est un homme las et rigide qui martèle le sol d'un pas claudiquant. Sa jambe il l'a traîne avec puissance mais l'on sent bien que la démarche a perdu de sa flexibilité d'origine. Le regard terne et bouche figée lui donne un air mi patibulaire mi dépressif. Il n'a jamais vraiment prit soin de lui depuis quelques années, un coup de rasoir parfois, pour redonner à sa barbe de trois jours, une hirsute fraîcheur. Assez sec, l'homme ne pèse guère lourd et son allure, dos un légèrement voûté lui octroie le bénéfice de paraître 10 à 20 ans de plus. Ses mains sèches et dures, blindées par de la corne, ne lui laisse pas l'occasion d'être doux dans la caresse. Sa voix éraillée par l'alcool vous fait croire à une ancienne carrière de contrebandier mais sa prestance militaire vous trouble. On lui donne un air de vieux baroudeur, d'autoritaire et mélancolique, le tout est bien vrai. Il a ce petit truc qui fait qu'on aimerait, dans la mesure du possible, éviter de le croiser dans une rue la nuit. Sans pour autant être effrayant, il n'inspire pas la joie de vivre...
Description Psychologique
Si d'extérieur le bonhomme semble brisé, de l'intérieur ce n'est pas beaucoup mieux. On peut même, sans euphémisme, dire qu'il est ravagé. Ravagé par la haine, la lassitude, la vengeance... Ce n'est pas très jouasse mais il n'a pas toujours était aussi déglingué. Sa mentalité a évolué au grès de ses péripéties et il n'y a rien d'anormal à cela. Homme bon et loyal, il se comportait il y a encore peu de manière très civique. Il a toujours eu comme credo de ne pas faire subir à autrui ce qu'il n'aimerait pas qu'on lui fasse. Il fut donc un honnête homme et un bon concitoyen. Sa conduite, sans aller jusqu'à dire parfaite, n'inspirait que bienveillance et sympathie à ses fréquentations. Cette fracture mentale qui l'a désormais transformé en un impitoyable salopard, s'est produite en plusieurs étapes. La première fut la peur de sortir de sa zone de confort, de devoir lutter contre quelque chose de violent. La seconde fut une déchirure psychologique répondant à une blessure physique. S'ensuit l'engrenage de la loi du Talion qui dans une succession de ripostes, augmenta ce besoin de réciprocité morbide. La troisième étape de sa modification de sa personnalité et de sa perception de l'être humain fut une cuisante défaite. Défaite qu'il tenta vainement de nier, se voilant la face et jurant de changer la donne. C'est ainsi que d'un homme bon et simple on en arrive à la limite de l'humanité car comme dit le philosophe:
"j'ose tout ce qui sied à un homme qui n'ose plus n'en est pas un"
"j'ose tout ce qui sied à un homme qui n'ose plus n'en est pas un"
Biographie
Originaire de Parisse, Palethan est issue d'une ancienne lignée de noble qui trouva la fortune en élevant des veaux-marins mais cela c'était il y a fort longtemps. Tout ce qu'a reçu Palethan de cet héritage, c'est une particule devant son nom, point. Il trouva une fille à son goût et depuis sa modeste boutique, il œuvra à fonder une famille dans une prospérité toute relative. On pourrait le classer dans les classes moyennes. Il bossait avec passion à chausser tout son quartier sans s'esquinter à la tâche. Bon vivant, il n'avait qu'une fierté que personne ne pouvait lui contester; celle d'avoir la plus belle paire de chaussures de Parisse. Apprécié de son entourage, l'homme vivait en harmonie avec son monde, n'abusant pas de sa notoriété pour gonfler ses prix. Dans son établissement, riches comme modestes venaient se chausser.
L'histoire bascula il y a quelques temps quand des troubles secouèrent la ville. Profondément attaché au respect d'autrui et au civisme, il ne voyait pas d'un bon œil les fauteurs de troubles. Plus la situation empirait, plus son regard sur eux se durcissaient. Les affaires tournaient moins et le climat social ambiant n'allait pas en s'arrangeant. Quand les émeutes éclatèrent, il tenta avec d'autres modérés, d'aller trouver les responsables des grèves et émeutes. Il connaissait son monde sans pour autant avoir le charisme de pouvoir l'influencer. Leurs appels au calme ne trouvèrent pas d'oreilles à ces révolutionnaires. La haine viscérale qui montait dans les bas fonds, il ne la comprenait pas, sans forcément la juger, il trouvait que c'était disproportionné.
A tel point que quand l'ordre de mobilisation générale pour l'armée lui parvint, il se rangea du côté des loyalistes. Affecté à un bataillon de maintien de l'ordre, il patrouillait avec d'autres à la recherche d'anarchiste. Sans haine envers eux, il pensait que cette forte présence militaire suffirait à calmer les ardeurs et étoufferait ce mouvement contestataire. Il était à la tête d'une patrouille un soir lorsqu'il tomba en embuscade. Ce soir là, ce n'était plus des coups de poings, des pavés ou battons qui tombèrent sur eux mais des lames et pistolets. La patrouille, bien que lourdement équipé, fut étrillée et il manqua pas grand chose pour que Palethan y laissa la vie. Blessé à différents endroits, il passa quelques semaines en convalescence. Ce n'était plus le même, il était perdu, il ne comprenait pas ce déferlement de violence aveugle. A rester dans un lit, avec seulement quelques visites de sa famille, à tergiverser, ça n'aide pas. Quand on lui proposa d'être démobilisé il refusa et ne pouvant plus prétendre à un poste sur le terrain, on l'affecta à la prison de Baston. La grande forteresse où on enfermait tout ce que le royaume comptait de vermines et autres criminels. Il devait y avoir aussi des opposants politiques, des grévistes et autres anarchistes dans le lot.
Profitant de sa supériorité, il bascula peu à peu, perdant le côté bon vivant au profit du statut de pire tortionnaire de la prison. Il monta rapidement en grade car on manquait de place dans l'imposant édifice et Palethan était du genre expéditif. Trouvant des solutions à des problèmes de logistique... Bien entendu sa boutique était fermée depuis belles lurettes mais il conservait sa fierté d'avoir les chaussures toujours impeccables. Son avidité à servir la cause de l'ordre le poussa à co-fonder, avec d'autres loyalistes, un cercle un peu spécial qui sur leur temps libre, se donnait à quelques descentes dans les quartiers populaires. On trouva quelques révolutionnaires noyés aux petits matins dans Parisse.
Condamné à mort par la révolution, l'homme entra dans l'histoire du royaume par un acte effroyable et inhumain. Malgré toute son implication, la Révolution gagnait du terrain et désormais ce n'était plus qu'une question d'heure pour que le pouvoir cède. Une peur profonde s'empara de lui, à tel point qu'il commis l'impensable. Il avait reçu l'ordre d'évacué la prison avec les autres loyalistes pour fuir sur un navire affrété par le Gouvernement Mondial. Mais avant de partir, alors que la prise de la Baston était en cours et que les Révolutionnaires étaient à deux doigts d'envahir l'édifice et libérer leurs hommes, Palethan incendia la vieille forteresse. Le feu se répandit grâce à la vielle charpente de la forteresse, carbonisant tous les occupants. Il était inconcevable à ses yeux de voir toutes cette vermine être libérée et lâchée dans les rues de Parisse. Il n'y avait alors, à ses yeux, plus d'autres alternatives...
Après ce geste fou et désespéré il se hâta de gagner les docks et le navire du GM pour fuir l'île en jurant de revenir rétablir l'ordre sur son île. Il s'engagea alors dans la marine du GM pour éradiquer les troubles révolutionnaires, pour patienter, et quand l'heure sonnera... Parisse redeviendra Parisse.
L'histoire bascula il y a quelques temps quand des troubles secouèrent la ville. Profondément attaché au respect d'autrui et au civisme, il ne voyait pas d'un bon œil les fauteurs de troubles. Plus la situation empirait, plus son regard sur eux se durcissaient. Les affaires tournaient moins et le climat social ambiant n'allait pas en s'arrangeant. Quand les émeutes éclatèrent, il tenta avec d'autres modérés, d'aller trouver les responsables des grèves et émeutes. Il connaissait son monde sans pour autant avoir le charisme de pouvoir l'influencer. Leurs appels au calme ne trouvèrent pas d'oreilles à ces révolutionnaires. La haine viscérale qui montait dans les bas fonds, il ne la comprenait pas, sans forcément la juger, il trouvait que c'était disproportionné.
A tel point que quand l'ordre de mobilisation générale pour l'armée lui parvint, il se rangea du côté des loyalistes. Affecté à un bataillon de maintien de l'ordre, il patrouillait avec d'autres à la recherche d'anarchiste. Sans haine envers eux, il pensait que cette forte présence militaire suffirait à calmer les ardeurs et étoufferait ce mouvement contestataire. Il était à la tête d'une patrouille un soir lorsqu'il tomba en embuscade. Ce soir là, ce n'était plus des coups de poings, des pavés ou battons qui tombèrent sur eux mais des lames et pistolets. La patrouille, bien que lourdement équipé, fut étrillée et il manqua pas grand chose pour que Palethan y laissa la vie. Blessé à différents endroits, il passa quelques semaines en convalescence. Ce n'était plus le même, il était perdu, il ne comprenait pas ce déferlement de violence aveugle. A rester dans un lit, avec seulement quelques visites de sa famille, à tergiverser, ça n'aide pas. Quand on lui proposa d'être démobilisé il refusa et ne pouvant plus prétendre à un poste sur le terrain, on l'affecta à la prison de Baston. La grande forteresse où on enfermait tout ce que le royaume comptait de vermines et autres criminels. Il devait y avoir aussi des opposants politiques, des grévistes et autres anarchistes dans le lot.
Profitant de sa supériorité, il bascula peu à peu, perdant le côté bon vivant au profit du statut de pire tortionnaire de la prison. Il monta rapidement en grade car on manquait de place dans l'imposant édifice et Palethan était du genre expéditif. Trouvant des solutions à des problèmes de logistique... Bien entendu sa boutique était fermée depuis belles lurettes mais il conservait sa fierté d'avoir les chaussures toujours impeccables. Son avidité à servir la cause de l'ordre le poussa à co-fonder, avec d'autres loyalistes, un cercle un peu spécial qui sur leur temps libre, se donnait à quelques descentes dans les quartiers populaires. On trouva quelques révolutionnaires noyés aux petits matins dans Parisse.
Condamné à mort par la révolution, l'homme entra dans l'histoire du royaume par un acte effroyable et inhumain. Malgré toute son implication, la Révolution gagnait du terrain et désormais ce n'était plus qu'une question d'heure pour que le pouvoir cède. Une peur profonde s'empara de lui, à tel point qu'il commis l'impensable. Il avait reçu l'ordre d'évacué la prison avec les autres loyalistes pour fuir sur un navire affrété par le Gouvernement Mondial. Mais avant de partir, alors que la prise de la Baston était en cours et que les Révolutionnaires étaient à deux doigts d'envahir l'édifice et libérer leurs hommes, Palethan incendia la vieille forteresse. Le feu se répandit grâce à la vielle charpente de la forteresse, carbonisant tous les occupants. Il était inconcevable à ses yeux de voir toutes cette vermine être libérée et lâchée dans les rues de Parisse. Il n'y avait alors, à ses yeux, plus d'autres alternatives...
Après ce geste fou et désespéré il se hâta de gagner les docks et le navire du GM pour fuir l'île en jurant de revenir rétablir l'ordre sur son île. Il s'engagea alors dans la marine du GM pour éradiquer les troubles révolutionnaires, pour patienter, et quand l'heure sonnera... Parisse redeviendra Parisse.
Test RP
Des troupes loyalistes ayant réussi à quitter le royaume de Parisse, tous ou presque se sont enrôlés dans la Marine sur proposition du GM. C'est mon cas et je dois dire que l'intégration ne fut point aisé, beaucoup de choses diffèrent de la vie sur Parisse. Il faut se plier sans arrêt à des consignes inutiles. Sur Parisse je savais pourquoi je portais un uniforme, pourquoi j'allais lutter, ici c'est différent sur Arcadia, ce n'est pas la guerre civile. On passe énormément (trop ?) de temps à satisfaire les caprices d'officiers d’opérettes qui n'ont jamais vu la mort. Mais qu'importe, c'est ainsi et je m'y plie, en rechignant, pour la forme. Dans la division où nous sommes affecté, il y a un bataillon spécial pour nous, le Bataillon Parisse. En plus de notre uniforme réglementaire de la marine, on porte une pucelle arborant notre emblème, ça nous rappelle pourquoi l'on fait cela. On est un peu mal vu dans la division et les autres unités, nous sommes un peu des parias, des mercenaires en uniformes. Peu me chaud, on fait l'turbin quand même et parfois mieux que ces tires-au-flanc.
Cette semaine, comme souvent, nous sommes affecté au contrôle des arrivées à Alsbrough sur Arcadia. L'endroit est agréable et le travail varié. On s'échine à fouiller jusqu'à fond de cale tous navires entrant sur l'île par ce port afin d'y débusquer d'éventuels troubles-faits. On cherche aussi et surtout des gars de Parisse qui tenterait de venir nous chercher querelle dans notre nouveau fief. C'est qu'ils ont la rancune ces types, presque autant que nous. La journée a bien commencé, mais un grain se prépare. A l'heure de la pose déjeuner à la cantoche, la sirène se met à hurler et dans les den-den haut-parleurs on déclenche l'alerte rouge, un révolutionnaire s'est échappé des geôles du sous-sols.
Pendant que tout le monde s'affole dans tous les sens et se met à la recherche de l'individu, j'en profite pour m'asseoir et casser la croûte peinard. Je ne mange pas beaucoup mais mener une chasse à l'homme le ventre vide s'est fortement déplaisant. On sait quand ça commence, jamais quand on s'arrête. Une fois rassasié (c'était pas long) j'me dirige vers le centre de contrôle, rien ne sert de courir partout, faut juste ouvrir les yeux au bon endroit. J'vois que j'dérange dans la salle, tous n'arrête pas de passer d'un den-den vidéo à un autre en espérant repérer le détenu. Y en a un qui est en sueur, il tape du pied frénétiquement, j'lui propose de prendre sa place si il veut aller pisser, il ne se fait pas prier. Une fois la main sur un écran, j'cherche dans l'index le numéro du den-den de la blanchisserie. C'est pas très loin des geôles, parfois on fait laver notre linge par les détenus, j'ai pas vérifié le registre mais ma main à coupé que l"type y est ou y soit déjà passé.
Il ne s'est pas échappé par une brèche sur l'extérieur, il a profite de l’inattention d'un geôlier lors d'un transfert pour disparaître, il est donc encore à l'intérieur, il sait qu'il va être traqué comme les poux sur la tête d'un jeune écolier, il a tout autant intérêt à se faire discret. Il ne semble pas avoir de complice non plus, c'est juste un opportuniste optimiste. J'demande au soldat qui est à côté de moi et qui ne fait que lâcher des jurons en balayant les écrans du regard, de me passer la photo du détenu. Sa tête ne me dit rien mais le fait qu'il appartienne à ces satanés révolutionnaires me donne des haut-le-cœur. Maintenant voyons ou se terre cet enquiquineur. Il n'y a plus personne dans la blanchisserie, j'remonte un peu en arrière, par acquis de conscience, bingo. Il y est passé et a subtilisé un uniforme, ça va être coton de le retrouver maintenant, surtout avec une casque sur la tête.
Ce petit jeu de patience me prend pas mal de temps, j'passe de caméra en caméra à le suivre, il faut remonter le timeur à chaque fois, se caler, ne pas le perdre dans la foule de soldats qui s'agitent en vain. Comme dans le jeu où il faut garder en vue le gobelet où l'on vient de cacher une balle dessous. L'autre soldat souhaite récupérer son moniteur mais j'lui fait comprendre que j'en ai rien à foutre. Il peste, grogne, s'agite et tente de me houspiller, mais j'reste concentré. Il va s'en plaindre à son officier, qui rapplique illico pour savoir ce que je fous là, il beugle, attirant sur lui l'attention entière de la pièce, sauf de ma personne. Je le laisse jacter dans le vide, ça menace de sanctions, etc... Jusqu'à ce qu'il pige ce que j'suis en train de faire, du coup il l'a ferme, à mon soulagement car j'suis à deux doigts de retrouver le détenu, j'ai remonté le temps sur l'écran. J'me lève subrepticement et d'un air peu commode j'demande à l'officier de filer le mec que j'montre du doigt, je l'ai isolé sur l'écran, qu'il me guide par den-den.
C'est d'une démarche claudicante mais soutenue que je me lancer à la poursuite du type. Il a été malin, il a participé aux recherches avec les autres soldats, n'éveillant pas l'attention, en profitant pour améliorer à chaque moment son déguisement militaire. Mais cette fois je l'ai, une dernière prise d'information avec le centre de contrôle et il est à ma portée. Restant au centre de la caserne, il misait sans doute sur une accalmie prochaine pour sortir plus sereinement de la caserne, ce qui n'est pas bête du tout. Une fois dans la même pièce que lui, je le félicite tout en m'approchant de lui. J'pourrais vous donner d'avantage de détails sur sa réaction mais qu'importe car l'instant d'après il a déjà ma canne qui vient de s'abattre sur son épaule, lui défonçant les articulations. Dans un second temps c'est le genou qui prend, juste au cas où qu'il tente de courir à nouveau. Il tente de m'arrêter, il me dit que je me trompe, que c'était un...
Quand l'officier entre dans la pièce accompagné de plusieurs sous-officiers il est déjà trop tard, le fugitif n'est plus en mesure de parler. Je ne l'ai pas tué, juste salement amoché, ça reste du révolutionnaire. J'me fais pourrir comme un chien par l'officier qui demande une assistance médicale d'urgence. J'propose d'économiser du temps à tout le monde et d'en finir. L'officier, les yeux exorbités me hurle dessus que c'était un exercice, qu'il est des nôtres, c'était un test de sûreté...
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Palethan le Mer 25 Juil 2018 - 10:35, édité 12 fois