Un hurlement se fit entendre, il fut suivit du craquement caractéristique que l'on entend lorsqu'une nuque se brise. Le cadavre du dernier des marines qui venait de prendre d'assaut cette rue rejoignit ceux de ses compères. Hélas, pour chacun des marines tombés ici, un des prisonniers évadés avec connut le même sort. La rigueur militaire des soldats de North Blue était redoutable lorsqu'elle était opposée à la férocité impulsive des tueurs, violeurs, et pillards qui autrefois avaient librement arpenté North Blue.
Crassos la montagne s'essuya les mains sur les restes de sa tenue de prisonnier avant de regarder ses compagnons d'évasions. Sur les 15 encore vivants, 3 n'étaient plus en état de combattre. Dans le lot il y avait Annabella, ancienne tueuse de la mafia, retrouvée à moitié morte à proximité de la prison. Heureusement pour elle, deux autres mafieux étaient dans le groupe, et connaissaient l'affection qu'avait leur parrains pour elle.
Le tueur en série de 3 mètres s'aprocha des deux autres blessés graves, pour voir s'ils pourraient être utiles. L'un n'avait plus de jambes, et le deuxième n'en avait que pour quelques minutes. Le tas de muscles nommé plus ou moins chef du petit groupe se redressa et donna ses instructions. Ces deux là resteraient là, on ne pouvait pas se permettre de dépenser de l'énergie pour les déplacer comme les deux mafieux le faisait avec leur collègue. La loyauté n'avait jamais été utile en temps de guerre, et les lois de la pègre, c'était le dernier des soucis de l'homme qui venait de passé 10 ans en prisons pour l'odieux massacre de 5 familles en battant chacun de ses membres à mort.
Un son d'explosion se fit entendre, suivit d'une explosion et de cris. Autour d'eux d'autres groupes était massacrés, ils ne devaient pas rester immobiles trop longtemps. Fafnir s'approcha de lui. Ce cambrioleur au teint mat avait travaillé dans tout le QG, et en connaissait tous les recoins, il était le guide idéal pour trouver les points les plus adaptés à la défense, et connaitre les positions des divers effectifs.
Il leva le pistolet qu'il avait dans la main, et le pointa dans la direction d'une rue qui devait les rapprocher du port, les 13 criminels s'élancèrent d'un seul mouvement.
Tandis que les rues s'enchainaient et que des explosions diverses se faisaient entendre, Fafnir expliqua à son chef de fortune que d'ici peu, ils allaient tomber sur une place sensée n'être protégée que par une petite compagnie, couverte par un mortier, et qu'il allait sans doute y avoir des pertes importantes dans leur groupe. L'homme de 3 mètres acquiesca mais en réalité ne souciais que peu, s'il ne se battait c'était juste pour le plaisir de se battre, et de faire payer à la marine les abus qu'elle avait fait, et peu importait la survit d'un seul des membres du groupe.
Un coup de feu retentit.
L'espace d'un instant, Crassos s'arrêta, tout comme le reste du groupe. Ils étaient arrivés sur la place, et tout autour de celle-ci, une quinzaine de marines les braquait. Au fond, il y avait un bâtiment qui semblait être une cuisine, d'où provenait les cris caractéritiques des officiers hurlant des ordres à leurs hommes. Tous les hommes dehors n'étaient que des soldats sans grade, des combattants qui seraient très facile à vaincre pour son petit groupe de tueur, même à 15 contre 12 (rappellons qu'Annabella n'est pas en état de se battre). C'est alors qu'un corps voilé s'effondra juste à côté de lui. Le coup de feu avait atteint Fafnir.
La montagne fit craquer ses phalanges. Il hurla. Il s'élança. Derrière lui 10 autres évadés s'élancèrent, il était temps de faire de gros dégâts.
Bien sur, une première salve acceuillit la charge des évadés, et s'il entendit les cris de plusieurs de ses compagnons, son attention fut très vite attirée sur autre chose. En effet, il sentit le plombs lui déchiré le biceps droit, la cuisse gauche, et lui percer l'oreille. Hélas pour les 4 marines qu'il chargeait, sa masse musculaire était couplée à une très grande endurance, et il en fallait bien plus pour l'arrêter.
Deux furent écraser contre le mur derrière eux par la simple puissance dégagé par sa charge. Le troisième ne put partir assez tôt. Il était encore conscient lorsque Crassos lui écrasa les côtes avec son point droit et lui arracha le bras avec sa main gauche. Il ne l'était plus lorsque le géant fit pleuvoir une pluie de coup sur son corps mutilé.
Le tueur se redressa et s'élança vers sa prochaine victime. Elle venait de recharger, et sans se rendre compte du danger qui venait derrière elle fit feu sur Fisachima, et toucha le bretteur au niveau de l'oeil gauche. Ce succès fut son dernier avant qu'une main plus grosse que son crâne ne s'abatte sur son épaule, et qu'un point plus lourd que son corps tout entier ne lui écrase complètement le visage.
Une explosion retentit lorsque Antonio Corleone, le mafieux tireur d'élite réussit à atteindre la réserve de poudre du mortier situé sur un toit un peu plus loin. Crassos attrapa l'énorme rocher qu'il fut projeté vers lui par l'explosion, puis le jeta sur l'homme qui tenait vaillement tête aux jumeaux Inaïr et Lamae, qui se battaient encore avec les chaines qui les avaient tenus prisonnier pendant des années. Si Inaïr tomba, il ne fut pas le seul, le crâne du marine avait été arraché par le projectile.
C'est alors qu'une explosion bien plus puissante se fit entendre dans les cuisines, suivit d'un torrent de flamme qui s'échappa par toutes les fenêtres. Chacun porta toute son attention sur le bâtiment entièrement en flamme, et dont s'échappait des hurlements de douleur. Une odeur de viande brulée parvenait du bâtiment, et les plaintes des malheureux qui n'avait pas été tués par l'explosion, combinée à la température qui venait de monter de plusieurs degrés donnait aux cuisines en flamme une allure infernale.
Le groupe était face aux enfers, et seuls les dieux savaient quel démon allait sugir.
La réponse leur vint après que 8 fusées de feu d'artifice est jaillit du bâtiment, provocant 4 explosions violacées au niveau des derniers survivants des défenseurs de la place. Un jeune garçon sortit par la porte, en éteignant les flamme qui rongeaient encore sa veste. Il était couvert de sang de blessures et de brulures, et s'il ne saignait pas, c'était parce que les flammes avait cautérisés la plupart de ses plaies. Il boitait, et manifestement était à bout de force mais il y avait un étrange éclat dans l'oeil valide qui luirestait. Même gravement blessé et brulé, il semblait heureux et pressé de tuer.
Sur son crâne, on pouvait encore distingué quelques cheveux blancs comme la neige.
Crassos n'en revenait pas. De toute sa vie, il n'avait rencontré un homme à l'aspect si démoniaque, et capable d'inspirer autant de respect et de crainte par sa seule présence. Ne sachant comment le prendre, il recula d'un pas. Après tout, rien ne prouvait qu'il n'était pas un ennemis.
C'est alors que les deux représentant de la pègre dans leur groupe d'évadé reconnurent celui qui avait été leur patron pendant un an, et qu'il murmurèrent ce nom que tous les prisonniers de North Blue avait entendu au moins une fois depuis que les Gun N' Gun's avaient été capturé. Le nom de celui qui allait les libérer.
TnT Tempiesta, La muerte Inflamada.
Ainsi cet homme était celui qui les avait libéré, et qui avait lancé les hostilités dans le QG. Pour être venut jusqu'ici, et pour tenir encore debout dans son état, il devait disposer d'une volonté incroyable. Crassos devait avouer, ce garçon avait de la valeur. Il ne se rendit réellement compte de la raison pour laquelle le petit démon fut autant respecté et craint dans la mafia que lorsque celui-ci prit la parole, d'un ton monocorde, comme s'il n'éprouvait aucun sentiment, où qu'il était sourd...
Donatello, récupère Annabella immédiatement!
Antonio, tu couvriras notre avancée sur le toit avec l'autre sniper du groupe.
La manieuse de chaine, tu suivras le même chemin que les sniper et leur ouvrira le passage!
Les autres... Avec moi.
Debout! Debout Prisonnier de North Blue!
Des évènements grandioses s'annoncent : feux et massacres !
Les armes seront secouées, les crânes voleront en éclat,
Une journée de la liberté, une journée rouge, avant que le soleil ne se lève!
Chargez maintenant, chargez! A MOOOOOOORT
A MOOOOOORT
C'était tous ensemble que les 8 survivants avaient reprit le cri de TnT. Crassos avait décidé, comme tout ses compagnon qu'il accompagnerait cet homme et qu'il se battrait jusqu'au bout, et à en juger par les cris que se répétaient au loin, d'autres avaient entendu ce qui allait devenir le cri de ralliement de tous les prisonniers qui se rendaient sur les quais. Antonio, Isaac et Madae grimpaient déjà pour rejoindre les toits, le regard de chacun d'eux montrait une détermination sans faille.
Timuthé N. Tempiesta quand à lui s'élança en rechargeant un fusils à canon scié étrangement ouvragé. Il fut suivit par 5 évadés qui dorénavant se battraient et mourraient pour lui. Guidés par la mort enflammée, chacun des hommes se battrait ou mourrait.
Quel que soit l'issue de la bataille Crassos se jura que les marines pleureraient à jamais le jour où TnT tempiesta était venu libéré les membres de son équipage.
Crassos la montagne s'essuya les mains sur les restes de sa tenue de prisonnier avant de regarder ses compagnons d'évasions. Sur les 15 encore vivants, 3 n'étaient plus en état de combattre. Dans le lot il y avait Annabella, ancienne tueuse de la mafia, retrouvée à moitié morte à proximité de la prison. Heureusement pour elle, deux autres mafieux étaient dans le groupe, et connaissaient l'affection qu'avait leur parrains pour elle.
Le tueur en série de 3 mètres s'aprocha des deux autres blessés graves, pour voir s'ils pourraient être utiles. L'un n'avait plus de jambes, et le deuxième n'en avait que pour quelques minutes. Le tas de muscles nommé plus ou moins chef du petit groupe se redressa et donna ses instructions. Ces deux là resteraient là, on ne pouvait pas se permettre de dépenser de l'énergie pour les déplacer comme les deux mafieux le faisait avec leur collègue. La loyauté n'avait jamais été utile en temps de guerre, et les lois de la pègre, c'était le dernier des soucis de l'homme qui venait de passé 10 ans en prisons pour l'odieux massacre de 5 familles en battant chacun de ses membres à mort.
Un son d'explosion se fit entendre, suivit d'une explosion et de cris. Autour d'eux d'autres groupes était massacrés, ils ne devaient pas rester immobiles trop longtemps. Fafnir s'approcha de lui. Ce cambrioleur au teint mat avait travaillé dans tout le QG, et en connaissait tous les recoins, il était le guide idéal pour trouver les points les plus adaptés à la défense, et connaitre les positions des divers effectifs.
Il leva le pistolet qu'il avait dans la main, et le pointa dans la direction d'une rue qui devait les rapprocher du port, les 13 criminels s'élancèrent d'un seul mouvement.
Tandis que les rues s'enchainaient et que des explosions diverses se faisaient entendre, Fafnir expliqua à son chef de fortune que d'ici peu, ils allaient tomber sur une place sensée n'être protégée que par une petite compagnie, couverte par un mortier, et qu'il allait sans doute y avoir des pertes importantes dans leur groupe. L'homme de 3 mètres acquiesca mais en réalité ne souciais que peu, s'il ne se battait c'était juste pour le plaisir de se battre, et de faire payer à la marine les abus qu'elle avait fait, et peu importait la survit d'un seul des membres du groupe.
Un coup de feu retentit.
L'espace d'un instant, Crassos s'arrêta, tout comme le reste du groupe. Ils étaient arrivés sur la place, et tout autour de celle-ci, une quinzaine de marines les braquait. Au fond, il y avait un bâtiment qui semblait être une cuisine, d'où provenait les cris caractéritiques des officiers hurlant des ordres à leurs hommes. Tous les hommes dehors n'étaient que des soldats sans grade, des combattants qui seraient très facile à vaincre pour son petit groupe de tueur, même à 15 contre 12 (rappellons qu'Annabella n'est pas en état de se battre). C'est alors qu'un corps voilé s'effondra juste à côté de lui. Le coup de feu avait atteint Fafnir.
La montagne fit craquer ses phalanges. Il hurla. Il s'élança. Derrière lui 10 autres évadés s'élancèrent, il était temps de faire de gros dégâts.
Bien sur, une première salve acceuillit la charge des évadés, et s'il entendit les cris de plusieurs de ses compagnons, son attention fut très vite attirée sur autre chose. En effet, il sentit le plombs lui déchiré le biceps droit, la cuisse gauche, et lui percer l'oreille. Hélas pour les 4 marines qu'il chargeait, sa masse musculaire était couplée à une très grande endurance, et il en fallait bien plus pour l'arrêter.
Deux furent écraser contre le mur derrière eux par la simple puissance dégagé par sa charge. Le troisième ne put partir assez tôt. Il était encore conscient lorsque Crassos lui écrasa les côtes avec son point droit et lui arracha le bras avec sa main gauche. Il ne l'était plus lorsque le géant fit pleuvoir une pluie de coup sur son corps mutilé.
Le tueur se redressa et s'élança vers sa prochaine victime. Elle venait de recharger, et sans se rendre compte du danger qui venait derrière elle fit feu sur Fisachima, et toucha le bretteur au niveau de l'oeil gauche. Ce succès fut son dernier avant qu'une main plus grosse que son crâne ne s'abatte sur son épaule, et qu'un point plus lourd que son corps tout entier ne lui écrase complètement le visage.
Une explosion retentit lorsque Antonio Corleone, le mafieux tireur d'élite réussit à atteindre la réserve de poudre du mortier situé sur un toit un peu plus loin. Crassos attrapa l'énorme rocher qu'il fut projeté vers lui par l'explosion, puis le jeta sur l'homme qui tenait vaillement tête aux jumeaux Inaïr et Lamae, qui se battaient encore avec les chaines qui les avaient tenus prisonnier pendant des années. Si Inaïr tomba, il ne fut pas le seul, le crâne du marine avait été arraché par le projectile.
C'est alors qu'une explosion bien plus puissante se fit entendre dans les cuisines, suivit d'un torrent de flamme qui s'échappa par toutes les fenêtres. Chacun porta toute son attention sur le bâtiment entièrement en flamme, et dont s'échappait des hurlements de douleur. Une odeur de viande brulée parvenait du bâtiment, et les plaintes des malheureux qui n'avait pas été tués par l'explosion, combinée à la température qui venait de monter de plusieurs degrés donnait aux cuisines en flamme une allure infernale.
Le groupe était face aux enfers, et seuls les dieux savaient quel démon allait sugir.
La réponse leur vint après que 8 fusées de feu d'artifice est jaillit du bâtiment, provocant 4 explosions violacées au niveau des derniers survivants des défenseurs de la place. Un jeune garçon sortit par la porte, en éteignant les flamme qui rongeaient encore sa veste. Il était couvert de sang de blessures et de brulures, et s'il ne saignait pas, c'était parce que les flammes avait cautérisés la plupart de ses plaies. Il boitait, et manifestement était à bout de force mais il y avait un étrange éclat dans l'oeil valide qui luirestait. Même gravement blessé et brulé, il semblait heureux et pressé de tuer.
Sur son crâne, on pouvait encore distingué quelques cheveux blancs comme la neige.
Crassos n'en revenait pas. De toute sa vie, il n'avait rencontré un homme à l'aspect si démoniaque, et capable d'inspirer autant de respect et de crainte par sa seule présence. Ne sachant comment le prendre, il recula d'un pas. Après tout, rien ne prouvait qu'il n'était pas un ennemis.
C'est alors que les deux représentant de la pègre dans leur groupe d'évadé reconnurent celui qui avait été leur patron pendant un an, et qu'il murmurèrent ce nom que tous les prisonniers de North Blue avait entendu au moins une fois depuis que les Gun N' Gun's avaient été capturé. Le nom de celui qui allait les libérer.
TnT Tempiesta, La muerte Inflamada.
Ainsi cet homme était celui qui les avait libéré, et qui avait lancé les hostilités dans le QG. Pour être venut jusqu'ici, et pour tenir encore debout dans son état, il devait disposer d'une volonté incroyable. Crassos devait avouer, ce garçon avait de la valeur. Il ne se rendit réellement compte de la raison pour laquelle le petit démon fut autant respecté et craint dans la mafia que lorsque celui-ci prit la parole, d'un ton monocorde, comme s'il n'éprouvait aucun sentiment, où qu'il était sourd...
Donatello, récupère Annabella immédiatement!
Antonio, tu couvriras notre avancée sur le toit avec l'autre sniper du groupe.
La manieuse de chaine, tu suivras le même chemin que les sniper et leur ouvrira le passage!
Les autres... Avec moi.
Debout! Debout Prisonnier de North Blue!
Des évènements grandioses s'annoncent : feux et massacres !
Les armes seront secouées, les crânes voleront en éclat,
Une journée de la liberté, une journée rouge, avant que le soleil ne se lève!
Chargez maintenant, chargez! A MOOOOOOORT
A MOOOOOORT
C'était tous ensemble que les 8 survivants avaient reprit le cri de TnT. Crassos avait décidé, comme tout ses compagnon qu'il accompagnerait cet homme et qu'il se battrait jusqu'au bout, et à en juger par les cris que se répétaient au loin, d'autres avaient entendu ce qui allait devenir le cri de ralliement de tous les prisonniers qui se rendaient sur les quais. Antonio, Isaac et Madae grimpaient déjà pour rejoindre les toits, le regard de chacun d'eux montrait une détermination sans faille.
Timuthé N. Tempiesta quand à lui s'élança en rechargeant un fusils à canon scié étrangement ouvragé. Il fut suivit par 5 évadés qui dorénavant se battraient et mourraient pour lui. Guidés par la mort enflammée, chacun des hommes se battrait ou mourrait.
Quel que soit l'issue de la bataille Crassos se jura que les marines pleureraient à jamais le jour où TnT tempiesta était venu libéré les membres de son équipage.