Kaihei Himeka
• Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu.
• Age : 30 ans
• Sexe : Femelle
• Race : Sirène (Cyprin doré)
• Métier : Sous-officier dans la marine.
• Groupe : Marine
• Age : 30 ans
• Sexe : Femelle
• Race : Sirène (Cyprin doré)
• Métier : Sous-officier dans la marine.
• Groupe : Marine
• But : Protéger et servir. Trouver et payer le meilleur médecin possible pour que sa meilleure amie recouvre l'usage de son corps... Quitte a passé par la cybernétique si c'est son souhait. Voir les merveilles de la terre ferme et du vaste monde.
• Équipement : Uniforme standard taille X²L, dotation de base X²L, Harnais de transport, un semblant de journal intime bricolée avec des vieux draps et une armature en bois... Le tout est moche, mais presque fonctionnel, une plume d'un grand oiseau, un tonneau d'encre. Une lance adaptée à sa morphologie, des breloques et bibelots en verres à sa taille.
• Parrain : Nop
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, Reroll de Rei Yanagiba.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myosotis De Ville
Codes du règlement :
• Équipement : Uniforme standard taille X²L, dotation de base X²L, Harnais de transport, un semblant de journal intime bricolée avec des vieux draps et une armature en bois... Le tout est moche, mais presque fonctionnel, une plume d'un grand oiseau, un tonneau d'encre. Une lance adaptée à sa morphologie, des breloques et bibelots en verres à sa taille.
• Parrain : Nop
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Oui, Reroll de Rei Yanagiba.
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? Myosotis De Ville
Codes du règlement :
Description Physique
Quelle serait la première chose à remarquer ? Ah ! Oui, peut-être le fait qu'elle fait plus de dix fois la taille d'un grand humain au hasard ? Himeka, malgré son prénom de princesse est un véritable mastodonte, le genre de monstre qui ne passe pas inaperçu et qui transporte plus qu'elle n'est transportée. Si l'on exclut ce fait, elle a la forme d'une sirène plus ou moins standard, ne faisant pas mentir la beauté et le charme de celle-ci. Le haut de son corps est fin, ce qui est ironique du point de vue de sa stature titanesque, un visage ovale exprimant une certaine douceur, deux grands yeux d'un bleu étincelant oscillant entre le respect pour ses supérieurs et une certaine bienveillance pour ses confrères et les citoyens. Bon, elle a un nez assez pointu, aquilin, mais ça s'oublie vite perdu au-dessus de son sourire enchanteur et enchanté de rencontrer de nouvelles personnes et entouré par une chevelure dorée... Ce n'est presque pas une image, sous l'astre solaire, ils brillent comme le métal précieux, bien qu'il soit assez rêche, sec et cassant en réalité.
Bien qu'elle n'ait pas besoin d'artifice, elle embellit ce qui ne le devrait pas avec du maquillage, signe de coquetterie qui se manifeste aussi ici et là. Dans un uniforme aussi impeccable que possible, une hygiène irréprochable, des breloques brillantes et de la verrerie luisante qu'elle porte quand elle est en civil... Ce qui est affreusement rare avouons le. Généralement, elle a donc des lèvres plus roses qu'à l'origine, se mariant à un sourire poli ou plus fort ainsi que le contour des yeux accentué, rendant le passage de celui-ci sur chaque personne qui l'entoure encore plus intense.
Ce n'est pas que sa taille qui lui confère une certaine force, elle est entraînée, même si elle le cache sous d'épaisses couches de vêtement, ici et la se dessinent le résultat de longues séances d'entraînement, ce qui rend son corps un peu moins saillant, doux, séduisant... Et donc qui la gêne. D'ailleurs de manière générale, mise à part ses mains, quand elles ne sont pas gantées et son visage, ne vous attendez pas à voir sa peau... Si vous pouviez vous en approcher, vous découvririez quelque chose de très semblable à la texture de la chair humaine, pâle tout de même sans être blanche, mais aussi douce bien qu'un peu gluante... Humide ? Un terme du genre, choisissez celui qui convient le mieux. Enfin, vous pourrez aussi et surtout voir le résultat de divers combats et surtout de sa plus grande défaite, bien que son visage ait été épargné, ce n'est pas le cas de son torse, de son ventre et surtout de son bras droit encore marqué de profondes et disgracieuses cicatrices.
Le dessus de sa ceinture à un maintien ferme, droit, autant que possible en tout cas. Elle respire la santé et essaye de se montrer professionnelle jusque dans sa gestuelle, d'ailleurs, il est évident qu'elle a entraînées des années durant sa dextérité quand on la voit prendre un petit objet pour elle ou une personne sans la broyer ou même lui faire mal. Des mouvements lents, doux, mais laissant en même temps transpirer une légère inquiétude, une appréhension naturelle... Il est effrayant de devoir manipuler des choses fragiles, c'est pire quand ça s'applique à un ami ou confrère et qu'on a à cœur de ne pas lui faire du mal.
Pour en finir avec ses formes, elle a une belle poitrine, ce qui lui fait une belle jambe puisqu'elle est immense et une demi-poiscaille... D'ailleurs, il est temps de parler de ses attributs marins. Tout comme sa chevelure, sa queue est entourée d'écailles dorées, brillantes de mille feux, mais étant par contre plutôt fragile ce qui est peu pratique pour une personne usant de son corps comme d'une arme. En plus de ça, vous pensez que les cheveux longs sont une plaie à entretenir ? Petits joueurs ! Sa queue est une purge qui demande un soin intégral et régulier, sinon au mieux ça devient moche, au pire elle peut s'infecter ou avoir des troubles divers... Elle est belle, ça oui, mais c'est un effort constant pour la maintenir dans cet état et tout compliment fait aux soins apportés à celle-ci comme au reste de son corps ne tombent pas dans l'oreille d'une sourde... Mais c'est un autre sujet.
Si pour le moment, personne ne la vue sur la terre ferme, tout le monde est d'accord pour penser qu'elle évoluera avec grâce et dignité... Sauf que tout le monde a tort, vous imaginez un nouveau-né se mettre sur ses petites jambes dodues et danser la valse comme une princesse de conte de fées ? Là, c'est pareil, le jour où elle va marcher, ça va être une apocalypse permanente, un appel aux situations les plus gênantes, aux dégâts matériels les plus terribles et l'idée de s'y essayer lui fait déjà avoir des cauchemars, entre les dégâts collatéraux qu'elle causera et les retenu sur son compte qui est déjà bien souffrant.
Bien qu'elle n'ait pas besoin d'artifice, elle embellit ce qui ne le devrait pas avec du maquillage, signe de coquetterie qui se manifeste aussi ici et là. Dans un uniforme aussi impeccable que possible, une hygiène irréprochable, des breloques brillantes et de la verrerie luisante qu'elle porte quand elle est en civil... Ce qui est affreusement rare avouons le. Généralement, elle a donc des lèvres plus roses qu'à l'origine, se mariant à un sourire poli ou plus fort ainsi que le contour des yeux accentué, rendant le passage de celui-ci sur chaque personne qui l'entoure encore plus intense.
Ce n'est pas que sa taille qui lui confère une certaine force, elle est entraînée, même si elle le cache sous d'épaisses couches de vêtement, ici et la se dessinent le résultat de longues séances d'entraînement, ce qui rend son corps un peu moins saillant, doux, séduisant... Et donc qui la gêne. D'ailleurs de manière générale, mise à part ses mains, quand elles ne sont pas gantées et son visage, ne vous attendez pas à voir sa peau... Si vous pouviez vous en approcher, vous découvririez quelque chose de très semblable à la texture de la chair humaine, pâle tout de même sans être blanche, mais aussi douce bien qu'un peu gluante... Humide ? Un terme du genre, choisissez celui qui convient le mieux. Enfin, vous pourrez aussi et surtout voir le résultat de divers combats et surtout de sa plus grande défaite, bien que son visage ait été épargné, ce n'est pas le cas de son torse, de son ventre et surtout de son bras droit encore marqué de profondes et disgracieuses cicatrices.
Le dessus de sa ceinture à un maintien ferme, droit, autant que possible en tout cas. Elle respire la santé et essaye de se montrer professionnelle jusque dans sa gestuelle, d'ailleurs, il est évident qu'elle a entraînées des années durant sa dextérité quand on la voit prendre un petit objet pour elle ou une personne sans la broyer ou même lui faire mal. Des mouvements lents, doux, mais laissant en même temps transpirer une légère inquiétude, une appréhension naturelle... Il est effrayant de devoir manipuler des choses fragiles, c'est pire quand ça s'applique à un ami ou confrère et qu'on a à cœur de ne pas lui faire du mal.
Pour en finir avec ses formes, elle a une belle poitrine, ce qui lui fait une belle jambe puisqu'elle est immense et une demi-poiscaille... D'ailleurs, il est temps de parler de ses attributs marins. Tout comme sa chevelure, sa queue est entourée d'écailles dorées, brillantes de mille feux, mais étant par contre plutôt fragile ce qui est peu pratique pour une personne usant de son corps comme d'une arme. En plus de ça, vous pensez que les cheveux longs sont une plaie à entretenir ? Petits joueurs ! Sa queue est une purge qui demande un soin intégral et régulier, sinon au mieux ça devient moche, au pire elle peut s'infecter ou avoir des troubles divers... Elle est belle, ça oui, mais c'est un effort constant pour la maintenir dans cet état et tout compliment fait aux soins apportés à celle-ci comme au reste de son corps ne tombent pas dans l'oreille d'une sourde... Mais c'est un autre sujet.
Si pour le moment, personne ne la vue sur la terre ferme, tout le monde est d'accord pour penser qu'elle évoluera avec grâce et dignité... Sauf que tout le monde a tort, vous imaginez un nouveau-né se mettre sur ses petites jambes dodues et danser la valse comme une princesse de conte de fées ? Là, c'est pareil, le jour où elle va marcher, ça va être une apocalypse permanente, un appel aux situations les plus gênantes, aux dégâts matériels les plus terribles et l'idée de s'y essayer lui fait déjà avoir des cauchemars, entre les dégâts collatéraux qu'elle causera et les retenu sur son compte qui est déjà bien souffrant.
Description Psychologique
Marine, ce fut le tout premier mot que la petite à dit, même avant papa ou maman... Bon en fait ça ressemblait plus à Mhawouine ou un truc du genre, mais pour son père, c'était du pareil au même. Dans la famille, on est marin de père en fils, de mère en fille. Que ce soit en tant que soutien logistique, ou en portant fièrement les couleurs de la mouette. C'est donc sans surprise qu'elle servira elle aussi sous le drapeau, même si son intégration ne fut pas sans créer quelques vagues.
Le problème ne vient pas de sa psyché, enfin, enfin, s'il y a un problème ce n'est pas celui-ci qui serait dominant. Une sirène géante dans un monde fait de petites gens et qui n'aiment pas les personnes différentes, ce n'est pas très tolérant. Pourtant, consciente de son anormalité et de son physique particulier, elle a toujours serré les dents, acceptées sans broncher et continuer. Créer des problèmes, ça serait risquer d'entacher son nom et sa carrière, faire honte à ses parents ne serait pas moins douloureux que de se faire couper un membre, enfin, c'est une image, mais vous comprenez.
Elle a donc une tendance maladive à laisser les autres lui marcher sur la nageoire, tant que les autres sont des officiers supérieurs ou des notables en tout cas. Pour ce qui est du marin lambda et des civiles, généralement sa taille est suffisamment dissuasive pour lui éviter d'être ouvertement maltraité, même si ça ne l'empêche pas d'être la cible de quolibet, d'allusion douteuse, de se faire casser du sucre sur le dos et tout ce que vous pouvez imaginer pour se venger des hommes-poissons, des géants ou des deux ! Mais, la vengeance n'est pas la Justice, alors elle rumine un peu quand elle est seule, oublie et puis ça recommence encore et encore.
En tant que membre de la marine, elle se retrouve parfois impliquée dans le paradoxe du bouclier et de la lance... Qui de la lance qui peut transpercer tous les boucliers ou du bouclier pouvant repousser toutes les lances triompherait ? Remplacé cela par la Justice et la Bonté et vous comprendrez un peu le malaise qui l'anime parfois. Le grand livre des lois du gouvernement mondial est parfois sévère, juste, mais peut écraser les personnes que la marine est censée protéger. D'un autre côté, vouloir privilégier des personnes, c'est oublier que le GM doit parfois voir plus loin, sacrifier un petit nombre pour la sauvegarde de la masse la plus importante, contrarier sa marche inexorable, c'est mettre en péril, même a une petite échelle, l'équilibre qu'elle dont elle est le mur protecteur. Si elle a généralement le cul entre deux chaises, elle a pour le moment tendant à privilégier le respect strict de la loi face au bien-être des personnes... Pas de gaieté de cœur, mais sa loyauté, va vers une structure fiable, plutôt que ses sentiments et sa vision restreinte d'une situation. À tort ou à raison ? C'est encore difficile à dire.
Même si elle a subi bien des choses et essaye de les supporter, elle reste un être doué de conscience. Elle reste encore susceptible, même si elle fermera sa bouche. Lui dire que c'est le plus gros tas de sardine que vous ayez jamais vu ou lui faire remarquer ou rappeler ses origines par une remarque plus ou moins subtile sur son physique, qu'elle est entourée d'un certain fumé marin malgré l'application d'huile essentielle ou que malgré tout, même si ça reste une écailleuse, cela va forcement l'affecter. D'un autre côté, si on exclut les allusions à ses formes généreuses et son joli minois, les compliments qu'elle reçoit sont suffisamment rare pour qu'elle soit facilement atteinte par ceux-ci, en bien comme en mal, car un filou ou un esprit roublard aura tôt fait de la manipuler en usant de mot mielleux ou bien pensé.
D'ailleurs, elle aime qu'on l'observe, c'est... Étrange ? Pourtant, généralement, c'est pour la brimer, mais avoir de l'attention, même si c'est coutumier lui est agréable. Heureusement, d'ailleurs, car c'est difficile pour elle de passer inaperçu. Ainsi, elle se fait belle, se pare de bidules scintillants quand elle n'est pas dans son uniforme et use de maquillage et autre posture pour attirer l'œil. Du coup, il est facile de deviner qu'elle aime les belles choses... Pas forcement celles qui sont chères, mais même un gros coquillage a l'intérieur d'un beau nacre, une sculpture, tout ce qui flatte son regard est digne de son intérêt. D'ailleurs, l'ivresse de la découverte la prend facilement, chaque nouvelle chose qu'elle voit pour la première fois, ou pas d'ailleurs pourra l'émerveiller plus ou moins discrètement. Autant dire que la marine va lui faire voir du pays et qu'elle a hâte que ce soit le cas.
Le problème ne vient pas de sa psyché, enfin, enfin, s'il y a un problème ce n'est pas celui-ci qui serait dominant. Une sirène géante dans un monde fait de petites gens et qui n'aiment pas les personnes différentes, ce n'est pas très tolérant. Pourtant, consciente de son anormalité et de son physique particulier, elle a toujours serré les dents, acceptées sans broncher et continuer. Créer des problèmes, ça serait risquer d'entacher son nom et sa carrière, faire honte à ses parents ne serait pas moins douloureux que de se faire couper un membre, enfin, c'est une image, mais vous comprenez.
Elle a donc une tendance maladive à laisser les autres lui marcher sur la nageoire, tant que les autres sont des officiers supérieurs ou des notables en tout cas. Pour ce qui est du marin lambda et des civiles, généralement sa taille est suffisamment dissuasive pour lui éviter d'être ouvertement maltraité, même si ça ne l'empêche pas d'être la cible de quolibet, d'allusion douteuse, de se faire casser du sucre sur le dos et tout ce que vous pouvez imaginer pour se venger des hommes-poissons, des géants ou des deux ! Mais, la vengeance n'est pas la Justice, alors elle rumine un peu quand elle est seule, oublie et puis ça recommence encore et encore.
En tant que membre de la marine, elle se retrouve parfois impliquée dans le paradoxe du bouclier et de la lance... Qui de la lance qui peut transpercer tous les boucliers ou du bouclier pouvant repousser toutes les lances triompherait ? Remplacé cela par la Justice et la Bonté et vous comprendrez un peu le malaise qui l'anime parfois. Le grand livre des lois du gouvernement mondial est parfois sévère, juste, mais peut écraser les personnes que la marine est censée protéger. D'un autre côté, vouloir privilégier des personnes, c'est oublier que le GM doit parfois voir plus loin, sacrifier un petit nombre pour la sauvegarde de la masse la plus importante, contrarier sa marche inexorable, c'est mettre en péril, même a une petite échelle, l'équilibre qu'elle dont elle est le mur protecteur. Si elle a généralement le cul entre deux chaises, elle a pour le moment tendant à privilégier le respect strict de la loi face au bien-être des personnes... Pas de gaieté de cœur, mais sa loyauté, va vers une structure fiable, plutôt que ses sentiments et sa vision restreinte d'une situation. À tort ou à raison ? C'est encore difficile à dire.
Même si elle a subi bien des choses et essaye de les supporter, elle reste un être doué de conscience. Elle reste encore susceptible, même si elle fermera sa bouche. Lui dire que c'est le plus gros tas de sardine que vous ayez jamais vu ou lui faire remarquer ou rappeler ses origines par une remarque plus ou moins subtile sur son physique, qu'elle est entourée d'un certain fumé marin malgré l'application d'huile essentielle ou que malgré tout, même si ça reste une écailleuse, cela va forcement l'affecter. D'un autre côté, si on exclut les allusions à ses formes généreuses et son joli minois, les compliments qu'elle reçoit sont suffisamment rare pour qu'elle soit facilement atteinte par ceux-ci, en bien comme en mal, car un filou ou un esprit roublard aura tôt fait de la manipuler en usant de mot mielleux ou bien pensé.
D'ailleurs, elle aime qu'on l'observe, c'est... Étrange ? Pourtant, généralement, c'est pour la brimer, mais avoir de l'attention, même si c'est coutumier lui est agréable. Heureusement, d'ailleurs, car c'est difficile pour elle de passer inaperçu. Ainsi, elle se fait belle, se pare de bidules scintillants quand elle n'est pas dans son uniforme et use de maquillage et autre posture pour attirer l'œil. Du coup, il est facile de deviner qu'elle aime les belles choses... Pas forcement celles qui sont chères, mais même un gros coquillage a l'intérieur d'un beau nacre, une sculpture, tout ce qui flatte son regard est digne de son intérêt. D'ailleurs, l'ivresse de la découverte la prend facilement, chaque nouvelle chose qu'elle voit pour la première fois, ou pas d'ailleurs pourra l'émerveiller plus ou moins discrètement. Autant dire que la marine va lui faire voir du pays et qu'elle a hâte que ce soit le cas.
Biographie
La peau pale, le cœur bâtant à tout rompre, comment une femelle, certes athlétique avait réussi à engendrer une progéniture de cette taille ? La césarienne avait était sanglante et douloureuse et pourtant, même si proportionnellement, c'est comme si une femme avait accouché d'un poulain... Elle avait survécu. Force de volonté, soin de premiers ordres et certainement un chouia de chance. Aimi, sirène et sous-officière ainsi que la conjointe du sous-officier homme poisson Kaihei Suzaku, dont elle partage le nom. Ce fut leur première petite et les conditions toutes particulières de son accouchement feraient que ce serait la seule.
Entre sa santé fragilisée et sa petite, pas si petite, la Guenaude du Calmblue avait dû se retirer du service actif. Si elle a encore un souvenir amer de cette décision, elle a tâché de ne pas punir sa fille pour ce coup du sort, en tout cas pas consciemment. Profitant donc d'un repos forcé dans leur petite demeure acheté pour l'occasion sur une plage de Cocoyashi, puisque son mari travaillait sur le navire étant affecté au quartier général d'East blue.
Il devient rapidement évident que la petite va atteindre une taille colossale, à son premier anniversaire elle arrivait au nombril de sa mère, à son second elle dépassait déjà sa taille. Pourtant, même si un petit quelque chose en elle l'empêchait de pouponner son unique progéniture comme une véritable princesse, elle l'aimait et l'aime encore sincèrement. C'est pour cette raison qu'elle a rapidement dû faire appel à une nourrice à la taille plus adaptée à son joyau des océans. Bien que celle-ci ressemblait plus à une sorte de très grand bûcheron aux épaules carrées auquel on aurait mis une perruque et une tenue de dame de bonne compagnie, sa patience et son flegme à toute épreuve furent des plus salutaires, sans parler de son savoir-faire avec les enfants.
Malgré tous les efforts fournis pour tenter de lui faire rencontrer des gens, son physique singulier lui interdisait beaucoup de déplacement et sans être totalement isolée, elle n'a pas rencontré tellement de personnes différentes durant son enfance. D'ailleurs, tous ces essais ainsi que certaines adaptations nécessaires, sans parler du régime alimentaire de leur enfant à mit leurs économies sur les genoux. Très vite consciente de la valeur des berries et d'être un poids mort particulièrement gros, même enfant elle a cherché à faire de menues bricoles, gagner une piécette ici et là pour aider autant que possible. Généralement, ce qui payait le plus, c'était de nettoyer les coques des navires de passages, entre les déchets et les coquillages et autre parasite, son aide pouvait être salutaire.
D'ailleurs, si beaucoup de jeunes personnes souhaitent s'améliorer et cherchent la puissance, au contraire elle a passé le plus clair de son temps à s'entraîner dans le but de canaliser la sienne. Manipuler des objets de taille humaine comme des tonneaux ou soulever un chariot à bras sans le broyer a été très important pour son développement, se faisant elle a rapidement amélioré une certaine dextérité avec ses doigts et gardé souplesse et agilité avec son corps, même si elle se contentait généralement de s'asseoir sur le rebord d'un ponton ou sur un quai pour éviter de créer une catastrophe.
À douze ans, faisant une taille entre celle d'une coque de noix et des plus petits navires, elle entre dans un groupe de scoutisme marin, il s'agit d'enfants souhaitant eux-mêmes ou poussée par leurs parents à apprendre les bases de la vie en mer et surtout dans un équipage. Le tout encadré par des vétérans de la marine ou de navires marchands, qui le font généralement par nostalgie et amour de la navigation sur les mers. Évidemment, à cet âge, s'ils montent bien sur des navires, ils restent à quais ou au mieux font le tour d'une île et le tout est encadré pour éviter tout incident. Un navire rempli d'anciens et d'enfants serait une proie trop tentante pour des loups de mer, autant éviter de leur fournir aussi gentiment un petit tas d'otages et du matériel.
Durant ces années d'apprentissages, elle sera aussi confrontée pour la première fois à un racisme plus aigu et à ses premières brimades. Serrant les dents, déjà prévenues depuis sa plus tendre enfance par ses parents de ce genre de soucis, elle réussira aussi à se faire sa meilleure et actuelle amie : Fujiko Aiko. Comprenant vite que le cœur humain est animé de nombreuses facettes qui peut être claire ou sombre, elle préfère laisser passer en espérant qu'ils se lassent avant elle. Elle prendra aussi la désagréable habitude de ronchonner et murmurer dans sa barbe, même si elle n'en a pas, mais bon, personne n'est parfait.
Le jour de ses seize ans, Aiko lui offrira aussi son "journal intime", mais n'ayant jamais appris la calligraphie, Himeka n'arrivera jamais réellement à noircir les pages de celui-ci de lettre intelligible, sans parler du fait qu'un drap, ça boit l'encre, plus qu'un parchemin. Mais le présent fut tout de même plus qu'apprécié et elle le garde précieusement.
Au vu de sa taille, la sirène géante fut affectée sur le navire-école Calmblue, Aiko avait tiré des ficelles pour que ce soit aussi son cas... Il valait mieux par contre pour les deux que la première n'apprenne jamais le côté un peu roublard et intrigant de la seconde, car la demoiselle mastodonte n'aurait pas apprécié cette vérité. Comme tous les mousses, elle a eu le droit à des tâches ingrates et des corvées, c'était en fait normal. Son officier instructeur la traitait mal, le fait qu'il soit parfaitement et équitablement infâme avec toutes les recrus faisait que la pilule passait bien mieux. En fait, elle faisait plus ou moins les petits travaux de son enfant, nettoyer les coques, briquer les ponts comme elle le pouvait, déplacer des objets d'un navire à un autre, décharger des caisses et ainsi de suite.
Le temps est passé, elles sont finalement devenues matelotes de deuxième puise de première classe. En fait, l'humaine du duo aurait pu largement prétendre à mieux, mais de toute évidence ça aurait fait trop plaisir à son grand-père. D'ailleurs, une anecdote à ce sujet, aussi proche soit-elle, l'une de l'autre, la famille d'Aiko est encore un sujet tabou pour celle-ci qu'elle refuse d'aborder en toute circonstance, Himeka n'a d'ailleurs jamais réellement insisté, préfère que ça vienne de son amie, ce qui n'arrivera certainement jamais.
Affectées à une patrouille, elles ont rapidement étés surnommées les Chiennes de chasse pour une raison particulière. Ce qui à la base fut une tactique de dernier recours fut suffisamment efficace pour qu'elle s'y réessaye avec l'accord explicite de leurs capitaines. Si sur le papier, l'idée à l'air terrible et dangereuse, en pratique l'effet de surprise est assez puissant pour rendre cela efficace, sans que ce soit non plus imparable. Installer une pièce d'artillerie légère sur le dos de la sirène et profiter de sa mobilité pour harceler des petits navires pirates ou criminels, en les frappant à des angles improbables autrement. Sans parler de la possibilité, à la faveur de la nuit de coller directement des explosifs sur la coque d'un navire ou harponner celle-ci si elle est suffisamment peu épaisse pour s'y essayer.
Néanmoins, le revers de la médaille, c'est qu'un équipage préparé à ce genre d'assaut, peut-être très dangereux et reprendre l'ascendant à une vitesse effrayante. C'est ce qui est arrivé en 1625, quand ce qui ressemblait à un autre et banal navire rempli de forban sans trop d'envergure abritait à son bord un utilisateur de fruit du démon particulièrement capable et redoutable. Ce fut une débandade, un gâchis de ressources et de personnel, d'ailleurs Himeka à mis deux bonnes années à s'en remettre, même si ses plaies se sont refermées, elle mettra certainement des mois, voir des années à recouvrer tout son potentiel perdu lors de ce combat à sens unique. Il n'est pas plus certain qu'Aiko recouvrera un jour l'usage de ses jambes, pas avec des moyens conventionnels ou à la portée de sa bourse en tout cas.
La chienne de chasse retourne donc au service actif, ses comptes plus au rouge que jamais, alors qu'elle a besoin plus que jamais de fond pour un jour pouvoir voir sa meilleure amie se mouvoir librement.
Entre sa santé fragilisée et sa petite, pas si petite, la Guenaude du Calmblue avait dû se retirer du service actif. Si elle a encore un souvenir amer de cette décision, elle a tâché de ne pas punir sa fille pour ce coup du sort, en tout cas pas consciemment. Profitant donc d'un repos forcé dans leur petite demeure acheté pour l'occasion sur une plage de Cocoyashi, puisque son mari travaillait sur le navire étant affecté au quartier général d'East blue.
Il devient rapidement évident que la petite va atteindre une taille colossale, à son premier anniversaire elle arrivait au nombril de sa mère, à son second elle dépassait déjà sa taille. Pourtant, même si un petit quelque chose en elle l'empêchait de pouponner son unique progéniture comme une véritable princesse, elle l'aimait et l'aime encore sincèrement. C'est pour cette raison qu'elle a rapidement dû faire appel à une nourrice à la taille plus adaptée à son joyau des océans. Bien que celle-ci ressemblait plus à une sorte de très grand bûcheron aux épaules carrées auquel on aurait mis une perruque et une tenue de dame de bonne compagnie, sa patience et son flegme à toute épreuve furent des plus salutaires, sans parler de son savoir-faire avec les enfants.
Malgré tous les efforts fournis pour tenter de lui faire rencontrer des gens, son physique singulier lui interdisait beaucoup de déplacement et sans être totalement isolée, elle n'a pas rencontré tellement de personnes différentes durant son enfance. D'ailleurs, tous ces essais ainsi que certaines adaptations nécessaires, sans parler du régime alimentaire de leur enfant à mit leurs économies sur les genoux. Très vite consciente de la valeur des berries et d'être un poids mort particulièrement gros, même enfant elle a cherché à faire de menues bricoles, gagner une piécette ici et là pour aider autant que possible. Généralement, ce qui payait le plus, c'était de nettoyer les coques des navires de passages, entre les déchets et les coquillages et autre parasite, son aide pouvait être salutaire.
D'ailleurs, si beaucoup de jeunes personnes souhaitent s'améliorer et cherchent la puissance, au contraire elle a passé le plus clair de son temps à s'entraîner dans le but de canaliser la sienne. Manipuler des objets de taille humaine comme des tonneaux ou soulever un chariot à bras sans le broyer a été très important pour son développement, se faisant elle a rapidement amélioré une certaine dextérité avec ses doigts et gardé souplesse et agilité avec son corps, même si elle se contentait généralement de s'asseoir sur le rebord d'un ponton ou sur un quai pour éviter de créer une catastrophe.
À douze ans, faisant une taille entre celle d'une coque de noix et des plus petits navires, elle entre dans un groupe de scoutisme marin, il s'agit d'enfants souhaitant eux-mêmes ou poussée par leurs parents à apprendre les bases de la vie en mer et surtout dans un équipage. Le tout encadré par des vétérans de la marine ou de navires marchands, qui le font généralement par nostalgie et amour de la navigation sur les mers. Évidemment, à cet âge, s'ils montent bien sur des navires, ils restent à quais ou au mieux font le tour d'une île et le tout est encadré pour éviter tout incident. Un navire rempli d'anciens et d'enfants serait une proie trop tentante pour des loups de mer, autant éviter de leur fournir aussi gentiment un petit tas d'otages et du matériel.
Durant ces années d'apprentissages, elle sera aussi confrontée pour la première fois à un racisme plus aigu et à ses premières brimades. Serrant les dents, déjà prévenues depuis sa plus tendre enfance par ses parents de ce genre de soucis, elle réussira aussi à se faire sa meilleure et actuelle amie : Fujiko Aiko. Comprenant vite que le cœur humain est animé de nombreuses facettes qui peut être claire ou sombre, elle préfère laisser passer en espérant qu'ils se lassent avant elle. Elle prendra aussi la désagréable habitude de ronchonner et murmurer dans sa barbe, même si elle n'en a pas, mais bon, personne n'est parfait.
Le jour de ses seize ans, Aiko lui offrira aussi son "journal intime", mais n'ayant jamais appris la calligraphie, Himeka n'arrivera jamais réellement à noircir les pages de celui-ci de lettre intelligible, sans parler du fait qu'un drap, ça boit l'encre, plus qu'un parchemin. Mais le présent fut tout de même plus qu'apprécié et elle le garde précieusement.
Au vu de sa taille, la sirène géante fut affectée sur le navire-école Calmblue, Aiko avait tiré des ficelles pour que ce soit aussi son cas... Il valait mieux par contre pour les deux que la première n'apprenne jamais le côté un peu roublard et intrigant de la seconde, car la demoiselle mastodonte n'aurait pas apprécié cette vérité. Comme tous les mousses, elle a eu le droit à des tâches ingrates et des corvées, c'était en fait normal. Son officier instructeur la traitait mal, le fait qu'il soit parfaitement et équitablement infâme avec toutes les recrus faisait que la pilule passait bien mieux. En fait, elle faisait plus ou moins les petits travaux de son enfant, nettoyer les coques, briquer les ponts comme elle le pouvait, déplacer des objets d'un navire à un autre, décharger des caisses et ainsi de suite.
Le temps est passé, elles sont finalement devenues matelotes de deuxième puise de première classe. En fait, l'humaine du duo aurait pu largement prétendre à mieux, mais de toute évidence ça aurait fait trop plaisir à son grand-père. D'ailleurs, une anecdote à ce sujet, aussi proche soit-elle, l'une de l'autre, la famille d'Aiko est encore un sujet tabou pour celle-ci qu'elle refuse d'aborder en toute circonstance, Himeka n'a d'ailleurs jamais réellement insisté, préfère que ça vienne de son amie, ce qui n'arrivera certainement jamais.
Affectées à une patrouille, elles ont rapidement étés surnommées les Chiennes de chasse pour une raison particulière. Ce qui à la base fut une tactique de dernier recours fut suffisamment efficace pour qu'elle s'y réessaye avec l'accord explicite de leurs capitaines. Si sur le papier, l'idée à l'air terrible et dangereuse, en pratique l'effet de surprise est assez puissant pour rendre cela efficace, sans que ce soit non plus imparable. Installer une pièce d'artillerie légère sur le dos de la sirène et profiter de sa mobilité pour harceler des petits navires pirates ou criminels, en les frappant à des angles improbables autrement. Sans parler de la possibilité, à la faveur de la nuit de coller directement des explosifs sur la coque d'un navire ou harponner celle-ci si elle est suffisamment peu épaisse pour s'y essayer.
Néanmoins, le revers de la médaille, c'est qu'un équipage préparé à ce genre d'assaut, peut-être très dangereux et reprendre l'ascendant à une vitesse effrayante. C'est ce qui est arrivé en 1625, quand ce qui ressemblait à un autre et banal navire rempli de forban sans trop d'envergure abritait à son bord un utilisateur de fruit du démon particulièrement capable et redoutable. Ce fut une débandade, un gâchis de ressources et de personnel, d'ailleurs Himeka à mis deux bonnes années à s'en remettre, même si ses plaies se sont refermées, elle mettra certainement des mois, voir des années à recouvrer tout son potentiel perdu lors de ce combat à sens unique. Il n'est pas plus certain qu'Aiko recouvrera un jour l'usage de ses jambes, pas avec des moyens conventionnels ou à la portée de sa bourse en tout cas.
La chienne de chasse retourne donc au service actif, ses comptes plus au rouge que jamais, alors qu'elle a besoin plus que jamais de fond pour un jour pouvoir voir sa meilleure amie se mouvoir librement.
Test RP
Une jeune recrue facilement impressionnable tombe amoureux de Kaihei. Il ne fait pas le tiers de sa taille. Raconte-nous comment il lui fait la cour et l'issue de leur idylle éventuelle.
Comment est-ce que ça avait commencé ? C'est la question qui traverse de la grande sirène alors qu'elle laisse ses doigts lentement et délicatement caresser une immense plume, qui pourtant est à peine assez grande pour lui servir éventuellement à gratter le papier comme le ferait une personne de taille plus classique. Elle l'observe d'un air amusé et nostalgique, alors qu'elle se trouve encore dans ce qui est la chambre d'un hôpital de la marine, qui ressemblerait presque plus à cale sèche avec un semblant de lit au centre et des passerelles pour permettre au personnel de se mouvoir librement.
Elle observe un objet particulier, au fond de sa "chambre", son sourire se mue irrémédiablement en petit rire même si elle met par pudeur sa main devant la bouche. Pas qu'elle ai honte de ses sentiments du moment, mais une sirène de la taille d'un petit navire, ça fait un peu trop de bruit pour ce genre de bâtiment... Elle laisse son regard, telles deux aigues-marines se poser sur la chose : une sorte de grand cœur plus ou moins bien bricolée avec des restes de tonneau et du bois trouvé ici et là. Le tout peint dans un rose affreusement criard.
"Chikara-san..."
Cela faisait près de cinq ans qu'elle recevait des lettres plus ou moins régulières, suivant de plus ou moins loin sa carrière. C'était un beau jour pour l'hiver, il était si frêle, un sourire agaçant malgré la sueur et la fatigue. Comme tous les recrus, il avait le droit à un entraînement rude, mais juste. Le personnel d'instruction prend un malin plaisir à se faire haïr, c'est connu que ce genre de sentiment soit très ou trop efficace pour faire apprendre vite. Ils ne sont pas là pour se faire des amis, mais faire en sorte qu'ils survivent à leurs premières altercations. La camaraderie se forme entre les marins, pas avec les officiers et encore...
Grand pour un humain, un visage encore rond, presque poupon, très enfantin en tout cas. Un jeune homme très jeune, encore empli d'une certaine mièvrerie et les yeux pétillant d'énergie. Elle est habituée à attirer divers regards, de tout genre, appréciant même cela, mais lui l'observait de manière si insistante... Ce n'était pas le premier et ça ne serait pas le dernier, mais malgré la différence de taille, elle voyait un visage bien différent de certains autres. Pas de haine, pas de dégoût, pas de luxure ou tout autre chose. En fait, ça en était même déstabilisant, se demandant qu'est-ce qu'il voulait. En dehors des patrouilles et autres travaux habituels, elle passait du temps avec Aiko à montrer la coordination inter espèce et surveiller les manœuvres navales pour s'assurer qu'un énième petit nouveau ne disparaisse pas dans les eaux.
Il était... Attachant ? Le problème, c'est quand c'est devenu plus ou moins vrai dans tous les sens du terme, brisant petit à petit la petite distance de politesse implicite entre les gens, plus particulièrement celle entre deux personnes de genre opposées. Sans parler de la différence d'âge, le problème le plus évident est la différence de taille. Ah oui et le fait de ne pas être de la même race aussi.
Le temps est passé, comprenant que cela était plus qu'une idylle passagère, la demoiselle géante commençait sincèrement à s'inquiéter pour la santé mentale du jeune homme, lui devenait plus subtil et misant de plus en plus sur la patience plutôt que des coups d'éclat vulgaires comme d'autres, tant d'autres. Lors de ses visites dans sa cabine, elle est passée de soupir de lassitude, à de petites mimiques amusées bien qu'un peu las.
Faisant plus ou moins semblant de le repousser, pour mieux le voir revenir à la charge, un petit jeu entre eux. Évidemment, elle n'était pas totalement sourde au fait qu’aux essais de son soupirant faisait de plus en plus de lui la risée de son unité et peut-être même de la base. Ce n'était pas son problème à elle, c'était son choix et c'était inconsciemment une de ses qualités qu'elle admirait, sa persévérance.
Il avait beau être éconduit, il revenait à plus ou moins court ? Moyen terme une fois un petit temps pour se faire oublier, ou plutôt que la mauvaise humeur affichée de la sirène est passée pour revenir délicatement à l'assaut, mauvaise humeur de plus en plus simulée d'ailleurs au fil du temps. Mais il était temps pour les chiennes de chasse de retourner au combat et pour le jeune marin de rejoindre une autre base. C'était sa dernière chance de déclarer, encore, sa flamme. Mais, plutôt que d'essayer de la courtiser, il a changé au dernier moment son fusil d'épaule.
"Cinq secondes..."
Dit-il en pointant sa main vers moi, en montrant effectivement cinq doigts. J'ai haussé un sourcil, mais étrangement, j'étais un peu curieuse d'entendre la suite, je l'observais donc.
"Cinq secondes... Quand je serai capable de porter ce laps de temps sans danger, alors tu ne pourras plus m'ignorer."
Cela revenait à annoncer qu'il serait un jour capable de soulever un petit navire, ce qui est ridicule en soi.
"Sérieusement ?"
Elle lui répondait avec un mélange d'incompréhension, de stupeur et un peu d'inquiétude. Il était fichu d'essayer et de se détruire pendant l'essai... Pourtant, il affichait un sourire plein de confiance, luisant sous l'astre solaire alors que le vent fait tourbillonner ici et là quelques flocons. Évidemment, les quelques témoins de la scène ont éclaté de rire, au milieu d'autres réactions négatives tant cette affirmation, dite avec autant d'aplomb et de sérieux était ridicule. Pourtant, il lui offrit un grand cœur affreux en guise de symbole, de contrat et partie de son côté. Restant discret sur son éventuel entraînement et ses efforts pour accomplir sa promesse.
Ce même gringalet qui ose revenir deux ans par la suite. Se montrant dans un corps déformé par des exercices certainement intenses et peut-être même... Difficile à dire, on pouvait presque croire que ses muscles avaient des muscles à ce niveau-là, son costume prêt à exploser au moindre faux mouvement. À croire qu'un jeune homme était sur le dos d'une force de la nature et laisser juste sa tête dépasser. D'un point de vue purement humain, son corps était presque immonde, pas esthétique surtout avec sa tête encore ronde et juvénile. Une sirène elle, surtout au vu des disparités visuelles entre les espèces constituantes sa propre race n'en a cure. Elle espérait juste qu'il n'ait pas trop souffert pour devenir, ce qu'il est aujourd'hui. Pourquoi être allé aussi loin, pour elle ? Sa vision du monde avait déjà été ébranlée par sa grande défaite, le voir ainsi ne faisait qu'agrandir la déchirure.
Il s'est approché, elle se disait qu'il n'allait pas oser et elle avait bien tort de sous-estimer la volonté de son prétendant. Se plaçant sous elle, gonflant ses muscles le faisant plus ressembler à une masse informe de chair et finalement...
"Tu aurais pu te blesser sérieusement !"
La phase avait suffi à elle seule à faire légèrement trembler les murs, pour toute réaction, le jeune homme lui fit un sourire niais avant de répondre.
"Oh ? Tu me tutoies donc maintenant ?"
"Idiot..."
Elle rougit, essaye d'éviter son regard en croisant les bras en gardant un air boudeur et les joues gonflées comme une gamine. Ces humains, certains sont à la fois aussi inconscients et obstinés que capables de meilleurs quand ils en ont la motivation.
Idiot...
C'est parce qu'il ne savait pas que c'était impossible, ou en tout cas refusais de le réaliser qu'il avait réussi, non pas une prouesse de force ridicule, mais à faire basculer le cœur d'une grande demoiselle. Elle lui avait même octroyé un baiser sur la joue pour saluer ses efforts en insistant pour qu'il ne se fasse pas des idées malvenues, la faculté d'une jeune fille à se mentir est tout de même impressionnante.
Informations IRL
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• N'aime pas : D'autres
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• Comment avez-vous connu le forum ? Inscription le 21/08/2011 et à ce moment là ? Top-site de mémoire.
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Kaihei Himeka le Mer 14 Nov 2018 - 19:06, édité 3 fois