Shell Town, une ville bien connu pour diverses raisons, d'après les quelques histoires des anciens que je croisais seul, l'île était un ancien repaire de pirate avant la création d'une garnison de la marine, la 153ème qu'il disait mais bon, vu que j'y connais que dalle, c'était légèrement du charabia à mes oreilles. Après ces quelques histoires enrichissantes j'avais repris ma route comme une routine. Dès que je croisais un couple ou une personne âgée seule je lui tenais compagnie afin d'écouter de possible histoire sur la piraterie ou sur les événements de l'île mais là encore rien de bien folichon, si ce n'est qu'il y a quelques années, les révolutionnaires ou un gang ont causé du grabuge sur l'île vivement maîtrisé par le colonel en poste actuellement.
A force de me balader et d'obtenir des renseignement, l'un d'eux me posa une question qui me crispa, qui me faisait douter sur le point de sortir ma lame pour le faire taire à jamais pour cette insulte.
« N'es tu pas là pour rejoindre la grande et fière marine mon garçon ? »
Avaient-ils dit avec un grand sourire plein de joie de vivre. Puis les souvenirs qui refaisaient surface, une vie de misère, une vie d'esclavage sans aucun espoir visible jusqu'à la fin de l'existence tandis que ces gens ne sachant rien vivaient une vie simple et heureuse. Tellement dégoûtant, avant que je ne lâche un sourire forcé pour ne leur répondre que d'un non et d'une excuse avant de repartir en trottinant pour me calmer. J'étais encore faible, si je faisais du grabuge on me repérerai de suite et adieux le pseudo idéal de liberté. Non je devais agir plus intelligemment et rester discret.
Je finis alors par me poser au niveau du port, à moitié allongé contre une bitte d'amarrage, chapeau posé sur le crâne pour cacher la lumière du soleil et à pioncer que d'une oreille en tenant fermement le sabre contre ma poitrine.
Il ne fallut pas longtemps pour que des voyous de quartier viennent m'emmerder, visiblement sa existe partout ces cafards. Ils sont si bruyant que l'on pourrait les entendre à des kilomètres à la ronde mais à part ça tout va bien. Ils terrorisent les enfants qui passent à droite à gauche ainsi que les parents ou les quelques civils qui osent s'interposer avant qu'ils ne me remarquent et se dirigent vers moi. Une fois devant moi, m'entourant en arc-de-cercle et cachant la luminosité du soleil, une petite discussion eu lieu. Rien de bien impressionnant mais c'était juste du cliché comme « qu'est ce que tu fou sur notre territoire, et blablabla. ». Ça confirme mes dires. C'est juste des petites frappes qui profitent de l'absence de patrouille de la marine pour agir. Reposant le chapeau au sol avant de me lever, je laisse ressortir ma chevelure lisse en longue queue de cheval qui reflète le soleil laissant voir une belle couleur bleu marine tout en tenant toujours fermement le sabre à ma main.
« Ho les gars, je crois qu'on est tombé sur un sacré canon de beauté, matez sa chevelure. »
« Hé ma jolie, sa te dirait pas de lâcher cette arme un peu et venir avec nous. »
Ho putain mais c'est qu'en plus ils font pas exprès ces cons. Je sais que ma carrure est loin du grand marin que l'on se fait et que ma chevelure fait plus féminine qu'autre chose mais c'est quand même pas compliqué de voir que mon visage a des traits masculin. Finalement à bout mais conservant un minimum de bon sens, je me contente juste de frapper très fort à des endroits bien sensible. Uppercut dans la mâchoire, coup de fourreau dans l'abdomen ou encore coup de genoux en plein chicos...fallait bien que je me défoule. Une fois la « confrontation » terminée, je me suis juste contenté de m’asseoir au même endroit en récupérant le chapeau quelque peu troué avant d'observer la mer qui s'étendait jusqu'à perte de vue, un faible sourire aux lèvres. J'espère juste que rien d'autre ne viendra m'embêter aujourd'hui.
A force de me balader et d'obtenir des renseignement, l'un d'eux me posa une question qui me crispa, qui me faisait douter sur le point de sortir ma lame pour le faire taire à jamais pour cette insulte.
« N'es tu pas là pour rejoindre la grande et fière marine mon garçon ? »
Avaient-ils dit avec un grand sourire plein de joie de vivre. Puis les souvenirs qui refaisaient surface, une vie de misère, une vie d'esclavage sans aucun espoir visible jusqu'à la fin de l'existence tandis que ces gens ne sachant rien vivaient une vie simple et heureuse. Tellement dégoûtant, avant que je ne lâche un sourire forcé pour ne leur répondre que d'un non et d'une excuse avant de repartir en trottinant pour me calmer. J'étais encore faible, si je faisais du grabuge on me repérerai de suite et adieux le pseudo idéal de liberté. Non je devais agir plus intelligemment et rester discret.
Je finis alors par me poser au niveau du port, à moitié allongé contre une bitte d'amarrage, chapeau posé sur le crâne pour cacher la lumière du soleil et à pioncer que d'une oreille en tenant fermement le sabre contre ma poitrine.
Il ne fallut pas longtemps pour que des voyous de quartier viennent m'emmerder, visiblement sa existe partout ces cafards. Ils sont si bruyant que l'on pourrait les entendre à des kilomètres à la ronde mais à part ça tout va bien. Ils terrorisent les enfants qui passent à droite à gauche ainsi que les parents ou les quelques civils qui osent s'interposer avant qu'ils ne me remarquent et se dirigent vers moi. Une fois devant moi, m'entourant en arc-de-cercle et cachant la luminosité du soleil, une petite discussion eu lieu. Rien de bien impressionnant mais c'était juste du cliché comme « qu'est ce que tu fou sur notre territoire, et blablabla. ». Ça confirme mes dires. C'est juste des petites frappes qui profitent de l'absence de patrouille de la marine pour agir. Reposant le chapeau au sol avant de me lever, je laisse ressortir ma chevelure lisse en longue queue de cheval qui reflète le soleil laissant voir une belle couleur bleu marine tout en tenant toujours fermement le sabre à ma main.
« Ho les gars, je crois qu'on est tombé sur un sacré canon de beauté, matez sa chevelure. »
« Hé ma jolie, sa te dirait pas de lâcher cette arme un peu et venir avec nous. »
Ho putain mais c'est qu'en plus ils font pas exprès ces cons. Je sais que ma carrure est loin du grand marin que l'on se fait et que ma chevelure fait plus féminine qu'autre chose mais c'est quand même pas compliqué de voir que mon visage a des traits masculin. Finalement à bout mais conservant un minimum de bon sens, je me contente juste de frapper très fort à des endroits bien sensible. Uppercut dans la mâchoire, coup de fourreau dans l'abdomen ou encore coup de genoux en plein chicos...fallait bien que je me défoule. Une fois la « confrontation » terminée, je me suis juste contenté de m’asseoir au même endroit en récupérant le chapeau quelque peu troué avant d'observer la mer qui s'étendait jusqu'à perte de vue, un faible sourire aux lèvres. J'espère juste que rien d'autre ne viendra m'embêter aujourd'hui.