Mori Kaya
• Pseudonyme : A définir inrp
• Age : 21 printemps
• Sexe : Femme.
• Race : Humain
• Métier : Styliste / Ingénieure
• Groupe : Chasseuse de Primes
• Age : 21 printemps
• Sexe : Femme.
• Race : Humain
• Métier : Styliste / Ingénieure
• Groupe : Chasseuse de Primes
• But : Devenir une icône de la mode par-delà le monde. Éradiquer le mauvais goûts vestimentaires de la surface des Seas.
• Équipement : Nécessaires de couture, différentes étoffes. Nécessaires de bricolage (pour créer des inventions. Une grande aiguille servant d'épée.
• Parrain : Aucun mais je suis preneur ^^ pour s'intégrer plus rapidement
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ///
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises
• Équipement : Nécessaires de couture, différentes étoffes. Nécessaires de bricolage (pour créer des inventions. Une grande aiguille servant d'épée.
• Parrain : Aucun mais je suis preneur ^^ pour s'intégrer plus rapidement
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ///
Codes du règlement : (Il y en a deux, un par charte. Mettez-les entre les balises
Description Physique
La première chose que l'on remarque chez moi est ma grande chevelure, héritage et fierté familiale. Chez les Mori les cheveux sont longs fins et soyeux ayant des reflets turquoise ou émeraude selon les générations. Derrière tout héritage se cache un fardeau le notre sont les heures de démêlage et les litres de beurre de karité pour entretenir ce magnifique édifice trônant au dessus de ma bouille* angélique.
Avec un œil avisé on peut noter que je ne porte que du sur mesure, pour une future styliste il est tout à fait normal et approprié que le premier mannequin de la marque soit moi-même. La différence avec les autres stylistes de mon époque qui en font que des tenues d’apparat ou de bourgeois. Alors mes tenues caches bien souvent des gadgets mortels ou pratique dans de nombreuses situations. Alors quand on me demande pourquoi j'insère des gadgets dans mes tenues je prends un certains plaisir à répondre :
L'art se cache dans les détails.
Nombreux sont ceux qui veulent devenir la nouvelle popstar, le plus grand pirate ou le l'As de la révolution, mais peu savent se différencier et avoir LE truc pour sortir de la masse.
Si vous êtes fan de la Fashion Week ou de « Carnaval » alors restait avec moi quelques instants et contempler ma garde robe. Une infinité de possibilités et de combinaisons pour devenir le caméléon que vous souhaitez. Je n'est aucune restriction : Kimono, jupe, uniforme militaire ou d'écolière ou sweat style "street" ; je porterais se qu'il faudra pour approcher ma cible et la neutraliser avant même qu'elle n'est le moindre doute.
Juste l'une des choses qui me quitte rarement sont mes deux couettes et leurs chouchous high tech ainsi que mes précieuses lunettes pour ne pas être éblouis par mon reflet dans les vitrines des maigres concurrents.
bouille* : visage
Avec un œil avisé on peut noter que je ne porte que du sur mesure, pour une future styliste il est tout à fait normal et approprié que le premier mannequin de la marque soit moi-même. La différence avec les autres stylistes de mon époque qui en font que des tenues d’apparat ou de bourgeois. Alors mes tenues caches bien souvent des gadgets mortels ou pratique dans de nombreuses situations. Alors quand on me demande pourquoi j'insère des gadgets dans mes tenues je prends un certains plaisir à répondre :
L'art se cache dans les détails.
Nombreux sont ceux qui veulent devenir la nouvelle popstar, le plus grand pirate ou le l'As de la révolution, mais peu savent se différencier et avoir LE truc pour sortir de la masse.
Si vous êtes fan de la Fashion Week ou de « Carnaval » alors restait avec moi quelques instants et contempler ma garde robe. Une infinité de possibilités et de combinaisons pour devenir le caméléon que vous souhaitez. Je n'est aucune restriction : Kimono, jupe, uniforme militaire ou d'écolière ou sweat style "street" ; je porterais se qu'il faudra pour approcher ma cible et la neutraliser avant même qu'elle n'est le moindre doute.
Juste l'une des choses qui me quitte rarement sont mes deux couettes et leurs chouchous high tech ainsi que mes précieuses lunettes pour ne pas être éblouis par mon reflet dans les vitrines des maigres concurrents.
bouille* : visage
Description Psychologique
Visionnaire : J'aime me dire visionnaire, car les gens pensent que je suis folle, décalée avec mon temps. La réalité c'est que je suis en avance ou ils sont en retards ? Je ne me base pas sur le passé il n'y a que le futur qui m'intéresse. Alors j'avance et je trace ma destinée avec ou sans votre consentement.
Téméraire : Autant dire que je suis un pitbull, quand une chose me tient à cœur il est dur de me faire lâcher prise ; surtout quand on parle d'argent et de gloire. Pourtant je suis pas la plus courageuse du monde, loin de là. Je suis à la limite de la feignante parfois. Mais quand le jeu en vaut la chandelle, on peut compter sur moi pour remuer ciels et terre et me battre jusqu'à l'épuisement.
Joviale : On dit de moi que je suis bonne vivante, aimant rire et profiter de la vie avant que celle-ci ne s'arrête brutalement. Et bien tout est vrai. J'aime m'amuser et prendre du bon temps partout où il y en a. Il n'est pas rare de m'entendre faire une blague douteuse, faire une farce ou lancer un pic à quelqu'un par plus plaisir de rigoler, seul ou plusieurs, avec une certaine auto dérision parfois.
Curieuse : Les criminels et pirates ou révolutionnaires diront qu'être curieux est un mauvais défaut et qu'à cause de cela on se retrouve aux mauvais endroits aux mauvais moments. A contrario les gouvernementaux et chasseurs de primes diront qu'il s'agit d'un atout permettant de dénicher la racaille et de rendre le monde plus sûr. Personnellement j'en est que faire de leur idée. Moi j'aime tout savoir, une vraie commère. une information reste une information, pouvant être vendue, troquée ou utilisée après tout ? et connaitre les sombres secrets de chacun n'est pas un poil marrant ?
Hypocrite : Là nous sommes d'accord. C'est pas bien d'être hypocrite, je le sais bien.... mais au fond …. je m'en fous. Je me plie aux uses et coutumes que quand cela m'arrange. Brosser les princes dans le sens du poil alors que mon but n'est que d'avoir leur argent : pas de soucis.
Boire jusqu'à ivresse avec des pirates pour mieux les capturer, c'est une partie de plaisir. Tant que mon image et mon bourse augmente pourquoi faire dans la dentelle ?
Selon les situations, les gens n'ont pas toujours le même opinion sur moi. Si je suis dans la zone uniquement par intérêt et pour une mission, il ne faudra pas s'attendre à se que je sois tendre et disponible. J'ai des objectifs à attendre et des rêves à poursuivre ; pas le temps de niaiser comme dirais Tonton Guy. Mais tu auras toute mon attention et ma tendresse si tu peut m'aider dans mes aventures, Après cela tu pourras découvrir une autre Kaya bien plus sincère et loyale, mais aussi bien plus chiante et avec bien moins de retenue.
Une chose que mes parents m'ont toujours fait remarqué, c'est qu'il ne faut pas juger les gens à leur tenue « l'habit ne fait pas le moine » d'après eux. Alors pourquoi aucun roi n'habille pas en haillon ? Ou quand celui-ci le fait, il n'a aucune autorité ni prestance.
Donc oui, je juge les gens à leur habit et leur manière, il se peut que mon opinion soit parfois erroné mais j'assume pleinement ce défaut. Je préfère les gens qui osent la différence justifiée que les moutons qui se terrent dans des clichés banales et sordides.
Biographie
Mon histoire commença sur la grande île d'Alabasta, plus exactement dans la florissante ville de Nanohana. Ville vivace et agréable à vivre, c'est donc peut être dans l'un des meilleurs lieux du monde que j'ai débuté ma vie aussi haute en couleurs que les toits de la cité qui ma vue naître.
J'aurais pu ouvrir les yeux dans une famille bourgeoise avec déjà un bel empire commercial pour subvenir à mes besoins toute ma vie sans me forcer. Ou bien dans les quartiers mal famés dans une famille pauvre et exploitée. Mais rien de tout cela met arrivé, je suis l’œuvre d'un ingénieur naval travaillant dans le port de la ville et d'une parfumeuse, classe moyenne, revenu moyen rien qui sort de l'habituelle et qui crève les plafonds ?
Et pourtant c'est bien dans ce cadre et dès mon plus jeune âge que je me suis mis en tête de devenir quelqu'un, pour que le nom de Mori ne soit plus associé à une famille classique. Je voulais qu'il devienne synonyme de classe et de puissance.
Nanohana est une ville pleine opportunité, toutes les richesses du monde venaient s'y déverser dans son port aux grands plaisirs des marchands mais aussi du mien.
Accompagné de ma grand-mère j'avais pour habitude de m'asseoir aux abords du ports pour y observer la foule bruyante et agitée. Le port était pour moi la vitrine du monde, on pouvait croiser des hommes des autres grandes voies, vêtus des tenues de leurs contrées telles que les plaines glaciales de Bulgemore ou de la jungle de Little Garden.
Chaque style et spécificité étaient peu à peu consignées dans mon carnet de dessin pour mes prochaines tenues que j'allais confectionner avec ma chère grand-mère.
C'est aussi en ce lieu que j'ai appris le mot légitimé et légalité et commençais à me forger un caractère et un avis sur la société. Il est illégal de voler un fruit d'une caisse débordante, mais il est légitime pour un enfant de la rue sans ressource de voler pour survivre. « Le bien dans le mal, le mal dans le bien » comme disait ma grand-mère en voyant ce genre d'action. Le marchand allait perdre quelques berries, rien de bien dangereux pour lui, et le gamin allait vivre un jour de plus. Et un jour qui sait, cet enfant devenu grand offrira un repas à un vieillard, un marchand ayant perdu toute sa fortune et se retrouvant à la rue, une triste ironie ou le cercle de la vie ?
L'un des événements qui a marqué un tournant dans ma vie se déroula une nouvelle fois dans ce fameux port, port de toutes les aubaines d'après moi !
J'avais 14 ans environ, je continuais mon travail de dessin en observant les marins quand un homme un cigare à la bouche s'approcha de moi, un oeil sur mon carnet, l'autre sur un navire en cours de déchargement :
Alors gamine on dessine des tenues ? Classe raffinée, j'aime bien. Est qu'une aide financière t'aiderait à les réaliser ?
Il n'était pas fou, proposer un deal sympa et facile à une ado de 14 ans qui souhaitais réaliser ses rêves c'était gagné d'avance. Alors d'un signe de tête j’accepta
Toi qui observe tout le monde, si tu voit la tête d'une personne sur les fiches, note discrètement vers où il va et combien de personne l'accompagnent. Et si des gens suspects ou des fauteurs de troubles se promènent dessines les moi. Tu seras récompenses à hauteurs des informations que tu me récoltes.
Il me glissa un petit groupe de feuille portant un visage, un nom et une prime. Je devais une indic, je touchais tranquillement quelques berries sans me mettre en danger ! Le plan idéal pour bien commencer les affaires !
Or une personne normale auraient continuer jusqu'à ne plus avoir de primés à indiquer. Personnellement je voulais rapidement passer à l'étape suivante, de fil en aiguille le contrat changea entre lui et moi. Tonton Guy comme je l’appelais accepta chacune de mes demandes : le suivre pour observer comment on chasse un primé, puis comment on l'interpelle et finalement comment on touche une coquette somme !
Berries gloire et adrénaline, le programme me plaisait de plus en plus ; mes parents connaissaient déjà la suite, il ne voulait pas aller contre mes désirs, personne ne pouvait même mettre des chaînes. Alors un bon jours j'ai eu le droit à la plus grande des déclarations :
Chérie, tu apprends vite mais Nanohana ne t'apportera plus assez, ta faim dévorante de nouveau costume et paysage commence à se faire sentir, frustré de ne plus voir de nouvelle tenue ou nouveau primé. Alors part, n'attends pas que le monde vienne à toi. Explore le monde et fait briller notre nom comme nous ne saurons jamais le faire. Nous te préférons heureuse à explorer le monde que frustré à contempler le port en attendant les petites primes.
Ni une Ni deux, j'ai ramassé mes affaires, embrassa ma famille et mes amis et j'ai suivi Tonton Guy et son groupe vers d'autres horizons.
Il était temps de voler par mes propres ailes, Je ne perdais pas mon objectif de vue, la chasse à la prime était un jeu et un gagne pain pour finance mes projets avenirs !
Test RP
Mon voyage avec Tonton Guy nous amena sur West Blue. Lui et sa bande préférait chasser en groupe sur les Seas Blues. Le climat y été plus calme et généreux et la navigation beaucoup moins compliquée. J'étais étonnée de le voir naviguer avec une carte et une vraie boussole et non un log pose comme tout les navigateurs que j'ai pu observer à Nanohana. Les pirates, criminels et révolutionnaires possédant une prime étaient moins préparer et se pensaient tout puissant sur les Blues.
Débarquant de Grand Line avec l'expérience et l'attrait de « l'argent facile » notre groupe avait toutes ses chances pour faire un petit coup de filet.
Pour ne pas trop me dé paysager Guy avait choisi de jeter l'ancre à Attalia, une ville portuaire d'une île désertique comparable à Alabasta. Je devais doucement m'habituer à d'autres climats et d'autres coutumes, ainsi que de nouvelles mentalités car vivre sur Grand Line était une bénédiction pour certaines choses et le pire endroit sur terre pour d'autres. Je trouvais les gens des Blues plus lents, moins méfiants, c'était peut être qu'un a priori ou un jugement hâtif mais seul le temps allait me donner la réponse.
Notre petit groupe de 6 personnes s'installa dans une auberge discrète. Pas trop loin des quartiers « intéressants ». Un peu comme notre Qg, c'était de cette planque que toutes les opérations étaient imaginées, développées affinées et concrétisées.
Au final ce n'était pas si différent que de concevoir une tenue. Il fallait connaître le modèle, prendre la taille du mannequin, ajuster et serrer pour que la tenue épouse parfaitement les formes.
La première étape d'une traque était le repérage. J'étais bien calée dans ce domaine car je n'avais pas de nom donc personne ne pouvait me reconnaître.
Selon les besoins ou la composition de l'équipe nous avions déjà des cibles prédéfinies. Tels que les primés puissants mais seuls, ou des frères terribles avec une prime important mais divisées en deux ou un ensemble d'équipage avec peu de prime individuel.
Quand il n'y avait vraiment rien d'intéressant on pouvait se rabattre sur les petits primes tels que les fauteurs de troubles et les voleurs récidivistes, mais il fallait avoir faim et du temps à perdre pour courir après des gens de ce genre. Surtout que la plupart du temps les marines les libéraient peu de temps après pour ne pas surcharger les prisons.
C'était donc dans un bar populaire, loin des patrouilles des marines que la bande à Guy rôdait pour dénicher des bons candidats, or nous n'étions pas les seuls à chercher l'oseille. Évidement, accoudé au même bar que moi, un autre chasseur de prime qui puait le cliché regardait la même cible que moi. J'avais à peine commençait ma soirée que j'étais déjà saoulé de voir à quel point les gens n'avaient pas d'imaginations. Être un chasseur de prime, sur une île désertique et portait un chapeau de cowboy, une redingote brune, une cigarette à la bouche avec un air mystérieux et solitaire.
Je m'approcha donc de lui, il n'osa même pas porter le regard sur moi et baragouina :
Qu'est que tu veut petite. C'est pas un lieu pour des demoiselles comme toi. Surtout à cette heure ci. Va voir ailleurs
En plus d'être un cliché à lui tout seul, il s'agissait d'un macho sans cerveau, j'avais dégoté la perle de la soirée.
Écoute papy, t'es un peu vieux pour courir après les jeunes primes. T'es un cliché du cowboy qui touches des berrys pour se mettre une cabine* car ta vie est misérable. Tout le monde à senti que tu es un intrus prêt à les entuber pour une bourse de pièces. Alors soit gentil change de cible, voir change de bar cela serait mieux pour toi. Tu pourrais le regretter.
*se mettre une cabine : se bourrer
Chaque mots étaient soigneusement calculés et dosés pour énerver le bonhomme, tonton Guy me répétait sans cesse d''être une femme était une force et non une faiblesse. Avec un petit sourire sadique, je vis l'homme se retourner vers moi en frappant sa chope sur le comptoir, se qui me fit forcement sur-sauter.
Écoute greluche, barre toi, me fait pas chier. Va voir papa et maman ailleurs. Mele toi de ton cul.
Faussement étonnée je recula, avant de réagir à voix haute à sa réaction disproportionné :
Pardon ! Vous êtes vraiment pas courtois ici, pas étonnant venant d'un homme qui cache un fusil dans sa redingote, vous cherchez quoi ? À capturer ou pire ! À tuer quelqu'un ici. Trop dangereux ici... pfff
tapant du pied je fis volte face avant de me diriger vers la sortie. La fausse stupeur avait de nouveau laissé place au sourire sadique car il avait réagit comme je voulais. Tout le bar l'avait bien remarqué, sa couverture été grillée : un concurrent en moins. Et cerise sur le gâteau l'un des primés du bar demanda si j'allais bien avant de se tourner le chasseur de prime pour lui sommer de partir.
*papy chasseur : 0 Madame Mori : 1*
Je peux vous offrir un verre pour excusez le comportement de ce trou du cul ?
Parfait ! Une des cibles potentielle voulaient m'inviter à boire un verre, un petit coup d’œil à Guy, celui-ci souriait, je venais d’appâter un poisson valant 1M mais ses amis en valaient autant voir plus.
L'art de la chasse était dans la préparation et non la précipitation. Alors en attraper un seul quand on peut tous les avoir ?
Non merci, il a raison il est tard. Après cela va être dangereux dehors. Mais demain vous êtes là ? Je peux revenir demain nous aurons plus de temps pour faire connaissance
Hop, main dans les cheveux, petit sourire charmant, léger rapprochement physique j'étais une vraie sirène attirant sa proie vers les rochers sur lesquelles il allait s'écraser, lui et son équipage !
Deuxième phase : l'approche, trouver la faiblesse et préparer la troisième phase : combat ou capturer.
Le pauvre primé ne savait pas que depuis le début il était dupé. Si j'ai engueulé cet homme ce n'était pas un hasard, si j'ai attiré son attention ce n'est pas pour rien. Tout été fait pour qu'il me capte et que je l'accroche. Maintenant le but était de passer la soirée suivante avec lui, le charmer et se glisser derrière sa garde. Une fois dans un endroit plus intime et à l'abri des regards il fallait le neutraliser et ouvrir la voie aux collègues pour capturer sa bande durant leur sommeils.
Le lendemain je sortais un jeu classique et efficace, mélange malsain entre veuve noire et cheval de Troie. Je remercia ma mère de m'avoir apportée ses connaissances en parfumerie. Je savais concocter des parfums aux vertu aphrodisiaques et utiliser certaines plantes curatives.... ou venimeuses.
Je portais donc un parfum stimulant la gente masculine pour que paupaul prenne le contrôle du cerveau, et je me gardais l'usage d'un rouge à lèvres …. particulier pour la fin.
Le soir venant, je retrouva ma cible dans le même bar avec ses amis, les miens étaient toujours en planque autour de moi en cas de problème.
Laissant la main baladeuse du monsieur, je me laissais faire, il devait penser avoir le contrôle sur moi et non inverse. Je lui pressentait toujours le cou pour qu'il embrasse et respire à pleins poumons mon doux parfum.
Bien chauffé, avec un peu d'alcool, je l'invita à danser et invita ses amis à faire de même avec d'autres filles. Ce n'était pas par plaisir de danser mais pour que mes collègues repèrent d’éventuelles armes cachés sous les vêtements.
Quelques heures plus tard, l'homme m'invita à finir la soirée dans leur repaire. Je profita d'un moment au toilette « pour me faire belle » et ajouta ma touche finale, un rouge à lèvres contenant du poison. Il fallait savoir prendre des risques car le poison pouvait facilement me toucher aussi. Je devais donc agir vite. Interrompant l'homme dans sa discussion avec son ami, je l'embrassa à pleine bouche.
Tu lui parleras demain ! On va dans ta chambre je te veut que pour moi ce soir. Désolé pour ton copain
J'étais une allumeuse ? Non une fille rusée, car avant de rentrer dans la chambre j'appliqua une deuxième dose de poison pour être sûr qu'il fasse bien effet.
Quelques minutes plus tard, ma vision se troubla, l'effet du poison était sur le point de nous paralyser tout les deux. Aussitôt je m'enfila l'ampoule remplie d'antidote sous le regard perdu de ma victime
Tu crois vraiment qu'une fille comme moi, pouvait s'intéresser à un homme comme toi ? Pathétique. Tenue classique, pas de prestance, peu de charisme. Juste une bonne gueule et une prime qu'il fallait le coup de t'embrasser deux trois fois et d'accorder une danse. Désolé chéri mais toutes les roses ont des aiguilles.
Paralysé et totalement vulnérable l'homme ne pouvait rien faire. Je lui déroba la clé de la porte d'entrée pour que mes collègues puissent interrompre la nuit de ses amis primés et les rendre aux autorités « compétentes ».
Quatrième phase : partage du butin, et disparition des lieux pour ne pas se faire griller par la population locale.
Alors que je m'attendais à recevoir mon petit million, Guy un sourire jusqu'aux oreilles me remit une lettre bien plus fine qu'habitude : Il s'agissait de mon titre personnel de chasseur de prime à mon compte. Aujourd'hui même, je passais du statut de sbires à associés officiels.
Ce coup représentait pour moi mon entrée dans le monde masculins des chasseurs de primes !
Je suis fier de toi. Avec ce coup tu as su prouver que tu étais capable de gérer une opération entière quasiment sans notre aide. Nous n'avons fait que cueillir les primes que tu venait de nous offrir. En retour je t'offre ton titre de chasseur de prime au lieu de quelques berrys. Maintenant libre à toi, continuer à travailler avec nous. Faire des coups en solo. Le temps de travaillé sous mon nom est révolu ! Madame Mori est dans la place ! Gare à vos primes .
Débarquant de Grand Line avec l'expérience et l'attrait de « l'argent facile » notre groupe avait toutes ses chances pour faire un petit coup de filet.
Pour ne pas trop me dé paysager Guy avait choisi de jeter l'ancre à Attalia, une ville portuaire d'une île désertique comparable à Alabasta. Je devais doucement m'habituer à d'autres climats et d'autres coutumes, ainsi que de nouvelles mentalités car vivre sur Grand Line était une bénédiction pour certaines choses et le pire endroit sur terre pour d'autres. Je trouvais les gens des Blues plus lents, moins méfiants, c'était peut être qu'un a priori ou un jugement hâtif mais seul le temps allait me donner la réponse.
Notre petit groupe de 6 personnes s'installa dans une auberge discrète. Pas trop loin des quartiers « intéressants ». Un peu comme notre Qg, c'était de cette planque que toutes les opérations étaient imaginées, développées affinées et concrétisées.
Au final ce n'était pas si différent que de concevoir une tenue. Il fallait connaître le modèle, prendre la taille du mannequin, ajuster et serrer pour que la tenue épouse parfaitement les formes.
La première étape d'une traque était le repérage. J'étais bien calée dans ce domaine car je n'avais pas de nom donc personne ne pouvait me reconnaître.
Selon les besoins ou la composition de l'équipe nous avions déjà des cibles prédéfinies. Tels que les primés puissants mais seuls, ou des frères terribles avec une prime important mais divisées en deux ou un ensemble d'équipage avec peu de prime individuel.
Quand il n'y avait vraiment rien d'intéressant on pouvait se rabattre sur les petits primes tels que les fauteurs de troubles et les voleurs récidivistes, mais il fallait avoir faim et du temps à perdre pour courir après des gens de ce genre. Surtout que la plupart du temps les marines les libéraient peu de temps après pour ne pas surcharger les prisons.
C'était donc dans un bar populaire, loin des patrouilles des marines que la bande à Guy rôdait pour dénicher des bons candidats, or nous n'étions pas les seuls à chercher l'oseille. Évidement, accoudé au même bar que moi, un autre chasseur de prime qui puait le cliché regardait la même cible que moi. J'avais à peine commençait ma soirée que j'étais déjà saoulé de voir à quel point les gens n'avaient pas d'imaginations. Être un chasseur de prime, sur une île désertique et portait un chapeau de cowboy, une redingote brune, une cigarette à la bouche avec un air mystérieux et solitaire.
Je m'approcha donc de lui, il n'osa même pas porter le regard sur moi et baragouina :
Qu'est que tu veut petite. C'est pas un lieu pour des demoiselles comme toi. Surtout à cette heure ci. Va voir ailleurs
En plus d'être un cliché à lui tout seul, il s'agissait d'un macho sans cerveau, j'avais dégoté la perle de la soirée.
Écoute papy, t'es un peu vieux pour courir après les jeunes primes. T'es un cliché du cowboy qui touches des berrys pour se mettre une cabine* car ta vie est misérable. Tout le monde à senti que tu es un intrus prêt à les entuber pour une bourse de pièces. Alors soit gentil change de cible, voir change de bar cela serait mieux pour toi. Tu pourrais le regretter.
*se mettre une cabine : se bourrer
Chaque mots étaient soigneusement calculés et dosés pour énerver le bonhomme, tonton Guy me répétait sans cesse d''être une femme était une force et non une faiblesse. Avec un petit sourire sadique, je vis l'homme se retourner vers moi en frappant sa chope sur le comptoir, se qui me fit forcement sur-sauter.
Écoute greluche, barre toi, me fait pas chier. Va voir papa et maman ailleurs. Mele toi de ton cul.
Faussement étonnée je recula, avant de réagir à voix haute à sa réaction disproportionné :
Pardon ! Vous êtes vraiment pas courtois ici, pas étonnant venant d'un homme qui cache un fusil dans sa redingote, vous cherchez quoi ? À capturer ou pire ! À tuer quelqu'un ici. Trop dangereux ici... pfff
tapant du pied je fis volte face avant de me diriger vers la sortie. La fausse stupeur avait de nouveau laissé place au sourire sadique car il avait réagit comme je voulais. Tout le bar l'avait bien remarqué, sa couverture été grillée : un concurrent en moins. Et cerise sur le gâteau l'un des primés du bar demanda si j'allais bien avant de se tourner le chasseur de prime pour lui sommer de partir.
*papy chasseur : 0 Madame Mori : 1*
Je peux vous offrir un verre pour excusez le comportement de ce trou du cul ?
Parfait ! Une des cibles potentielle voulaient m'inviter à boire un verre, un petit coup d’œil à Guy, celui-ci souriait, je venais d’appâter un poisson valant 1M mais ses amis en valaient autant voir plus.
L'art de la chasse était dans la préparation et non la précipitation. Alors en attraper un seul quand on peut tous les avoir ?
Non merci, il a raison il est tard. Après cela va être dangereux dehors. Mais demain vous êtes là ? Je peux revenir demain nous aurons plus de temps pour faire connaissance
Hop, main dans les cheveux, petit sourire charmant, léger rapprochement physique j'étais une vraie sirène attirant sa proie vers les rochers sur lesquelles il allait s'écraser, lui et son équipage !
Deuxième phase : l'approche, trouver la faiblesse et préparer la troisième phase : combat ou capturer.
Le pauvre primé ne savait pas que depuis le début il était dupé. Si j'ai engueulé cet homme ce n'était pas un hasard, si j'ai attiré son attention ce n'est pas pour rien. Tout été fait pour qu'il me capte et que je l'accroche. Maintenant le but était de passer la soirée suivante avec lui, le charmer et se glisser derrière sa garde. Une fois dans un endroit plus intime et à l'abri des regards il fallait le neutraliser et ouvrir la voie aux collègues pour capturer sa bande durant leur sommeils.
Le lendemain je sortais un jeu classique et efficace, mélange malsain entre veuve noire et cheval de Troie. Je remercia ma mère de m'avoir apportée ses connaissances en parfumerie. Je savais concocter des parfums aux vertu aphrodisiaques et utiliser certaines plantes curatives.... ou venimeuses.
Je portais donc un parfum stimulant la gente masculine pour que paupaul prenne le contrôle du cerveau, et je me gardais l'usage d'un rouge à lèvres …. particulier pour la fin.
Le soir venant, je retrouva ma cible dans le même bar avec ses amis, les miens étaient toujours en planque autour de moi en cas de problème.
Laissant la main baladeuse du monsieur, je me laissais faire, il devait penser avoir le contrôle sur moi et non inverse. Je lui pressentait toujours le cou pour qu'il embrasse et respire à pleins poumons mon doux parfum.
Bien chauffé, avec un peu d'alcool, je l'invita à danser et invita ses amis à faire de même avec d'autres filles. Ce n'était pas par plaisir de danser mais pour que mes collègues repèrent d’éventuelles armes cachés sous les vêtements.
Quelques heures plus tard, l'homme m'invita à finir la soirée dans leur repaire. Je profita d'un moment au toilette « pour me faire belle » et ajouta ma touche finale, un rouge à lèvres contenant du poison. Il fallait savoir prendre des risques car le poison pouvait facilement me toucher aussi. Je devais donc agir vite. Interrompant l'homme dans sa discussion avec son ami, je l'embrassa à pleine bouche.
Tu lui parleras demain ! On va dans ta chambre je te veut que pour moi ce soir. Désolé pour ton copain
J'étais une allumeuse ? Non une fille rusée, car avant de rentrer dans la chambre j'appliqua une deuxième dose de poison pour être sûr qu'il fasse bien effet.
Quelques minutes plus tard, ma vision se troubla, l'effet du poison était sur le point de nous paralyser tout les deux. Aussitôt je m'enfila l'ampoule remplie d'antidote sous le regard perdu de ma victime
Tu crois vraiment qu'une fille comme moi, pouvait s'intéresser à un homme comme toi ? Pathétique. Tenue classique, pas de prestance, peu de charisme. Juste une bonne gueule et une prime qu'il fallait le coup de t'embrasser deux trois fois et d'accorder une danse. Désolé chéri mais toutes les roses ont des aiguilles.
Paralysé et totalement vulnérable l'homme ne pouvait rien faire. Je lui déroba la clé de la porte d'entrée pour que mes collègues puissent interrompre la nuit de ses amis primés et les rendre aux autorités « compétentes ».
Quatrième phase : partage du butin, et disparition des lieux pour ne pas se faire griller par la population locale.
Alors que je m'attendais à recevoir mon petit million, Guy un sourire jusqu'aux oreilles me remit une lettre bien plus fine qu'habitude : Il s'agissait de mon titre personnel de chasseur de prime à mon compte. Aujourd'hui même, je passais du statut de sbires à associés officiels.
Ce coup représentait pour moi mon entrée dans le monde masculins des chasseurs de primes !
Je suis fier de toi. Avec ce coup tu as su prouver que tu étais capable de gérer une opération entière quasiment sans notre aide. Nous n'avons fait que cueillir les primes que tu venait de nous offrir. En retour je t'offre ton titre de chasseur de prime au lieu de quelques berrys. Maintenant libre à toi, continuer à travailler avec nous. Faire des coups en solo. Le temps de travaillé sous mon nom est révolu ! Madame Mori est dans la place ! Gare à vos primes .
Informations IRL
• Prénom : Corentin
• Age : 21 ans
• Aime : le tir à l'arc, roller, série, la science
• N'aime pas : les épinards,
• Personnage préféré de One Piece : Law Trafalgar
• Caractère : Je sais pas trop comment me décrire, vous me découvrirez aux fils de mes apparitions sur le tchat. Sinon je pense être plutot à l'écoute, essayant de rire de tout et n'importe quoi.... quitte à partir loin ....très loin parfois.
• Fait du RP depuis : 2 3 ans. Long passage sur un forum one piece, puis naruto pour finalement tenter de suivre la communauté de naruto sur un forum my heroes academia. Et maintenant reprendre chez vous !
• Disponibilité approximative : le soir presque chaque jours si il y a une réponse Rp, sinon je serais sur heroes of the storm ou devant une série. La vitesse de réponse dépend du partenaire, j'essaye de m'adapter pour ne pas ralentir les plus rapides et ne pas presser les moins rapides.
• Comment avez-vous connu le forum ? : recherche google
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Kaya Mori le Mar 19 Fév 2019 - 1:34, édité 1 fois