Descart Hohem
• Pseudonyme : La Bête
• Age : 22 ans
• Sexe : Homme
• Race : Homme-Poisson (Type poisson Abyssale)
• Métier : Soldat de la Marine, cuisiner à ses heures perdues et c'est un excellent pêcheur.
• Groupe : Marine
• Age : 22 ans
• Sexe : Homme
• Race : Homme-Poisson (Type poisson Abyssale)
• Métier : Soldat de la Marine, cuisiner à ses heures perdues et c'est un excellent pêcheur.
• Groupe : Marine
• But : Découvrir le monde de la surface et y découvrir ce qu'est la véritable Justice.
• Équipement : Rien en particulier
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
• Équipement : Rien en particulier
• Parrain : Google
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Codes du règlement :
Description Physique
Bon, pour être clair sur le sujet, oui, Hohem n’est pas vraiment beau… C’est un homme poisson est pour les humains il est plutôt repoussant. Il a une couleur de peau verdâtre, des « nageoires » sur le visage et il a des dents… enfin, des crocs immenses ! Il est plutôt grand, dans les 2m20 et est extrêmement musclé. Personne ne sait pourquoi, mais il porte en permanence une couronne sur la tête et une grande cape rouge. C’est comme s’il se prenait pour un roi, mais bien évidement, ce n’est pas le cas. Il ne porte pas vraiment d’habit si ce n’est un slip rouge, seulement quand sa hiérarchie lui autorise, dans le cas contraire il se plie au règlement, l’uniforme de la Marine !
Physiquement il parait toujours abattu, les épaules en avant et trainant les pieds. Il a toujours eut du mal à s’habituer à la terre ferme en dehors de l’eau. Il apprend de jour en jour à s’adapter à la vie terrestre, mais quand il ne voit pas l'océan c'est toujours très dur pour lui de rester en forme. Ses entrainements sur terre lui ont permis de s’endurcir et de gagner en endurance. Il a même réalisé que s'entrainer sur terre lui permettait de considérablement progresser sous l'eau.
C’est un drôle de personnage, mais il attire la sympathie des gens qui font abstraction du reste. Il a un visage gentil, il donne confiance aux autres. Quand il est en mission il est concentré et essaye d'avoir une bonne prestance. Il redresses ses épaules, sort le buste et fait des grand pas sans aucune hésitation, mais cela lui coute en énergie. Si l'on devait enlever ses ailerons et sa couleur bleu, il pourrait bien passer pour un homme normal.
En revanche, quand il s’énerve, il ne ressemble en rien à un humain, il devient un véritable monstre et c’est de là qu’est apparu son surnom qu’il déteste tant. Il perd ses trait naturel, ses dents ressortent et il se "gonfle" comme le ferait un animal sauvage pour intimider un adversaire. Pour finir, il a une vilaine manie de serrer les dents, il s’aiguise constamment ses crocs et provoque souvent de l’agacement chez son entourage.
Physiquement il parait toujours abattu, les épaules en avant et trainant les pieds. Il a toujours eut du mal à s’habituer à la terre ferme en dehors de l’eau. Il apprend de jour en jour à s’adapter à la vie terrestre, mais quand il ne voit pas l'océan c'est toujours très dur pour lui de rester en forme. Ses entrainements sur terre lui ont permis de s’endurcir et de gagner en endurance. Il a même réalisé que s'entrainer sur terre lui permettait de considérablement progresser sous l'eau.
C’est un drôle de personnage, mais il attire la sympathie des gens qui font abstraction du reste. Il a un visage gentil, il donne confiance aux autres. Quand il est en mission il est concentré et essaye d'avoir une bonne prestance. Il redresses ses épaules, sort le buste et fait des grand pas sans aucune hésitation, mais cela lui coute en énergie. Si l'on devait enlever ses ailerons et sa couleur bleu, il pourrait bien passer pour un homme normal.
En revanche, quand il s’énerve, il ne ressemble en rien à un humain, il devient un véritable monstre et c’est de là qu’est apparu son surnom qu’il déteste tant. Il perd ses trait naturel, ses dents ressortent et il se "gonfle" comme le ferait un animal sauvage pour intimider un adversaire. Pour finir, il a une vilaine manie de serrer les dents, il s’aiguise constamment ses crocs et provoque souvent de l’agacement chez son entourage.
Description Psychologique
Hohem est un homme-poisson bien spéciale, il a toujours été intrigué par la compréhension de l’homme, le mammifère conquérant de la surface. C’est d’ailleurs ce qui l'a poussé vers la surface, il veut tout savoir des hommes et s’intéresse a tout. Pour lui tout est incroyable, un simple ballai devient une superbe invention ! C’est notamment ce côté de sa personnalité qui le rend naïf, il fait confiance à n’importe qui et se fait à chaque fois avoir. Mais il n’est pas rancunier et préfère en rigoler que de s’énerver. En réalité il déteste s’énerver, c’est même une facette qu’il déteste chez lui.
La colère, c’est son gros point noir, il a horreur de ça. Il a un côté sauvage et quand il s’énerve, il peut rapidement perdre son contrôle et se transformer en une machine à tuer. Cela lui provient de son origine de poisson des abysses, il peut devenir extrêmement agressif. De plus, cette facette de lui le rend sensible à plusieurs facteurs comme la lumière intense, les bruits puissants, etc...
A l'inverse, quand il est en mission pour la Marine il se concentre et essaye de faire abstraction des choses qui pourraient l'éloigner de son but. Il fait passer sa mission avant tout, enfin ses ordres lui sont important, mais la vie d’autrui l'est encore plus. Il serait capable de s'opposer à un ordre s'il mettait la vie d'un innocent en danger. Cela met en lumière un pont important de sa personnalité, il est en recherche de ce qu'est la réel justice, même si pour lui le gouvernement se rapproche le plus de ce qu'est la justice il n'en est pas encore certain.
Pour résumer, Hohem n’a pas grand-chose pour lui, il est maladroit, naïf, un peu niais, colérique à en devenir dangereux, etc…, mais par-dessus tout il est gentil et aime le sens de la justice. Il se donnerait à fond pour réussir ses missions et imposer sa justice. C’est un personnage qui veut du bien à son entourage, qui souhaite apporter de la joie et du bonheur. Son amour de la justice passe par dessus tout, cela passe même au dessus de son propre peuple.
La colère, c’est son gros point noir, il a horreur de ça. Il a un côté sauvage et quand il s’énerve, il peut rapidement perdre son contrôle et se transformer en une machine à tuer. Cela lui provient de son origine de poisson des abysses, il peut devenir extrêmement agressif. De plus, cette facette de lui le rend sensible à plusieurs facteurs comme la lumière intense, les bruits puissants, etc...
A l'inverse, quand il est en mission pour la Marine il se concentre et essaye de faire abstraction des choses qui pourraient l'éloigner de son but. Il fait passer sa mission avant tout, enfin ses ordres lui sont important, mais la vie d’autrui l'est encore plus. Il serait capable de s'opposer à un ordre s'il mettait la vie d'un innocent en danger. Cela met en lumière un pont important de sa personnalité, il est en recherche de ce qu'est la réel justice, même si pour lui le gouvernement se rapproche le plus de ce qu'est la justice il n'en est pas encore certain.
Pour résumer, Hohem n’a pas grand-chose pour lui, il est maladroit, naïf, un peu niais, colérique à en devenir dangereux, etc…, mais par-dessus tout il est gentil et aime le sens de la justice. Il se donnerait à fond pour réussir ses missions et imposer sa justice. C’est un personnage qui veut du bien à son entourage, qui souhaite apporter de la joie et du bonheur. Son amour de la justice passe par dessus tout, cela passe même au dessus de son propre peuple.
Biographie
Pour commencer notre courte histoire, quoi de mieux que de parler des terres natales de notre héro ? Comme la plupart de ses congénères, Hohem était un natif de l’île des Homme poisson, plus précisément d’un petit village reculé. Son père était marchant de denrées alimentaires, il exportait de la nourriture des profondeurs à la surface, dans le monde humain. La plupart du temps cela concernait des mets raffinés, particulièrement recherchés par la noblesse humaine. Quant à sa mère elle tenait une petite échoppe où elle faisait à manger. Il passa son enfance dans de bonnes conditions, il allait le matin a l’école et l’après-midi il recevait des cours de sport. Il était inscrit dans un dojo, apprenait les rudiments du Karaté Aquatique et entre nous, il se débrouillait plutôt bien !
Son père lui contait ses aventures à la surface et bien souvent il lui ramenait des souvenirs. Hohem était fascinait par tout ce qui provenait d’en haut, il n’avait qu’un rêve en tête, s’y rendre un jour. Ce fut le cas pour ses 15 ans, son père décida qu’il était apte à se rendre a la surface avec lui. Ce fut le déclic pour Hohem, il trouva un monde immensément grand sans limites. Les gens qu’il rencontra étaient étonnant, plus curieux les uns que les autres et ne parlons pas de tous les objets qu’il découvrait… De retour chez lui ce fut clair pour lui, il annonça a ses parents qu’il voulait s’y rendre et voyager à travers le monde. Son père, pour commencer, s’y opposa, il connaissait les risques et les dangers du monde de la surface. Après une longue période de négociation, son père l’autorisa a une condition, il devait se forger physiquement jusqu’à ses 18 ans.
Cette période paru une éternité pour notre jeune homme-poisson. Il avait arrêté l’école pour se concentrer pleinement à son évolution physique, il devait devenir plus fort. Le matin il enchainait des entrainements au dojo et une phase de renforcement musculaire. L’après-midi il partait dans des zones sauvages de l’île, où il apprenait à affronter et a maitriser de petits monstres marins. De jour en jour il devenait plus fort, mais en parallèle de ça, il développait une rage qu’il ne connaissait pas. Son sang de poisson abyssale prenait parfois le dessus, il l’entrait dans une colère monstre et ne se contrôlait plus. Hohem avait peur de cette facette de sa personnalité… Il mit tout en place pour éviter les crises, mais par-dessus tout, il n’en parla à personne.
Le jour de ses 18 ans, comme prévu, il était devenu fort et grand. Son père accepta de le conduire à la surface, mais il y avait ajouté une condition, il devait rentrer dans les rangs de la Marine pour finir son apprentissage. Hohem ne broncha pas, il savait qu’a travers l’armée il allait pouvoir voyager, voir du pays et rencontrer du monde. Comme il le désirait au plus profond de lui, il était enfin sur la terre ferme. Son père l’accompagna jusqu’à la base marine la plus proche, Marineford ! C’était une base immense, enfin, Hohem n’était pas exactement dedans, il était dans un petit bâtiment annexe exclusivement réservé aux nouvelles recrues. Son père le laissa la en lui souhaitant bonne chance, chez les homme-poisson de sa famille les émotions ne se montraient guère…
Il entama donc ses classes, il fut bien étonné du niveau des hommes présents et surtout de la difficulté à se mouvoir sur la terre. Il était moins rapide, moins agile, moins souple, moins tout… La sécheresse était dure pour lui, sa peau n’était jamais hydratée et il avait une sensation pesante constante sur les épaules. Pendants six mois il s’entraina d’arrache-pied! Au corps a corps il était l’un des meilleurs, en revanche dans toutes les autres disciplines il était à la traine. Il maniait très mal l’épée, ne parlons pas des armes a feux et encore moins des cours théoriques où il était le dernier de loin. A la fin de sa période il eut une sorte d’examen et comme il s’y attendait, mis à part en combat rapproché, il était le dernier partout. La suite, vous vous en doutez certainement, il fut muté dans une zone bien moins dangereuses, sur les Blues.
Le trajet fut long malgré les technologies de la marine. Il arriva dans une mer appelé East-Blue, c’était une mer bien calme où il n’y avait que très peu de vie aquatique intelligente. Il avait une grande utilité sur le navire, il partait souvent en chasse pour rapporter du poisson et il le cuisinait parfaitement bien. Il était apprécié de ses camarades et de ses supérieures, malgré sa différence. Il se sentait bien dans ce groupe, mais ce fut de courte durée. Arrivé à la nouvelle base il fut accueilli extrêmement mal. Dans un premier temps il fut envoyé seul dans une autre base. La plupart soldats présents n’avaient jamais vu d’homme-poisson et il passait pour un monstre. Il était fui de ses camarades et le surnom de « Bête » lui avait été assigné. Mais il n’était pas pour autant malheureux, il découvrait le monde et son étendu !
Il resta sur cette base quelques années, il effectuait des missions de routine, mais dès qu’il avait le temps il s’entrainait. Il était de loin le plus fort des soldats et il n’avait peur de rien. Les directif le concernant avait été claire, il devait absolument rattraper le niveau théorique, sur la navigation, sur les plans de bataille, sur l'organisation de la Marine etc. Jusqu’à ses 22 ans il resta cloitré sur terre avec interdiction de retourner en mer, ce fut la période la plus longue de sa vie. Il commençait à se lasser de ce monde qu'il trouvait trop directif avec trop de règles. Il était a bout, il était quasiment certain de vouloir tout arrête quand une personne changea sa vie. Un navire de la Marine accosta sur la base, un supérieur hiérarchique était venu a la recherche de nouvelles recrues. Après observation des dossiers et visualisation des compétences, Hohem fut sélectionné. Il partit donc sur les mers d'East-Blue en compagnie d'un nouvel équipage. Cette fois-ci il fut très vite accepté, mais son surnom de "monstre" était resté.
Il parcourait à présent la mer, le navire avait été envoyé pour sécuriser la zone. Il devait donc s'occuper de diverses enquêtes ou affaires concernant des criminels. Il était souvent amené à se battre et quand il s'agissait de combat sur la mer, il était d'une grande aide pour l'équipage. Il était a présent heureux, il aidait les populations dans le besoin et découvrait ce qu'était réellement le monde. Il enchainait les missions sans grandes difficultés, en même temps, il n'était jamais seul. Bien entendu il continuait a pratiquer son art de prédilection, le Karaté-Aquatique.
L'histoire de notre chère Hohem se termine donc ici, ou bien peut-on dire qu'elle commence ici. L’histoire passée est résolue, à présent, seul le futur compte.
Son père lui contait ses aventures à la surface et bien souvent il lui ramenait des souvenirs. Hohem était fascinait par tout ce qui provenait d’en haut, il n’avait qu’un rêve en tête, s’y rendre un jour. Ce fut le cas pour ses 15 ans, son père décida qu’il était apte à se rendre a la surface avec lui. Ce fut le déclic pour Hohem, il trouva un monde immensément grand sans limites. Les gens qu’il rencontra étaient étonnant, plus curieux les uns que les autres et ne parlons pas de tous les objets qu’il découvrait… De retour chez lui ce fut clair pour lui, il annonça a ses parents qu’il voulait s’y rendre et voyager à travers le monde. Son père, pour commencer, s’y opposa, il connaissait les risques et les dangers du monde de la surface. Après une longue période de négociation, son père l’autorisa a une condition, il devait se forger physiquement jusqu’à ses 18 ans.
Cette période paru une éternité pour notre jeune homme-poisson. Il avait arrêté l’école pour se concentrer pleinement à son évolution physique, il devait devenir plus fort. Le matin il enchainait des entrainements au dojo et une phase de renforcement musculaire. L’après-midi il partait dans des zones sauvages de l’île, où il apprenait à affronter et a maitriser de petits monstres marins. De jour en jour il devenait plus fort, mais en parallèle de ça, il développait une rage qu’il ne connaissait pas. Son sang de poisson abyssale prenait parfois le dessus, il l’entrait dans une colère monstre et ne se contrôlait plus. Hohem avait peur de cette facette de sa personnalité… Il mit tout en place pour éviter les crises, mais par-dessus tout, il n’en parla à personne.
Le jour de ses 18 ans, comme prévu, il était devenu fort et grand. Son père accepta de le conduire à la surface, mais il y avait ajouté une condition, il devait rentrer dans les rangs de la Marine pour finir son apprentissage. Hohem ne broncha pas, il savait qu’a travers l’armée il allait pouvoir voyager, voir du pays et rencontrer du monde. Comme il le désirait au plus profond de lui, il était enfin sur la terre ferme. Son père l’accompagna jusqu’à la base marine la plus proche, Marineford ! C’était une base immense, enfin, Hohem n’était pas exactement dedans, il était dans un petit bâtiment annexe exclusivement réservé aux nouvelles recrues. Son père le laissa la en lui souhaitant bonne chance, chez les homme-poisson de sa famille les émotions ne se montraient guère…
Il entama donc ses classes, il fut bien étonné du niveau des hommes présents et surtout de la difficulté à se mouvoir sur la terre. Il était moins rapide, moins agile, moins souple, moins tout… La sécheresse était dure pour lui, sa peau n’était jamais hydratée et il avait une sensation pesante constante sur les épaules. Pendants six mois il s’entraina d’arrache-pied! Au corps a corps il était l’un des meilleurs, en revanche dans toutes les autres disciplines il était à la traine. Il maniait très mal l’épée, ne parlons pas des armes a feux et encore moins des cours théoriques où il était le dernier de loin. A la fin de sa période il eut une sorte d’examen et comme il s’y attendait, mis à part en combat rapproché, il était le dernier partout. La suite, vous vous en doutez certainement, il fut muté dans une zone bien moins dangereuses, sur les Blues.
Le trajet fut long malgré les technologies de la marine. Il arriva dans une mer appelé East-Blue, c’était une mer bien calme où il n’y avait que très peu de vie aquatique intelligente. Il avait une grande utilité sur le navire, il partait souvent en chasse pour rapporter du poisson et il le cuisinait parfaitement bien. Il était apprécié de ses camarades et de ses supérieures, malgré sa différence. Il se sentait bien dans ce groupe, mais ce fut de courte durée. Arrivé à la nouvelle base il fut accueilli extrêmement mal. Dans un premier temps il fut envoyé seul dans une autre base. La plupart soldats présents n’avaient jamais vu d’homme-poisson et il passait pour un monstre. Il était fui de ses camarades et le surnom de « Bête » lui avait été assigné. Mais il n’était pas pour autant malheureux, il découvrait le monde et son étendu !
Il resta sur cette base quelques années, il effectuait des missions de routine, mais dès qu’il avait le temps il s’entrainait. Il était de loin le plus fort des soldats et il n’avait peur de rien. Les directif le concernant avait été claire, il devait absolument rattraper le niveau théorique, sur la navigation, sur les plans de bataille, sur l'organisation de la Marine etc. Jusqu’à ses 22 ans il resta cloitré sur terre avec interdiction de retourner en mer, ce fut la période la plus longue de sa vie. Il commençait à se lasser de ce monde qu'il trouvait trop directif avec trop de règles. Il était a bout, il était quasiment certain de vouloir tout arrête quand une personne changea sa vie. Un navire de la Marine accosta sur la base, un supérieur hiérarchique était venu a la recherche de nouvelles recrues. Après observation des dossiers et visualisation des compétences, Hohem fut sélectionné. Il partit donc sur les mers d'East-Blue en compagnie d'un nouvel équipage. Cette fois-ci il fut très vite accepté, mais son surnom de "monstre" était resté.
Il parcourait à présent la mer, le navire avait été envoyé pour sécuriser la zone. Il devait donc s'occuper de diverses enquêtes ou affaires concernant des criminels. Il était souvent amené à se battre et quand il s'agissait de combat sur la mer, il était d'une grande aide pour l'équipage. Il était a présent heureux, il aidait les populations dans le besoin et découvrait ce qu'était réellement le monde. Il enchainait les missions sans grandes difficultés, en même temps, il n'était jamais seul. Bien entendu il continuait a pratiquer son art de prédilection, le Karaté-Aquatique.
L'histoire de notre chère Hohem se termine donc ici, ou bien peut-on dire qu'elle commence ici. L’histoire passée est résolue, à présent, seul le futur compte.
Test RP
Un immonde raciste anti hommes-poissons a été vaillamment lynché par dix membres de la révolution au nom de la Justice et de l'anti-racisme. Ton escouade est chargé de mener l'enquête. Comment gères-tu la situation ?
Comme à son habitude quand il n'était pas de garde de nuit, Hohem entamait sa journée par une plongée matinale. Il se sentait bien dans l'eau, il était dans son élément. La plupart du temps il ramenait un gros poisson qu'il cuisinait pour ses camarades. Ce geste était apprécié et récompensé par de nombreux remerciements. Cette vie lui convenait, Hohem préférait écumer les mers plutôt que de rester sur la terre ferme. Les humains le fascinait toujours autant, il fallait du temps pour avoir leur confiance, mais quand elle était installé, ils devenaient beaucoup plus agréables que les hommes poissons. Les hommes n'avaient pas cette violence que l'on retrouvait constamment sur son île natale, c'est quelque chose qu'il appréciait.
Sur le navire, durant ces dernières années, il avait pris du galon, son supérieur hiérarchique lui avait confié l'entrainement des soldats. Cela lui convenait, il était le meilleur combattant au corps a corps. Les entrainements duraient une heure à chaque fois et les hommes ressortaient exténués. Il essayait de transmettre quelques techniques de son fameux karaté des Hommes poissons, mais aucun homme n’avait réussi pour le moment à assimiler les rudiments. Une fois par semaine il organisait un grand tournois de combat où tous les soldats s’affrontaient et bien entendu, le finaliste devait le combattre lui. Il n’avait jamais perdu un seul combat contre ses hommes et à chaque fois ils étaient époustouflés par sa puissance.
Régulièrement il recevait des ordres de missions, le navire faisait escale sur des îles et accompagné de quelques hommes, il se rendait sur terre. La plupart du temps il s’agissait de vols, de braquages, de petites invasions pirate, mais rien de bien compliqué pour les soldats de la Marine. Cette fois-ci, ce fut différent, Hohem fut affecté à une mission délicate :
Ordre de mission : « Rendez-vous sur l’île Oity, dans le village Dandro. Un lynchage public à eu lieu et il semblerait que les révolutionnaires soient dans le coup. La personne a survécu et est actuellement en soin intensif. Deux personnes ont été appréhendées et sont actuellement captivent dans la prison de la ville. Nous vous demandons de vous rendre sur place, enquêter afin de retrouver les hommes coupables de cette violence et mettre fin au réseau révolutionnaire de cette ville. »
Hohem demanda à quatre de ses bons soldats de l’accompagner. Le navire se trouvait encore loin de l’île, mais pour accélérer le pas, l’homme poisson fit embarquer les soldats dans une petite chaloupe et la tracta en nageant jusqu’au lieu indiqué. En une petite heure, il rejoignit la terre ferme et prit la direction de la ville. Arrivé sur place, la « police » en charge de la surveillance de la ville les accueillit et les mena a la caserne. Le chef prit la parole pour expliquer la situation :
« Bonjour messieurs, je suis ravi de vous voir ici, la présence de la Marine me rassure et rassure la population. Je ne savais pas que la Marine comptait des Homme-poisson dans ses rangs… Je vous prierai de ne pas vous sentir outré par l’affaire… »
« Ne vous inquiétez pas, vous pouvez avoir confiance, je suis là pour établir la justice » Rétorqua Hohem
« Je vous en remercie… Il s’est passé quelque chose de grave, une personne s’est faite lyncher sur la place publique. Nous n’avons pas pu arrêter la scène, c’était un petit groupe de révolutionnaire qui a organisé l’action et comment dire… ils sont bien mieux préparés que nous. La victime est une personne du village, il s’agit du Maire de la ville. Encore désolé pour ce que je vais vous expliquer… Il s’avère que le parti politique du Maire est extrémiste et plus particulièrement anti-homme-poisson. L’île subit régulièrement des attaques et la plupart du temps par un groupe d’homme poisson habitant dans les profondeurs des mers non loin de la… Ces demi-hommes sont des bêtes sauvages, d’une violence incomparable aux autres pillards, de vulgaires monstres ! … Euh… Pardonnez-moi pour ce que je viens de dire… Je ne… Enfin… ce que je voulais dire c’est… »
Un silence fit place, la situation était étrange, un malaise s’installa. Les soldats de la Marine, les camarades d’Hohem, commençaient à s’énerver, ils ne supportaient pas entendre ce discours. L’un d’eux s’avança, comme s’il était prés à se battre, mais l’homme-poisson, son chef, le stoppa nette. Une nouvelle forme de tension apparu et Hohem prit la parole.
« Je regrette que votre ville subisse les dérives de mon peuple. (Il se mis à genou) Je vous présente des excuses de la par de mon peuple et j’espère sincèrement que votre avis changera. Je ferai tout mon possible pour apporter la paix et la sérénité sur votre île, je vous le promets ! »
Les hommes de chaque camp étaient stupéfiés, la tension avait disparue entièrement. Hohem se redressa, il était bien plus grand et musclé que le reste des hommes dans la pièce, il dominait tout.
« Je pense qu’il faut agir au plus vite, je vous demande donc de poursuivre votre récit s’il vous plait. »
« Bien… Bien entendu ! Je disais donc que le Maire est quelque peu extrémiste, mais vous comprenez qu’il ne mérite pas ce qui lui est arrivé… Les révolutionnaires ont lynché cet homme sur la place publique au beau milieu du marcher, la moitié du village étaient présent, homme femme et enfants confondu. Nous n’avons pas pu réagir assez vite et quand nous sommes arrivé sur place, ils étaient déjà en fuite. Mes hommes ont réussi à interpeler deux des malfaiteurs, ils sont dans la cellule juste derrière. »
Hohem laissa un petit blanc et prit la parole :
« Je vous remercie pour votre récit. Il s’agit de révolutionnaire, cela dépasse quelque peu votre juridiction. Je vous demande donc à présent de me laisser régler l’affaire, la Marine prend le relais. »
Hohem saluat cordialement l’homme et s’avança dans la cellule du fond, il y avait comme convenu deux hommes, tout juste sorti de l’adolescence. L’homme poisson demanda à un de ses homme de les interroger pendant que lui-même interrogeait les policiers qui étaient sur place lors de l’affaire. L’interrogatoire des révolutionnaires fut musclé. Le soldat de la Marine en ressortit avec des ecchymoses sur les mains, mais avec de la chance, des informations sur le repère des révolutionnaires. Apparemment ils logeaient dans les montagnes reculées de l’île. Il n’était pas plus d’une vingtaine, pour la plupart des jeunes et ils étaient en formations. Ils étaient en apprentissage des arts du combat afin d’intégrer les rangs de la révolution, donc des bleues. Le seul problème était le formateur, il semblait être un vieux soldat redoutable, Hohem le savait, la mission n’allait pas être de tout repos.
Quelques heures plus tard, après avoir localisé sur une carte la zone où se trouvait les révolutionnaires, Hohem pris la route accompagné de ses hommes. Au bout de trois heures de trajet à cheval, les montagnes étaient en vue. Il fallut encore quatre heures de plus pour atteindre les fameuses grottes. Les jeunes révolutionnaires n’avaient pas été très courageux, après les premières violences ils avaient tout balancé et il semblait que les informations étaient justes. Hohem trouva l’entré d’une grotte à l’endroit précisément indiqué. Il entra et emprunta une succession de virages et divisions de chemin. Au bout de quelques minutes il arriva dans une salle beaucoup plus grande que les tunnels avec un petit lac en son centre. C’était bien la fameuse base secrète des révolutionnaires, mais elle était vide.
La situation semblait trop belle pour que cela ne cache rien. Hohem se doutait d’un piège, il envoya un homme en éclaireur. Le camp semblait vivant, un petit feu était encore en activité et illuminait la pièce. Hohem devina une embuscade, les révolutionnaires avaient tendu un piège. Un coup de feu retentit et l’éclaireur de la marine tomba au sol, mort. Une rafale de détonation suivit, Hohem fut légèrement touché à l’épaule et a la cuisse, mais rien qui ne pouvait le déranger. En revanche, un autre de ses hommes était gravement atteint au niveau de l’épaule gauche prés du cœur. Les révolutionnaires ayant vidés leurs balles sortirent à la lumière en dégainant leurs épées. Il ne restait plus que 3 soldats de la Marine debout dont Hohem, le combat allait être rude.
Un affrontement eu lieu au milieu de la salle de pierre. Les soldats de la Marine se battaient vaillamment, le nombre n’était pas en leur faveur, mais ils avaient l’avantage. Les jeunes révolutionnaires ne faisaient pas le poids face aux soldats aguerris. Plus de la moitié tombèrent mort au sol, le combat semblait être gagné jusqu’à l’apparition d’un vieillard. L’homme approcha les soldats de la Marine et dégaina son arme. Sans la moindre difficulté il désarma et tua les 2 derniers soldats. Il ne restait a présent plus qu’Hohem face à 8 révolutionnaires. Le vieillard ne laissa pas la possibilité de pourparler, il attaqua l’homme-poisson et criant :
« Alors c’est comme ça que tu nous remercie ?! On se bat pour ton peuple, on se bat pour la liberté et l’égalité et toi… Toi tu te range du côté de la Marine ! Tu es une véritable Bête depuis le jour où tu est rentré dans les rang du gouvernement !! »
Il attaqua de plus belle avec une férocité hors du commun. Hohem arrivait à parer les coups les plus dangereux, mais de plus en plus d’estafilades apparaissaient sur son corps. Le combat commençait à durer et l’homme-poisson commençait à perdre son énergie. La fin se faisait sentir, le sang coulait à flot et un sentiment enivrant envahissait Hohem. Plus le sang coulait, plus il commençait à perdre la tête, il sombrait lentement, il tombait dans la rage. Acculé par son adversaire il ne trouva qu’une solution, plonger dans le lac souterrain. Il luttait pour ne pas lâcher prise, il luttait contre sa rage, il luttait contre sa colère, mais il sombra.
Une rage monstrueuse l’envahit, les blessures et le gout de sang le transformèrent en une bête sauvage. Ses yeux se transformèrent, il ne voulait qu’une chose, du sang. Il envoya une grosse gerbe d’eau sur le feu qui illuminait la pièce pour l’éteindre, la cavité devient noire comme une nuit sans lune. Ses sens de poisson abyssal étaient à leur paroxysme, son ouïe détecta les hommes présents dans la salle et un par un il les emporta dans l’eau. Il termina en dernier par le vieux qui fut sans arme face au monstre. Le lac se transforma en réservoir immense de chaire et de sang. La bête avait fait un carnage. Il mit de longues minutes à retrouver ses esprits et prendre conscience de ce qu’il venait de faire.
Après un long trajet de retour, il regagna la ville et le poste de police. Le navire sur lequel il servait, avait accosté et sa supérieure hiérarchique était sur place. Hohem raconta l’histoire en changeant quelques détails. Il narra le récit de ses hommes valeureux et de son combat contre le vieillard, chef du mouvement local. Bien entendu, il ne parla pas du moment où il perdit l’esprit, il avait honte. Un médecin avait prit soin de soigner ses plaies, mais étonnamment, il commençait déjà à cicatriser, surement "dû à son sang", avait convenu le médecin. Il regagna la compagnie de son supérieur, il était sur le point d’expliquer le problème des homme-poisson quand il lui coupa la parole :
« Soldat Hohem je vous félicite ! Vous venez d’éradiquer la menace Révolutionnaire sur cette misérable île. Vous savez, il s’agit d’un endroit sans grande valeur pour la Marine, la population est faible et en petit nombre. Nous partons sur le champ, un ordre de mission plus important vient d’arriver. Je vous laisse une heure pour regagner le navire ! »
L’ordre était clair et il ne pouvait s’y opposer. Il s’exécuta, ramassa ses affaires et s’excusa auprès du chef de la police, il ne pouvait pas résoudre le problème des hommes-poissons. L’homme en rigola hautainement :
« Ahaha, qui aurait pu croire qu’un monstre puisse arrêter ses semblables ?? J’y ai crut quelques secondes, mais vous êtes tous les mêmes je suppose! Au moins, vous nous avez libéré de ses anti-racistes, le Maire va se remettre rapidement sur pied et reprendre ses activités. Il avait prévu de monter une nouvelle école de formation à l’art du combat, j’espère qu’un jour nous seront assez fort pour lutter contre ces Bêtes sauvages ! Maintenant veuillez quitter la caserne, notre île et ne plus jamais y remettre les pieds ! »
Hohem comprenait la rage de l’homme, il ne pouvait rien y faire. Il savait que les hommes-poissons avaient un coté violent et sauvage c’était un fait. Sans perdre plus de temps il quitta les lieux et regagna le navire sur lequel il servait. Cette aventure fut rude pour lui, autant physiquement qu’émotionnellement, mais elle l’avait conforté sur ses convictions. Il en était à présent sûr, il le savait, il voulait montrer au monde entier une autre facette des Homme-poissons ! Cela n’allait pas être facile, de nombreuses embuches allaient se présenter sur son chemin. Il devait à présent devenir connu, connu du monde entier et pour cela, il le savait, il allait devoir devenir plus fort et grimper les échelons au sein de la Marine !
Sur le navire, durant ces dernières années, il avait pris du galon, son supérieur hiérarchique lui avait confié l'entrainement des soldats. Cela lui convenait, il était le meilleur combattant au corps a corps. Les entrainements duraient une heure à chaque fois et les hommes ressortaient exténués. Il essayait de transmettre quelques techniques de son fameux karaté des Hommes poissons, mais aucun homme n’avait réussi pour le moment à assimiler les rudiments. Une fois par semaine il organisait un grand tournois de combat où tous les soldats s’affrontaient et bien entendu, le finaliste devait le combattre lui. Il n’avait jamais perdu un seul combat contre ses hommes et à chaque fois ils étaient époustouflés par sa puissance.
Régulièrement il recevait des ordres de missions, le navire faisait escale sur des îles et accompagné de quelques hommes, il se rendait sur terre. La plupart du temps il s’agissait de vols, de braquages, de petites invasions pirate, mais rien de bien compliqué pour les soldats de la Marine. Cette fois-ci, ce fut différent, Hohem fut affecté à une mission délicate :
Ordre de mission : « Rendez-vous sur l’île Oity, dans le village Dandro. Un lynchage public à eu lieu et il semblerait que les révolutionnaires soient dans le coup. La personne a survécu et est actuellement en soin intensif. Deux personnes ont été appréhendées et sont actuellement captivent dans la prison de la ville. Nous vous demandons de vous rendre sur place, enquêter afin de retrouver les hommes coupables de cette violence et mettre fin au réseau révolutionnaire de cette ville. »
Hohem demanda à quatre de ses bons soldats de l’accompagner. Le navire se trouvait encore loin de l’île, mais pour accélérer le pas, l’homme poisson fit embarquer les soldats dans une petite chaloupe et la tracta en nageant jusqu’au lieu indiqué. En une petite heure, il rejoignit la terre ferme et prit la direction de la ville. Arrivé sur place, la « police » en charge de la surveillance de la ville les accueillit et les mena a la caserne. Le chef prit la parole pour expliquer la situation :
« Bonjour messieurs, je suis ravi de vous voir ici, la présence de la Marine me rassure et rassure la population. Je ne savais pas que la Marine comptait des Homme-poisson dans ses rangs… Je vous prierai de ne pas vous sentir outré par l’affaire… »
« Ne vous inquiétez pas, vous pouvez avoir confiance, je suis là pour établir la justice » Rétorqua Hohem
« Je vous en remercie… Il s’est passé quelque chose de grave, une personne s’est faite lyncher sur la place publique. Nous n’avons pas pu arrêter la scène, c’était un petit groupe de révolutionnaire qui a organisé l’action et comment dire… ils sont bien mieux préparés que nous. La victime est une personne du village, il s’agit du Maire de la ville. Encore désolé pour ce que je vais vous expliquer… Il s’avère que le parti politique du Maire est extrémiste et plus particulièrement anti-homme-poisson. L’île subit régulièrement des attaques et la plupart du temps par un groupe d’homme poisson habitant dans les profondeurs des mers non loin de la… Ces demi-hommes sont des bêtes sauvages, d’une violence incomparable aux autres pillards, de vulgaires monstres ! … Euh… Pardonnez-moi pour ce que je viens de dire… Je ne… Enfin… ce que je voulais dire c’est… »
Un silence fit place, la situation était étrange, un malaise s’installa. Les soldats de la Marine, les camarades d’Hohem, commençaient à s’énerver, ils ne supportaient pas entendre ce discours. L’un d’eux s’avança, comme s’il était prés à se battre, mais l’homme-poisson, son chef, le stoppa nette. Une nouvelle forme de tension apparu et Hohem prit la parole.
« Je regrette que votre ville subisse les dérives de mon peuple. (Il se mis à genou) Je vous présente des excuses de la par de mon peuple et j’espère sincèrement que votre avis changera. Je ferai tout mon possible pour apporter la paix et la sérénité sur votre île, je vous le promets ! »
Les hommes de chaque camp étaient stupéfiés, la tension avait disparue entièrement. Hohem se redressa, il était bien plus grand et musclé que le reste des hommes dans la pièce, il dominait tout.
« Je pense qu’il faut agir au plus vite, je vous demande donc de poursuivre votre récit s’il vous plait. »
« Bien… Bien entendu ! Je disais donc que le Maire est quelque peu extrémiste, mais vous comprenez qu’il ne mérite pas ce qui lui est arrivé… Les révolutionnaires ont lynché cet homme sur la place publique au beau milieu du marcher, la moitié du village étaient présent, homme femme et enfants confondu. Nous n’avons pas pu réagir assez vite et quand nous sommes arrivé sur place, ils étaient déjà en fuite. Mes hommes ont réussi à interpeler deux des malfaiteurs, ils sont dans la cellule juste derrière. »
Hohem laissa un petit blanc et prit la parole :
« Je vous remercie pour votre récit. Il s’agit de révolutionnaire, cela dépasse quelque peu votre juridiction. Je vous demande donc à présent de me laisser régler l’affaire, la Marine prend le relais. »
Hohem saluat cordialement l’homme et s’avança dans la cellule du fond, il y avait comme convenu deux hommes, tout juste sorti de l’adolescence. L’homme poisson demanda à un de ses homme de les interroger pendant que lui-même interrogeait les policiers qui étaient sur place lors de l’affaire. L’interrogatoire des révolutionnaires fut musclé. Le soldat de la Marine en ressortit avec des ecchymoses sur les mains, mais avec de la chance, des informations sur le repère des révolutionnaires. Apparemment ils logeaient dans les montagnes reculées de l’île. Il n’était pas plus d’une vingtaine, pour la plupart des jeunes et ils étaient en formations. Ils étaient en apprentissage des arts du combat afin d’intégrer les rangs de la révolution, donc des bleues. Le seul problème était le formateur, il semblait être un vieux soldat redoutable, Hohem le savait, la mission n’allait pas être de tout repos.
Quelques heures plus tard, après avoir localisé sur une carte la zone où se trouvait les révolutionnaires, Hohem pris la route accompagné de ses hommes. Au bout de trois heures de trajet à cheval, les montagnes étaient en vue. Il fallut encore quatre heures de plus pour atteindre les fameuses grottes. Les jeunes révolutionnaires n’avaient pas été très courageux, après les premières violences ils avaient tout balancé et il semblait que les informations étaient justes. Hohem trouva l’entré d’une grotte à l’endroit précisément indiqué. Il entra et emprunta une succession de virages et divisions de chemin. Au bout de quelques minutes il arriva dans une salle beaucoup plus grande que les tunnels avec un petit lac en son centre. C’était bien la fameuse base secrète des révolutionnaires, mais elle était vide.
La situation semblait trop belle pour que cela ne cache rien. Hohem se doutait d’un piège, il envoya un homme en éclaireur. Le camp semblait vivant, un petit feu était encore en activité et illuminait la pièce. Hohem devina une embuscade, les révolutionnaires avaient tendu un piège. Un coup de feu retentit et l’éclaireur de la marine tomba au sol, mort. Une rafale de détonation suivit, Hohem fut légèrement touché à l’épaule et a la cuisse, mais rien qui ne pouvait le déranger. En revanche, un autre de ses hommes était gravement atteint au niveau de l’épaule gauche prés du cœur. Les révolutionnaires ayant vidés leurs balles sortirent à la lumière en dégainant leurs épées. Il ne restait plus que 3 soldats de la Marine debout dont Hohem, le combat allait être rude.
Un affrontement eu lieu au milieu de la salle de pierre. Les soldats de la Marine se battaient vaillamment, le nombre n’était pas en leur faveur, mais ils avaient l’avantage. Les jeunes révolutionnaires ne faisaient pas le poids face aux soldats aguerris. Plus de la moitié tombèrent mort au sol, le combat semblait être gagné jusqu’à l’apparition d’un vieillard. L’homme approcha les soldats de la Marine et dégaina son arme. Sans la moindre difficulté il désarma et tua les 2 derniers soldats. Il ne restait a présent plus qu’Hohem face à 8 révolutionnaires. Le vieillard ne laissa pas la possibilité de pourparler, il attaqua l’homme-poisson et criant :
- Spoiler:
« Alors c’est comme ça que tu nous remercie ?! On se bat pour ton peuple, on se bat pour la liberté et l’égalité et toi… Toi tu te range du côté de la Marine ! Tu es une véritable Bête depuis le jour où tu est rentré dans les rang du gouvernement !! »
Il attaqua de plus belle avec une férocité hors du commun. Hohem arrivait à parer les coups les plus dangereux, mais de plus en plus d’estafilades apparaissaient sur son corps. Le combat commençait à durer et l’homme-poisson commençait à perdre son énergie. La fin se faisait sentir, le sang coulait à flot et un sentiment enivrant envahissait Hohem. Plus le sang coulait, plus il commençait à perdre la tête, il sombrait lentement, il tombait dans la rage. Acculé par son adversaire il ne trouva qu’une solution, plonger dans le lac souterrain. Il luttait pour ne pas lâcher prise, il luttait contre sa rage, il luttait contre sa colère, mais il sombra.
- Spoiler:
Une rage monstrueuse l’envahit, les blessures et le gout de sang le transformèrent en une bête sauvage. Ses yeux se transformèrent, il ne voulait qu’une chose, du sang. Il envoya une grosse gerbe d’eau sur le feu qui illuminait la pièce pour l’éteindre, la cavité devient noire comme une nuit sans lune. Ses sens de poisson abyssal étaient à leur paroxysme, son ouïe détecta les hommes présents dans la salle et un par un il les emporta dans l’eau. Il termina en dernier par le vieux qui fut sans arme face au monstre. Le lac se transforma en réservoir immense de chaire et de sang. La bête avait fait un carnage. Il mit de longues minutes à retrouver ses esprits et prendre conscience de ce qu’il venait de faire.
Après un long trajet de retour, il regagna la ville et le poste de police. Le navire sur lequel il servait, avait accosté et sa supérieure hiérarchique était sur place. Hohem raconta l’histoire en changeant quelques détails. Il narra le récit de ses hommes valeureux et de son combat contre le vieillard, chef du mouvement local. Bien entendu, il ne parla pas du moment où il perdit l’esprit, il avait honte. Un médecin avait prit soin de soigner ses plaies, mais étonnamment, il commençait déjà à cicatriser, surement "dû à son sang", avait convenu le médecin. Il regagna la compagnie de son supérieur, il était sur le point d’expliquer le problème des homme-poisson quand il lui coupa la parole :
« Soldat Hohem je vous félicite ! Vous venez d’éradiquer la menace Révolutionnaire sur cette misérable île. Vous savez, il s’agit d’un endroit sans grande valeur pour la Marine, la population est faible et en petit nombre. Nous partons sur le champ, un ordre de mission plus important vient d’arriver. Je vous laisse une heure pour regagner le navire ! »
L’ordre était clair et il ne pouvait s’y opposer. Il s’exécuta, ramassa ses affaires et s’excusa auprès du chef de la police, il ne pouvait pas résoudre le problème des hommes-poissons. L’homme en rigola hautainement :
« Ahaha, qui aurait pu croire qu’un monstre puisse arrêter ses semblables ?? J’y ai crut quelques secondes, mais vous êtes tous les mêmes je suppose! Au moins, vous nous avez libéré de ses anti-racistes, le Maire va se remettre rapidement sur pied et reprendre ses activités. Il avait prévu de monter une nouvelle école de formation à l’art du combat, j’espère qu’un jour nous seront assez fort pour lutter contre ces Bêtes sauvages ! Maintenant veuillez quitter la caserne, notre île et ne plus jamais y remettre les pieds ! »
Hohem comprenait la rage de l’homme, il ne pouvait rien y faire. Il savait que les hommes-poissons avaient un coté violent et sauvage c’était un fait. Sans perdre plus de temps il quitta les lieux et regagna le navire sur lequel il servait. Cette aventure fut rude pour lui, autant physiquement qu’émotionnellement, mais elle l’avait conforté sur ses convictions. Il en était à présent sûr, il le savait, il voulait montrer au monde entier une autre facette des Homme-poissons ! Cela n’allait pas être facile, de nombreuses embuches allaient se présenter sur son chemin. Il devait à présent devenir connu, connu du monde entier et pour cela, il le savait, il allait devoir devenir plus fort et grimper les échelons au sein de la Marine !
Informations IRL
• Prénom : Alex
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• Aime : Un peu tout !
• N'aime pas : Les betteraves… Beurk..
• Personnage préféré de One Piece : Je dirais Garp !
• Caractère : Plutôt tranquille, pas prise de tête ^^’
• Fait du RP depuis : L’âge de 12-13 ans
• Disponibilité approximative : Dépend du taff...
• Comment avez-vous connu le forum ? Google est mon ami
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Descart Hohem le Lun 17 Juin 2019 - 13:14, édité 12 fois