La Baie de Jing est le port principal de l'île, là où tous accostent pour entrer sur les terres de l'Empire, enfin tous sauf ceux qui ne peuvent montrer patte blanche bien évidemment. Pour les brigands, pirates et autres scélérat seul le port Levant constitue une véritable porte d'entrée viable sur Kanokuni.
L'immensité de la Grande Muraille surplombe toute la baie, protégeant les terres de l'Empire de la manière la plus simple possible. Pourtant les récents événements ont montrés que cet édifice, bien qu'absolument incroyable n'est pas la solution divine, protégeant indéfiniment un peuple. Une brèche est créée au niveau de la baie, assez large mais d'ores et déjà des dizaines de travailleurs s'affairent à la colmater. L'armée est sur le qui-vive. Retirée du conseil du Gouvernement Mondial les représailles peuvent tomber n'importe quand. Les militaires veillent alors d'arrache pied pour conserver la paix de leurs concitoyen.
Assis sur un petit promontoir rocheux sur l'ouest de la baie, Atoum est assis aux côtés de Ma, son ami et petit vieillard de 129 ans, avec qui ils fixent l'horizon qu'offre la mer de Jade. Les deux compèrent sont très proche, presque comme s'ils faisaient partie d'une seule et unique famille. Ces derniers jours ont été décisifs pour créer ce lien entre eux. D'abord repêché une première fois par le vieillard, ils ont cohabités quelques jours tout en travaillant ensemble avant qu'Atoum partent s'occuper du cas d'un dangereux pirate. Malheureusement pour la chasseur de prime les choses ont mal tournées. Le forban était bien trop puissant et il s'est fait laminé, écrasé... brisé.
Repêché in extremis une seconde fois par le natif de l'île, le jeune alcoolique a passé de longs jours dans un comas inquiétant. Par chance un médecin a réussi à l'en sortir et a préservé sa vie. Pour lui, guerrier fier et tête brûlée avoir perdu l'usage de ses deux bras est un traumatisme indélébile. Ses membres supérieurs sont enserrés dans d'épais bandage et régulièrement il boit pour tenter d'oublier cette douleur incessantes et insupportable qui le harcèle. Les os de ses épaules ainsi que de l'ensemble de ses bras sont broyés et brisés en mille morceaux. Une chirurgie ne parviendrait même pas à les réparer tant le chantier est complexe. La fièvre lui monte régulièrement, il a les lèvres en lambeaux tant il se les ait mordu pour tenter de détourner sa souffrance.
Cette situation est invivable, impossible qu'il poursuive comme ça, Atoum n'en peut plus.
> Ma, j'suis désolé pour ton amie Jan Kalemen.... j'sais qu't'y t'nais beaucoup... J'te l'jure j'la vangerai de cette enflure ! enrage Atoum comme un lion en cage.
> La patience... oui je suis peiné mais oublie ça ! Tu ne peux plus rien lui faire à ce pirate, le ramène sur terre Ma avec bienveillance.
> La ferme le vieux ! J'suis pas handicapé... j't'ais dis qu'j'la vangerai et tu verras ! Bras ou pas je lui réglerai son compte ! s'emporte Atoum comme à chaque fois que ce sujet est abordé. Pourtant il a pleinement conscience de sa situation, mais ne parvient pas à accepter le fait que plus jamais il ne pourra exercer son métier ni venger cette vieille femme, décapitée par Ivan.
Il se mord l'intérieur de la joue car une pointe de douleur vient le tirailler l'espace d'un instant, puis sans demander l'aide de son hôte il se relève non sans mal. Le petit vieillard l'accompagne et ils rentrent dans la petite cabane de pêcheur qui leur sert de maison. Là, Atoum s'effondre sur l'une des deux paillasses qui jonchent le sol et, au bord de l'inconscience, pousse un râle d'outre-tombe. Les douleurs sont de plus en plus proches, plus fréquentes... comment faire pour qu'elles cessent avant qu'il ne finisse par devenir fou.
Voyant l'état de son jeune ami le maître des lieux va vite chercher l'une de ses fameuses bouteilles d'alcool de riz et la débouchonne avant de la portée aux lèvres du chasseur de prime.
> Bois... bois !
Les gorgées s'enchaînent et, à cause de son état déplorable, Atoum s'endort aussitôt.
*Il faut vraiment que je lui trouve quelqu'un d'autre pour le soigner... ce n'est pas possible il va mourir à force ce gamin* pense Ma. Décidé il ferme la porte derrière lui de son habitation et se décide à trouver un nouveau médecin pour soigner son invité. Malheureusement les connaissances de son arrière-petit-neveu n'ont pas suffit, il lui faut donc trouver quelqu'un d'autre. C'est pour cela qu'il arpente les rues de la baie de Jing, espérant trouver le médecin providencielle qui assurerai la survit d'Atoum et ce n'est pas une mince à faire.
L'immensité de la Grande Muraille surplombe toute la baie, protégeant les terres de l'Empire de la manière la plus simple possible. Pourtant les récents événements ont montrés que cet édifice, bien qu'absolument incroyable n'est pas la solution divine, protégeant indéfiniment un peuple. Une brèche est créée au niveau de la baie, assez large mais d'ores et déjà des dizaines de travailleurs s'affairent à la colmater. L'armée est sur le qui-vive. Retirée du conseil du Gouvernement Mondial les représailles peuvent tomber n'importe quand. Les militaires veillent alors d'arrache pied pour conserver la paix de leurs concitoyen.
Assis sur un petit promontoir rocheux sur l'ouest de la baie, Atoum est assis aux côtés de Ma, son ami et petit vieillard de 129 ans, avec qui ils fixent l'horizon qu'offre la mer de Jade. Les deux compèrent sont très proche, presque comme s'ils faisaient partie d'une seule et unique famille. Ces derniers jours ont été décisifs pour créer ce lien entre eux. D'abord repêché une première fois par le vieillard, ils ont cohabités quelques jours tout en travaillant ensemble avant qu'Atoum partent s'occuper du cas d'un dangereux pirate. Malheureusement pour la chasseur de prime les choses ont mal tournées. Le forban était bien trop puissant et il s'est fait laminé, écrasé... brisé.
Repêché in extremis une seconde fois par le natif de l'île, le jeune alcoolique a passé de longs jours dans un comas inquiétant. Par chance un médecin a réussi à l'en sortir et a préservé sa vie. Pour lui, guerrier fier et tête brûlée avoir perdu l'usage de ses deux bras est un traumatisme indélébile. Ses membres supérieurs sont enserrés dans d'épais bandage et régulièrement il boit pour tenter d'oublier cette douleur incessantes et insupportable qui le harcèle. Les os de ses épaules ainsi que de l'ensemble de ses bras sont broyés et brisés en mille morceaux. Une chirurgie ne parviendrait même pas à les réparer tant le chantier est complexe. La fièvre lui monte régulièrement, il a les lèvres en lambeaux tant il se les ait mordu pour tenter de détourner sa souffrance.
Cette situation est invivable, impossible qu'il poursuive comme ça, Atoum n'en peut plus.
> Ma, j'suis désolé pour ton amie Jan Kalemen.... j'sais qu't'y t'nais beaucoup... J'te l'jure j'la vangerai de cette enflure ! enrage Atoum comme un lion en cage.
> La patience... oui je suis peiné mais oublie ça ! Tu ne peux plus rien lui faire à ce pirate, le ramène sur terre Ma avec bienveillance.
> La ferme le vieux ! J'suis pas handicapé... j't'ais dis qu'j'la vangerai et tu verras ! Bras ou pas je lui réglerai son compte ! s'emporte Atoum comme à chaque fois que ce sujet est abordé. Pourtant il a pleinement conscience de sa situation, mais ne parvient pas à accepter le fait que plus jamais il ne pourra exercer son métier ni venger cette vieille femme, décapitée par Ivan.
Il se mord l'intérieur de la joue car une pointe de douleur vient le tirailler l'espace d'un instant, puis sans demander l'aide de son hôte il se relève non sans mal. Le petit vieillard l'accompagne et ils rentrent dans la petite cabane de pêcheur qui leur sert de maison. Là, Atoum s'effondre sur l'une des deux paillasses qui jonchent le sol et, au bord de l'inconscience, pousse un râle d'outre-tombe. Les douleurs sont de plus en plus proches, plus fréquentes... comment faire pour qu'elles cessent avant qu'il ne finisse par devenir fou.
Voyant l'état de son jeune ami le maître des lieux va vite chercher l'une de ses fameuses bouteilles d'alcool de riz et la débouchonne avant de la portée aux lèvres du chasseur de prime.
> Bois... bois !
Les gorgées s'enchaînent et, à cause de son état déplorable, Atoum s'endort aussitôt.
*Il faut vraiment que je lui trouve quelqu'un d'autre pour le soigner... ce n'est pas possible il va mourir à force ce gamin* pense Ma. Décidé il ferme la porte derrière lui de son habitation et se décide à trouver un nouveau médecin pour soigner son invité. Malheureusement les connaissances de son arrière-petit-neveu n'ont pas suffit, il lui faut donc trouver quelqu'un d'autre. C'est pour cela qu'il arpente les rues de la baie de Jing, espérant trouver le médecin providencielle qui assurerai la survit d'Atoum et ce n'est pas une mince à faire.
- HRP:
L'ami tu as toutes les possibilités, rencontrer Ma en ville, t'infiltrer dans la cabane de pêcheur pour échapper à quelqu'un… enfin ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace, j'ai hâte de voir ce que tu vas me proposer ahaha !