L’heure est grave, très grave. Rudolfino trente sixième du nom a disparu. Il effectuait un petit vol de routine foulant le ciel de ses papates de rennes. Mais nous avons perdu tout signe de lui. Et comment je le sais ? et bien c’est très simple, j’ai trouvé une bouteille. Du moins une bouteille a trouvé mon occiput. A l’intérieur, un message écrit de la main de Minoel lui-même. Je ne sens aucune présence dans les environs… C’est normal après tout, je suis sur une mer d’huile. La bouteille vient donc de loin, très loin. Je garde pour moi une remarque désobligeante sur le projectile et m’attaque à la lettre de ce cher camarade. Rudolfino trente sixième du nom, plus communément appelé « Jerry », n’a plus donné signe de vie depuis son vol au-dessus de North blue. Minoel était à court de crème contre les hémorroïdes et a donc chargé son plus fidèle et dévoué renne en chercher pour lui. Et c’est là qu’il a disparu. Dans la bouteille y’a aussi une photographie, dessus y’a un Minoel nu à l’exception d’un paquet cadeau juste la où il faut. La photo est signée et manifestement destinée à une Marie-Cécile… curieux… si ça se trouve la fameuse Marie est actuellement en possession d’une photo de renne.
Coup de chance je me trouve justement la où il a disparu et je suis à bords d’un pédalo pourvu d’un siège pour renne. Comme quoi le hasard fait bien les choses, quand j’ai pris le pédalo, je m’étais dis que c’était une idée à la con. A présent, je loue ma capacité à prévoir des éléments à l’avance. Bien, a présent, la question réside. Comment trouver un renne volant en pleine mer. Question à s’arracher les cheveux si vous voulez mon avis. C’est alors, que j’aperçois des voiles à l’horizon. Ils ont peut-être vu quelque chose c’est sûrement un autre signe du destin. Il est vachement sympa le destin aujourd’hui, peut être que le dieu des intrigues complexes est fatigué. Je pédale alors avec force et ferveur en direction de l’embarcation, une embarcation avec des voiles noires, une coque noire, des mats noirs et oh surprise, un drapeau violet. Je m’amarre paisiblement à la poupe du vaisseau et me hisse à bord d’un geppou.
-Bonjour, excusez moi messieurs, auriez vous un renne par hasard ?
Directement l’équipage, des gens moches et pas beau que je ne vais pas décrire car de toute façon ils n’ont aucun intérêt pour l’intrique. Donc disais-je, les pirates esclavagistes se retournent comme un seul homme avant de se retourner comme un seul homme et tenter de prendre la fuite. Néanmoins, il remarque après quelques mètres de courses effrénées qu’ils sont à bord de leur navire et qu’il n’y a pas d’échappatoire. Après un instant de flottement qui dure au moins deux minutes et treize secondes, les pirates se chamaillent entre eux pour savoir qui s’occupera de répondre à la question. Comme je n’ai pas grand-chose d’autre à faire, j’en profite pour attraper un saucisson encore emballé posé judicieusement sous un auvent. Après moult péripéties qui incluent une trentaine coup de couteaux et une trentaine de nouveaux capitaines, le dernier survivant de la petite bande se sent contraint de m’approcher.
- Bonjour monsieur Kogaku, désolé pour le dérangement, nous ne somme que d’humbles et stupides esclavagistes de north blue et n’intéresserions même pas un marin qui possède 100 dorikis que puis-je pour vous ?
-T’as pas vu un renne volant ?
-euh si bien sûr, on l’a capturé hier et on l’a revendu à un brocanteur, sur cette île qui se trouve là-bas.
-D’accord merci, bon, je coule ton bateau et je m’en vais, bonne journée.
-Je pensais que vous ne tuiez personne Colonel ?
-Ah mais on s’en fout, c’est un épisode filler.
-Ah d’accord, bon vent alors.
Je tranche donc élégamment le navire et retourne sur mon pédalo. Après douze minutes de pédalage relaxé, j’arrive enfin sur l’île mentionnée par le brave pnj donneur d’information qui ne sert à rien si ce n’est donner des infos. D’ailleurs, l’île n’a pas de nom. Il s’agit d’une de ces fameuses îles de Nowel qui n’existent que pour une durée limitée avant de s’évaporer comme un amant à la vue du mari cocu. Et quelle chance, directement à la sortie de la plage, il y a un brocanteur, même qu’il s’appelle Luis. Il a une très belle affiche « Chez L_uis la br_cante ». l’affiche est très bariolée et chaque lettre est de couleur différente et manifestement l’une des couleur est partie avant les autres.
-Bonjour, n’auriez-vous pas acheter un renne volant ?
-Si fait mon bon monsieur, pourquoi ?
-Je souhaites le récupérer.
-Oh, c’est bien dommage, je l’ai vendu au ministère des choses magiques qui ne devraient pas exister.
-Ah je vois…
-Il est là-bas dans le grand château.
-D’accord merci, bonne journée.
C’est effectivement un très gros château, je suis étonné de ne pas l’avoir aperçu avant. A vue de nez il fait au moins trois cents mètres de haut. Un de ces mystère de Nowel sans doute. Je traverse donc un portique désert et après quelques minutes de déambulation, je tombe sur une arène dans laquelle un homme obèse et malade se bat contre des pnj en armure. ET il se débrouille bien le bougre. Comme il est arrivé en premier je laisse donc cet homme vert habillé en jaune expliqué au roi du coin, Mosieur Macaron, qu’il voulait que les squatteurs quittent son marais et que le prix des fenouils baisse. Ce à quoi répond le brave homme, que pour ça, il faudra aller tuer un dragon dans un château et récupérer une princesse. Le brave combattant s’insurge, il n’a que faire des salades du Macaron, il veut des fenouils pas des princesses C’est alors qu’un autre personnage rejoint Macaron et après quelques messes basses, Macaron s’adresse au géant vert. Lui expliquant que bah voila, c’est les lois du marché, mais la princesse a déjà été sauvée. Et donc, qu’il ne pourra pas faire partir les squatteurs de son marais. Le géant contrit mais vaincu s’en va donc.
-Bonjour, machin, t’as pas vu un renne volant ?
-Oui bien sûr, il est actuellement détenu pour conduite indécente pour un renne, les rennes ne volent pas, seuls les cerfs le font et tous le monde le sait.
-Qu’est ce qui vous ferait changer d’avis ?
-Sa mort !
Comme j’ai la flemme de parlementer, d’un puissant coup de hache, je tranche le château en deux qui s’écroule laissant par pur hasard le renne indemne. Je m’approche de lui et le lance en l’air pour vérifier s’il vole bien et effectivement, il vole bien. Il atterrit moins bien par contre.
-Ah nan m’sieur, tu fais erreur, moi je suis le renne parlant, votre renne volant est dans un autre château.
-ah merde… bonne continuation.
Je me dirige alors vers l’autre château qui d’ailleurs est encore plus grand que le précédent. Comme quoi, ils ont la folie des grandeurs sur cette île. Je me rends donc devant l’autre château, la porte est grande ouverte et après avoir traversé un couloir jonché d’ossements, je rencontre un homme armé d’un fouet.
-Bonjour, oh je ne vous ai jamais vu ?
-Oui salut… renne volant ?
-Le troisième boss ?
-Quoi ?
-Écoute coco, c’est mon 8780e speedrun du château de Dracula, je sais ce que je dis, mais toi je t’ai jamais vu.
-Ok ta gueule.
Je laisse donc le brave homme à son occupation. Il semble d’ailleurs très pressé et s’en va d’une démarche grotesque mais intéressante. Je traverse donc les couloirs affrontant maints ennemis tous plus grotesque les uns que les autres avant de tomber dans une salle dans laquelle se trouve un caribou géant et volant. Manifestement, il y a méprise. J’éclate donc le caribou géant et faisant cela je démolis le sol. Je tombe alors dans une salle où se trouve une statue de renne et un machin serpent moche. Comme je n’aime pas ce qui est différent, je le tranche en deux. C’est alors que la pierre s’effrite laissant voir apparaitre un Jerry.
-Merci de m’avoir libéré Sp… Yama.
-De rien, ils parlent les rennes de noel ?
-Oui bien sûr, mais nous on vole, pas comme nos cousins parlants.
-Ah d’accord, je vois... d'ailleurs comment tu connais mon nom ?
-Ta gueule, c'est magique.Bon bah je te laisse, Minoel a besoin de sa lotion pour ses fesses.
-D’accord, bon toute cette histoire m’a donné faim.
Et alors le renne volant, prend son envol. Va t’en petit oiseau, pars loin très loin de ce monde rempli de vice. Va rejoindre ton maitre et apporte-lui sa pommade ! Je vais m’empresser donc de repartir en mer car cette histoire est déjà bien trop longue. A tient c'est étranger, quelque chose me chipote l'épaule... j'ouvre donc les yeux.
-Monsieur... je pense que vous avez trop bu... D'ailleurs votre renne ennuie les clients, vous ferez mieux de partir.
Coup de chance je me trouve justement la où il a disparu et je suis à bords d’un pédalo pourvu d’un siège pour renne. Comme quoi le hasard fait bien les choses, quand j’ai pris le pédalo, je m’étais dis que c’était une idée à la con. A présent, je loue ma capacité à prévoir des éléments à l’avance. Bien, a présent, la question réside. Comment trouver un renne volant en pleine mer. Question à s’arracher les cheveux si vous voulez mon avis. C’est alors, que j’aperçois des voiles à l’horizon. Ils ont peut-être vu quelque chose c’est sûrement un autre signe du destin. Il est vachement sympa le destin aujourd’hui, peut être que le dieu des intrigues complexes est fatigué. Je pédale alors avec force et ferveur en direction de l’embarcation, une embarcation avec des voiles noires, une coque noire, des mats noirs et oh surprise, un drapeau violet. Je m’amarre paisiblement à la poupe du vaisseau et me hisse à bord d’un geppou.
-Bonjour, excusez moi messieurs, auriez vous un renne par hasard ?
Directement l’équipage, des gens moches et pas beau que je ne vais pas décrire car de toute façon ils n’ont aucun intérêt pour l’intrique. Donc disais-je, les pirates esclavagistes se retournent comme un seul homme avant de se retourner comme un seul homme et tenter de prendre la fuite. Néanmoins, il remarque après quelques mètres de courses effrénées qu’ils sont à bord de leur navire et qu’il n’y a pas d’échappatoire. Après un instant de flottement qui dure au moins deux minutes et treize secondes, les pirates se chamaillent entre eux pour savoir qui s’occupera de répondre à la question. Comme je n’ai pas grand-chose d’autre à faire, j’en profite pour attraper un saucisson encore emballé posé judicieusement sous un auvent. Après moult péripéties qui incluent une trentaine coup de couteaux et une trentaine de nouveaux capitaines, le dernier survivant de la petite bande se sent contraint de m’approcher.
- Bonjour monsieur Kogaku, désolé pour le dérangement, nous ne somme que d’humbles et stupides esclavagistes de north blue et n’intéresserions même pas un marin qui possède 100 dorikis que puis-je pour vous ?
-T’as pas vu un renne volant ?
-euh si bien sûr, on l’a capturé hier et on l’a revendu à un brocanteur, sur cette île qui se trouve là-bas.
-D’accord merci, bon, je coule ton bateau et je m’en vais, bonne journée.
-Je pensais que vous ne tuiez personne Colonel ?
-Ah mais on s’en fout, c’est un épisode filler.
-Ah d’accord, bon vent alors.
Je tranche donc élégamment le navire et retourne sur mon pédalo. Après douze minutes de pédalage relaxé, j’arrive enfin sur l’île mentionnée par le brave pnj donneur d’information qui ne sert à rien si ce n’est donner des infos. D’ailleurs, l’île n’a pas de nom. Il s’agit d’une de ces fameuses îles de Nowel qui n’existent que pour une durée limitée avant de s’évaporer comme un amant à la vue du mari cocu. Et quelle chance, directement à la sortie de la plage, il y a un brocanteur, même qu’il s’appelle Luis. Il a une très belle affiche « Chez L_uis la br_cante ». l’affiche est très bariolée et chaque lettre est de couleur différente et manifestement l’une des couleur est partie avant les autres.
-Bonjour, n’auriez-vous pas acheter un renne volant ?
-Si fait mon bon monsieur, pourquoi ?
-Je souhaites le récupérer.
-Oh, c’est bien dommage, je l’ai vendu au ministère des choses magiques qui ne devraient pas exister.
-Ah je vois…
-Il est là-bas dans le grand château.
-D’accord merci, bonne journée.
C’est effectivement un très gros château, je suis étonné de ne pas l’avoir aperçu avant. A vue de nez il fait au moins trois cents mètres de haut. Un de ces mystère de Nowel sans doute. Je traverse donc un portique désert et après quelques minutes de déambulation, je tombe sur une arène dans laquelle un homme obèse et malade se bat contre des pnj en armure. ET il se débrouille bien le bougre. Comme il est arrivé en premier je laisse donc cet homme vert habillé en jaune expliqué au roi du coin, Mosieur Macaron, qu’il voulait que les squatteurs quittent son marais et que le prix des fenouils baisse. Ce à quoi répond le brave homme, que pour ça, il faudra aller tuer un dragon dans un château et récupérer une princesse. Le brave combattant s’insurge, il n’a que faire des salades du Macaron, il veut des fenouils pas des princesses C’est alors qu’un autre personnage rejoint Macaron et après quelques messes basses, Macaron s’adresse au géant vert. Lui expliquant que bah voila, c’est les lois du marché, mais la princesse a déjà été sauvée. Et donc, qu’il ne pourra pas faire partir les squatteurs de son marais. Le géant contrit mais vaincu s’en va donc.
-Bonjour, machin, t’as pas vu un renne volant ?
-Oui bien sûr, il est actuellement détenu pour conduite indécente pour un renne, les rennes ne volent pas, seuls les cerfs le font et tous le monde le sait.
-Qu’est ce qui vous ferait changer d’avis ?
-Sa mort !
Comme j’ai la flemme de parlementer, d’un puissant coup de hache, je tranche le château en deux qui s’écroule laissant par pur hasard le renne indemne. Je m’approche de lui et le lance en l’air pour vérifier s’il vole bien et effectivement, il vole bien. Il atterrit moins bien par contre.
-Ah nan m’sieur, tu fais erreur, moi je suis le renne parlant, votre renne volant est dans un autre château.
-ah merde… bonne continuation.
Je me dirige alors vers l’autre château qui d’ailleurs est encore plus grand que le précédent. Comme quoi, ils ont la folie des grandeurs sur cette île. Je me rends donc devant l’autre château, la porte est grande ouverte et après avoir traversé un couloir jonché d’ossements, je rencontre un homme armé d’un fouet.
-Bonjour, oh je ne vous ai jamais vu ?
-Oui salut… renne volant ?
-Le troisième boss ?
-Quoi ?
-Écoute coco, c’est mon 8780e speedrun du château de Dracula, je sais ce que je dis, mais toi je t’ai jamais vu.
-Ok ta gueule.
Je laisse donc le brave homme à son occupation. Il semble d’ailleurs très pressé et s’en va d’une démarche grotesque mais intéressante. Je traverse donc les couloirs affrontant maints ennemis tous plus grotesque les uns que les autres avant de tomber dans une salle dans laquelle se trouve un caribou géant et volant. Manifestement, il y a méprise. J’éclate donc le caribou géant et faisant cela je démolis le sol. Je tombe alors dans une salle où se trouve une statue de renne et un machin serpent moche. Comme je n’aime pas ce qui est différent, je le tranche en deux. C’est alors que la pierre s’effrite laissant voir apparaitre un Jerry.
-Merci de m’avoir libéré Sp… Yama.
-De rien, ils parlent les rennes de noel ?
-Oui bien sûr, mais nous on vole, pas comme nos cousins parlants.
-Ah d’accord, je vois... d'ailleurs comment tu connais mon nom ?
-Ta gueule, c'est magique.Bon bah je te laisse, Minoel a besoin de sa lotion pour ses fesses.
-D’accord, bon toute cette histoire m’a donné faim.
Et alors le renne volant, prend son envol. Va t’en petit oiseau, pars loin très loin de ce monde rempli de vice. Va rejoindre ton maitre et apporte-lui sa pommade ! Je vais m’empresser donc de repartir en mer car cette histoire est déjà bien trop longue. A tient c'est étranger, quelque chose me chipote l'épaule... j'ouvre donc les yeux.
-Monsieur... je pense que vous avez trop bu... D'ailleurs votre renne ennuie les clients, vous ferez mieux de partir.