Tout s’était passé tellement vite.
Lorsque je ferme l’œil je revis ce moment où j’ai failli laisser ma peau à Jotunheim, quand ce boulet m’a envoyé valser dans l’eau, je me vois me débattre dans cet immense Océan, recouvert de flammes, les bruits incessants de tirs de canons.
Étant maudit par mon pouvoir je me revois sombrer dans cette étendue bleue, froide… sombre. Je commence à plus n’avoir d’oxygène, mes poumons me brûlent, j’ai besoin de respirer malheureusement j’aperçois la surface qui s’éloigne lentement. Je sais que les jeux sont faits, je n’ai pas envie d’abandonner mais dans cette profonde détresse avec laquelle la solitude se mêle, il est temps d’abandonner. J’évacue les dernières bulles d’air, je n’arrive plus à retenir ma respiration… c’est la fin.
Mes yeux se ferment, ma vision se trouble, je n’ai plus de force. Je n’arrive plus à me débattre, je ne peux même plus bouger le petit orteil. Au moment où j’ai décidé de tout abandonner je sens une poigne m’agripper, je la sens qu’elle me tire vers le haut, j’ai eu seulement le temps d’ouvrir une seconde l’œil pour entrevoir un masque en forme de corbeau avant de sombrer complètement dans l’inconscience.
Quelques jours plus tard, je me suis réveillé dans une chaloupe.
J’ouvre les yeux, je respire, le soleil me fait mal tellement qu’il est éblouissant, je me dresse brutalement, saisissant que je suis vivant, un mal m’envahit, je grimace de douleur, mon torse me brûle, je constate que je suis pansé au torse, lequel que je tiens entre mes mains tout en me tordant de douleur. Je sens une main se déposer sur mon épaule. Merde. Je ne suis pas tout seul !
Je remarque aussi à ce moment que je ne suis pas armé, mes armes sont plus loin, d’ailleurs à l’occasion je peux observer que les têtes en face de moi qui rament me sont toutes familières.
- Calmes-toi Cap’tain, reposes-toi, tu es bien entouré vas.
Je comprends que Léonardo m’a sauvé la vie. C'est sa voix, je la reconnais.
Il m’a expliqué qu’après comment il m’a sauvé la vie, en sautant à l’eau, pendant que des hommes du navire se sauvèrent en chaloupe afin de me récupérer et de foutre le camp de cet enfer.
Ça fait d’ores et déjà une petite semaine que nous traversons Grand Line en chaloupe, suivant l’itinéraire du log pose, nous vivons de nos maigres parties de pêchent. Quelques-uns de temps en temps lâchent l’affaire et cessent de ramer mais ce n’est sans compter sur moi, Daemon Wall, le pire capitaine qu’à mis au monde ces Mers et Océans !
- Alleeeeeeeeez ! Bande de larves ! J’vous ai dit de vous reposer ?! Non, vous vous reposerez quand vous serez mort misérables vermisseaux ! Vous croyez que parce que vous avez participé à mon sauvetage que j’vais vous faire des putains de fleurs ?! Non ! Plus vite nous atteindrons une terre plus vite vous pourrez vous reposer !
Ce fut comme ça pour eux tout le long du voyage. Léonardo quant à lui ça lui fait plaisir de m'entendre de nouveau beuglé, ça lui suffit à lui-même, preuve qu'il m'a bien soigné. Ali, lui se réjouit de voir son "papa" en vie et pagaie de plus belle ! Eheh, on ne change pas un vieux loup de mer, ils connaissent mon caractère. Même si les troupes sont fatiguées mentalement et physiquement, ça leur plait de me voir de nouveau gueuler et j'avoue que ça m'a manqué.
Ainsi après quatre jours à voguer, suivant le log pose nous finissons par atteindre une immense île en forme de cactus, je ne connais pas son prénom, ni où nous sommes mais par prudence je nous fais accoster dans un endroit calme, à l’abri de regards.
De plus, il me semble avoir discerné une ville portuaire mais qui accueille en ce moment même un navire de guerre de la Marine fufu, parfait ça pour prendre le large, bien qu’avant il faut s’assurer qu’ils ne nous ont pas déjà retrouvé et qu’on puisse faire un peu le plein de vivre.
J’entame déjà un petit scénario planifié dans mon esprit tordu, une petite infiltration à l’ancienne fufufu. Un déguisement assez réaliste, une nouvelle coupe, une barbe pas rasée depuis plus d’une semaine… parfait ! Mouahahahah.
Lorsque je ferme l’œil je revis ce moment où j’ai failli laisser ma peau à Jotunheim, quand ce boulet m’a envoyé valser dans l’eau, je me vois me débattre dans cet immense Océan, recouvert de flammes, les bruits incessants de tirs de canons.
Étant maudit par mon pouvoir je me revois sombrer dans cette étendue bleue, froide… sombre. Je commence à plus n’avoir d’oxygène, mes poumons me brûlent, j’ai besoin de respirer malheureusement j’aperçois la surface qui s’éloigne lentement. Je sais que les jeux sont faits, je n’ai pas envie d’abandonner mais dans cette profonde détresse avec laquelle la solitude se mêle, il est temps d’abandonner. J’évacue les dernières bulles d’air, je n’arrive plus à retenir ma respiration… c’est la fin.
Mes yeux se ferment, ma vision se trouble, je n’ai plus de force. Je n’arrive plus à me débattre, je ne peux même plus bouger le petit orteil. Au moment où j’ai décidé de tout abandonner je sens une poigne m’agripper, je la sens qu’elle me tire vers le haut, j’ai eu seulement le temps d’ouvrir une seconde l’œil pour entrevoir un masque en forme de corbeau avant de sombrer complètement dans l’inconscience.
Quelques jours plus tard, je me suis réveillé dans une chaloupe.
J’ouvre les yeux, je respire, le soleil me fait mal tellement qu’il est éblouissant, je me dresse brutalement, saisissant que je suis vivant, un mal m’envahit, je grimace de douleur, mon torse me brûle, je constate que je suis pansé au torse, lequel que je tiens entre mes mains tout en me tordant de douleur. Je sens une main se déposer sur mon épaule. Merde. Je ne suis pas tout seul !
Je remarque aussi à ce moment que je ne suis pas armé, mes armes sont plus loin, d’ailleurs à l’occasion je peux observer que les têtes en face de moi qui rament me sont toutes familières.
- Calmes-toi Cap’tain, reposes-toi, tu es bien entouré vas.
Je comprends que Léonardo m’a sauvé la vie. C'est sa voix, je la reconnais.
Il m’a expliqué qu’après comment il m’a sauvé la vie, en sautant à l’eau, pendant que des hommes du navire se sauvèrent en chaloupe afin de me récupérer et de foutre le camp de cet enfer.
Ça fait d’ores et déjà une petite semaine que nous traversons Grand Line en chaloupe, suivant l’itinéraire du log pose, nous vivons de nos maigres parties de pêchent. Quelques-uns de temps en temps lâchent l’affaire et cessent de ramer mais ce n’est sans compter sur moi, Daemon Wall, le pire capitaine qu’à mis au monde ces Mers et Océans !
- Alleeeeeeeeez ! Bande de larves ! J’vous ai dit de vous reposer ?! Non, vous vous reposerez quand vous serez mort misérables vermisseaux ! Vous croyez que parce que vous avez participé à mon sauvetage que j’vais vous faire des putains de fleurs ?! Non ! Plus vite nous atteindrons une terre plus vite vous pourrez vous reposer !
Ce fut comme ça pour eux tout le long du voyage. Léonardo quant à lui ça lui fait plaisir de m'entendre de nouveau beuglé, ça lui suffit à lui-même, preuve qu'il m'a bien soigné. Ali, lui se réjouit de voir son "papa" en vie et pagaie de plus belle ! Eheh, on ne change pas un vieux loup de mer, ils connaissent mon caractère. Même si les troupes sont fatiguées mentalement et physiquement, ça leur plait de me voir de nouveau gueuler et j'avoue que ça m'a manqué.
Ainsi après quatre jours à voguer, suivant le log pose nous finissons par atteindre une immense île en forme de cactus, je ne connais pas son prénom, ni où nous sommes mais par prudence je nous fais accoster dans un endroit calme, à l’abri de regards.
De plus, il me semble avoir discerné une ville portuaire mais qui accueille en ce moment même un navire de guerre de la Marine fufu, parfait ça pour prendre le large, bien qu’avant il faut s’assurer qu’ils ne nous ont pas déjà retrouvé et qu’on puisse faire un peu le plein de vivre.
J’entame déjà un petit scénario planifié dans mon esprit tordu, une petite infiltration à l’ancienne fufufu. Un déguisement assez réaliste, une nouvelle coupe, une barbe pas rasée depuis plus d’une semaine… parfait ! Mouahahahah.