Robina faisait les cent pas dans sa chambre, elle avait visité plusieurs des établissements qui avaient été présent lors du concours de la rue des Pillouse de Cocoyashi et aucun d'eux n'avaient voulus d'elle malgré son classement. Elle avait eu plusieurs fois la même critique, une femme dans leurs cuisines les dérangeaient déjà mais qu'en plus elle ne soit pas native de l'île et ne connaissait pas certaines épices qu'ils utilisaient ainsi que les connaissances de certaines viandes que les chefs avaient l'habitude d'utiliser dans leurs plats.
Pourtant, notre coq avait fait grande impression rien qu'avec son premier plat, l'hitsumabochi de Sanderr, les chefs avaient été impressionnés par sa technique et le plat en lui-même, mais ça ne leur avait pas suffi. Elle avait eu des éloges pour sa participation cependant le seul travail qu'on lui avait proposé était une place de plongeuse en cuisine avec une possibilité d'apprendre la cuisine locale. Elle referma bien vite la porte qu'on lui avait ouverte.
La frustration d'être parti de son île pour rien sur la première destination qu'elle avait eu, certes elle ne l'avait pas choisis, mais l'espoir était là durant la bataille pour gagner ce combat des chefs. La demoiselle avait fait son maximum pour montrer tous ses talents et bien que les établissements aient été impressionnés ils ne lui avaient pas ouvert leurs portes en grand comme ce qu'elle avait rêvé. Elle frappa dans le pied de son lit et se fit mal au petit orteil, une écharde se ficha dans celui-ci et il fallut cinq minutes à notre cuisinière pour l'enlever.
La seconde fulminait encore depuis son dernier refus, la veille. Il était neuf heures le matin et le réveil avait été rude, elle était tombée de son lit au réveil, s'étant enroulés dans les couvertures, elle avait bataillé pour se défaire de celles-ci, elle avait réussi à s'en extraire, mais en tombant du lit avec encore un morceau de drap accroché à son pied. Après quelques secondes elle s'était assise sur le lit et avait défait les liens qui l'enserraient, même si être attaché par son propre lit n'est pas la plus héroïque des choses.
Après toutes ses péripéties elle descendit prendre son petit-déjeuner, un bol de café tiède avec une tartine de pain. Le beurre était en supplément, ce que la tenancière avait légèrement oublié de dire à notre sans-le-sous. Elle trempa alors sa tartine dans le bol, au moins le café ramollissait le pain qui n'était pas frais cependant de la veille. La patronne était gentille et avait un bon fond néanmoins elle ne connaissait rien au monde du goût et des saveurs et manger dans son restaurant n'était pas une révélation pour celle qui n'avait plus un berry en poche.
Elle partit de l'auberge après avoir fini son repas. La ville était réveillée, les activités se trouvaient partout, les marchés avaient ouvert et proposaient les produits locaux ainsi que de la pêche locale. Elle passa un long moment à trouver un travail, dans la restauration en faisant le tour de chacun des restaurants de la ville.
Désolé j'ai pas de travail pour toi ! Maintenant dégage j'ai du boulot, moi !
Un autre restaurant plus loin dans la rue, un établissement plus petit moins connu et plus excentré, bref une gargote pas vraiment touristique qui ne donnait pas envie de rentrer.
Dégage de là tu devrais rentrer chez toi pour t'occuper des gamins ou faire le ménage !
La frustration montait peu à peu, elle n'avait vraiment pas de chance, ça devait être de famille après tout. En sortant de la deuxième entreprise elle se prit les pieds dans un sac de farine poser devant la porte et tomba sur les pavées et se retrouva sonnée devant l'entrée qu'elle venait de prendre. En se relevant elle mit la main dans une flaque de boue et glissa et se vit de nouveau sur le sol. La colère qui montait peu à peu en elle fit place à la lassitude.
En se relevant le sourire de notre civile avait disparu de son visage, des pensées moins joyeuses se faisaient un chemin dans son esprit, elle pestait contre le monde entier et surtout contre sa malchance qui lui mettait des bâtons dans les roues. La route fut longue avec son côté droit qui la lançait avec la douleur qui irradiait, elle se changea pour ne pas avoir l'air ridicule plus longtemps.
Elle enfila alors une robe bleue en laine fine avec des broderies rouges au niveau du col et blanche aux poignets. Elle retourna alors chercher du travail. La tenancière la héla avant qu'elle ne ressorte.
Eh ! Petite ! Tu sais je suis désolée que tu trouves pas de travail pour l'moment, mais tu sais je vais pas pouvoir te faire la charité. Quand ta semaine sera finie tu devras partir alors j'espère pour toi que tu vas en trouver un assez rapidement peut être même aujourd'hui si ça se trouve ! Bon, je te retiens pas plus longtemps je vois bien que t'as pas l'air dans ton assiette.
Après ces paroles plus que sympathique pour Robina, notre demoiselle partit du bar et se fit bousculer par un passant. C'est un peu plus tard en voulant vérifier si elle avait de quoi se payer une bière qu'elle vit que la personne qui l'avait bousculé lui avait surement volé le peu d'économies qu'elle avait en poche. Pestant contre son voleur elle se résolut à ne pas boire pour se détendre et continuer sans pause sa tâche qu'est la recherche d'un nouveau job.
Après un énième refus de la part d'un des nombreux chefs elle se posa sur un banc et alors que le vent soufflait dans ses longs cheveux bleus clair elle leva les yeux au ciel en se demandant si elle a bien fait de partir de chez elle comme ça. Quand soudain une feuille lui tomba sur le visage et manqua de l'étouffer, elle l'attrapait et s'apprêtait à la jeter quand elle vit que c'était une affiche pour un recrutement. Piqué au vif et prête à tout pour trouver un travail elle lut alors.
AVIS À TOUS ET TOUTES
Suite à une recrudescence des actes de vandalismes et à une diminution de nos effectifs les chasseurs de primes du bureau de Cocoyashi ouvrent leurs portes à qui le veut et ainsi devenir un chasseur de primes !
Le frisson de la chasse est enivrant et quand vous aurez commencés vous ne pourrez plus vous arrêter de continuer.
C'est avec patience et calme que nous vous expliquerons en quoi consiste le travail qui pourrait bien être celui de votre vie ! Et oui de votre vie ! Des aventures incroyables vous attendent et la richesse vous tend maintenant les bras !
Alors qu'attendez vous ? Venez nous rejoindre, nous n'attendons que vous !
Signé: Le chef de la maison des chasseurs de primes de Cocoyashi
Notre coq allait jeter le papier, quand soudain elle se dit qu'après tout elle ne perdrait rien à se rendre à la maison des chasseurs de primes. C'est avec une nouvelle détermination qu'elle froissa le papier dans sa main en la serrant et partit vers la bâtisse. Le problème c'est qu'elle ne savait pas où se trouvait le dit lieu et qu'il n'y avait aucune information sur la localisation de la maison en elle-même. C'est avec une pointe de dépression qu'elle repartit continuer ses recherches, mais avec un but autre que la cuisine dans sa vie cette fois, trouver le lieu de la guilde des chasseurs de primes de Cocoyashi !
Elle demanda son chemin à plusieurs personnes, certaines lui dirent d'aller au Nord, d'autres quelques rues plus loin d'aller vers le Sud, on lui dit même qu'il n'y avait pas de bureau de chasseur de primes à Cocoyashi, car il avait brûlé il y a de cela vingt ans. Après plusieurs heures de recherches et un retour à l'auberge pour manger ainsi que sa chambre pour se rafraîchir un peu notre cuisinière repartit de plus belle dans ses recherches. Elle demanda néanmoins avant de partir à la patronne où se trouvait le lieu qu'elle cherchait, la dame ne sut pas trop lui répondre excepté le fait est qu'elle se trouvait en centre-ville et qu'elle ne devrait pas avoir trop de mal à la trouver.
Après une heure de recherche infructueuse, notre ancienne seconde commence à démoraliser et se dit qu'elle ne trouverait jamais le chemin avec sa chance. Elle s'assit contre un mur et se laissa glisser sur le sol, la tête basse et le moral dans les chaussettes. Un petit coup au moral, l'espoir lui avait été accordé par cette annonce cependant la fortune lui avait ravi en l'empêchant de trouver le lieu qu'elle cherchait. Toutes les indications se contredisaient et bien qu'elle soit restée en centre-ville et avait tourné plusieurs fois dans chacune des rues elle ne trouvait pas. Elle se trouvait maintenant dans une petite venelle, un cul de sac qui allait lui redonner son espoir sans qu'elle le sache. En se relevant elle ne fit pas attention et percuta un homme qui sortait de la bâtisse où elle s'était adossée.
Désolé, excusez-moi !
L'homme n'avait pas l'air commode et continua son chemin après lui avoir fait un signe de tête disant que ce n'était rien après avoir vérifié ses poches. Ce fut à ce moment-là que la jeune fille eut l'idée de recommencer son investigation et posa une question à l'homme qu'elle venait de rencontrer par la force des choses.
Pardon ! Monsieur ! Je suis désolée de vous demander ça, mais vous ne sauriez pas où je pourrais trouver la maison des chasseurs de primes par hasard ? Cela fait des heures que je cherche sans la trouver, j'ai trouvé un de leurs prospectus et je suis intéressée par le métier !
L'homme la regarda de la tête au pied avant de sourire et de pointer le bâtiment sur lequel Robina était adossé il y a quelques instants.
Non mais tu te moques de moi c'est ça ?! C'est ici petite, je viens d'en sortir ! Tu as plus qu'à rentrer pour te présenter et leur dire que tu veux devenir l'une d'entre nous. Bon, je te laisse j'ai du travail !
Merci, monsieur ...?
Monsieur Blurk, bon au plaisir de se revoir !
Il lui fit un signe de la main en se retournant et partit de la venelle en tournant vers la droite. La jeune seconde fit face alors à ce qu'elle avait cherché toute la journée, la chance lui souriait un peu pour une fois et c'est avec un grand sourire et le cœur remplit d'appréhensions et d'excitation qu'elle poussa la porte en bois et rentra dans le lieu qui changerait sa vie, enfin c'est ce qu'elle espérait.
Pourtant, notre coq avait fait grande impression rien qu'avec son premier plat, l'hitsumabochi de Sanderr, les chefs avaient été impressionnés par sa technique et le plat en lui-même, mais ça ne leur avait pas suffi. Elle avait eu des éloges pour sa participation cependant le seul travail qu'on lui avait proposé était une place de plongeuse en cuisine avec une possibilité d'apprendre la cuisine locale. Elle referma bien vite la porte qu'on lui avait ouverte.
La frustration d'être parti de son île pour rien sur la première destination qu'elle avait eu, certes elle ne l'avait pas choisis, mais l'espoir était là durant la bataille pour gagner ce combat des chefs. La demoiselle avait fait son maximum pour montrer tous ses talents et bien que les établissements aient été impressionnés ils ne lui avaient pas ouvert leurs portes en grand comme ce qu'elle avait rêvé. Elle frappa dans le pied de son lit et se fit mal au petit orteil, une écharde se ficha dans celui-ci et il fallut cinq minutes à notre cuisinière pour l'enlever.
La seconde fulminait encore depuis son dernier refus, la veille. Il était neuf heures le matin et le réveil avait été rude, elle était tombée de son lit au réveil, s'étant enroulés dans les couvertures, elle avait bataillé pour se défaire de celles-ci, elle avait réussi à s'en extraire, mais en tombant du lit avec encore un morceau de drap accroché à son pied. Après quelques secondes elle s'était assise sur le lit et avait défait les liens qui l'enserraient, même si être attaché par son propre lit n'est pas la plus héroïque des choses.
Après toutes ses péripéties elle descendit prendre son petit-déjeuner, un bol de café tiède avec une tartine de pain. Le beurre était en supplément, ce que la tenancière avait légèrement oublié de dire à notre sans-le-sous. Elle trempa alors sa tartine dans le bol, au moins le café ramollissait le pain qui n'était pas frais cependant de la veille. La patronne était gentille et avait un bon fond néanmoins elle ne connaissait rien au monde du goût et des saveurs et manger dans son restaurant n'était pas une révélation pour celle qui n'avait plus un berry en poche.
Elle partit de l'auberge après avoir fini son repas. La ville était réveillée, les activités se trouvaient partout, les marchés avaient ouvert et proposaient les produits locaux ainsi que de la pêche locale. Elle passa un long moment à trouver un travail, dans la restauration en faisant le tour de chacun des restaurants de la ville.
Désolé j'ai pas de travail pour toi ! Maintenant dégage j'ai du boulot, moi !
Un autre restaurant plus loin dans la rue, un établissement plus petit moins connu et plus excentré, bref une gargote pas vraiment touristique qui ne donnait pas envie de rentrer.
Dégage de là tu devrais rentrer chez toi pour t'occuper des gamins ou faire le ménage !
La frustration montait peu à peu, elle n'avait vraiment pas de chance, ça devait être de famille après tout. En sortant de la deuxième entreprise elle se prit les pieds dans un sac de farine poser devant la porte et tomba sur les pavées et se retrouva sonnée devant l'entrée qu'elle venait de prendre. En se relevant elle mit la main dans une flaque de boue et glissa et se vit de nouveau sur le sol. La colère qui montait peu à peu en elle fit place à la lassitude.
En se relevant le sourire de notre civile avait disparu de son visage, des pensées moins joyeuses se faisaient un chemin dans son esprit, elle pestait contre le monde entier et surtout contre sa malchance qui lui mettait des bâtons dans les roues. La route fut longue avec son côté droit qui la lançait avec la douleur qui irradiait, elle se changea pour ne pas avoir l'air ridicule plus longtemps.
Elle enfila alors une robe bleue en laine fine avec des broderies rouges au niveau du col et blanche aux poignets. Elle retourna alors chercher du travail. La tenancière la héla avant qu'elle ne ressorte.
Eh ! Petite ! Tu sais je suis désolée que tu trouves pas de travail pour l'moment, mais tu sais je vais pas pouvoir te faire la charité. Quand ta semaine sera finie tu devras partir alors j'espère pour toi que tu vas en trouver un assez rapidement peut être même aujourd'hui si ça se trouve ! Bon, je te retiens pas plus longtemps je vois bien que t'as pas l'air dans ton assiette.
Après ces paroles plus que sympathique pour Robina, notre demoiselle partit du bar et se fit bousculer par un passant. C'est un peu plus tard en voulant vérifier si elle avait de quoi se payer une bière qu'elle vit que la personne qui l'avait bousculé lui avait surement volé le peu d'économies qu'elle avait en poche. Pestant contre son voleur elle se résolut à ne pas boire pour se détendre et continuer sans pause sa tâche qu'est la recherche d'un nouveau job.
Après un énième refus de la part d'un des nombreux chefs elle se posa sur un banc et alors que le vent soufflait dans ses longs cheveux bleus clair elle leva les yeux au ciel en se demandant si elle a bien fait de partir de chez elle comme ça. Quand soudain une feuille lui tomba sur le visage et manqua de l'étouffer, elle l'attrapait et s'apprêtait à la jeter quand elle vit que c'était une affiche pour un recrutement. Piqué au vif et prête à tout pour trouver un travail elle lut alors.
AVIS À TOUS ET TOUTES
Suite à une recrudescence des actes de vandalismes et à une diminution de nos effectifs les chasseurs de primes du bureau de Cocoyashi ouvrent leurs portes à qui le veut et ainsi devenir un chasseur de primes !
Le frisson de la chasse est enivrant et quand vous aurez commencés vous ne pourrez plus vous arrêter de continuer.
C'est avec patience et calme que nous vous expliquerons en quoi consiste le travail qui pourrait bien être celui de votre vie ! Et oui de votre vie ! Des aventures incroyables vous attendent et la richesse vous tend maintenant les bras !
Alors qu'attendez vous ? Venez nous rejoindre, nous n'attendons que vous !
Signé: Le chef de la maison des chasseurs de primes de Cocoyashi
Notre coq allait jeter le papier, quand soudain elle se dit qu'après tout elle ne perdrait rien à se rendre à la maison des chasseurs de primes. C'est avec une nouvelle détermination qu'elle froissa le papier dans sa main en la serrant et partit vers la bâtisse. Le problème c'est qu'elle ne savait pas où se trouvait le dit lieu et qu'il n'y avait aucune information sur la localisation de la maison en elle-même. C'est avec une pointe de dépression qu'elle repartit continuer ses recherches, mais avec un but autre que la cuisine dans sa vie cette fois, trouver le lieu de la guilde des chasseurs de primes de Cocoyashi !
Elle demanda son chemin à plusieurs personnes, certaines lui dirent d'aller au Nord, d'autres quelques rues plus loin d'aller vers le Sud, on lui dit même qu'il n'y avait pas de bureau de chasseur de primes à Cocoyashi, car il avait brûlé il y a de cela vingt ans. Après plusieurs heures de recherches et un retour à l'auberge pour manger ainsi que sa chambre pour se rafraîchir un peu notre cuisinière repartit de plus belle dans ses recherches. Elle demanda néanmoins avant de partir à la patronne où se trouvait le lieu qu'elle cherchait, la dame ne sut pas trop lui répondre excepté le fait est qu'elle se trouvait en centre-ville et qu'elle ne devrait pas avoir trop de mal à la trouver.
Après une heure de recherche infructueuse, notre ancienne seconde commence à démoraliser et se dit qu'elle ne trouverait jamais le chemin avec sa chance. Elle s'assit contre un mur et se laissa glisser sur le sol, la tête basse et le moral dans les chaussettes. Un petit coup au moral, l'espoir lui avait été accordé par cette annonce cependant la fortune lui avait ravi en l'empêchant de trouver le lieu qu'elle cherchait. Toutes les indications se contredisaient et bien qu'elle soit restée en centre-ville et avait tourné plusieurs fois dans chacune des rues elle ne trouvait pas. Elle se trouvait maintenant dans une petite venelle, un cul de sac qui allait lui redonner son espoir sans qu'elle le sache. En se relevant elle ne fit pas attention et percuta un homme qui sortait de la bâtisse où elle s'était adossée.
Désolé, excusez-moi !
L'homme n'avait pas l'air commode et continua son chemin après lui avoir fait un signe de tête disant que ce n'était rien après avoir vérifié ses poches. Ce fut à ce moment-là que la jeune fille eut l'idée de recommencer son investigation et posa une question à l'homme qu'elle venait de rencontrer par la force des choses.
Pardon ! Monsieur ! Je suis désolée de vous demander ça, mais vous ne sauriez pas où je pourrais trouver la maison des chasseurs de primes par hasard ? Cela fait des heures que je cherche sans la trouver, j'ai trouvé un de leurs prospectus et je suis intéressée par le métier !
L'homme la regarda de la tête au pied avant de sourire et de pointer le bâtiment sur lequel Robina était adossé il y a quelques instants.
Non mais tu te moques de moi c'est ça ?! C'est ici petite, je viens d'en sortir ! Tu as plus qu'à rentrer pour te présenter et leur dire que tu veux devenir l'une d'entre nous. Bon, je te laisse j'ai du travail !
Merci, monsieur ...?
Monsieur Blurk, bon au plaisir de se revoir !
Il lui fit un signe de la main en se retournant et partit de la venelle en tournant vers la droite. La jeune seconde fit face alors à ce qu'elle avait cherché toute la journée, la chance lui souriait un peu pour une fois et c'est avec un grand sourire et le cœur remplit d'appréhensions et d'excitation qu'elle poussa la porte en bois et rentra dans le lieu qui changerait sa vie, enfin c'est ce qu'elle espérait.
Dernière édition par Robina Erwolf le Mar 14 Aoû 2018 - 21:10, édité 1 fois