VOTRE NOM ET PRÉNOM ICI
• Pseudonyme :Aleister Volkof Votre surnom s’il y a lieu.
• Age :22 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun pour le moment
• Groupe : Marine
• Age :22 ans
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun pour le moment
• Groupe : Marine
• But :Trouvé le sens de la vraie justice
• Équipement : Un sabre et une montre à gousset
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
• Équipement : Un sabre et une montre à gousset
• Parrain :
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement :
Description Physique
Bon, on me demande de me décrire pour cet entretien… Même si je ne comprends pas trop pourquoi, après tout on me voit bien non ? Enfin, c’est un ordre et je ne suis qu’un simple soldat, je ne peux pas vraiment me permettre de discuter un ordre. Je m’appelle Aleister Volkof, un jeune homme d’une vingtaine d’année, je n’ai jamais pris la peine de vraiment compter à vraie dire, donc je ne pourrais pas être plus précis que ça j’en suis désolé. J’ai des cheveux noir, assez long, m’arrivant jusqu’au épaules et je peux assurer que malgré leur aspect un peu gras, je les laves régulièrement. On dit de moi que j’ai un visage froid, parce que je ne souris pas beaucoup, en fait quand je souris, j’ai tendance à me forcé un peu, donc ça fais peur aux gens, du coup j’ai perdu cette habitude, gardant ce visage presque figé. J’ai des yeux rouges, je sais c’est peu orthodoxe, je tiens ça de ma mère, une anomalie génétique. Les gens aiment bien mes yeux, ils disent que c’est la seule partie de mon visage que je tiens de ma mère, ça rajoute un petit coté chaleureux, j’ai un regard qui inspire la bienveillance apparemment et en tant que soldat, cela peut servir de temps en temps. Le reste de mon visage n’a rien de particulier, quelques imperfections, une ou deux petites cicatrices sur le front, quelques marques peu visibles, un visage normal en soit. Je mesure un mètre quatre vingt et pèse soixante dix kilos, je suis dans la moyenne, j’ai un corps grand et fin. Avec mon visage froid, si on me croise dans la nuit je fais peur apparemment ahah… J’ai quelques cicatrices sur le torse, dont une juste sous ma clavicule droite, étant enfant j’ai voulu joué avec le sabre de mon père, mauvaise idée je vous l’assure. Quoi d’autre de particulier… Ha oui, il y a un mois, je me suis fait faire un tatouage sur l’omoplate gauche, le symbole de la marine ainsi que sa devise, un moyen pour moi de montrer aux autres mon appartenance si par hasard je me retrouve le dos dénudé. Sinon, rien de particulier, quelques marques sur les mains, venant de mon travail dans les champs durant mon enfance, un collier avec une pierre rouge, que je tiens d’une amie d’enfance, plus un signe de nostalgie plutôt que coquetterie, mais j’y tiens. Un détail de plus ? Ha oui, j’ai une façon de marché très lente, je ne sais pas pourquoi, toujours les mains dans les poches, baillant souvent, les gens me prenne soit pour un fainéant, soit pour quelqu’un se tuant au travail, une personne sur deux, faites votre choix. Niveau vêtements, je ne fais pas trop attention à ce que je porte, quand je suis en service, l’uniforme bien sur et lors de mes périodes de repos, souvent un simple t shirt avec un pantalon, rajoutant une veste s’il fait froid, je n’ai jamais été porté sur la mode, mais je pense que on s’en fou non ?
Description Psychologique
Je dois vous décrire mon état mental maintenant ? C’est un exercice un peu plus compliqué mais je vais essayer. Déjà, je dirais que j’ai un grand sens de la justice, normal puisque j’ai décidé de m’engager, mais c’est un principe qui est vraiment ancré en moi, comme un commandement, je ferais toujours passé la justice avant tout. Mais je me pose souvent des questions, quesque la justice ? Je veux dire la vrai, car j’ai déjà vu des soldats faire des choses au nom de la justice qui… Comment dire, n’en était pas du tout. Cette question hante mes pensées depuis ma tendre enfance, c’est pour ça que j’ai décidé de suivre ma propre justice, même si parfois cela peut m’assurer quelques problèmes avec ma hiérarchie, souvent quand je refuse d’obéir à un ordre car je le trouve injuste justement. Ce comportement fait croire aux gens que je suis quelqu’un de sur de lui, capable de tenir tête à tout le monde ! En fait pas du tout, je suis souvent mort de peur quand je tiens tête à quelqu’un, mais je me dis que si je ne le fais pas personne ne le fera et si un soldat n’est pas juste, qui le sera alors ? C’est souvent compliqué de discerné le bien du mal et j’ai toujours eu du mal à m’y faire, le monde est une nuance de gris alors que pour moi tout est souvent tout noir ou blanc. Malgré cette facette un peu perplexe, je suis quelqu’un qui sait garder son calme, il y a peu de situation dans lesquels je perds mon sang froid, j’essaye toujours de réfléchir à la meilleure solution pour régler un problème, même si mon manque d’expérience se fait sentir quand je dois arriver à une conclusion. Avec mon visage froid, les gens pensent que je suis un très bon stratège, un rat de bibliothèque, ce genre de chose.. Malgré le fait que oui j’aime beaucoup lire, je suis un mauvais stratège, j’essaye tellement de pensé à comment s’en sortir sans casse que souvent arrive le contraire, mes sentiments prenant le pas sur la situation, je prends souvent le choix du cœur plutôt que celui de raison. Malgré cela, je sais pourquoi je me suis engagé et je voue une loyauté absolue à notre crédo. Malgré quelques pourris en notre sein, je sais que nous travaillons et mourrons pour un monde meilleur et cela fait de moi quelqu’un vivant pour un but noble, je n’avais pas besoin de plus.
Biographie
Je dois raconter mon histoire maintenant ? Je ne l’avais pas mis dans mon cv ? Non ? Bon bha c’est pas grave, je vais le faire alors, c’est pas très important. Je suis né à East Blue, à Shell town pour être plus précis, une petite île tranquille, je n’ai pas à me plaindre de mon enfance. Mes parents étaient fermier, pas un métier qui fait rêver les jeunes, mais moi je me sentais bien dans les champs. J’étais un enfant assez bizarre, j’ai su marcher très tôt pour aider mes parents, mais la parole elle est arrivée bien plus tard. Je n’avais qu’une seule amie, Sally la voisine, je me demande ce qu’elle est devenue d’ailleurs… Hein ? Ho je m’égard pardon, quand je parle du passé j’ai une fâcheuse tendance à finir dans la mélancolie, faut pas me laisser faire, vraiment. Mon enfance fut simple, je ne suis pas le héros d’un livre ayant connu des malheurs horrible ou ayant découvert un trésor inestimable, j’étais juste un enfant travaillant dans les champs, allant à l’école quand il le devait, même si je n’aimais pas vraiment, pour moi c’est une perte de temps, il vaut mieux être chez soi pour apprendre, ou apprendre directement de la vie, car c’est elle qui nous apporte le plus non ? Oui je sais je m’égare encore. Pourquoi ai-je voulu m’engager ? Oui c’est une bonne question, je m’en rappelle comme si c’était hier.
Comme j’ai dis plus haut, depuis tout petit déjà, je me suis posé beaucoup de question sur le mot « justice », je l’entendais à beaucoup de sauce, mais je n’ai jamais réussi à mettre le doigt sur le bon sens, la véritable interprétation. Un jour, en revenant des champs j’ai vu un enfant se faire frapper par les autres. Je l’ai reconnu tout de suite, c’était une petite brute, toujours à extorquer les autres et ceux-ci avaient enfin fini par se venger. Alors dans ce cas là, quelle est la justice ? Laisser le « méchant » se faire battre par les « gentils » ou lui aussi à le droit à la justice ? Aussi loin que je me rappelle, c’est ce moment là qui fut le déclencheur de beaucoup de chose, je me suis rendu compte que la justice est en réalité une nuance de blanc et de noir, que par rapport à la situation, il ne pouvait y avoir de Justice absolue, que malgré tout ce que l’on à pu faire dans le passé on mérite nous aussi une chance égale face à la justice. En rentrant ce soir là, j’ai annoncé à mes parents que je voulais rentrer dans l’armée. Aux premiers abords, ils n’étaient pas très chaud pour l’idée, surtout mon père, il me voyait déjà reprendre la petite ferme familiale, mais vu mon sérieux il ne put que me laisser faire.
Je me suis donc enrôlé, quelques années plus tard, directement dans la garnison sur l’ile, j’ai fais mes classes là bas. Tout était plus dur que ce que j’aurais imaginé, la vie militaire n’est pas de tout repos, le sport, le respect, le langage, la tenue, tout un nouveau monde à apprendre. Je m’y suis fais rapidement et sur l’ile, à part quelques petites mésaventures d’ivrognes ou quelques crimes anodins, tout allait pour le mieux. Malgré cela, je voyais des choses que je n’aimais pas trop, ce qui à fini par m’attirer des ennuis… Après toutes ces années, les questions que j’avais dans l’esprit étaient toujours là encore plus fortes et présentes. Un soir, j’ai vu un de mes supérieurs faire un interrogatoire assez musclé sur un suspect. Nous n’avions aucunes preuves, mais de sérieux doutes. Sous la douleur, le pauvre avoua, mais à t’il avoué par repentance, ou pour que la douleur se stop ? C’est à ce moment là que j’ai compris que même ici, dans le gouvernement, la justice est abstraite et que tout le monde n’a pas le droit à la même, que ce soit en fonction du nom, du rang, ou de notre fortune, la justice est modulable et ça, je ne peux le supporter. Le principe même de la justice, c’est qu’elle soit neutre, égale pour tous, sans discrimination et mon but est de changer ça. Maintenant je suis un soldat, avec pour but de monter dans la hiérarchie et de faire valoir une justice égale et impartiale. SI je n’y arrive pas ? Je ne sais pas, mais ce qui est sur c’est que je ferais tout pour y arriver. L’entretien est fini ? Merci beaucoup, bonne journée.
Comme j’ai dis plus haut, depuis tout petit déjà, je me suis posé beaucoup de question sur le mot « justice », je l’entendais à beaucoup de sauce, mais je n’ai jamais réussi à mettre le doigt sur le bon sens, la véritable interprétation. Un jour, en revenant des champs j’ai vu un enfant se faire frapper par les autres. Je l’ai reconnu tout de suite, c’était une petite brute, toujours à extorquer les autres et ceux-ci avaient enfin fini par se venger. Alors dans ce cas là, quelle est la justice ? Laisser le « méchant » se faire battre par les « gentils » ou lui aussi à le droit à la justice ? Aussi loin que je me rappelle, c’est ce moment là qui fut le déclencheur de beaucoup de chose, je me suis rendu compte que la justice est en réalité une nuance de blanc et de noir, que par rapport à la situation, il ne pouvait y avoir de Justice absolue, que malgré tout ce que l’on à pu faire dans le passé on mérite nous aussi une chance égale face à la justice. En rentrant ce soir là, j’ai annoncé à mes parents que je voulais rentrer dans l’armée. Aux premiers abords, ils n’étaient pas très chaud pour l’idée, surtout mon père, il me voyait déjà reprendre la petite ferme familiale, mais vu mon sérieux il ne put que me laisser faire.
Je me suis donc enrôlé, quelques années plus tard, directement dans la garnison sur l’ile, j’ai fais mes classes là bas. Tout était plus dur que ce que j’aurais imaginé, la vie militaire n’est pas de tout repos, le sport, le respect, le langage, la tenue, tout un nouveau monde à apprendre. Je m’y suis fais rapidement et sur l’ile, à part quelques petites mésaventures d’ivrognes ou quelques crimes anodins, tout allait pour le mieux. Malgré cela, je voyais des choses que je n’aimais pas trop, ce qui à fini par m’attirer des ennuis… Après toutes ces années, les questions que j’avais dans l’esprit étaient toujours là encore plus fortes et présentes. Un soir, j’ai vu un de mes supérieurs faire un interrogatoire assez musclé sur un suspect. Nous n’avions aucunes preuves, mais de sérieux doutes. Sous la douleur, le pauvre avoua, mais à t’il avoué par repentance, ou pour que la douleur se stop ? C’est à ce moment là que j’ai compris que même ici, dans le gouvernement, la justice est abstraite et que tout le monde n’a pas le droit à la même, que ce soit en fonction du nom, du rang, ou de notre fortune, la justice est modulable et ça, je ne peux le supporter. Le principe même de la justice, c’est qu’elle soit neutre, égale pour tous, sans discrimination et mon but est de changer ça. Maintenant je suis un soldat, avec pour but de monter dans la hiérarchie et de faire valoir une justice égale et impartiale. SI je n’y arrive pas ? Je ne sais pas, mais ce qui est sur c’est que je ferais tout pour y arriver. L’entretien est fini ? Merci beaucoup, bonne journée.
Test RP
Les journées passent lentement ici, ça fais un bon moment qu’il ne se passe rien sur l’île, juste quelques vols à l’étalage et autres bagarres d’ivrognes, rien de bien palpitant. Le bon coté, c’est que cela me permet de passé beaucoup de temps à réfléchir et à écrire, des notes et autres question sur le sens des choses. C’est ma journée de repos aujourd’hui et je la passe dans ma chambre, allongé sur le lit, je fixe mon plafond, somnolant à moitié, tout en réfléchissant, une activité qu’il m’arrive souvent de faire en ce moment, même si d’après mes supérieurs, trop réfléchir peut mener à de mauvaises choses. Je ne comprends pas trop en quoi c’est mauvais, mais bon, laissons les parler si ça les amusent. Ma fenêtre étant ouverte, pour laisser le vent entré, j’ai pu entendre quelques cris venant de la cour, la clameur de quelques soldats et des rires. Je me suis alors levé, soupirant un peu avant d’ouvrir la porte de ma chambre et de demander à quelqu’un ce qu’il se passait. Apparemment, les soldats en patrouilles venaient d’attraper une révolutionnaire qui venait d’accoster sur l’île. Aussi loin que je me souvienne, je n’en ai jamais vu, je me demande bien qui ça peut être. Vu que je n’ai rien d’autre à faire, je vais aller voir tiens, elle doit se trouvé dans la prison de la garnison en attendant d’être transférée. Quand je suis arrivé là bas, j’avoue que le choc fut énorme.
La personne dans cette cage, je la connais bien et… Elle est encore plus jolie que dans mes souvenirs. Une peau blanche, sans imperfection, comme un ange, des lèvres rouges et une longue chevelure rousse. Elle était là, assise dans un coin, la tête dans les genoux, une longue cape brune l’englobant. Je ne pouvais pas bouger, trop de question dans ma tête, quand, où, pourquoi, comment ? Tant de questions sans réponses, tant de réflexion en tête, je ne sais pas pourquoi, mais pourquoi, elle ? Une révolutionnaire ? Je ne peux pas y croire… Je dois en avoir le cœur net.. Je m’approche alors lentement des barreaux, respirant lentement. Arrivant à la hauteur de la cellule, mes mains se posèrent sur deux des barreaux froids, ma tête se collant entre « Sally ?.. » Sa tête se releva et ses yeux verts me fixèrent, elle se leva précipitamment et se dirigea vers moi, collant son front au mien.
« Aleister.. Ça fait longtemps… Je suis désolée que l’on se revoie dans de telles circonstances… »
« C’est donc toi la révolutionnaire ?.. Je ne pensais pas que tu avais ce genre d’idée… Pour quel motif tu as été arrêtée ? »
« Juste à cause de ce que je pense.. J’étais ici pour voir mes parents, je n’ai commis aucun crime… Encore une preuve que le gouvernement mondial est injuste »
Je ne sais pas trop quoi pensé. Effectivement elle est révolutionnaire, mais en n’ayant rien fais de mal présentement, une incarcération est t’elle valide ? C’est injuste même non ? Trop d’idées se bousculent dans ma tête, j’ai besoin de prendre l’air. Je la laisse là, seule, alors qu’elle m’appelle, mais sa voix se perd dans mes pensées. Arrivant dehors, je m’assoit à l’ombre d’un arbre, toujours sous le choc de la révélation. D’un coté, les révolutionnaires sont les nemesis des membres du gouvernement, il est donc de notre devoir de les arreter. Mais d’un autre coté, présentement elle n’a rien fait de mal, elle voulait juste voir ses parents, donc une arrestation est un signe d’abus de pouvoir. Que faire dans une situation pareille, je ne sais pas, je suis juste perplexe, entre mon sens du devoir et mon sens de la justice, de la vraie…
Après quelques heures de réflexion, mon choix était fait, ça ne va pas plaire à tout le monde mais je suis sur que c’est la bonne chose à faire. A la nuit tombée, je suis retournée dans ma chambre, prenant les clés de la cellule ainsi qu’une petite matraque. Faisant bien attention à ne pas me faire repérer, je suis descendu dans les geôles. Personne, le garde en poste devait faire sa ronde le moment parfait. Je me suis approché de la cage et je l’ai ouverte. Sally me regarda droit dans les yeux, se demandant ce que j’étais en train de faire.
« Sors, tu es libre, dépêche toi de partir d’ici avant que quelqu’un ne vienne ou s’en rende compte. »
« Pourquoi fais tu ça ? Tu vas avoir des ennuis… »
« Tu te souviens quand on était enfants ? La brute qui s’est fait frapper par les autres gamins ? Ce jour là je me suis promis que je servirais une justice commune à tous. Malgré le fait que tu te sois lancée dans un chemin différent du mien et que nous soyons adversaires, tu n’as commis aucuns réels crimes qui mériteraient ta détention. C’est pour ça que j’ai pris cette matraque, tu vas la prendre et me frapper le plus fort possible pour m’assommer, ça passera pour une simple évasion. »
Elle prit la matraque, tremblant un peu. Ses yeux s’étant remplis de larmes alors que je la regardais en souriant. Je sais, je vais sans doute avoir un blâme pour avoir laisser une « criminelle » s’enfuir, au pire je prendrais un jour ou deux au trou, mais j’ai le sentiment d’avoir fait la bonne chose. J’ai alors fermé les yeux et senti un énorme choc sur la tête, ce qui me fit tomber sur le sol, totalement inconscient. A mon réveil, quelques heures plus tard, à l’infirmerie, on m’informa que la prisonnière m’avait assommé, volé mes clé et s’étaient enfui de l’ile. Comme prévu j’ai pris un léger blâme à cause de mon inattention, mais ce n’est pas très grave. En plus de cela, cette histoire mon fait réalisé que la vraie justice est encore loin et que pour changer cela, il va falloir que je monte dans la hiérarchie et que je m’entoure des bonnes personnes. Advienne que pourras, je ne changerais pas ma vision, tout le monde quel qu’il soit mérite une justice semblable.
La personne dans cette cage, je la connais bien et… Elle est encore plus jolie que dans mes souvenirs. Une peau blanche, sans imperfection, comme un ange, des lèvres rouges et une longue chevelure rousse. Elle était là, assise dans un coin, la tête dans les genoux, une longue cape brune l’englobant. Je ne pouvais pas bouger, trop de question dans ma tête, quand, où, pourquoi, comment ? Tant de questions sans réponses, tant de réflexion en tête, je ne sais pas pourquoi, mais pourquoi, elle ? Une révolutionnaire ? Je ne peux pas y croire… Je dois en avoir le cœur net.. Je m’approche alors lentement des barreaux, respirant lentement. Arrivant à la hauteur de la cellule, mes mains se posèrent sur deux des barreaux froids, ma tête se collant entre « Sally ?.. » Sa tête se releva et ses yeux verts me fixèrent, elle se leva précipitamment et se dirigea vers moi, collant son front au mien.
« Aleister.. Ça fait longtemps… Je suis désolée que l’on se revoie dans de telles circonstances… »
« C’est donc toi la révolutionnaire ?.. Je ne pensais pas que tu avais ce genre d’idée… Pour quel motif tu as été arrêtée ? »
« Juste à cause de ce que je pense.. J’étais ici pour voir mes parents, je n’ai commis aucun crime… Encore une preuve que le gouvernement mondial est injuste »
Je ne sais pas trop quoi pensé. Effectivement elle est révolutionnaire, mais en n’ayant rien fais de mal présentement, une incarcération est t’elle valide ? C’est injuste même non ? Trop d’idées se bousculent dans ma tête, j’ai besoin de prendre l’air. Je la laisse là, seule, alors qu’elle m’appelle, mais sa voix se perd dans mes pensées. Arrivant dehors, je m’assoit à l’ombre d’un arbre, toujours sous le choc de la révélation. D’un coté, les révolutionnaires sont les nemesis des membres du gouvernement, il est donc de notre devoir de les arreter. Mais d’un autre coté, présentement elle n’a rien fait de mal, elle voulait juste voir ses parents, donc une arrestation est un signe d’abus de pouvoir. Que faire dans une situation pareille, je ne sais pas, je suis juste perplexe, entre mon sens du devoir et mon sens de la justice, de la vraie…
Après quelques heures de réflexion, mon choix était fait, ça ne va pas plaire à tout le monde mais je suis sur que c’est la bonne chose à faire. A la nuit tombée, je suis retournée dans ma chambre, prenant les clés de la cellule ainsi qu’une petite matraque. Faisant bien attention à ne pas me faire repérer, je suis descendu dans les geôles. Personne, le garde en poste devait faire sa ronde le moment parfait. Je me suis approché de la cage et je l’ai ouverte. Sally me regarda droit dans les yeux, se demandant ce que j’étais en train de faire.
« Sors, tu es libre, dépêche toi de partir d’ici avant que quelqu’un ne vienne ou s’en rende compte. »
« Pourquoi fais tu ça ? Tu vas avoir des ennuis… »
« Tu te souviens quand on était enfants ? La brute qui s’est fait frapper par les autres gamins ? Ce jour là je me suis promis que je servirais une justice commune à tous. Malgré le fait que tu te sois lancée dans un chemin différent du mien et que nous soyons adversaires, tu n’as commis aucuns réels crimes qui mériteraient ta détention. C’est pour ça que j’ai pris cette matraque, tu vas la prendre et me frapper le plus fort possible pour m’assommer, ça passera pour une simple évasion. »
Elle prit la matraque, tremblant un peu. Ses yeux s’étant remplis de larmes alors que je la regardais en souriant. Je sais, je vais sans doute avoir un blâme pour avoir laisser une « criminelle » s’enfuir, au pire je prendrais un jour ou deux au trou, mais j’ai le sentiment d’avoir fait la bonne chose. J’ai alors fermé les yeux et senti un énorme choc sur la tête, ce qui me fit tomber sur le sol, totalement inconscient. A mon réveil, quelques heures plus tard, à l’infirmerie, on m’informa que la prisonnière m’avait assommé, volé mes clé et s’étaient enfui de l’ile. Comme prévu j’ai pris un léger blâme à cause de mon inattention, mais ce n’est pas très grave. En plus de cela, cette histoire mon fait réalisé que la vraie justice est encore loin et que pour changer cela, il va falloir que je monte dans la hiérarchie et que je m’entoure des bonnes personnes. Advienne que pourras, je ne changerais pas ma vision, tout le monde quel qu’il soit mérite une justice semblable.
Informations IRL
• Prénom : Val
• Age : 22
• Aime : Beaucoup de chose, Musique, Manga, Rp ect
• N'aime pas : Boarf beaucoup de chose aussi
• Personnage préféré de One Piece : Barbe Blanche T-T
• Caractère : Je pense être quelqu'un de sympa, qui aime rp et qui reste calme
• Fait du RP depuis : plus de dix ans
• Disponibilité approximative : Tout les jours
• Comment avez-vous connu le forum ? : Par hasard
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Aleister Volkof le Lun 11 Fév 2019 - 12:41, édité 1 fois