KEATON
• Pseudonyme : La futur légende
• Age : 25ans
• Sexe : H
• Race : Humain
• Métier : Auto-proclamé Toubib
• Groupe : Civil
• Age : 25ans
• Sexe : H
• Race : Humain
• Métier : Auto-proclamé Toubib
• Groupe : Civil
• But : Manger un fruit maudit, Devenir une légende.
• Équipement : Rien de spécial. Quelques potions créées à base de tout et n’importe quoi qui n’ont aucun effet réellement bénéfique pour la santé. Cependant, elles ont de belle couleur !
• Parrain : Danny.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? : Non.
Codes du règlement :
• Équipement : Rien de spécial. Quelques potions créées à base de tout et n’importe quoi qui n’ont aucun effet réellement bénéfique pour la santé. Cependant, elles ont de belle couleur !
• Parrain : Danny.
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? : Non.
Codes du règlement :
Description Physique
Grand et élancer, on reconnait facilement le beau Keaton que ce soit par la chevelure assez désorganisée de l’autoproclamer docteur, ou par sa façon assez étrange d'être dans la lune en permanence, dans les deux cas c’est cheveux d’un brun parsemé de gris sont entouré d’un mystère n’allant pas à la hauteur de notre imagination et son regard penseur lui, semble toujours sur le point de crier eurêka. Pointent dans toutes les directions, mais principalement vers le ciel puisqu’il possède un tic assez distinct, sa main les replace toujours vers l’arrière d’un mouvement frénétique et chirurgical, oui je parle encore de ses cheveux, il les tire donc toujours vers le haut, vers l’arrière et ainsi de suite lorsqu’il réfléchit, ce qui donne facilement l’impression de s’être coiffé avec la langue d’un chien, ou de ne pas avoir pris de douche depuis deux semaines.
Bien entendu, un métier préoccupant signifier également une barbe négliger quoi qu’un réel docteur prendrait le temps de s’en occuper, à peine raser d’il y a trois jours, on remarque rapidement que celle-ci n’est pas dans ses priorités, au même titre que son hygiène personnelle assez douteuse, mais heureusement la barbe attire souvent l’attention des gens, ce qui permet à ceux-ci d’éviter son regard fuyant dans lequel brille une faible lueur d’intelligence, ou de folie, définitivement de la folie. Bien entendu, pour l’odeur c’est une variable bien différente, il suffit d’être à moins de dix mètres du jeune homme pour sentir l’odeur des cadavres en décomposition, oui, j’ai bien dit l’odeur de cadavre et non d’œuf pourri. Il se le fait même dire assez souvent, mais passer votre samedi matin dans un cimetière vous bouche les narines pour la semaine or il ne s’en rend plus compte depuis bien des lunes, c’est un fait assez courant. Dépourvu d’odorat, c’est peut-être l’une des raisons qui explique les mélanges étranges dans ses mixtures du dimanche. Ça ou peut-être, je dis bien peut-être le fait qu’il n’ait aucune véritable étude dans le domaine, mais je suis toujours sceptique.
Parlant d’odeur, il est à noter qu’un paquet de cigarettes traine toujours dans l’une des poches de notre bon docteur, ce qui implique souvent une odeur de tabac et une clope à la bouche, pendante, mais bien présente. Peut-être même quelques brulures par-ci par-là sur ses vêtements pour agrémenter le tout et nous obtiendrons un fumeur de première classe. C’est qu’il est maladroit notre chirurgien amateur !
Souvent pour ne pas dire toujours, il est vêtu d’une veste blanche parsemée de divers fluides aux odeurs et couleurs assez louche, notre bon docteur porte également une chemise agrémentée d’une cravate aux allures tout aussi dépravée que le reste de son accoutrement puisque pour l’instant, il est sans le sou. Cependant, son sarrau, c’est comme un imperméable un jour de pluie, il ne s’en sépare jamais bien longtemps, on dirait qu’il pourrait tenir sans patère, mais il l’aime d’amour ! À l’intérieur de celui-ci, diverses potions étranges, ont les entend d’ailleurs cliqueter entre elles quand il marche, divers outils de torture, ou chirurgicale comme le dirait Keaton, des scalpels et peut-être même quelques échantillons encore frais, souvent des doigts ou même des yeux séchés près à être réduit en bouillit dans sa prochaine tasse de thé.
Description Psychologique
Las Camp – Keaton âgé de 10ans
Par l’ouverture de la porte, seul filtre entre la réalité et le rêve, un doux filet de lumière orangé s’étouffait contre le visage endormi d’un jeune enfant.
Beau comme un cœur, chuchotait sa mère en laissant courir sur sa joue une unique larme silencieuse. Il est fou. Rétorquait le paternel qui derrière sa femme, regardait le fruit de leur union avec un rictus de rage encré dans les plis que fessait ses yeux emplis de colère. C’est la huitième fois se mois si. Rajoutait-il pour se donner du courage, retenant également des larmes de chagrin. Qu’allons-nous faire ? Demandait-il en espérant une solution. Rien ! Rétorquait la femme en plaçant ses mains contre le torse bombé de son mari pour le retenir. Tu trouves normal qu’il s’amuse avec les mains des hommes que j’enterre ? Dit-il d’un ton empli de dédain. Il s’amuse avec les démembré comme s’il ne s’agissait que de vulgaire jouet de bois non de dieu ! Mais la femme ne savait plus quoi répondre. À mainte reprise ils avaient discuté du problème avec le concerné, tentant tant bien que mal d’attiré son attention sur un sujet, plus… Adapté, pour un jeune homme d’à peine dix printemps. Il est obsédé, ajouta l’homme avec une voix de plus en plus rauque, il se fait lancer des pierres par les autres gamins, il vie dans un monde ou ses seuls amis sont en décomposition ! Il ne mange pratiquement rien, la peau lui colle au os et c’est voulu ! Il m’a dit encore hier qu’il préférait être maigre pour pouvoir sentir le début et la fin de ses os ! Tu trouves ça normal toi ? Mais les mots n’étaient plus que des balles traversant le cœur d’une mère accablé, résilié et sans défense face à la folie de sa propre chair. Il va changer, c’est simplement à cause de ton métier ! Dit-elle en espérant détourner le problème, ne lâchant plus les yeux de son amant avec un air de pitié dans le regard.
Et comme à chaque fois, s’était les seuls mots capables de désarmer le fossoyeur. Un cliquetis se fit entendre, c’était l’homme qui rangeait son pistolet dans son fourreau. Il regardait sa femme avant de prendre son manteau et la pointa du doigt en ouvrant la porte de la petite maisonnée. Nous ne pourrons pas le protéger indéfiniment. Tu le sais. Et à ses mots, la porte claqua en même temps que la femme se laissa glisser contre le mur, pleurant toutes les larmes de son corps.
Il n’est pas fou… Il n’est pas fou… Il n’est pas fou… se répétait-elle d’une voix sanglotant alors que son mari marchait d’un pas certain vers le bar du coin.
Biographie
Las Camp – 25e printemps
Aujourd’hui encore, l’eau entourant l’ile était aussi sombre que le cœur de ses habitants. Assis aussi confortablement qu’il pouvait l’être sur l’un des bancs de la marina, Keaton mangeait un petit bol de nouille en regardant l’horizon, rêvant peut-être d’une vie meilleure, ou d’une ambiance plus festive. Dans tous les cas, il regardait les barques amarrées et se disait qu’il serait bien facile de s’emparer de l’une d’elle…
Un petit homme à barbe vint alors le rejoindre, environ une dizaine de minute plus tard. Prétendant être un vieux pirate bon pour la casse, il sue prendre l’attention de notre jeune homme en lui demandant qu’on lui raconte l’histoire la plus folle de l’ile. Il disait se nourrir des histoires de chacune des îles qu’il visitait et ce depuis plus de trente ans ! C’était un vieux loup de mer en quête des histoires qu’il n’avait jamais sue vivre lui-même et il n’était encore jamais venue sur le tas d’Os qu’était Las Camp.
Attiré par l’idée d’impressionner le vieillard, le faux-docteur pris une chance et décida de lui raconter une histoire qu’il connaissait très bien, n’ayant jamais sortie de las Camp, il n’avait aucune idée de l’impact qu’aurait celle-ci. Serait-elle bonne ? il n’en avait aucune idée, mais s’intéressait aux plis sous les yeux de son nouvel ami, il le jugeait incapable de cacher son expression et décida de tester une vieille légende.
.
Tout débutait avec le fils d’un fossoyeur, un homme grand et strict à qui l’ont obligeait souvent de se recouvrir d’une capuche sombre pour couper la tête des gens. Ironique, le tueur enterrait sans scrupule les carcasses de ses victimes et se sans que personne ne puisse l’en empêche, bien entendu, personne ne connaissait son nom, ni ceux des membres de sa famille car s’était ça le pouvoir de la capuche. Bien entendu, l’enfant qui suivait toujours son père en vint à un point où il se mit à l’admirer, de trouver que ses actions n’était pas simplement normale, mais nécessaire.
À ce point de l’histoire, une bulle d’ennuie sortait du nez de l’homme à barbe. D’un coup de baguette, Keaton la perça, attirant de nouveau son attention avec un regard insistant.
Le jeune homme en question était destiné à de grande choses, apprenant les rudiments du métier, il en vint bientôt à jouer avec les corps de ses propres victimes, sans toutefois mettre la sombre capuche. Il grandit dans la protection de son paternel, tuant parfois un animal blessé et ainsi de suite. Bientôt, l’enfant eut la force et remplaça son mentor, enfila la capuche et goûta à une drogue encore plus puissante que toutes celles qu’il avait l’habitude de trouver dans les bas fond de la ville. L’appel du sang. Depuis, on appelait cet enfant maudit le médecin Grigri, ayant pour habitude de coudre la bouche de ses victimes, il se fit un nom en tuant des gens au hasard. Si bien que les parents racontaient son histoire aux petits pour qu’il ne quitte pas le confort de leur lit la nuit venue. Fredonnant une continue, il se promenait dans les rues, une capuche sur la tête et une seringue à la main. Les enfants avaient peur de se faire coudre les doigts ensemble, ou même de se réveiller sans leurs membres, car le fameux médecin était bien connu pour rendre un châtiment pire que celui de son prédécesseur, si l’homme sur le billot n’était qu’un simple voleur, il lui coupait par exemple les mains, puis lui ordonnait de courir se cacher dans un coin de la ville où il le retrouverait peut-être le soir même pour lui coudre les mains d’un cadavre en décomposition.
Et qu’est devenue ce Grigri ? demandait le vieil homme à la fois surpris et intrigué qu’on lui raconte une histoire si… Glauque.
Comme simple réponse, Keaton lui répondit qu’il était à Las Camp, qu’ici personne n’arrêtait un tueur pour une raison aussi banale que de prendre la vie d’un autre et que le docteur était toujours à la recherche d’une victime. Il le prévint même que la langue du compteur ferait un trophée de choix, puis le laissa s’imaginer le pire.
L’homme choqué, regarda alors le compteur aux allures de docteur s’éclipser et il aurait parier le voir enfiler une capuche avant de tourner le coin de la ruelle.
Aujourd’hui encore, l’eau entourant l’ile était aussi sombre que le cœur de ses habitants. Assis aussi confortablement qu’il pouvait l’être sur l’un des bancs de la marina, Keaton mangeait un petit bol de nouille en regardant l’horizon, rêvant peut-être d’une vie meilleure, ou d’une ambiance plus festive. Dans tous les cas, il regardait les barques amarrées et se disait qu’il serait bien facile de s’emparer de l’une d’elle…
Un petit homme à barbe vint alors le rejoindre, environ une dizaine de minute plus tard. Prétendant être un vieux pirate bon pour la casse, il sue prendre l’attention de notre jeune homme en lui demandant qu’on lui raconte l’histoire la plus folle de l’ile. Il disait se nourrir des histoires de chacune des îles qu’il visitait et ce depuis plus de trente ans ! C’était un vieux loup de mer en quête des histoires qu’il n’avait jamais sue vivre lui-même et il n’était encore jamais venue sur le tas d’Os qu’était Las Camp.
Attiré par l’idée d’impressionner le vieillard, le faux-docteur pris une chance et décida de lui raconter une histoire qu’il connaissait très bien, n’ayant jamais sortie de las Camp, il n’avait aucune idée de l’impact qu’aurait celle-ci. Serait-elle bonne ? il n’en avait aucune idée, mais s’intéressait aux plis sous les yeux de son nouvel ami, il le jugeait incapable de cacher son expression et décida de tester une vieille légende.
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Tout débutait avec le fils d’un fossoyeur, un homme grand et strict à qui l’ont obligeait souvent de se recouvrir d’une capuche sombre pour couper la tête des gens. Ironique, le tueur enterrait sans scrupule les carcasses de ses victimes et se sans que personne ne puisse l’en empêche, bien entendu, personne ne connaissait son nom, ni ceux des membres de sa famille car s’était ça le pouvoir de la capuche. Bien entendu, l’enfant qui suivait toujours son père en vint à un point où il se mit à l’admirer, de trouver que ses actions n’était pas simplement normale, mais nécessaire.
À ce point de l’histoire, une bulle d’ennuie sortait du nez de l’homme à barbe. D’un coup de baguette, Keaton la perça, attirant de nouveau son attention avec un regard insistant.
Le jeune homme en question était destiné à de grande choses, apprenant les rudiments du métier, il en vint bientôt à jouer avec les corps de ses propres victimes, sans toutefois mettre la sombre capuche. Il grandit dans la protection de son paternel, tuant parfois un animal blessé et ainsi de suite. Bientôt, l’enfant eut la force et remplaça son mentor, enfila la capuche et goûta à une drogue encore plus puissante que toutes celles qu’il avait l’habitude de trouver dans les bas fond de la ville. L’appel du sang. Depuis, on appelait cet enfant maudit le médecin Grigri, ayant pour habitude de coudre la bouche de ses victimes, il se fit un nom en tuant des gens au hasard. Si bien que les parents racontaient son histoire aux petits pour qu’il ne quitte pas le confort de leur lit la nuit venue. Fredonnant une continue, il se promenait dans les rues, une capuche sur la tête et une seringue à la main. Les enfants avaient peur de se faire coudre les doigts ensemble, ou même de se réveiller sans leurs membres, car le fameux médecin était bien connu pour rendre un châtiment pire que celui de son prédécesseur, si l’homme sur le billot n’était qu’un simple voleur, il lui coupait par exemple les mains, puis lui ordonnait de courir se cacher dans un coin de la ville où il le retrouverait peut-être le soir même pour lui coudre les mains d’un cadavre en décomposition.
Et qu’est devenue ce Grigri ? demandait le vieil homme à la fois surpris et intrigué qu’on lui raconte une histoire si… Glauque.
Comme simple réponse, Keaton lui répondit qu’il était à Las Camp, qu’ici personne n’arrêtait un tueur pour une raison aussi banale que de prendre la vie d’un autre et que le docteur était toujours à la recherche d’une victime. Il le prévint même que la langue du compteur ferait un trophée de choix, puis le laissa s’imaginer le pire.
L’homme choqué, regarda alors le compteur aux allures de docteur s’éclipser et il aurait parier le voir enfiler une capuche avant de tourner le coin de la ruelle.
Test RP
C’est bien installé sur un cercueil en bois de merisier que Keaton, en train de lire un journal vieux d’environ une semaine, s’était fait sortir de son petit moment de répit par un vieux roublard d’ami à grande gueule, le personnage qui sait un peu tout sans vraiment rien savoir d’intéressant. Pas la peine de baisser son journal pour le reconnaître, c’était le seul ami du pseudodocteur qui osait venir le déranger sur son lieu de travail officiel.
Max de son prénom, un grand roux que l’on le reconnaît facilement à ces courbes assez féminines, soit de petites épaules rabaissées et de forte hanche suivie de jambes à n’en plus finir, s’était armé de son plus bel habit et avait probablement lissé ses cheveux sales avec l’eau d’une flaque boueuse en arrivant, ceux si était encore humide.
- Hé, vieux, snif. Devineras jamais quoi ! Snif.
- Laisse-moi deviner Max, encore le rhume ?
Le rouquin avait toujours la goûte au nez, s’était plus fort que lui, mais il gagnait sa vie en livrant des requêtes, créant à la fois l’offre et la demande pour tout petit brigand certifier et ce, pour la modique somme d’une légère commission. Comme un facteur, il offrait les contrats à qui les voulait bien, ou qui accepterait de le remercier pour ses services pour le moins improvisé.
- Pas ma faute, snif. Travaille tout le temps ! Snif.
- Et tu es ici pour le travail ?
Dit le docteur en s’étouffant dans son pli de coude comme si ses poumons avaient décidé de le lâcher au pire moment de la journée. Foutue pneumonie, il avait attrapé froid quelques nuits auparavant, une fuite d’eau avait inondé une tombe et il avait dû sauter à pieds joints dans celle-ci pour la vider au sceau par sceau. Bref, il fit signe à son idiot d’ami de continuer tout en pliant machinalement son journal daté.
- Un gars, snif. Cherche un rapiécé, snif. Il donne un pestacle dans la crique, snif. Tu vois celle proche de chez Marcus, snif. Il paye bien, snif. Il aime bien son animal, snif.
- Son... Animal ? répondit-il en se jouant dans les cheveux nerveusement. Il n’avait pas souvent joué sur autre chose que des humains, mais ce ne devrait pas être bien différent. Songeait-il. Quelle sorte d’animal ?
- Aucune idée, snif. Vue que l’argent, snif. Tu acceptes, snif.
Un méchant frisson parcourut tout le dos du docteur, il avait définitivement besoin d’argent pour acheter de vrai médicament, se frotter le dessous des pieds avec des oignons avait ses limites, il savait donc qu’il ne pouvait refuser l’offre. Il négocia le montant de la commission et fini par envoyer Max annoncer la bonne nouvelle, il ne lui restait plus qu’à prendre ses instruments de torture.
~
Une fois devant la crique en question, Keaton salua l’un des gardes et max, à ses côtés lui murmura qu’il s’agissait de la bonne personne. Une clope en bouche, le docteur pénétra dans le repaire de la bête et c’était sans se douter du monstre qui l’attendait.
Une fois à l’intérieur, un petit homme pas plus haut que trois caisses de pommes lui envoyaient la main, affuté d’un veston et d’un mauvais choix de chapeau, il l’attendait en donnant des ordres à ses subordonnés. Ils firent rapidement connaissance et suivant l’attitude froide du chirurgien, le petit homme d’affaires décida de lui montrer l’animal en question. C’est une fois arrivé devant le bassin du requin que Keaton demanda un brin d’information supplémentaire.
- Où est donc votre, animal ?
- Une chance que je n’ai pas demandé un voyant, il est juste sous ton nez, regarde c’est Riffs, mon requin apprivoisé ! Il c’est fait donner un coup de couteau et depuis, il souffre, oh mon petit, papa as trouvé quelqu’un pour s’occuper de toi, oui mon beau.
Agenouillé devant la flotte, le petit mafieux tapotait la surface de l’eau tout en parlant au requin comme s’il s’agissait d’un bébé chat… C’était étrange et une forte envie de le pousser à la dérive ne cessait d’apparaître dans le cerveau de notre bon docteur.
- Hum, je ne fais habituellement pas de requin… malheureusement. Mais, en voyant le regard de tueur qu’avait le nain qui s’était retourné aussi vite que l’éclair, Keaton ajusta maladroitement son discours. Heureusement pour vous, je suis le meilleur dans mon domaine ! Dit-il en pointant le ciel, ou le plafond de pierre dans le cas présent.
Il demanda ensuite comment il procédait d’ordinaire, lorsqu’il fallait par exemple... s’approcher de la bête sans se faire manger et ce n’est qu’à ce moment qu’il remarqua qu’il manquait quelques doigts à la main du propriétaire… Il s’abstint donc de poser plus de questions, demanda de voir le paiement et exigea le silence des plus absolu pour l’opération. Le mafieux accepta, mais sous condition que Keaton n’utilise aucune anesthésie sur l’animal. Ce qui compliquerait grandement la tâche.
- Rien n’est impossible, auriez-vous quelque chose pour nourrir notre bon ami Riffs alors ? Histoire de l’occuper pendant que je joue de mon aiguille ?
D’un claquement de doigts boudiné, deux brigands amateurs avancèrent une caisse cloutée emplie de reste humain à la demande du patron. À la vue de celle-ci, les yeux du docteur s’illuminèrent et il ce penchât lui même pour choisir les morceaux qu’il donnerait au requin...
Une fois quelques morceaux de chair bien grasse sélectionnée, il s’avança et balança le tout à l’eau. Comme prévu, l’animal s’installa doucement et commença à dévorer son encas. Ce que personne ne savait, s’était que Keaton avait habilement dissimulé une fiole de poison dans l’un des membres et même si la dose n’était probablement pas assez forte pour tuer un éléphant d’un coup, c’était assez pour faire effet au requin qui automatiquement commença à ralentir, habilement le docteur empoigna l’aileront et recousue la plaie. Il essaya tant bien que mal de cacher la petite mousse blanche qui entourait les lèvres de l’animal et relâchât sa prise en remerciant le ciel de ne pas avoir perdu un bras dans l’équation.
- Par les poils de ma barbe, Riffs vous aime bien ! Il s’est laissé faire ! Un énorme merci, votre paiement vous attend à la sortie ! Je me rappellerais de vous mon bon docteur !
- Oh ce n’est rien et de plus, on me dit souvent que j’ai un don avec les animaux !
Ce qu’il ne disait pas, c’était que le requin désormais au fond de la crique, ne remonterait jamais plus à la surface pour donner son spectacle. Il resterait au fond de l’eau tel une pierre, prêt à se décomposer. Keaton avait bien joué son coup, d’ici le temps où tous se rendraient compte de la supercherie, il serait déjà bien loin et avec la mallette d’argent promise, il trouverait un beau bordel pour laisser la poussière retomber.
Comme un fier voleur, il quitta la place en marchant d’un pas rapide, évitant de se retourner.
Informations IRL
• Prénom : Alexandre
• Age : 24
• Aime : Les mangas, séries, livres, jeuxvideo etc.
• N'aime pas : les radis, qui aime ses petit truc rouge ?
• Personnage préféré de One Piece : J'ai un faible pour boa hancock ou peut-être Doflamingo !
• Caractère : Tête de cochon : D
• Fait du RP depuis : mes 15ans, mais sur table.
• Disponibilité approximative : Je travail beaucoup, le Rp c'est pour décompresser le soir, ou la fin de semaine !
• Comment avez-vous connu le forum ? Par mon parrain !
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Keaton le Dim 11 Nov 2018, 06:16, édité 7 fois