Chad CLAYTON
• Pseudonyme :
• Age : 27 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain...
• Métier : Capitaine
• Groupe :[/b Pirate
• Age : 27 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain...
• Métier : Capitaine
• Groupe :[/b Pirate
• But : Faire valoir la liberté de la piraterie
• Équipement : Tenue plus civile, pistolet à barillet (6 coups), un katana simple, une boussole doré au verre brisé
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
• Équipement : Tenue plus civile, pistolet à barillet (6 coups), un katana simple, une boussole doré au verre brisé
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ?
Codes du règlement :
Description Physique
Me décrire ? C'est que vous en demandez des choses dites moi. A la base je vous aurais simplement refoulé car je veux profiter de mon repos mais visiblement vous n'aller aucunement lâcher la grappe. Je ne suis pas ce que l'on pourrait nommer de « soldat parfait » selon les critères des royaumes ou même de la marine en général. Ma musculature n'est pas la plus imposante. A vrai dire, elle a beau être visible, je reste à peine au dessus de la moyenne. Mis à part ça, j'ai pas mal de cicatrice sur le corps. Vous conter comment je les ai obtenue ne vous servirait pas tellement non plus. Pour ce qui est de ma taille ou de mon poids, toujours rien d’exceptionnel puisque je fais seulement 1m78 pour 80kg, sois tous ce qu'il y a de plus standard. Je vous avais prévenu que je n'étais pas si différent.
Je possède également une paire d'yeux vairon, vous savez, ces yeux de différentes couleurs. J'en possède un bleu aussi « pur » que le saphir ainsi qu'un autre de couleur à mis-chemin entre le rouge et le orange afin de contraster avec le premier. On m'a plus d'une fois complimenté la dessus en disant que c'était tel des pierres précieuses, mais bon, vu le milieu où j'étais...réel compliment ou technique pour amadouer, qui peut savoir. En continuant de se concentrer sur mon faciès, on peut facilement voir que je ne porte aucune barbe ou moustache, une peau blanche et immaculé de toute trace de vieillesse. Du moins c'est ainsi à première vue, nous savons tous que le temps fait des ravages, moi le premier.
Pour en rajouter un peu plus, on peut me parler des divers tatouages se trouvant à certains endroit de mon corps, l'un venant d'une partie sombre de moi représentant un démon enchaîné à mon dos, un autre à l'épaule représentant un loup, symbole de meute ou encore un autre sur l'abdomen représentant un symbole étrange. Je n'ai jamais vraiment sût d'où le symbole venait mais bon, je vis avec depuis tous petit alors autant le conserver.
Ho, je viens d'oublier quelque chose qui me distinct clairement des autres, ma chevelure. Je crois que je ne me la suis presque jamais coupé depuis ma naissance, peut-être qu'inconsciemment je marque un élément particulier qui sais. C'est sans doute pourquoi celle-ci descend jusqu'au bas de mon dos principalement en queue de cheval pour ne pas trop gêner mes mouvements bien que même entièrement détaché je peux faire à peu près ce que je veux.
Maintenant assez parlé de mon corps et passons à mon style vestimentaire. En sois je n'ai rien contre la mode. Pour certain c'est une question de vie ou de mort mais pour moi il s'agit juste d'un style que je peux apprécier ou non. Cependant si on devait décrire mon style générale, je reste assez sobre. Je porte la plupart du temps une chemise blanche avec par dessus ça une veste noir uni qui descend jusqu'au niveau de mes mollets. Pour ce qui est du bas, je porte généralement un jean de couleur à mis-chemin entre le noir et le gris avec des chaussures de cuir noir à mes pieds. Quoi ? Je fais mon intéressant avec cette tenue ? Non je ne veux simplement pas attirer l'attention avec des couleurs flashy. Je suis pas idiot pour attirer l'attention à ce point.
Je possède également une paire d'yeux vairon, vous savez, ces yeux de différentes couleurs. J'en possède un bleu aussi « pur » que le saphir ainsi qu'un autre de couleur à mis-chemin entre le rouge et le orange afin de contraster avec le premier. On m'a plus d'une fois complimenté la dessus en disant que c'était tel des pierres précieuses, mais bon, vu le milieu où j'étais...réel compliment ou technique pour amadouer, qui peut savoir. En continuant de se concentrer sur mon faciès, on peut facilement voir que je ne porte aucune barbe ou moustache, une peau blanche et immaculé de toute trace de vieillesse. Du moins c'est ainsi à première vue, nous savons tous que le temps fait des ravages, moi le premier.
Pour en rajouter un peu plus, on peut me parler des divers tatouages se trouvant à certains endroit de mon corps, l'un venant d'une partie sombre de moi représentant un démon enchaîné à mon dos, un autre à l'épaule représentant un loup, symbole de meute ou encore un autre sur l'abdomen représentant un symbole étrange. Je n'ai jamais vraiment sût d'où le symbole venait mais bon, je vis avec depuis tous petit alors autant le conserver.
Ho, je viens d'oublier quelque chose qui me distinct clairement des autres, ma chevelure. Je crois que je ne me la suis presque jamais coupé depuis ma naissance, peut-être qu'inconsciemment je marque un élément particulier qui sais. C'est sans doute pourquoi celle-ci descend jusqu'au bas de mon dos principalement en queue de cheval pour ne pas trop gêner mes mouvements bien que même entièrement détaché je peux faire à peu près ce que je veux.
Maintenant assez parlé de mon corps et passons à mon style vestimentaire. En sois je n'ai rien contre la mode. Pour certain c'est une question de vie ou de mort mais pour moi il s'agit juste d'un style que je peux apprécier ou non. Cependant si on devait décrire mon style générale, je reste assez sobre. Je porte la plupart du temps une chemise blanche avec par dessus ça une veste noir uni qui descend jusqu'au niveau de mes mollets. Pour ce qui est du bas, je porte généralement un jean de couleur à mis-chemin entre le noir et le gris avec des chaussures de cuir noir à mes pieds. Quoi ? Je fais mon intéressant avec cette tenue ? Non je ne veux simplement pas attirer l'attention avec des couleurs flashy. Je suis pas idiot pour attirer l'attention à ce point.
Description Psychologique
Me décrire mentalement maintenant ? Tu parles d'une galère. Bon vous l'avez peut-être deviné mais depuis mes débuts dans la piraterie quelques peu « précipités », je suis un homme que l'on peut surnommer de « Force Tranquille ». En quelque sorte, ça veut dire que lorsqu'il n'y a aucun danger à l'horizon, je peux être du genre à pioncer ou simplement y aller à mon rythme. Pour autant, cela ne veut pas dire que je suis un feignant. Si quelque chose doit être fait, prioritaire ou non je le fais sans rechigner. Clairement, je profite de la vie, de ses plaisirs et la liberté que cela apporte. Personne pour imposer quoi que se soit, personne pour te considérer comme un moins que rien, juste vivre comme bon nous semble. Excusez moi je m'égare.
C'est bien, cette phrase me permet de faire la transition sur ce que j'apprécie et sur ce que je haïs plus que tous. Comme tous bon pirate, j'aime les richesses et en amasser lorsque l'occasion se présente. Après tout, on n'en a jamais assez pour vivre convenablement dans ce domaine. On sait tous que la mort peut peut-être nous attraper le lendemain alors autant vivre à fond jusqu'au bout. J'apprécie également faire la fête avec mes compagnons ou ceux avec qui je m'entends bien. C'est sans doute l'un des rares moments où je deviens émotif, bourré ou pas, c'est juste que je me lâche. Après il existe sans doute d'autres chose que j'adore ou aime particulièrement mais je vous ai cité le plus important.
En ce qui concerne ce que je déteste, c'est très simple. Tous ce qui se rapporte à la marine ou simplement la haute société me débecte. Je ne peux pas voir ce genre de chose en photo et le moindre mot sur leur « idéal de justice » me fait doucement rire, si bien que j'aurais envie de casser la gueule à celui qui le dit. Alors il est vrai que tous ne sont pas pareil, les nobles ou royauté comme les marines. Mais faut dire qu'ils semblent tellement rare que sa paraît dérisoire. Enfin sa sera au destin de trancher si je change sur ce point ou pas.
Pour revenir sur mon comportement d'un point de vue plus générale, je ne sous-estime jamais un adversaire. Pour moi il s'agit là d'une terrible erreur. Sous estimer un adversaire peut vous faire tuer en un instant, simplement parce que vous avez joué les fanfarons. Il est hors de question que cela m'arrive et je ne tolérerai sûrement pas ça sur mon navire à l'avenir.
Finalement...qu'est ce que je peux bien ajouté ? Je suppose que l'on peut parler faiblement de mon « égo ». Faut dire que je n'ai jamais été considéré, on m'a toujours vu comme un objet et non une personne à part entière. Cependant c'est à l'objet et à son équipage de faire surface et de se faire connaître au grand malheur de tous ceux qui préféreraient me voir 6 pieds sous terre. Je ne compte sûrement pas me taire, je ne compte pas me mettre à genoux face à ceux qui ne le mérite pas, je me suis battu pour en arriver là et personne ne m'enlèvera ce droit, je poursuivrai ainsi jusqu'à la mort, même si je dois ravager le monde au passage. Comme je le dis toujours « Je préfère mourir debout pour ma liberté que de vivre à genoux pour qu'elle me sois retiré. »
C'est bien, cette phrase me permet de faire la transition sur ce que j'apprécie et sur ce que je haïs plus que tous. Comme tous bon pirate, j'aime les richesses et en amasser lorsque l'occasion se présente. Après tout, on n'en a jamais assez pour vivre convenablement dans ce domaine. On sait tous que la mort peut peut-être nous attraper le lendemain alors autant vivre à fond jusqu'au bout. J'apprécie également faire la fête avec mes compagnons ou ceux avec qui je m'entends bien. C'est sans doute l'un des rares moments où je deviens émotif, bourré ou pas, c'est juste que je me lâche. Après il existe sans doute d'autres chose que j'adore ou aime particulièrement mais je vous ai cité le plus important.
En ce qui concerne ce que je déteste, c'est très simple. Tous ce qui se rapporte à la marine ou simplement la haute société me débecte. Je ne peux pas voir ce genre de chose en photo et le moindre mot sur leur « idéal de justice » me fait doucement rire, si bien que j'aurais envie de casser la gueule à celui qui le dit. Alors il est vrai que tous ne sont pas pareil, les nobles ou royauté comme les marines. Mais faut dire qu'ils semblent tellement rare que sa paraît dérisoire. Enfin sa sera au destin de trancher si je change sur ce point ou pas.
Pour revenir sur mon comportement d'un point de vue plus générale, je ne sous-estime jamais un adversaire. Pour moi il s'agit là d'une terrible erreur. Sous estimer un adversaire peut vous faire tuer en un instant, simplement parce que vous avez joué les fanfarons. Il est hors de question que cela m'arrive et je ne tolérerai sûrement pas ça sur mon navire à l'avenir.
Finalement...qu'est ce que je peux bien ajouté ? Je suppose que l'on peut parler faiblement de mon « égo ». Faut dire que je n'ai jamais été considéré, on m'a toujours vu comme un objet et non une personne à part entière. Cependant c'est à l'objet et à son équipage de faire surface et de se faire connaître au grand malheur de tous ceux qui préféreraient me voir 6 pieds sous terre. Je ne compte sûrement pas me taire, je ne compte pas me mettre à genoux face à ceux qui ne le mérite pas, je me suis battu pour en arriver là et personne ne m'enlèvera ce droit, je poursuivrai ainsi jusqu'à la mort, même si je dois ravager le monde au passage. Comme je le dis toujours « Je préfère mourir debout pour ma liberté que de vivre à genoux pour qu'elle me sois retiré. »
Biographie
Conter mon histoire est sans doute ce qu'il y a de plus compliqué pour moi à l'heure qu'il est. Je vous rassure quelque peu, il ne s'agit pas là d'une énième histoire où les parents sont mort à cause de marin ou du gouvernement, ce qui me fait devenir pirate et blablabla. A vrai dire je n'ai jamais réellement connu ceux-ci. Cela conclut qu'ils ont disparut ou sont décédé alors que j'étais bébé mais bon, vous en saurez plus en m'écoutant.
Mon histoire a débuté dans le plus grand bagne des blues : Tequila Wolf en Mars 1599. Beaucoup ne voient sans doute cet endroit que comme le lieu saint où tous les prisonniers peuvent payer leurs erreurs en travaillant avant de revenir à la vie civile, mais pour tous ceux qui sont envoyé là-bas, c'est juste un enfer dont on ne peut s'échapper. Je ne sais pas ce qu'on put faire mes deux géniteurs pour en arriver là mais ce qui est sûr c'est qu'ils ont fini ici aussi. Aujourd'hui encore je ne sais pas ce qu'il est advenue d'eux. Sont-ils mort ? Ont-ils disparut ? Peut-être travaillent-ils toujours sur ce pont ? Peu m'importe, je ne compte pas passer mon existence à les retrouver ni même à y penser. Puis même à cette époque là peu importe mon âge, on me forçait à porter des trucs de plus en plus lourds, tout ça pour payer des crimes qui n'étaient même pas les miens dans un froid glaciale et des conditions désastreuses pour nous tous. Un vrai enfer je vous dis...du moins si vous êtes pas allé à Impel Down évidemment. Je crois bien que j'y ai passé 20 ans dans ce pétrin avant de pouvoir partir de ce trou pourri. Je suis passé par tous les postes, qu'il s'agisse d'aider pour la nourriture, le transport de message ou encore simplement la construction comme tous ceux ayant atteint l'âge adulte.
J'en ai vu passer des bagnards, je les ai vu grandir pour certains qui comme moi sont né dans la « prison », d'autres arriver en pleurnichant ou enfin ceux qui jouent les durs avant d'éclater en sanglot lorsqu'ils se rendent compte que leur existence va se terminer ici.
Je n'ai jamais été des plus sociable durant ces vingts dernières années. Sûrement afin de garder la tête sur mes épaules et de ne pas paraître inutile aux yeux des autres. Ha si, je me rappelle de certaines chose malgré le côté monotone du chantier en tenue de prisonnier. Je me souviens que c'était lorsque je fut âgé de 17 ans. J'étais en train de marteler les clous encore et encore avant que je n'entende un cri strident dans le froid glaciale habituelle. J'eus à peine le temps de tourner mon regard à la source du bruit que je me fit bousculer par quelqu'un, tombant au sol. Me relevant rapidement, je ne vis qu'un prisonnier à peine plus âgé que moi se faire abattre tel un chien devant tous le monde par la garde qui était composé de marin pour la plupart. Evidemment c'était aussi à nous de nous occuper des cadavres pour ne pas laisser les grands gardes justicier se salir, déjà qu'ils nous surveillaient malgré le froid…
Tout en aidant à transporter le corps pour le balancer à la mer, j'ai finit par nouer contact avec un type assez...étrange. Cherchant rapidement de qui il s'agissait, je finis par me souvenir de son visage. Tous les jeunes comme moi l'appellent « papy » car lorsque nous avions un peu de repos par le passé ou même lorsque nous étions enfants, il nous parlait d'histoire de mers avec des pirates, des combats à couper le souffle ou encore de ces légendes sur les fruits du démon conférant des pouvoirs incroyables à ceux qui les mangeaient. Mais bon, ce n'était que des légendes, des rêves à dormir debout. Non, ce qui m'avait le plus attiré ou du moins attisé ma curiosité, ce fut ses mots à propos du gouvernement mondial et la marine. Moi qui comptais passer ma vie ici sans trop d'espoir, j'ai finalement réussi à me forger mon opinion. On n'a cessé de me parler des révolutionnaires, la marine et son gouvernement mondial...qu'ils aillent au diable avec leur conflit à la mord moi le nœud. Au final les choses sont ce qu'elles sont. Sois tu combat pour un idéal impossible, sois tu deviens un abruti qui ne pense qu'à ses intérêts...c'est peut-être pour ça que j'enviais les pirates. Alors oui il en existe des cruels, des impitoyables...mais l'objectif déclencheur à été le même pour tous le monde...contrôler son propre destin.
Ce n'était peut-être qu'un simple rêve irréalisable de vouloir quitter cet endroit, vouloir s'en aller et vivre une grande aventure...mais un jour j'en étais sûr...je pourrais partir. Dans l'ombre, à l'abri des gardes, lorsque nous étions dans nos baraquements, j'ai essayé de rallier du monde à ma cause, devenir un équipage ou au moins pouvoir s'enfuir et profiter de la vie sans retour. Cependant plus le temps passait et moins le nombre de personne augmentait, il diminuait même. Peu importe je devais me débrouiller pour partir. Alors que j'essayais de me repérer en créant un grand plan des lieux alors que je fut âgé de 24 ans, un nouvel arrivage de prisonnier arriva dans les baraquements. Pour la plupart se fut un bisutage mais dans le tas se trouvait quelqu'un à la personnalité intéressante. Une jeune femme qui ne semblait à première vue pas connaître la peur et qui désirait vouloir parcourir le monde plus que tous.
Étrangement, je ne sais pas ce qui me passait par la tête mais mon premier réflexe fut d'aller la protéger de tous les porcs qui n'avaient plus vu une femme depuis des années. Ho ouai j'en ai pris des coups ce jour-là...mais qu'est ce que j'ai put en donner aussi. Malheureusement, vous vous en doutez, la milice a fait son travail et nous nous sommes retrouvé tous deux en isolement. Pourtant...ce jour-là j'ai rie à gorge déployée pour la première fois de ma vie. D'habitude je ne faisais que subir en suivant le troupeau pour ne pas mourir mais là je m'étais battu pour protéger, battu pour ce que je pensais...je ne m'étais jamais senti aussi vivant auparavant. Bien qu'elle aie put me trouver bizarre à mes débuts, nous n'avons cessé de discuter à la première occasion. Pour moi qui n'avait jamais vu réellement le monde, bloqué tel une grenouille dans un puit, j'ai cherché à en apprendre plus. Plus elle m'en disait sur le monde et plus je voulais quitter cet endroit pour partir à l'aventure. Pourtant, partir n'était pas une mince affaire c'est le moins que l'on puisse dire, mais j'avais enfin appris ce qu'on appel l'espoir. Alors pourquoi le laisser partir s'il se trouve à porter de main ? Moi je saisie la chance à pleine main.
Après cet isolement, nous avons passé quasiment tout notre temps ensemble, à discuter, travailler et parfois à sourire dans mon coin de temps à temps. Même si ce n'était pas le meilleur endroit, c'est encore aujourd'hui l'un des meilleures moment de ma vie mais bon, vous vous en doutez je ne lui en ai jamais parlé, faudrait pas qu'elle reprenne de l'arrogance alors qu'elle m'a juste fait sourire après tout.
Ce rythme a encore durée pendant 3 ans quasiment. Du travail, de la rigolade, de l'entraînement avec que l'on voyait de l'entraînement des marines, de la bagarre contre d'autres détenu qui en voulait sois à ma camarade ou alors à moi...dans tous les cas on était un sacré duo, comme si on se connaissaient depuis la naissance malgré le peu de temps passé ensemble. Puis finalement, le moment arriva. Un attentat perpétré par les révolutionnaires sur l'ensemble des bagnes en 1626. Cependant la réaction des marines ne se fit pas attendre.
Profitant de la confusion qui régnait dans les lieux, j'en profite pour fuir avec ma camarade en direction des navires de guerre qui stationnaient non loin de là. Heureusement que les révolutionnaires attiraient du monde car sinon nous n'aurions jamais put monter à bord. Une fois monté en toute discrétion malgré le chaos, nous nous sommes caché dans la cale avec l'entièreté du matériel en attendant un nouveau port ou fuir.
Je crois qu'à partir de là notre cavale à bien duré six mois, six mois d'entraide, six mois à s'améliorer pour pouvoir être complètement libre. Six mois à voler et un minimum s'enrichir pour ne pas partir vide je suppose. A partir de là ma mémoire devient flou, sans doute que les événements n'avaient pas réellement d'importance. En tout cas, vous savez tous ce qu'il y a à savoir sur moi, ou presque.
Et vous ? C'est quoi votre histoire moussaillon ?
Mon histoire a débuté dans le plus grand bagne des blues : Tequila Wolf en Mars 1599. Beaucoup ne voient sans doute cet endroit que comme le lieu saint où tous les prisonniers peuvent payer leurs erreurs en travaillant avant de revenir à la vie civile, mais pour tous ceux qui sont envoyé là-bas, c'est juste un enfer dont on ne peut s'échapper. Je ne sais pas ce qu'on put faire mes deux géniteurs pour en arriver là mais ce qui est sûr c'est qu'ils ont fini ici aussi. Aujourd'hui encore je ne sais pas ce qu'il est advenue d'eux. Sont-ils mort ? Ont-ils disparut ? Peut-être travaillent-ils toujours sur ce pont ? Peu m'importe, je ne compte pas passer mon existence à les retrouver ni même à y penser. Puis même à cette époque là peu importe mon âge, on me forçait à porter des trucs de plus en plus lourds, tout ça pour payer des crimes qui n'étaient même pas les miens dans un froid glaciale et des conditions désastreuses pour nous tous. Un vrai enfer je vous dis...du moins si vous êtes pas allé à Impel Down évidemment. Je crois bien que j'y ai passé 20 ans dans ce pétrin avant de pouvoir partir de ce trou pourri. Je suis passé par tous les postes, qu'il s'agisse d'aider pour la nourriture, le transport de message ou encore simplement la construction comme tous ceux ayant atteint l'âge adulte.
J'en ai vu passer des bagnards, je les ai vu grandir pour certains qui comme moi sont né dans la « prison », d'autres arriver en pleurnichant ou enfin ceux qui jouent les durs avant d'éclater en sanglot lorsqu'ils se rendent compte que leur existence va se terminer ici.
Je n'ai jamais été des plus sociable durant ces vingts dernières années. Sûrement afin de garder la tête sur mes épaules et de ne pas paraître inutile aux yeux des autres. Ha si, je me rappelle de certaines chose malgré le côté monotone du chantier en tenue de prisonnier. Je me souviens que c'était lorsque je fut âgé de 17 ans. J'étais en train de marteler les clous encore et encore avant que je n'entende un cri strident dans le froid glaciale habituelle. J'eus à peine le temps de tourner mon regard à la source du bruit que je me fit bousculer par quelqu'un, tombant au sol. Me relevant rapidement, je ne vis qu'un prisonnier à peine plus âgé que moi se faire abattre tel un chien devant tous le monde par la garde qui était composé de marin pour la plupart. Evidemment c'était aussi à nous de nous occuper des cadavres pour ne pas laisser les grands gardes justicier se salir, déjà qu'ils nous surveillaient malgré le froid…
Tout en aidant à transporter le corps pour le balancer à la mer, j'ai finit par nouer contact avec un type assez...étrange. Cherchant rapidement de qui il s'agissait, je finis par me souvenir de son visage. Tous les jeunes comme moi l'appellent « papy » car lorsque nous avions un peu de repos par le passé ou même lorsque nous étions enfants, il nous parlait d'histoire de mers avec des pirates, des combats à couper le souffle ou encore de ces légendes sur les fruits du démon conférant des pouvoirs incroyables à ceux qui les mangeaient. Mais bon, ce n'était que des légendes, des rêves à dormir debout. Non, ce qui m'avait le plus attiré ou du moins attisé ma curiosité, ce fut ses mots à propos du gouvernement mondial et la marine. Moi qui comptais passer ma vie ici sans trop d'espoir, j'ai finalement réussi à me forger mon opinion. On n'a cessé de me parler des révolutionnaires, la marine et son gouvernement mondial...qu'ils aillent au diable avec leur conflit à la mord moi le nœud. Au final les choses sont ce qu'elles sont. Sois tu combat pour un idéal impossible, sois tu deviens un abruti qui ne pense qu'à ses intérêts...c'est peut-être pour ça que j'enviais les pirates. Alors oui il en existe des cruels, des impitoyables...mais l'objectif déclencheur à été le même pour tous le monde...contrôler son propre destin.
Ce n'était peut-être qu'un simple rêve irréalisable de vouloir quitter cet endroit, vouloir s'en aller et vivre une grande aventure...mais un jour j'en étais sûr...je pourrais partir. Dans l'ombre, à l'abri des gardes, lorsque nous étions dans nos baraquements, j'ai essayé de rallier du monde à ma cause, devenir un équipage ou au moins pouvoir s'enfuir et profiter de la vie sans retour. Cependant plus le temps passait et moins le nombre de personne augmentait, il diminuait même. Peu importe je devais me débrouiller pour partir. Alors que j'essayais de me repérer en créant un grand plan des lieux alors que je fut âgé de 24 ans, un nouvel arrivage de prisonnier arriva dans les baraquements. Pour la plupart se fut un bisutage mais dans le tas se trouvait quelqu'un à la personnalité intéressante. Une jeune femme qui ne semblait à première vue pas connaître la peur et qui désirait vouloir parcourir le monde plus que tous.
Étrangement, je ne sais pas ce qui me passait par la tête mais mon premier réflexe fut d'aller la protéger de tous les porcs qui n'avaient plus vu une femme depuis des années. Ho ouai j'en ai pris des coups ce jour-là...mais qu'est ce que j'ai put en donner aussi. Malheureusement, vous vous en doutez, la milice a fait son travail et nous nous sommes retrouvé tous deux en isolement. Pourtant...ce jour-là j'ai rie à gorge déployée pour la première fois de ma vie. D'habitude je ne faisais que subir en suivant le troupeau pour ne pas mourir mais là je m'étais battu pour protéger, battu pour ce que je pensais...je ne m'étais jamais senti aussi vivant auparavant. Bien qu'elle aie put me trouver bizarre à mes débuts, nous n'avons cessé de discuter à la première occasion. Pour moi qui n'avait jamais vu réellement le monde, bloqué tel une grenouille dans un puit, j'ai cherché à en apprendre plus. Plus elle m'en disait sur le monde et plus je voulais quitter cet endroit pour partir à l'aventure. Pourtant, partir n'était pas une mince affaire c'est le moins que l'on puisse dire, mais j'avais enfin appris ce qu'on appel l'espoir. Alors pourquoi le laisser partir s'il se trouve à porter de main ? Moi je saisie la chance à pleine main.
Après cet isolement, nous avons passé quasiment tout notre temps ensemble, à discuter, travailler et parfois à sourire dans mon coin de temps à temps. Même si ce n'était pas le meilleur endroit, c'est encore aujourd'hui l'un des meilleures moment de ma vie mais bon, vous vous en doutez je ne lui en ai jamais parlé, faudrait pas qu'elle reprenne de l'arrogance alors qu'elle m'a juste fait sourire après tout.
Ce rythme a encore durée pendant 3 ans quasiment. Du travail, de la rigolade, de l'entraînement avec que l'on voyait de l'entraînement des marines, de la bagarre contre d'autres détenu qui en voulait sois à ma camarade ou alors à moi...dans tous les cas on était un sacré duo, comme si on se connaissaient depuis la naissance malgré le peu de temps passé ensemble. Puis finalement, le moment arriva. Un attentat perpétré par les révolutionnaires sur l'ensemble des bagnes en 1626. Cependant la réaction des marines ne se fit pas attendre.
Profitant de la confusion qui régnait dans les lieux, j'en profite pour fuir avec ma camarade en direction des navires de guerre qui stationnaient non loin de là. Heureusement que les révolutionnaires attiraient du monde car sinon nous n'aurions jamais put monter à bord. Une fois monté en toute discrétion malgré le chaos, nous nous sommes caché dans la cale avec l'entièreté du matériel en attendant un nouveau port ou fuir.
Je crois qu'à partir de là notre cavale à bien duré six mois, six mois d'entraide, six mois à s'améliorer pour pouvoir être complètement libre. Six mois à voler et un minimum s'enrichir pour ne pas partir vide je suppose. A partir de là ma mémoire devient flou, sans doute que les événements n'avaient pas réellement d'importance. En tout cas, vous savez tous ce qu'il y a à savoir sur moi, ou presque.
Et vous ? C'est quoi votre histoire moussaillon ?
Test RP
Ha le sultanat de pétales, l'une des îles qui à priori semble des plus paisible, loin de ces guerres entre gouvernement mondial, révolutionnaire ou des armadas de pirate...enfin je crois. Bbbbuaarrfff, pas la peine de se prendre la tête avec ça. Une chose est sûr, l'on savait faire la fête sur cette île et plus particulièrement dans Rosetta, aussi bien dans les hautes sphères que dans les bas quartiers, enfin de ce que je voyais.
Étant un fugitif je ne pouvais pas non plus me permettre d'apparaître en public comme bon me semblait aux risques d'avoir toujours plus de problème. Pourtant, l'alcool coulait à flot ce soir là, je ne sais même plus combien de verre j'ai pu prendre avant de finalement sombrer dans l'inconscience.
Heureusement le lendemain matin fut calme. J'ai réussi à me lever assez tôt pour reprendre ma route avant qu'un trio de type à l'allure louche ne vienne à ma rencontre. Agrippant le manche du sabre à ma ceinture prêt à le dégainer, on vient finalement me dire que l'on souhaite me faire une proposition. Vous voulez mon avis sincère ? Vu leur gueule respective ils doivent me prendre à la légère à cause de mon allure maigrichonne afin de peut-être me racketter. J'ai même découvert que l'un d'eux était recherché mort ou vif. Cependant ils n'en firent rien, ils étaient effectivement là pour me faire une proposition.
Après un rapide « briefing », on m'explique finalement que je dois rechercher un dénommé Clyde. Apparemment ce type aurait été un partenaire à leur trio qui leur a faussé compagnie pour une raison obscure. De plus, je devais leur ramener mort ou vif afin d'attester ma réussite et recevoir cet argent. Dans des circonstances classiques je ne les auraient sûrement pas suivi ou écouté mais vu que je suis fauché fallait bien que je gagne ma croûte.
Ainsi a débuté ma « quête » pour me faire un peu de pognon, youhou, sa claque hein ? Bon sincèrement, j'ai pris quasiment la semaine avant de trouver l'homme que je recherchais dans la région, demandant encore et encore aux quelques gens que je suspectais pour obtenir des renseignements. A ce que j'ai entendu, il vivait à proximité des champs pour se rendre plus vite au travail mais qu'il fallait faire attention parce qu'il était un peu parano à certains moments. Faut croire que le trio lui a laissé des séquelles avant d'abandonner les recherches par eux-même.
Remerciant les personnes qui m'avaient informé, je me dirigeais alors vers la bâtisse. Une maison de bois, très modeste et caché par les champs, une cachette presque paradisiaque en somme, du moins si on est fana des fleurs ou de plante en tout genre.
Voyant la porte d'entrée entrouverte à mon arrivée, je la pousse l'ouvrant entièrement découvrant ainsi une femme et sa fille s'amusant entre elles avec je ne sais quelles babioles mais sans voir la tête de la dite cible. Dégainant légèrement la lame de son fourreau, la femme se mit à hurler en me voyant avant que des bruits de pas rapide ne se fassent entendre faisant le tour de la maison me faisant dégainer complètement la lame avant de la pointer dans la direction des bruits. Surgit alors le dit homme que je cherchais, armé aussi mais qui ne s'attendait sans doute pas à ce que je pointe directement la lame dans sa direction.
« Clyde je présume ? »
« Qu'est ce que vous voulez ? Nous voler ? Vous ne trouverez rien ici. Et comment me connaissez vous ? »
« C'est un trio qui m'envoie pour vous ramener à eux mort ou vif. »
« Encore eux...je peux jamais vivre en paix. Combien vous ont-ils payé ? »
« Je ne compte rien dire...je suppose qu'un contrat est un contrat et qu'on ne peut pas le changer. »
Me rapprochant de lui avec la lame dégainé, il finit par baisser la sienne comme s'il s'était résigné, tremblant légèrement face à sa fin inévitable. Interrogatif par rapport à son comportement que je trouvais des plus étranges contrairement à ce qui se passait à Tequila Wolf, je finis par baisser légèrement la lame avant de lui demander pourquoi il semblait accepter la mort. Il m'expliqua rapidement que si cela pouvait sauver sa famille alors il semblait prêt à tout, qu'il avait commis des atrocités seulement pour l'argent et qu'il remerciait Dieu pour lui avoir amené son épouse actuelle qui l'a ramené dans le droit chemin. J'étais à la fois ému et profondément dégoûté. Je ne croyais en aucun dieu, les considérant comme une excuse bidon de l'homme et j'avais envie de détruire ce bonheur ambiant, quelque peu jaloux d'avoir vécu l'enfer depuis ma naissance sans connaître le bonheur avant de rencontrer ma camarade et obtenir la liberté en m'évadant. Malgré tout, cet homme avait réussi l'impossible. Un criminel qui arrive à revenir dans le droit chemin et se faire oublier pour vivre une vie de famille...avais je réellement le droit de détruire ce pourquoi cet homme avait mit tant d'effort ? Détruire ce qui l'avait permis de revenir dans le droit chemin alors que d'autres veulent sa peau pour s'amuser et le voir souffrir inutilement ? Honnêtement je ne crois pas. Rengainant la lame, je commence à quitter les lieux d'un pas simple tandis que l'homme m'observe d'un œil surpris avant de me remercier au loin de l'avoir épargné pour qu'il rejoigne sa famille.
Cependant je reviens à la case départ, non seulement je reste fauché mais en plus de ça, si je ne fais pas ce que ce trio demande alors mon cas risque de s'aggraver avant même de me faire un véritable nom dans la piraterie. Tu parles d'une véritable emmerde. Mais en y réfléchissant bien, une idée me vient en tête. Ils veulent m'utiliser pour leurs affaires ? Alors c'est à mon tour de les utiliser pour me faire un paquet d'oseille. Faisant rapidement demi-tour, je rejoins de nouveau la maison avant d'interpeller Clyde qui se demandait encore ce que je fichais dans le coin. Je ne passe pas par quatre chemins et lui dit clairement que j'ai besoin de son aide et que si mon idée réussi, il n'aura plus jamais aucun problème pour le reste de sa vie de famille. D'abord hésitant, il finit néanmoins par accepter en sachant que sa famille pourrait alors être en sécurité.
Une fois à l'écart, je lui fais part de mon idée, que le trio devait mourir afin que cela sois bénéfique pour nous deux. Encore retissant à cette idée, il comprit rapidement que dans ce milieu il n'y a souvent pas le choix.
On peut dire que j'ai eu de la chance pour la suite des événements, Clyde avait toujours son ancien équipement de mercenaire caché dans une pièce qu'il gardait secret de sa petite famille mais qu'il comptais garder en cas de problème. Bon ok, son équipement prenait plus la poussière qu'il ne servait mais bon...faut savoir faire avec. Là dedans, une petite bourse remplit de ce qui semble être des bombes artisanales, confirmé par son créateur lui-même à mes côtés ainsi que divers couteaux de lancer et de truc ou je ne m'y connais pas. Après ce rapide inventaire et la récapitulation du « plan » nous avons pris le temps de discuter un peu à l'extérieur avant de partir.
« Dis garçon...pourquoi tu as accepté ce qu'a demandé ce trio d'abruti...tu le fais seulement pour l'argent ? Tu es chasseur de prime ou mercenaire ? »
« Ni l'un ni l'autre...j'ai juste besoin de cet argent pour commencer mon aventure sur les mers. »
« Si tu deviens pirate...tu devrais devenir plus cruelle...enfin j'imagine. Les autres sont loin d'être des tendres à ce qu'en disent les journeaux. »
« T'occupe...je suis pas un enfant de coeur...mais contrairement à d'autres j'ai un semblant de valeur. »
Bien que courte cette discussion m'avait remis d'aplomb. Il ne fallu que quelques minutes par la suite pour prendre des affaires et partir l'histoire de quelques jours. Accompagné de Clyde, nous avions mit 5 jours afin de revenir dans les environs de la capitale où devait normalement m'attendre le fameux trio. Qu'avons nous fait pendant les 2 jours restants ? Préparer des pièges pour la petite surprise que nous organisions évidemment. Alors je conçoit que les pièges n'étaient pas des plus sophistiqué mais il fallait bien faire quelque chose. Après ces deux derniers jours tout était prêt...plus qu'à mettre le tout en place. Le lendemain je suis donc allé voir le trio qui m'attendais à l'emplacement prévu. Ils ne m'avaient pas manqué car à peine arrivé je suis insulté et encerclé car on me sous estime une nouvelle fois...je suis vraiment tombé sur des cas. On me dit que j'ai été trop long et tous le tralala habituelle des petits criminels. Lorsque l'on me laisse en placer une, je leur explique rapidement que j'ai réussi à trouver leur homme et à l'amener à la forêt non loin de la capitale afin de ne pas attirer les regards indiscrets. D'abord suspicieux, le trio et surtout le primé qui dirigeait accepta et me suivit se disant sans doute qu'il n'aurait qu'à m'étriper si c'est faux.
On arriva donc au lieu où tout devait se dérouler. Clyde était attaché à un arbre mais avait la possibilité de rapidement se détacher si quelque chose tournait mal par la suite. Lorsque les criminels le virent , le primé rigola suivit de ses compères. Après ça, l'un d'eux se retourna vers moi, une arme blanche pointé sur ma boite crânienne. Fallait bien que sa arrive à un moment donné. Mais étrangement je n'avais qu'un sourire quelque peu sadique sur mon visage avant de donner un violent coup de pied à l'abdomen de l'homme qui me pointait poussant ainsi le trio au fin fond d'un trou qui était caché par la verdure et le feuillage abondant. Les entendants pester, je ricane avant de libérer Clyde avant de lui serrer la pince et lui permettre de rejoindre sa famille pendant que je réglais le « problème ».
« Sort nous de là pauvre tâche ! Clyde va se faire la malle ! »
« Ho quel dommage pour vous...pourtant qui est revenue sur ce qui était convenue au départ ? C'était pas l'argent contre le gars ? Parce que tout ce que j'ai vu, c'est des opportunistes dont un qui me pointait avec une arme. »
« Heu...hum...c'était pour te faire marcher hein...on comptais te payer quand même hein. Allez ramène le, fais nous sortir de là et tu auras le double voir le triple de ce qu'on avait prévu pour toi. »
S'ensuivit un large soupir à mes lèvres en enlevant une mèche de cheveux bleuté qui cachait ma vue avant qu'un nouveau petit rire ne se fasse. Cherchant dans une de mes poches, je sors alors une des bombes artisanales de ma précédente cible et un briquet laissant présager la suite des événements au trio de manipulateur qui apeuré essayait de fuir tel des animaux comme ils le pouvaient tout en restant au fond du trou.
« Vous savez...vous n'avez commis qu'une seule erreur. Je sais que dans la piraterie, les coups bas existe...et j'aurais peut-être tué ce type si cela me rapportait pas mal d'oseille. Pourtant, vous avez voulu jouer en pensant me manipuler car j'étais maigrichon à vos yeux ? Désolé mais c'est moi le joueur et non le pion...et puis...il semblerait que ta tête et celle de tes potes sont mises à prix non ? »
Allumant la mèche dans un dernier sourire de « vengeance », je fini par la jeter à l'intérieur avant de m'écarter légèrement pour la laisser exploser, ne laissant que des morceaux du trio sauf la tête du primé qui malgré les quelques débris plantés semblait presque en parfait état. Je n'ai pas besoin de vous en dire plus. Comme vous vous en douter, j'ai pris la tête restante ou ce qui pouvait aussi prouver son identité, les amenant à un poste où j'ai put avoir ma prime. Mais je ne me suis pas plus éternisé par la suite. L'île semblait sympa en dehors des criminels notoire mais...je ne me sentais pas à ma place ici...à voir ce que l'avenir réserve.
Étant un fugitif je ne pouvais pas non plus me permettre d'apparaître en public comme bon me semblait aux risques d'avoir toujours plus de problème. Pourtant, l'alcool coulait à flot ce soir là, je ne sais même plus combien de verre j'ai pu prendre avant de finalement sombrer dans l'inconscience.
Heureusement le lendemain matin fut calme. J'ai réussi à me lever assez tôt pour reprendre ma route avant qu'un trio de type à l'allure louche ne vienne à ma rencontre. Agrippant le manche du sabre à ma ceinture prêt à le dégainer, on vient finalement me dire que l'on souhaite me faire une proposition. Vous voulez mon avis sincère ? Vu leur gueule respective ils doivent me prendre à la légère à cause de mon allure maigrichonne afin de peut-être me racketter. J'ai même découvert que l'un d'eux était recherché mort ou vif. Cependant ils n'en firent rien, ils étaient effectivement là pour me faire une proposition.
Après un rapide « briefing », on m'explique finalement que je dois rechercher un dénommé Clyde. Apparemment ce type aurait été un partenaire à leur trio qui leur a faussé compagnie pour une raison obscure. De plus, je devais leur ramener mort ou vif afin d'attester ma réussite et recevoir cet argent. Dans des circonstances classiques je ne les auraient sûrement pas suivi ou écouté mais vu que je suis fauché fallait bien que je gagne ma croûte.
Ainsi a débuté ma « quête » pour me faire un peu de pognon, youhou, sa claque hein ? Bon sincèrement, j'ai pris quasiment la semaine avant de trouver l'homme que je recherchais dans la région, demandant encore et encore aux quelques gens que je suspectais pour obtenir des renseignements. A ce que j'ai entendu, il vivait à proximité des champs pour se rendre plus vite au travail mais qu'il fallait faire attention parce qu'il était un peu parano à certains moments. Faut croire que le trio lui a laissé des séquelles avant d'abandonner les recherches par eux-même.
Remerciant les personnes qui m'avaient informé, je me dirigeais alors vers la bâtisse. Une maison de bois, très modeste et caché par les champs, une cachette presque paradisiaque en somme, du moins si on est fana des fleurs ou de plante en tout genre.
Voyant la porte d'entrée entrouverte à mon arrivée, je la pousse l'ouvrant entièrement découvrant ainsi une femme et sa fille s'amusant entre elles avec je ne sais quelles babioles mais sans voir la tête de la dite cible. Dégainant légèrement la lame de son fourreau, la femme se mit à hurler en me voyant avant que des bruits de pas rapide ne se fassent entendre faisant le tour de la maison me faisant dégainer complètement la lame avant de la pointer dans la direction des bruits. Surgit alors le dit homme que je cherchais, armé aussi mais qui ne s'attendait sans doute pas à ce que je pointe directement la lame dans sa direction.
« Clyde je présume ? »
« Qu'est ce que vous voulez ? Nous voler ? Vous ne trouverez rien ici. Et comment me connaissez vous ? »
« C'est un trio qui m'envoie pour vous ramener à eux mort ou vif. »
« Encore eux...je peux jamais vivre en paix. Combien vous ont-ils payé ? »
« Je ne compte rien dire...je suppose qu'un contrat est un contrat et qu'on ne peut pas le changer. »
Me rapprochant de lui avec la lame dégainé, il finit par baisser la sienne comme s'il s'était résigné, tremblant légèrement face à sa fin inévitable. Interrogatif par rapport à son comportement que je trouvais des plus étranges contrairement à ce qui se passait à Tequila Wolf, je finis par baisser légèrement la lame avant de lui demander pourquoi il semblait accepter la mort. Il m'expliqua rapidement que si cela pouvait sauver sa famille alors il semblait prêt à tout, qu'il avait commis des atrocités seulement pour l'argent et qu'il remerciait Dieu pour lui avoir amené son épouse actuelle qui l'a ramené dans le droit chemin. J'étais à la fois ému et profondément dégoûté. Je ne croyais en aucun dieu, les considérant comme une excuse bidon de l'homme et j'avais envie de détruire ce bonheur ambiant, quelque peu jaloux d'avoir vécu l'enfer depuis ma naissance sans connaître le bonheur avant de rencontrer ma camarade et obtenir la liberté en m'évadant. Malgré tout, cet homme avait réussi l'impossible. Un criminel qui arrive à revenir dans le droit chemin et se faire oublier pour vivre une vie de famille...avais je réellement le droit de détruire ce pourquoi cet homme avait mit tant d'effort ? Détruire ce qui l'avait permis de revenir dans le droit chemin alors que d'autres veulent sa peau pour s'amuser et le voir souffrir inutilement ? Honnêtement je ne crois pas. Rengainant la lame, je commence à quitter les lieux d'un pas simple tandis que l'homme m'observe d'un œil surpris avant de me remercier au loin de l'avoir épargné pour qu'il rejoigne sa famille.
Cependant je reviens à la case départ, non seulement je reste fauché mais en plus de ça, si je ne fais pas ce que ce trio demande alors mon cas risque de s'aggraver avant même de me faire un véritable nom dans la piraterie. Tu parles d'une véritable emmerde. Mais en y réfléchissant bien, une idée me vient en tête. Ils veulent m'utiliser pour leurs affaires ? Alors c'est à mon tour de les utiliser pour me faire un paquet d'oseille. Faisant rapidement demi-tour, je rejoins de nouveau la maison avant d'interpeller Clyde qui se demandait encore ce que je fichais dans le coin. Je ne passe pas par quatre chemins et lui dit clairement que j'ai besoin de son aide et que si mon idée réussi, il n'aura plus jamais aucun problème pour le reste de sa vie de famille. D'abord hésitant, il finit néanmoins par accepter en sachant que sa famille pourrait alors être en sécurité.
Une fois à l'écart, je lui fais part de mon idée, que le trio devait mourir afin que cela sois bénéfique pour nous deux. Encore retissant à cette idée, il comprit rapidement que dans ce milieu il n'y a souvent pas le choix.
On peut dire que j'ai eu de la chance pour la suite des événements, Clyde avait toujours son ancien équipement de mercenaire caché dans une pièce qu'il gardait secret de sa petite famille mais qu'il comptais garder en cas de problème. Bon ok, son équipement prenait plus la poussière qu'il ne servait mais bon...faut savoir faire avec. Là dedans, une petite bourse remplit de ce qui semble être des bombes artisanales, confirmé par son créateur lui-même à mes côtés ainsi que divers couteaux de lancer et de truc ou je ne m'y connais pas. Après ce rapide inventaire et la récapitulation du « plan » nous avons pris le temps de discuter un peu à l'extérieur avant de partir.
« Dis garçon...pourquoi tu as accepté ce qu'a demandé ce trio d'abruti...tu le fais seulement pour l'argent ? Tu es chasseur de prime ou mercenaire ? »
« Ni l'un ni l'autre...j'ai juste besoin de cet argent pour commencer mon aventure sur les mers. »
« Si tu deviens pirate...tu devrais devenir plus cruelle...enfin j'imagine. Les autres sont loin d'être des tendres à ce qu'en disent les journeaux. »
« T'occupe...je suis pas un enfant de coeur...mais contrairement à d'autres j'ai un semblant de valeur. »
Bien que courte cette discussion m'avait remis d'aplomb. Il ne fallu que quelques minutes par la suite pour prendre des affaires et partir l'histoire de quelques jours. Accompagné de Clyde, nous avions mit 5 jours afin de revenir dans les environs de la capitale où devait normalement m'attendre le fameux trio. Qu'avons nous fait pendant les 2 jours restants ? Préparer des pièges pour la petite surprise que nous organisions évidemment. Alors je conçoit que les pièges n'étaient pas des plus sophistiqué mais il fallait bien faire quelque chose. Après ces deux derniers jours tout était prêt...plus qu'à mettre le tout en place. Le lendemain je suis donc allé voir le trio qui m'attendais à l'emplacement prévu. Ils ne m'avaient pas manqué car à peine arrivé je suis insulté et encerclé car on me sous estime une nouvelle fois...je suis vraiment tombé sur des cas. On me dit que j'ai été trop long et tous le tralala habituelle des petits criminels. Lorsque l'on me laisse en placer une, je leur explique rapidement que j'ai réussi à trouver leur homme et à l'amener à la forêt non loin de la capitale afin de ne pas attirer les regards indiscrets. D'abord suspicieux, le trio et surtout le primé qui dirigeait accepta et me suivit se disant sans doute qu'il n'aurait qu'à m'étriper si c'est faux.
On arriva donc au lieu où tout devait se dérouler. Clyde était attaché à un arbre mais avait la possibilité de rapidement se détacher si quelque chose tournait mal par la suite. Lorsque les criminels le virent , le primé rigola suivit de ses compères. Après ça, l'un d'eux se retourna vers moi, une arme blanche pointé sur ma boite crânienne. Fallait bien que sa arrive à un moment donné. Mais étrangement je n'avais qu'un sourire quelque peu sadique sur mon visage avant de donner un violent coup de pied à l'abdomen de l'homme qui me pointait poussant ainsi le trio au fin fond d'un trou qui était caché par la verdure et le feuillage abondant. Les entendants pester, je ricane avant de libérer Clyde avant de lui serrer la pince et lui permettre de rejoindre sa famille pendant que je réglais le « problème ».
« Sort nous de là pauvre tâche ! Clyde va se faire la malle ! »
« Ho quel dommage pour vous...pourtant qui est revenue sur ce qui était convenue au départ ? C'était pas l'argent contre le gars ? Parce que tout ce que j'ai vu, c'est des opportunistes dont un qui me pointait avec une arme. »
« Heu...hum...c'était pour te faire marcher hein...on comptais te payer quand même hein. Allez ramène le, fais nous sortir de là et tu auras le double voir le triple de ce qu'on avait prévu pour toi. »
S'ensuivit un large soupir à mes lèvres en enlevant une mèche de cheveux bleuté qui cachait ma vue avant qu'un nouveau petit rire ne se fasse. Cherchant dans une de mes poches, je sors alors une des bombes artisanales de ma précédente cible et un briquet laissant présager la suite des événements au trio de manipulateur qui apeuré essayait de fuir tel des animaux comme ils le pouvaient tout en restant au fond du trou.
« Vous savez...vous n'avez commis qu'une seule erreur. Je sais que dans la piraterie, les coups bas existe...et j'aurais peut-être tué ce type si cela me rapportait pas mal d'oseille. Pourtant, vous avez voulu jouer en pensant me manipuler car j'étais maigrichon à vos yeux ? Désolé mais c'est moi le joueur et non le pion...et puis...il semblerait que ta tête et celle de tes potes sont mises à prix non ? »
Allumant la mèche dans un dernier sourire de « vengeance », je fini par la jeter à l'intérieur avant de m'écarter légèrement pour la laisser exploser, ne laissant que des morceaux du trio sauf la tête du primé qui malgré les quelques débris plantés semblait presque en parfait état. Je n'ai pas besoin de vous en dire plus. Comme vous vous en douter, j'ai pris la tête restante ou ce qui pouvait aussi prouver son identité, les amenant à un poste où j'ai put avoir ma prime. Mais je ne me suis pas plus éternisé par la suite. L'île semblait sympa en dehors des criminels notoire mais...je ne me sentais pas à ma place ici...à voir ce que l'avenir réserve.
Informations IRL
• Prénom : Chut secret D:
• Age : 19 ans
• Aime : Dormir, le rp, les mangas/anime
• N'aime pas : énormément de choses
• Personnage préféré de One Piece : Trafalgar Law
• Caractère : Sympathique, Impatient, Sociable, à l'écoute...et un peu flemmard aussi on se le cache pas XD
• Fait du RP depuis : 5-6 ans
• Disponibilité approximative : variable à cause de mes études
• Comment avez-vous connu le forum ?
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Chad Clayton le Mer 6 Fév 2019 - 19:17, édité 2 fois