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Une mission classée secret défense

Est Blue, quelque part...

Une lettre portant le sceaux du Cipher Pol 7 dans la poche intérieure de ma veste, la cravate et les lunettes posées sur le nez, j'étais ce que devais être un agent du gouvernement. Il fallait que je le devienne, je ne pouvais rester à ce statut de formation qui m'horripilait au plus au point. Avoir des collègues me prenant pour un moins que rien, très peu pour moi. La discipline oui, l'ordre bien entendu mais l'humiliation n'était pas dans mes préceptes. J'allais devenir quelqu'un, je le savais mais il fallait que je montre ma valeur pour être respecté.

Au détour d'une rue je m'enfonça dans une allée sombre. La pénombre me dissimulant, je décida de découvrir ma mission. Je sorti donc la lettre de ma poche et enleva le cachet dans un geste assuré. J'étais prêt, quelque soit l'objet de cette missive. Lisant les premières instructions mes yeux s'écarquillèrent. Je découvris donc avec stupéfaction les tenants et les aboutissants.

- Une mandarine ? Je suis censé trouver une mandarine pour un Dragon Céleste ?

Oui, les déités de ce monde avaient l'argent et le pouvoir mais il faut croire que c'était le temps qu'il leur manquait. Je me devais donc de me rendre sur Cocoyashi, infiltrer la Belmer Korp et récupérer une mandarine. Une seule et unique mandarine, la meilleure je l'espérais pour me faire bien voir. Il s'agissait d'une récolte particulière, celle d'il y a 1 semaine et l'un de ces régents du monde souhaitait s'en délecter. Amateur de mets savoureux surement, je n'avais aucune information de quel Dragon Céleste il s'agissait ni même de la famille concernée. Je n'avais pas accès à ces informations là, pas encore. A part cela, l'entièreté de la mission était correctement décrite. Il y était décrit le bateau et l'heure de départ pour Cocoyashi, l'itinéraire à suivre pour Berlmer Korp et le mot d'ordre : discrétion.


- Je vais donc me casser d'ici, surtout s'il l'a veut dans 4 jours Marie-Joie…

Etant l'agent le plus près de la fameuse île d'Est Blue, je pris donc la direction du port et y trouva le croiseur du lieutenant John Dragger. Bien habillé et mon air sérieux qui me colle à la peau, le gradé me reconnu aussitôt comme étant l'agent qu'il devait convoyer. La traversée ne dura pas plus de cinq heures et après un long moment où je préféra être seul, au calme, je pu enfin mettre de nouveau pied à terre. Mes remerciements furent très solennels et les marins me jugèrent surement froid et distant, de quoi améliorer l'image austère du Cipher Pol ? Surement pas.

Totalement incognito j'avançais dans les rues de Cocoyashi, une douce terre où la vie semblait paisible. Les gens que je croisais avaient l'air heureux, ils souriaient pour la plus part, profitant de la douceur du soleil pour sortir. Il faisait bon vivre ici, les rues pavées étaient vivantes, mais pas à l'extrême, juste ce qu'il fallait. Cette île était surement l'une des plus adéquate pour prendre une retraite bien mérité après de nombreuses années à avoir servit le gouvernement. Sans doute une fois avoir remplit mon devoir je viendrais ici pour finir mes jours, enfin, si mon secret ne m'emportait pas avant que j'eu le temps d'avoir des cheveux blancs. Une lourde épée de Damoclès était au dessus de ma tête et le fil qui la soutenait si mince. En espérant qu'il ne cède pas de si tôt.

Suivant les instructions à la lettre, je prenais la direction de la Belmer Korp le plus sereinement possible. J'aurais sans doute pu me présenter avec mon look d'agent et réquisitionner une mandarine pour ces sainteté mais Glawdys, la directrice du CP7 préférait la discrétion. Si nous dévoilions au grand jour autant de lubies loufoques des Dragons Célestes, la Révolution s'en servirait et aurait bien plus d'armes pour soulever les peuples. Alors, je me devais de n'être vu par personne, c'était la seule solution. La seule et unique solution pour que le monde se porte bien tandis que les Dieux de ce monde puissent continuer à faire leurs caprices. De toute manière, leur seule et unique limite était leur imagination et rien ne pouvait les arrêter. Au final je me présentais comme un gardien de l'équilibre mondial en puissance.


Dernière édition par Champollion Howard le Jeu 6 Déc 2018 - 23:56, édité 2 fois
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Déterminé j'avançais donc toujours vers mon but, de plus en plus près de la fameuse entreprise qui inondait le monde de ses merveilleuses mandarines. La voyant au loin je décida de réellement me mettre en condition, je devais être un courant d'air. Je pris une grande respiration et avança de plus belle, ne faisant désormais plus attention à rien d'autre qu'à ma mission. Arrivant à l'entrée de la Belmer Korp je souffla doucement, observant l'ensemble des possibilités qui s'offraient à moi. Un grillage entourait le domaine, la porte d'entrée menait à un grand bâtiment qui devait faire office de point de vente et de stockage simultané. Plus loin derrière les mandariniers s'étendaient, plantés à intervalles réguliers.

J'entra donc dans le bâtiment, poussant la porte délicatement et me rendant immédiatement vers l'accueil. Une jeune femme rousse y était assise, remplissant de la paperasse à outrance. Elle avait des tâches de rousseur des plus mignonnes et un regard doux, attendrissant. Si elle interférait dans ma mission, ce serait un grand sacrifice alors j'espérais que cela n'arrive pas, jamais. La pièce était spacieuse, équipée de banc pour patienter, de larges fenêtres pour observer les arbres fruitiers et d'un mobilier assez rustique. En grosses lettres au dessus de l'accueil était marqué "Belmer Korp", puis Nojiko en plus petit. L'illustre fondatrice de cette maison avait vécue il y a une centaine d'année désormais et faisait partie de la famille d'un membre de l'équipage du feu dernier Seigneur des pirates, Monkey D. Luffy.


Une ascendance quasiment démoniaque, ce lieu devait disparaître. Enfin, ce n'était ni ma mission ni les désirs des plus hautes instances, ce n'était qu'un simple avis personnel. Quelque peu extrême ? Surement.


- Bonjour demoiselle, je suis Modric Valdus et j'aimerais passer une commande de mandarine.

- Oh excusez-moi bonjour monsieur, me répondit-elle en sortant le nez de ses papiers.

- Ne vous en faites pas, puis-je faire une petite visite du domaine ? On ne m'a dit que du bien de vos produits mais j'ai bien peur de ne croire que ce que je vois ! fis-je en rigolant doucement.

- Oui bien entendu, je vais voir avec ma patronne, vous pouvez vous asseoir je vais l'appeler immédiatement. Voulez-vous quelque chose à boire pour patienter ?

- Je vous remercie, je n'ai pas soif encore merci demoiselle.


La discussion était fluide, le sourire de la jeune femme presque enivrant mais je ne me détournais jamais de ma mission. Je me battais pour devenir un réel agent du CP7, je ne pouvais échouer à cette mission. La mandarine devait être dans 4 jours à Marie-Joie et elle y serait.

S'exécutant, la réceptionniste contacta sa supérieur par escargophone, lui indiquant qu'un visiteur souhaitait voir de plus près leurs arbres. Une requête qui devait être faite assez régulièrement car il n'y eu aucun débat. La propriétaire des lieux lui expliqua qu'elle envoyait un dénommé " Alphonse " pour mener la visite car elle-même n'avait pas le temps. En effet, je comprenais tout à fait la situation du fait de l'explosion de la notoriété de son entreprise. Aussi, du moment que mes desseins étaient servis je n'avais guère de préférences.
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Un gaillard ouvrit la porte qui se trouvait derrière la réceptionniste. Il était plutôt costaud, portait un marcel blanc sale qui mettait en valeur sa musculature. Alphonse ne devait donc pas être un enfant de cœur. Non pas qu'il était un mastodonte, mais certainement faisait-il fuir les quelques nuisibles qui s'imaginaient faire du grabuge ici.

- C'qui qui veut voir les mandariniers Elia ? fit-il avec une voix aiguë hilarante.

Me mordant la lèvre inférieur pour ne pas rire, je ne pu m'empêcher d'esquisser un sourire en coin. Je m'attendais à tout sauf à cela et un mythe venait de s'effondrer par la même occasion.

- Oui c'est le monsieur ici présent Al', lui répondit-elle. Tu l'emmènes ?

D'un geste nonchalant de tête le gusse m'invita à le suivre et je lui emboîta le pas. Juste avant de partir j'imprima une dernière fois le doux visage d'Elia dans mon esprit. Je ne pouvais lui résister, je ne savais pas pourquoi car jamais je n'avais connu cela auparavant. Un mystère qui s'atténua rapidement quand je me souvins que j'avais un délai infiniment trop court pour me laisser distraire. Le même navire que j'avais emprunté à l'aller m'attendait dans deux petites heures, je ne pouvais les faire attendre.

Après avoir emprunté une nouvelle porte qui donnait sur le verger nous descendîmes de quelques marches et enfin je me trouvais face à ces mandariniers.

- C'est magnifique... Alphonse c'est bien cela ?

- Yep, c'l'âme de l'île, la mémoire de Nojiko ici ! Vous v'nez pour une commande m'sieur ? l'homme semblait parler avec son cœur, comme si évoquer le nom de l'illustre fondatrice le toucher au plus profond de lui-même.

- Oui c'est bien cela, j'ai entendu dire que vous aviez eu une très bonne récolte la semaine dernière, elle s'est vendue cher je crois bien !

- Oh oui m'sieur pour sûr ! Il en reste qu'une cagette, vous la voulez ?! J'crois qu'ça va vous coûter bonbon !

Content d'apprendre qu'il en restait, je tissais ma toile peu à peu. Il fallait que j'obtienne plusieurs informations afin d'être le plus rapide et discret possible. Aussi, je poursuivis la discussion sur le travail d'agriculteur-récoltant du jeune homme qui me répondit avec beaucoup de passion. Ce métier était délibérément toute sa vie. Il avait ça dans l'âme et il transpirait d'amour pour ce travail. Bien que totalement étranger à ce type d'activité j’eus presque envie de m'y essayer.

Enfin, ma mission me ramenait sans cesse à la réalité et je voyais les minutes passées petit à petit. Je ne pouvais plus tarder. Il fallait que j'intervienne rapidement, sans que l'on s'en aperçoive.

- Pouvez-vous me montrer cette fameuse cagette alors ? demandais-je.

- Bien sûr m'sieur v'nez ! me répondit-il en me faisant un geste de la main.

Je ne me fis pas prier et le suivis jusqu'à l'entrepôt. Une fois entré à l'intérieur je fus totalement perdu dans un dédale de cagettes de mandarines. Elles étaient toutes identiques, parfois il y avait des inscriptions qui devaient certainement servir à identifier le destinataire. Enfin, je ne savais plus où donner de la tête et mon seul repère était le gaillard.

Lui savait parfaitement où il allait, naviguant dans ce labyrinthe sans le moindre soucis. Puis, au bout de quelques minutes nous arrivâmes face à une cagette, isolée des autres. C'était la fameuse. Mon graal était là, à seulement deux mètres de moi. Un homme se dressait entre elle et moi, il fallait que j'abatte ce mur pour l'atteindre. Enfin, je pouvais surement ruser mais quelque chose m'échappait. Je le sentais aux aguets, peut-être étais-je paranoïaque. Mon cerveau fonctionnait à dix milles, je cherchais toute les solutions pour voler la fameuse mandarines, les évaluais et tentais de trouver la meilleure.

Devais-je l'abattre, dissimuler le corps et disparaître dans la nature comme un véritable assassin, où simplement devais-je la voler avec une discrétion sans égale ?

Mon esprit se torturait tandis qu'Alphonse me faisait dos, il se pencha être sûr qu'aucune inscription n'était présente sur la cagette. Accroupis, il m'offrait un angle d'attaque parfait. Il fallait que je me décide et vite.
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Soudain ma main se raidit, puis en un geste éclaire je l'abattis droit devant moi.

- Shigan ! fis-je en plantant mon doigt juste sous l'omoplate gauche afin de percer le cœur d'Alphonse.

* crac *

Un bruit sinistre se fit entendre et l'homme se retourna, yeux exorbités. Mon doigt me lança fort, une douleur si vive que je manqua de lâcher un cri trop peu masculin pour qu'il ne m'échappe. Mon index s'était tordu à l'impact et mes ligaments lâchèrent. A vrai dire je ne savais pas utiliser le shigan, je l'avais déjà vu faire, je m'y étais déjà entraîné mais la finalité avait été la même.

L'air complètement abruti par ma tentative d'assassinat raté, il fallait que je me sorte de là.

- Excusez moi Al' une bête vous grimpais dessus, m'excusais-je maladroitement.

- Un malade, un fou c'lui là !

Énervé, il se leva et m'agrippa par le nœud de cravate avec sa main gauche, la droite poing serrée prêt à me fracasser. Je sentais que je ne faisais pas le poids, sa poigne était telle que je ne pouvais rien faire d'autre qu'attendre qu'il veuille bien me lâcher.

- J'te défonce moi alors touche moi, va s'y touche moi ! criait-il en me postillonnant au visage.

- Lâchez-moi Alphonse, ce n'est qu'un malentendu !

Puis, avec fureur il me balança et je valdingua contre une cagette que je brisa avec mon poids. Maculé de jus de mandarine, je n'avais pas fière allure surtout que le gaillard revenait à la charge, la colère dans le regard. Je ne pouvais me laisser faire, je devais me ressaisir et même si je sentais que je ne pouvais rien contre lui, il fallait bien que je me défende. Mon corps entier était alors en alerte, j'étais prêt à réagir au quart de tour pour tenter le tout pour le tout. Mon sang pulsait dans mes tempes, je sentais l'adrénaline affluer dans chacune des parties de mon corps, mon être entier était en ébullition.

- Arrête Al' ! C'est moi, c'est Elia mon choux !

Le paysan s'arrêta net, comme bloqué par une force invisible et se retourna vers la jolie rousse. Elle était venue en courant, alertée par les cris d'il y a quelques instants.
Elle fit le tour d'Alphonse et se dressa à coté de moi en m'aidant à me relever. Aussitôt je compris où j'étais et aggripa rapidement une mandarine que je cacha dans la poche intérieur de ma veste.

- Excusez le monsieur Modric, c'est qu'Alphonse a une phobie de la douleur alors il s'énerve un peu trop vite et trop fort ! me dit-elle en m'aidant à me relever. Hein Al', faut que tu te calmes ! continua-t-elle.

Hagard, le paysan se calma aussitôt comme un enfant que l'on venait de gronder. Il n'était pas méchant, mais une telle hantise de la douleur avait développé en lui un système de défense effrayant. Une réaction qui faisait de lui une machine de guerre l'espace d'un instant. Enfin, j'avais éviter le pire. J'étais entier et le molosse était calmé.

- Il n'y a pas de soucis, c'est moi j'ai été un peu brusque ! Comprenez que je m'en aille, j'ai à faire et il faut que je me remette de tout cela.

Non contente d'avoir perdu un potentiel client, elle m'invita à me rendre à l'accueil et m'offrit une cagette de mandarines banales. Puis, J'eus droit aux excuses d'Alphonse, maladroites certes mais sincères. Nojika ayant quitté l'entrepris juste avant que le grabuge ait lieu, elle ne pu donc me présenter ses excuses. Je leur fis comprendre que je ne leur en tenait pas rigueur et m'en alla avec simplicité. Je n'avais pas été hautain, simplement mécontent comme n'importe qui l'aurait été à ma place.
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Marchant jusqu'au port, je souffrais encore de mon doigt qui me lançait par intermittence. Pourquoi avais-je tenté un assassina alors que j'avais d'autres solutions ? Je me posais cette question en boucle car la réponse ne me venait pas. Une sorte de pulsion meurtrière s'était emparée de moi. Un phénomène plus fort que moi, un évènement qui me dépassait totalement.

Continuant à réfléchir sur mes actes, je perdis la notion du temps. Si bien qu'une fois arrivé au port, le croiseur floqué de la mouette commençait juste à s'éloigner du ponton auquel il était amarré. Je lança donc ma cagette de mandarines en l'air et fonça comme un dératé dans sa direction. Je fis signe aux soldats puis accéléra une nouvelle fois. Mes bras balançaient frénétiquement et mes pas faisaient trembler le ponton. Arrivant au bout je sauta, presque majestueusement, me fracassant contre le bastingage du navire. J'eus simplement le temps de m'aggriper à une main tendue et rapidement on me souleva jusqu'à arriver sur le pont.

- Hum... monsieur c'était juste ! me dit sèchement le gradé qui commandait ce navire.

- C'est bien vrai, heureusement que je n'ai pas mis une minute de plus, n'est-ce pas Lieutenant John Dragger fis-je.

Je mis ma main à la poche intérieur de ma veste et n'attrapa que du vide. Aussitôt mon sang ce glaça et un stress monumentale m'envahit. Je tapota plusieurs fois pour être sûr de n'avoir pas rêvé, puis commença à fouiller toutes mes poches une à une avec frénésie. Je ne savais plus où donner de la tête, je suais à grosses gouttes.

- Je l'ai... je.. je je l'ai je vous le jure !

Pendant ce temps les marins riaient, se fendant la poire sur la situation. L'un d'eux avait la fameuse mandarine dans la main et se moquait de moi qui ne le voyait pas. Puis, je me tourna et vis l'objet de ma mission.

- Elle est tombé quand on vous a remonté ahaha ! dit le marin en question.

- Vous n'auriez pas pu me le dire au lieu de me faire peur ? leur lançais-je tandis que la pression retomba d'un seul coup.

- Oh non, c'était bien trop drôle ! Sauf votre respect monsieur !

- Allez c'est bon Harry, donne la moi, on va l'emmener jusqu'à Marie-Joie c'est parfait, nous devions nous y rendre ! dit à nouveau le gradé

Essoufflé, je m'assis quelques secondes pour reprendre mes esprits. Voilà que ma mission était réussie, j'étais fier mais en même temps je me sentais un peu ridicule.

- Par contre vous devez descendre, on ne vous emmène pas vous !

- Attendez, comment ça ? Vous n'auriez pas pu me prévenir avant de vous éloigner autant du bord ?

- Parce qu'on ne sait pas nager au Cipher Pol ? ahah vous avez entendu les gars ?! reprit de plus belle Harry.

Vexé, je sauta du pont en exécutant un magnifique plongeon. Une fois que j'eus ressortie la tête de l'eau, je fus acclamé par un tonnerre d'applaudissement moqueur et quelques sifflements. Faisant comme si je n'entendais rien, je pris la direction de Cocoyashi pour la seconde fois. M'imaginant d'ores et déjà me reposer dans une chambre d'hôtel, lire un bon livre et m'endormir tranquillement.
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