Comandant Volkof. Ça sonne bien non ? Oui moi aussi je trouve. Je viens d’être promu à ce grade ainsi qu’au commandement d’un croiseur de la marine. Tout un bâtiment naval sous ma juridiction. D’ailleurs aujourd’hui, c’est le jour où je prends la mer. Pour le moment, je suis encore dans la base à faire mes affaires. Quelques vêtements et uniformes en plus, mon trident, quelques bouquins et surtout Robert, ma petite statuette que j’ai eu sur pétales lors de ce fameux concours de cuisine. Je m’en rappelle encore comme si c’était hier, je n’avais jamais était aussi stressé de toute ma vie.
J’aurais très bien pu prendre le commandement d’une des bases de la marine, mais j’avoue que la liberté qu’offre le croiseur n’est pas des moindres. Avec un bateau, je suis quand même libre de faire tout ce que je veux, voguer sur les mers autant que je le désire, ce sentiment de liberté, il n’a pas de prix !
Bon, vérifions, j’ai tout pris, pas de perte, tout est bon ! Faudra que je pense d’ailleurs à un nom pour le bateau, c’est toujours plus cool de donner un nom à un bâtiment, ça rend le truc un peu plus personnel. Mais vu que je n’ai jamais été doué pour les noms donc avant de faire une énorme bêtise on va attendre.
- Vous nous quittez déjà Commandant ? C’est dommage, avec les autres on s’était dit qu’on pourrait faire une bouffe avant votre départ, ça aurait fait plaisir à tout le monde !
- J’avoue que moi aussi j’aurais bien aimé… Mais on m’attend sur le bateau et il doit déjà être au port. Mais ne vous en faites pas Caporal, j’essayerais de repasser dés que je le peux. Je ne sais pas dans combien de temps, mais je viendrais vous rendre visite s'est promis.
Je lui donne une petite tape sur l’épaule en souriant. Ces gars-là vont me manquer effectivement, mais c’est la vie de soldat. Même si j’ai passé de bons moments ici, le devoir m’appelle ailleurs. La marche jusqu’au port ce fit tranquillement. Accompagné de deux Caporaux qui sont mutés sur le navire avec moi.
Une fois arrivé à destination, le bateau n’est pas difficile à repérer. Un croiseur de la marine, ce n’est pas rien, c’est une sacrée construction. Ce genre de chose m’a toujours fasciné, je devrais peut-être me renseigner sur les charpentes et comment les bateaux sont fabriquer un jour tient.
Nous montons donc à bord, accueilli par un caporal, qui m’explique comment cela se passe. Nous serons en mer la plupart du temps à patrouiller. On peut recevoir des ordres plus clair à n’importe quel moment par escargophone. Nos missions principales vont d’escorter un navire marchand à arrêter des pirates par exemple, tout un panel de missions assez différentes les unes des autres.
J’aquièce alors, tout en prenant note, je suis nouveau au commandement d’un tel bâtiment et j’espère en être à la hauteur. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, les mains qui tremblent un peu, comme mes jambes d’ailleurs. L’air frais caresse doucement mon visage. Je prends une grande inspiration qui me permet de retrouver mes moyens. Je remercie le caporal et me dirige ensuite vers mes quartiers. En tant que Commandant, je dispose d’un bureau, d’une chambre et d’une salle de bain privée. La belle vie. Je pose mes affaires un peu partout pour commencer, je ferais du rangement un peu plus tard.
Après quelques minutes d’installation, je sens que le navire bouge. Nous sortons du petit port pour nous rendre en mer. J’ai déjà une petite idée de notre première destination. J’ai une semaine de quartier libre pour me familiariser avec le bateau avant que les premières missions ne commencent. Je vais en profiter pour rendre visite à un ami.
Je contacte donc Farros pour lui annoncer ma promotion. Je le remercie car c’est en grande partie grâce à lui. En effet, ce qui m'a valu ma promotion, c’est la capture de Lokiri et de son acolyte, deux pirates primés, ça fait du bien sur le dossier. Je lui propose donc de le retrouver à Cocoyashi pour fêter ça dignement dans un bon restau, c’est moi qui régale ! Il accepte donc naturellement et je raccroche. Je n’ai malheureusement pas trop le temps de lui parler pour le moment. Les hommes m’attendent sur le pont pour un discours. C’est la tradition. Je ne peux pas passer outre après tout. Je me rend donc sur le pont, devant une centaine de soldats.
- Bonjour à tous. Je suis le Commandant Aleister Volkof. Nouvellement nommé à la tête de ce navire. Je sais que vous aimiez beaucoup votre ancien Commandant, mais maintenant qu’il a pris sa retraite, c’est à moi que reviens la lourde tâche de commander ce bâtiment. Je ferais tout pour que cela se passe bien et en accord avec nos objectifs, j’espère que vous en ferrez de même. N’hésitez pas à venir me parler si vous avez besoin de quoi que ce soit, mon bureau est toujours ouvert. Merci, rompez.
J’espère que mon discours leur a plu. Je pense avoir été assez convainquant dans l’ensemble. Et pour un premier discours je pense qu’il n’est pas trop mal. J’informe donc l’équipage de notre première destination et pars me coucher un peu. Cette journée est assez épuisante.
Le reste du voyage se fit sans encombre, aucune mauvaises rencontre à signalée. Nous arrivons au port de Cocoyashi sans problèmes. Je dis à mes hommes qu’ils ont la journée de libre. Quant à moi, je prends uniquement Robert la statuette que je mets dans ma poche et je me dirige vers le restaurant « A la bonne cuillère » où j’ai donné rendez vous à Farros. Un établissement assez chic, je pense qu’on va se tendre le bide comme il faut !
J’aurais très bien pu prendre le commandement d’une des bases de la marine, mais j’avoue que la liberté qu’offre le croiseur n’est pas des moindres. Avec un bateau, je suis quand même libre de faire tout ce que je veux, voguer sur les mers autant que je le désire, ce sentiment de liberté, il n’a pas de prix !
Bon, vérifions, j’ai tout pris, pas de perte, tout est bon ! Faudra que je pense d’ailleurs à un nom pour le bateau, c’est toujours plus cool de donner un nom à un bâtiment, ça rend le truc un peu plus personnel. Mais vu que je n’ai jamais été doué pour les noms donc avant de faire une énorme bêtise on va attendre.
- Vous nous quittez déjà Commandant ? C’est dommage, avec les autres on s’était dit qu’on pourrait faire une bouffe avant votre départ, ça aurait fait plaisir à tout le monde !
- J’avoue que moi aussi j’aurais bien aimé… Mais on m’attend sur le bateau et il doit déjà être au port. Mais ne vous en faites pas Caporal, j’essayerais de repasser dés que je le peux. Je ne sais pas dans combien de temps, mais je viendrais vous rendre visite s'est promis.
Je lui donne une petite tape sur l’épaule en souriant. Ces gars-là vont me manquer effectivement, mais c’est la vie de soldat. Même si j’ai passé de bons moments ici, le devoir m’appelle ailleurs. La marche jusqu’au port ce fit tranquillement. Accompagné de deux Caporaux qui sont mutés sur le navire avec moi.
Une fois arrivé à destination, le bateau n’est pas difficile à repérer. Un croiseur de la marine, ce n’est pas rien, c’est une sacrée construction. Ce genre de chose m’a toujours fasciné, je devrais peut-être me renseigner sur les charpentes et comment les bateaux sont fabriquer un jour tient.
Nous montons donc à bord, accueilli par un caporal, qui m’explique comment cela se passe. Nous serons en mer la plupart du temps à patrouiller. On peut recevoir des ordres plus clair à n’importe quel moment par escargophone. Nos missions principales vont d’escorter un navire marchand à arrêter des pirates par exemple, tout un panel de missions assez différentes les unes des autres.
J’aquièce alors, tout en prenant note, je suis nouveau au commandement d’un tel bâtiment et j’espère en être à la hauteur. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, les mains qui tremblent un peu, comme mes jambes d’ailleurs. L’air frais caresse doucement mon visage. Je prends une grande inspiration qui me permet de retrouver mes moyens. Je remercie le caporal et me dirige ensuite vers mes quartiers. En tant que Commandant, je dispose d’un bureau, d’une chambre et d’une salle de bain privée. La belle vie. Je pose mes affaires un peu partout pour commencer, je ferais du rangement un peu plus tard.
Après quelques minutes d’installation, je sens que le navire bouge. Nous sortons du petit port pour nous rendre en mer. J’ai déjà une petite idée de notre première destination. J’ai une semaine de quartier libre pour me familiariser avec le bateau avant que les premières missions ne commencent. Je vais en profiter pour rendre visite à un ami.
Je contacte donc Farros pour lui annoncer ma promotion. Je le remercie car c’est en grande partie grâce à lui. En effet, ce qui m'a valu ma promotion, c’est la capture de Lokiri et de son acolyte, deux pirates primés, ça fait du bien sur le dossier. Je lui propose donc de le retrouver à Cocoyashi pour fêter ça dignement dans un bon restau, c’est moi qui régale ! Il accepte donc naturellement et je raccroche. Je n’ai malheureusement pas trop le temps de lui parler pour le moment. Les hommes m’attendent sur le pont pour un discours. C’est la tradition. Je ne peux pas passer outre après tout. Je me rend donc sur le pont, devant une centaine de soldats.
- Bonjour à tous. Je suis le Commandant Aleister Volkof. Nouvellement nommé à la tête de ce navire. Je sais que vous aimiez beaucoup votre ancien Commandant, mais maintenant qu’il a pris sa retraite, c’est à moi que reviens la lourde tâche de commander ce bâtiment. Je ferais tout pour que cela se passe bien et en accord avec nos objectifs, j’espère que vous en ferrez de même. N’hésitez pas à venir me parler si vous avez besoin de quoi que ce soit, mon bureau est toujours ouvert. Merci, rompez.
J’espère que mon discours leur a plu. Je pense avoir été assez convainquant dans l’ensemble. Et pour un premier discours je pense qu’il n’est pas trop mal. J’informe donc l’équipage de notre première destination et pars me coucher un peu. Cette journée est assez épuisante.
Le reste du voyage se fit sans encombre, aucune mauvaises rencontre à signalée. Nous arrivons au port de Cocoyashi sans problèmes. Je dis à mes hommes qu’ils ont la journée de libre. Quant à moi, je prends uniquement Robert la statuette que je mets dans ma poche et je me dirige vers le restaurant « A la bonne cuillère » où j’ai donné rendez vous à Farros. Un établissement assez chic, je pense qu’on va se tendre le bide comme il faut !