Alice o'connor

Alice. Ca glisse oui oui...

Alice est supposé être une femme fatale à première vue. Cheveux blonds parfois rigide, parfois bouclée. Visage aux proportions presque parfaites, taille fine, 1m65 pour 60kg. Jambes longues et sveltes, toujours en robes courtes et talons de 10cm minimum. Une poitrine 105D. Voilà en gros. Regard de braise, limite tendancieux. Malgré cela ne vous y trompé pas nous allons dépeindre une beauté et ensuite une sorte de gros tas dégueulasse pour comprendre la subtilité.

Tout d'abord, sa démarche et son allure à tendance à jouer la carte de la chaudière sur pattes. Quand elle marche sur ses escarpins, son postérieur à tendance à se balader de droite à gauche. Notons quand même que celui-ci est naturel. Lorsqu'elle passe dans la rue, elle à tendance à jeter des regards à droite à gauche comme si elle voulait que l'homme en rut la suivent. Toujours épilée c'est son mot d'ordre. Son odeur corporelle est irréprochable et son parfum se fait sentir dans un petit périmètre autour d'elle. Inutile de se faire sentir à des kilomètres à la ronde.

Rouge à lèvres de grandes marques et maquillage léger lui permettent de rester le plus naturel possible. Elle exècre les sortes de pétasses qui se maquillent comme des pots de peintures. Elle met des pointes de maquillage sans abuser ce qui lui donne un air naturel.

Passons au côté crade d'accord? Ok elle est jolie, Ok elle pourrait être parfaite. Vous saviez que quand elle était nerveuse elle avait tendance à jurer? Vous saviez que dans son intimité elle s'amusait à roter et flatulé? Par le genre de choses assez discrètes avec un pardon derrière. Non non que nenni. Là ce dont je vous parle c'est un rôt à vous décoiffé et derrière un rire tellement horrible que vous perdriez fois en l'humanité en deux minutes. Vous pourriez même en venir à vous demander si ce n'est pas un transsexuel sous hormones.

Elle à la fâcheuse manie de s'allumer ses clopes mentholée quand elle est sous pression. Elle aime faire des grimaces devant les gens et lorsqu'elle est chez elle à se faufiler dans des pyjamas dégueulasse troué et se comporter comme un véritable garçon manqué. Avachis, jambes écartés dans le fauteuil ou canapé il manquerait presque qu'elle se gratte les attributs en buvant une binouze.

Lorsqu’elle est stressée la jeune demoiselle à tendance à bougé sa jambe comme une parkinsonienne en manque de cachet. Vous voyez d'une bombasse sur mesure on peut vite arriver à un porc vivant et doué de paroles.

Ha j'oubliais il n'est pas rare de la voir dans des bars à boire soit un whisky, soit une bière.

parfaite, intelligente, capable de penser à tout, aimée de tous.

Pardon c'était surtout ce qu'il ne fallait pas mettre.

Alors par quoi commencé. D'accord elle est assez intelligente, d'accord elle essaye d'anticiper chaque situation qu'elle se présente à elle, d'accord elle aime se battre et alors? Ce n'est pas pour autant qu'elle n'à pas de défauts bien au contraire.

Tout d'abord, elle est impulsive. Elle aime foncer dans le tas tant au niveau verbal qu'au niveau caractériel. Ce n'est pas pour autant qu'elle ne va pas réfléchir avant de se lancer comme une bourrine pour un truc qu'elle sait perdu d'avance. Mais pour autant elle sait manier les mots et touché ou ça fait mal. Elle sait tourner sa langue 7 fois dans sa bouche, mais elle n'applique pas souvent.

Une grande stressée, en effet la demoiselle n'arrête pas de s'inquiéter pour telle ou telle chose. Elle essaye de prendre sur elle, mais cela se voit quand sur son visage et sur certains de ses tics. Plus le stress est important plus elle a de chance de se mettre à insulter ce qui bouge. Malgré cela, elle essaye toujours de garder son calme et sa sérénité , mais elle à du mal à cultiver cet état d'esprit.

Impatiente. Elle aime quand les choses sont faites rapidement et qu'elle n'aie pas à se répéter. Et pourtant la demoiselle se confronte bien des fois à la lenteur ou à la procrastination des autres. Manque de chance pour elle. Malgré cela elle essaye de positiver et toujours de prendre les choses comme elles viennent.


Malgré le fait qu'elle soit aussi soupe-au-lait, elle arrive à garder son humour ce qui est une bonne chose. Elle essaye toujours de détendre l'atmosphère quand une situation est critique. Même si cela l'angoisse ou quoique ce soit d'autre, elle essayera de chercher le positif dans la situation. Elle n'aime pas la négativité et le pessimisme. Pour elle un verre est à moitié plein, plutôt qu’à moitié vide.

Elle est fougueuse mais l'avenir et le temps devraient l'assagir et quand elle en aura marre de se prendre des claques elle se calmera et deviendra plus sage, comme sa mère l'est.

Elle aime la rigueur de la marine et la fougue des pirates. Elle ne sait pas vers qui son cœur balance donc pour le moment elle ne souhaite intégrer aucun groupe tant qu'elle n'est pas sûre du choix.

Je suis né en plein mois d’hiver en l’année 1604. La neige tombait peu à peu sur saint-Urea. Je ne connaissais pas ma chance car mes parents et moi habitions dans la partie moyenne de Saint-Urea. Autrement dit nous étions de la bourgeoisie. Mon enfance fut extraordinaire, mes parents m’aimait et la vie était plutôt calme, douce et agréable. J’avais régulièrement des jouets, des surprises, et des cadeaux. Je n’avais franchement pas à me plaindre. Nous vivions en sécurité car la marine était omniprésente.  Depuis ma naissance mes parents me surprotège. Du moment qu’il se passe quelques chose d’inhabituel c’est comme si mes parents et moi nous nous mettions en PLS sous une table et que nous faisions semblant d’être mort. A cet âge croyez moi je ne me rendais compte de rien. Et heureusement sinon j’étais vraiment précoce. Ma mère était élégante et fine et mon père grand et assez fort avec une belle moustache. Il portait des lunettes ce qui grossissait son visage. Les deux n’en avaient que pour moi. Des fois mon père partait le matin et revenait le soir. Il paraît que c’était ça quand on travailler. Bref tout allait pour le mieux.

1611 année fatidique. J’avais grandit et mon caractère commençait à se forger. Toujours fusionnels avec mes parents mais mon caractère se développait, je les testaient et faisaient en sorte de les mener en bateau. Mais pensez-vous à sept ans c’est peine perdu. Ce jour là mon père était rentrer plus tôt du travail tout essoufflée.

- « Mes chéries interdictions de sortir Il va se passer des choses ces temps-ci »

Je ne comprenait pas trop mais le visage de mon père ne souriait pas et avait l’air grave et anxieux. Je ressentait un point dans ma poitrine qui ne voulait pas partir. Ce que j’avais ressenti ce jour-là était une crise d’angoisse que désormais je ne connais que trop bien. Quoiqu’il en soit l’armée avait fait une descente dans les différents quartiers. Le quartier bas avait était pilloné par l’artillerie. Nous pouvions entendre le rugissement des canons suivi des explosions des bâtiments qui s’effondraient sous ses obus. Le spectacle était affreux. Et encore pire plusieurs centaines de morts, des arrestations, même au sein de notre secteur . Apparemment il collaborer avec les révolutionnaire.

- « Dis papa c’est quoi des révolutionnaires ? »

Il me contempla, me souris et me répondit que j’étais trop petite pour comprendre toutes les affaires politiques de ce monde. Putain c’est quoi cette réponse de tordu ? A sept ans tu me lâche ça en plein visage ? c’est bizarre...Bref. J’avais toujours ces scènes et ces bruits de bombardements gravés dans mon esprits. Quand j’y repense je sens une angoisse resurgir du passé. Et si la nature humaine était comme ça ?

1622. Ça y est j’ai enfin 18 ans. Moi qui pensait partir c’était rater pour le coup. Nous nous aimions toujours et mes parents chaque fois que j’annonçais mon départ pleurais à chaude larme. Comme si j’allais disparaître à tout jamais pour eux. Dans le fond je les aime même si mon caractère depuis s’est enfin construit. Solide mais pas trop, anxieuse beaucoup, impulsive caractériel...Et j’en passe. Maintenant mon père m’interdit de sortir car selon lui j’attire vraiment trop l’attention sur moi. Ok les hommes sont des pervers note à moi-même. Mes parents avaient vieilli mais il restait encore assez frais pour leur âge. Ne vous inquietez pas ils ne vont pas mourir d’ici là, non non, ce que je veux dire c’est que l’âge prend toujours emprise sur les personnes. Je ne travaille pas et mes parents subviennent toujours à mes besoins. Pas de problèmes financiers, ni matériels, ni affectifs. En gros une vie doré où je passe mon temps à acheter des robes. La seul contrariété qui m’a fait faire une crise de larme est la fois où mon magasin était fermés et que je n’avais pas pu acheter la dernière robe de chez Larcoste.

Malheureusement il paraîtrait que toutes les bonnes choses ont une fin. Un nouveau décret pour la basse ville, une foule avec des revendications, une ouverture de feu et une émeute. C’est la que le mot révolution, politique et d’autres termes me firent gicler des choses nouvelles au visage. Pourquoi nous alors que nous vivions dans l’opulence devions nous séparer des gens de « basses » classes ? Les nouvelles allaient bon trains. Répression sanglante elle fit de nombreux morts. J’étais sous le choc d’une telle annonce, pourquoi ne les aidions nous pas au lieu de toujours les taxer et les tuer ?

- « Tu as vu chérie ? Encore un mouvement de foule de la basse classe » Message adressé à ma mère.

- « Oui j’ai vu » répondis-je sous l’œil interloqué et confus de mon père. « Si le gouvernement arrêtait de toujours taper sur les pauvres, de vouloir les endetter et les exterminé pourquoi ne pas simplement les aider ? »

Pas de réponse. C’était trop facile . Énervé je claquais la porte de ma chambre mis ma tête dans mon oreiller et hurla toute ma rage et ma colère. Ça défoulait. Malheureusement ça n’arrêtait pas les massacres. Pas de boulot, impossible de partir d’ici. Pourquoi travailler alors que j’avais tout ? Allait-on en finir avec toutes ces tueries ?

1626. Ben non toujours pas de finalité dans ces combats. Des marines qui s’en prennent à la dame de fer . Étrange. Je n’y comprenais plus rien et mes parents non plus. Depuis plusieurs mois mon père refusait de sortir car il avait peur qu’il se prenne une balle perdue ou je ne sais quoi. Ma mère commençait à se faire des cheveux gris à chacune de mes sorties. Même moi je n’osais pas trop sortir du cocon familial. Il le fallait bien pourtant. Je voulais aider le peuple mais ne savait pas quoi faire. Je n’avais pas d’idée et ne savait pas comment m’y prendre. M’engager dans la marine était inutile car impossible de changer des ordres. La révolution ? Il voulait juste en découdre avec la marine . Piraterie ? Il s’en fichait royalement de Saint-urea . Il fallait que je réfléchisse mais ce n’était pas mon point forts. La politique ? Jamais plutôt crever. Tant pis ça attendra il fallait que j’aille acheter des Louboutrains de 12cm c’était là ma priorité.

Pendant toutes ces périodes j’étais quand même heureux mais j’avais envie de partir à la découverte du monde. Voir si ce qu’on disait dans les livres étaient vrais ; voir si je pouvais voyager comme bon me semble et profiter de la vie. Je devais l’annoncer à mes parents et je devais surtout prendre de l’argent avec moi. Je savais désormais me débrouiller et je savais aussi qu’il fallait que je me sorte les doigts de mon postérieur et commençait à travailler si je ne voulais pas finir à la rue. Mon père lisait son journal, ma mère tricotait et je les regardais avec attention. Mon père avait vieilli au fil des ans et la photo de lui plus jeune jurait par rapport à son aspect physique actuel. Il en allait de même pour ma mère. Je ne partais probablement pas au bon moment, je me devais de prendre soin d’eux, mais c’était au dessus de mes forces. Ma soif d’apprendre était la plus forte. J’avais rédigé une lettre de remerciements et d’amour, je l’avait enveloppé et posé sur la table puis j’étais partie. L’aventure m’attendait mais pas celle que je croyais...

18h c'était le moment où la réunion commençait. On voulait commencé tôt cette soirée pour finir ensuite dehors. Sur la table petits fours, champagne et autres amuse bouche étaient présentès devant nous. Parmi les convives il y avait un certains Fourbky Vincent, un homme dans la trentaine, une moustache sel et poivre, un léger accent qui provenait de je ne sais où et une chemise ouverte sur un torse velu. Rien de mieux pour mettre en confiance quelqu'un que de montrer ses poils comme ça... Super étrange,mais un connaissait mes amies. Les amis de mes amies sont mes amies ? Le temps allaient me le dire.

Pour cette soirée il y avait la tous les talons tendances de l'année en avant première. Le genre de soirée à laquelle tu manque, tu est finie, terminée et la honte s'abattra sur toi et ta famille. Les essayages allaient bon trains tout comme le champagne. De temps en temps je le permettait de jeter un oeil à Fourbky qui ne manquait pas de se lécher à chaque ils la lèvre inférieure quand nos regards se croisaient. J'étais plutôt très mal à l'aise. Je pense que si j'étais seule avec lui, il aurait tenter de m'emmène chez lui et pas pour zouké.

18h30 malgré les amuse bouche je sentais que l'alcool faisait effet. Malheureusement des bruits que j'avais connu autrefois firent surface. Une confrontation. On entendait le bruit sourd des canons et des armes à feu. Idéal pour dessouler dans la minute. Puis une sirène retentit celle du couvre feu. On savait qu'à 19h il était interdit de sortir. Malheureusement j'avais 30mn de marche. Puis seule je ne pouvais pas faire grand chose. Mes amies partirent toutes en une fraction de seconde. Seul restait fourbky et moi. Je fis un regard gêné et il me dit:

-"Tu veux mon... Aide pour que tu rentre ? Ou tu veux qu'on aille chez moi ? "

Mon cerveau se mit en mode marche tous seul et je m'imaginais déjà en proie à ce pervers et faire des choses salaces. Une fois mes images chassées de mon esprit je décline son offre.

-"Merci sans façon mes parents m'attendent et je dois me dépêcher"

-"Je comprends mon oiseau des îles, je vais te raccompagner je connais bien le coin et avec mon aide on s'en sortira mieux"

Mon oiseau des îles ? OK on va se détendre. Une fois en bas de l'immeuble des hordes de marines couraient dans tous les sens. C'était un bordel sans nom. Fourbky me pris la main me souriat et tenta de me rassurer à sa façon.

-"Tu sais si tu veux il fait chaud chez moi, on sera plus vite à l'abris et on pourrait continuer la soirée. Tu aime les huîtres ? "

Je récapitule je suis en période de couvre feu j'ai 20mn pour rentrer et un pervers me tiens la main et veut clairement bouffer de l'huître et je parle pas de l'animal. Je retire ma main dans tarder et lui dit:

-"Écoute moi bien Fourbky je veux rentrer chez moi et pas dans ton bungalow et je te montrerais pas mes lolo OK ? Donc soit tu me ramène sans me toucher et me faire des allusions sexuelles soit je te castre sur le champ et je rentre seule"

Son visage en dis long mais tant mieux inutile de passé par quatres chemins. En courant à travers les rues et en évitant au maximum les marines un de me talons kermes s'est retrouver coincé et casser net. J'enlevait mes chaussures et suivait toujours Fourbky qui ne disait mot. J'avais presque de la peine mais mince je suis pas une fille facile !!

Au détour d'une ruelle un marine nous interpella.Il devait avoir la quarantaine était assez imposant et avait une voie grave.

-"Ola mademoiselle couvre feu dans 10mn,rejoignez immédiatement votre maison ou nous devrons vous arrêtez"

-"Vous inquiétez pas monsieur on va justement rentrer chez mes beaux parents"

Mon visage se decomposa.Il était sérieux ? Il pensait vraiment que je lui avait donner rencard ? En tout cas le marine nous a laissé passer et nous avions que quelques minutes de retard. Il allait de soi que je devais le montrer à mes parents puisque vous avions pris plusieurs raccourcis. Nous avions expliqué la situation à mes parents. Ils le remerciement et lui proposa de rester dormir en raison du couvre feu. Il accepta avec empressement. Nul doute que cette nuit je dormirais armés.