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• Pseudonyme : Votre surnom s’il y a lieu.
• Age : ...
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun
• Groupe : Marine
• Age : ...
• Sexe : Homme
• Race : Humain
• Métier : Aucun
• Groupe : Marine
• But : Faire régner la lumière et la justice par tous les moyens quelqu’ils soient
• Équipement : un wakizashi ainsi qu’un pistolet
• Parrain : Mountbatten
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement : “ça mange pas d’pain”
• Équipement : un wakizashi ainsi qu’un pistolet
• Parrain : Mountbatten
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? non
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? ...
Codes du règlement : “ça mange pas d’pain”
Description Physique
Charles Diggary est un homme blanc aux yeux vert menthe d’un éclat luisant et aux crâne presque rasé laissant appraître quelques débuts de racines blondes qui mesure 1m85 pour 70kg, il est mince et possède une morphologie élancée. Son corps parait solide et résistant à l’effort ainsi qu’à la maladie. Il a une barbe courte et taillé mêlée à une moustache fine ainsi un visage fin au teint lumineux avec une cicatrice horizontal sur la joue droite en dessous de l’oeil ainsi qu’une autre petite cictrice coupant son sourcil gauche lui donnant un air baroudeur. Son nez est court et sa bouche est mince. il se tient droit avec les épaules légèrement vers l’avantqu’il soit assis ou debout. Il a sur la tranche intérieurs des doigts des tatouages de runes anciennes et sous l’oeil un petit tatouage représentant une balance. Il avance toujours d’un pas assuré et nonchalant. il essaie toujours d’être habillé de façon sobre et discrète afin de ne pas de se faire remarquer et se mêler facilement dans la foule ou au décor. Lorsqu’il parle Il possède un timbre de voix grave et chaud qui le rend humain et rassurant. Dès lors où il fatigue il commence à rigoler à n’importe quoi et à abuser de l’alcool étant son péché mignon, ce qui le détend et le relaxe le préférant à la nourriture en géneral qu’il mange en quantité modérée.
Description Psychologique
Charles est un homme calme et joueur, il aime remettre son sort entre les mains du ciel en qui il à une foi acharné et infaillible car personne ne peut contester le sort que le ciel nous donne. Il a toujours une pièce venant d’une amie qui lui était chère sur lui afin de prendre certaine décision avec celle-ci. Il est très franc et carré dans ce qu’il dit et ce qu’il fait. Il déteste le mensonge et la corruption qui nuisent à la vérité ainsi qu’à la justice et considère comme faible tout ceux qui en abusent à des fins malsaines. Il est doté d’une implacable impartialité et essaie d’être le plus intègre possible afin de faire régner l’équité. Il veut devenir les des hommes les plus puissants et les plus influents du monde afin de protéger ceux qu’il estime avoir besoin de protection et ainsi donner la liberté aux plus faible ne pouvant se défendre seul. Il n’est pas naïf et est conscient que son idéal de justice est impossible à cause de la nature de l’homme étant constituée d’autant de bons côtés que de penchants malveillants et égoïstes. Cependant lorsqu’il prend des vacances dans son devoir il aime dépenser sa bourse dans les jeux d’argents, il est un client réputé dans ces genres d’établissements, Il aime toute les sortes de boissons et adore se confectionner des mélanges le soir afin de se détendre. Il n’est jamais totalement ivre afin d’être fonctionnel au cas où il serait en danger mais n’hésite pas à effleurer ses limites. Charles est le genre d’homme à tout jouer sur un pari, ou sur un lancer de dés car il aime le risque, c’est pour ça qu’il aime tant les combats. Le combat lui permet d’être empli ce sentiment de danger et d’excitation qui permet de déchainer son énergie qu’il dédie au service de la lumière. Il apprécie la compagnie et préfère voyager accompagné plutôt que d’être seul même si évidemment un peu de recueil et d’isolement lui permettent de se recentrer sur son objectif actuel.
Biographie
Charles Diggary est né à Logue Town en 1603 dans une famille pauvre dont le père et la mère travallait beaucoup pour peu. Charles grandit cependant dans des conditions saines et prospères car ses parents faisaient tout pour le préserver. Ses parents lui enseignèrent des valeurs qui leurs était chères comme la franchise, le respect et la droiture même si à cause de leur emploi ils ne pouvait rester à la maison avec lui, s’efforçant de travailler afin de garder un train de vie respectable. De ce fait Charles n’aimant pas rester seul, il sortit de plus en plus dans la rue pour voir du monde. Il rencontra de plus en plus de monde avec des personnalités différentes et des moeurs différents. Il aimait parler avec tous que ce soit du vieillard assis sur un banc qui observe la vie dans la rue, comme au commerçant qui vend ses tissus où sa nourriture au marché ainsi qu’aux autres enfants plus ou moins âgés que lui. Il trouvait que chacune des personnes qu’il rencontrait représentait un cheminement de vie distinct ayant tous une histoire à raconter, il voyait chaque personne comme une facette de la vie, les considérant tous de manière égale puisque qu’il n’existe pas de meilleur façon de vivre qu’une autre. C’est de là que lui vient son impartialité à toute épreuve.
Charles avait dans sa bande d’amis une fille dont il était très proche, elle s’appelait Aiko est venait aussi d’un quartier très modeste de Logue Town. Elle était toujours présente pour lui lorsque ses parents ne l’étaient pas et ensemble ils s’amusait dans la ville jusqu’à ce que l’un où l’autre doive rentrer à la maison pour diner. Les deux adolescent se sentait libre lorsqu’ils étaient en présence de l’autre, ils ne se cachaient rien et n’avaient aucun tabou, ils se considéraient presque de la même famille. Un jour, un pirate décida de faire un rapt d’enfant afin de les vendre comme esclaves au marché noir. Il en avait déja un petit nombre et était sur le point de partir quand il croisa Charles et Aiko dans une ruelle. Il s’approcha d’eux d’un air nonchalant. Charles et Aiko étaient en train de se disputer pour une broutille comme ils le faisaient régulièrement et cela finissait toujours en rigolade. Les deux gamins ne prêtèrent aucune attention au pirate. Le forban les prit de court afin de ne pas attirer l’attention, une fois à leur niveau il assoma Charles aussi sec et essaya de paralyser Aiko en l’étouffant avec sa main pour ne pas qu’elle puisse crier à l’aide cependant elle se débattait trop et elle ripostait avec des coups de coudes dans son estomac. Ne pouvant pas l’empêcher de crier, il imagina des solutions pour ne pas se faire remarquer. Le problème était que la ruelle dans laquelle ils se trouvaient était accolée à une grande rue marchande où il y avait beaucoup de passage. Le pirate se voyait déjà se faire arrêter et finir sa vie en prison ayant eu beaucoup d’antécédents avec la Marine. il prit peur et la frappa dans la nuque Aiko pour pouvoir la maîtriser et empêcher ses cris d’avertir quelqu’un. Seulement Aiko n’était encore qu’une enfant et n’était pas d’une constitution très solide, un bruit d’os brisé retentit puis elle s’écroula au sol. Charles se leva lentement la tête lourde et ses yeux qui peinait à voir. Lorsqu’il reprit totalement conscience il vit le pirate qui prenait la fuite déjà conscient de la gravité de l’acte qu’il venait de commettre.
Charles baissa la tête et trouva le corps sans vie d’Aiko, il tenta de lui faire reprendre connaissance en lui hurlant dessus mais c’était impossible, c’était déjà trop tard, elle était déjà parti. Il croyait rêver et être ainsi dans un cauchemard, il se demandait pourquoi ça arrivait à eux, petits êtres innocents et purs qui n’avait encore rien accompli dans ce monde. Il prit le corps de son amie dans ses bras et marchait avec sans aucune réaction, il ne pouvait se résoudre à accepter que son amie était morte alors qu’elle n’avait encore jamais blesser quelqu’un. Les gens dans la rue qui l’observaient se rendirent compte que la fille dans ses bras paraissait étrangement calme et s’aperçurent qu’elle avait les yeux ouvertes avec la nuque bleue et disloquée. Ils s’enfuirent et appelèrent la Marine. Une enquête fut ouverte mais on ne retrouva jamais le pirate. L’enquête fut close et les parents n’étant pas des personnes influente ni aisées, ils ne purent payer quelqu’un pour continuer l’enquête et après deux ou trois jours on ne parlait plus de l’affaire. Aiko était morte sans avoir eu justice, Charles venait d’être le témoin d’une grande cruauté et personne ne s’en souciait à par lui. Il savait de par les journaux et les faits divers qu’il y avait de nombreux cas comme celui-ci qui était ignorés et dont on ne rendait pas justice aux victimes. Ce jour là il se fit serment d’être le bras armé de la lumière et de faire régner la justice dans ce monde où même un enfant innocent de tout mal ne peut être libre. Après quelques années lorsqu’il fut presque adulte, Charles, conscient de certaines prédispositions au combat qu’il possédait se présenta à la base locale de la Marine et décida de la rejoindre pour s’entraîner au combat et commençait à exercer la loi en étant commandé par des personnes beaucoup plus forts et plus expérimentés afin d’apprendre rapidement et devenir plus puissant afin d’avancer dans sa quête de justice.
Charles avait dans sa bande d’amis une fille dont il était très proche, elle s’appelait Aiko est venait aussi d’un quartier très modeste de Logue Town. Elle était toujours présente pour lui lorsque ses parents ne l’étaient pas et ensemble ils s’amusait dans la ville jusqu’à ce que l’un où l’autre doive rentrer à la maison pour diner. Les deux adolescent se sentait libre lorsqu’ils étaient en présence de l’autre, ils ne se cachaient rien et n’avaient aucun tabou, ils se considéraient presque de la même famille. Un jour, un pirate décida de faire un rapt d’enfant afin de les vendre comme esclaves au marché noir. Il en avait déja un petit nombre et était sur le point de partir quand il croisa Charles et Aiko dans une ruelle. Il s’approcha d’eux d’un air nonchalant. Charles et Aiko étaient en train de se disputer pour une broutille comme ils le faisaient régulièrement et cela finissait toujours en rigolade. Les deux gamins ne prêtèrent aucune attention au pirate. Le forban les prit de court afin de ne pas attirer l’attention, une fois à leur niveau il assoma Charles aussi sec et essaya de paralyser Aiko en l’étouffant avec sa main pour ne pas qu’elle puisse crier à l’aide cependant elle se débattait trop et elle ripostait avec des coups de coudes dans son estomac. Ne pouvant pas l’empêcher de crier, il imagina des solutions pour ne pas se faire remarquer. Le problème était que la ruelle dans laquelle ils se trouvaient était accolée à une grande rue marchande où il y avait beaucoup de passage. Le pirate se voyait déjà se faire arrêter et finir sa vie en prison ayant eu beaucoup d’antécédents avec la Marine. il prit peur et la frappa dans la nuque Aiko pour pouvoir la maîtriser et empêcher ses cris d’avertir quelqu’un. Seulement Aiko n’était encore qu’une enfant et n’était pas d’une constitution très solide, un bruit d’os brisé retentit puis elle s’écroula au sol. Charles se leva lentement la tête lourde et ses yeux qui peinait à voir. Lorsqu’il reprit totalement conscience il vit le pirate qui prenait la fuite déjà conscient de la gravité de l’acte qu’il venait de commettre.
Charles baissa la tête et trouva le corps sans vie d’Aiko, il tenta de lui faire reprendre connaissance en lui hurlant dessus mais c’était impossible, c’était déjà trop tard, elle était déjà parti. Il croyait rêver et être ainsi dans un cauchemard, il se demandait pourquoi ça arrivait à eux, petits êtres innocents et purs qui n’avait encore rien accompli dans ce monde. Il prit le corps de son amie dans ses bras et marchait avec sans aucune réaction, il ne pouvait se résoudre à accepter que son amie était morte alors qu’elle n’avait encore jamais blesser quelqu’un. Les gens dans la rue qui l’observaient se rendirent compte que la fille dans ses bras paraissait étrangement calme et s’aperçurent qu’elle avait les yeux ouvertes avec la nuque bleue et disloquée. Ils s’enfuirent et appelèrent la Marine. Une enquête fut ouverte mais on ne retrouva jamais le pirate. L’enquête fut close et les parents n’étant pas des personnes influente ni aisées, ils ne purent payer quelqu’un pour continuer l’enquête et après deux ou trois jours on ne parlait plus de l’affaire. Aiko était morte sans avoir eu justice, Charles venait d’être le témoin d’une grande cruauté et personne ne s’en souciait à par lui. Il savait de par les journaux et les faits divers qu’il y avait de nombreux cas comme celui-ci qui était ignorés et dont on ne rendait pas justice aux victimes. Ce jour là il se fit serment d’être le bras armé de la lumière et de faire régner la justice dans ce monde où même un enfant innocent de tout mal ne peut être libre. Après quelques années lorsqu’il fut presque adulte, Charles, conscient de certaines prédispositions au combat qu’il possédait se présenta à la base locale de la Marine et décida de la rejoindre pour s’entraîner au combat et commençait à exercer la loi en étant commandé par des personnes beaucoup plus forts et plus expérimentés afin d’apprendre rapidement et devenir plus puissant afin d’avancer dans sa quête de justice.
Test RP
En rejoignant la Marine Charles pensait qu’il allait pouvoir commencer son entraînement tout de suite mais quel fût sa surprise quand on lui assigna sa première tâche en tant que nouveau membre de la Marine. Il s’attendait à partir immédiatement dans une mission très dangereuse accompagné de gens extraordinaire et puissant ensemble, prêts à tout pour sauver des innocents et là, on lui annonce qu’il doit nettoyer de fond en comble les toilettes ainsi que les dortoirs de la garnison de la base locale de Logue town.
Il était dégoûté, on venait de lui casser son enthousiasme, mais après un court instant il relativisa en se disant qu’il faut bien commencer quelque part et que ça prend du temps pour gravir les échelons et ainsi atteindre la crème des soldats de la Marine. Cette perspective rendait Charles heureux puisque cela lui donnait un objectif à accomplir et non des moindre ce qui rajoutait du piment et du challenge à son existence.
Il fonça immédiatement plein d’énergie dans les toilettes et les dortoirs de la garnison qui étaient logiquement accolés. Le jeune homme commença sa tâche et nettoya du mieux qu’il pût pour débarrasser les deux pièces de la saleté et de la poussière qu’elles contenaient. Charles frotte et frotte encore quand il entend des petits bruits de déplacements sur le carrelage près des placards contenant le stock de papier toilette. Il réfléchit et se souvint d’avoir déjà entendu ce genre de son lorsqu’il était chez ses parents. Ce bougre continua d’astiquer sans prêter attention à ces bruits qui malgré tout devenaient de plus en plus récurrents.
À force de sentir toute cette agitation près de lui, Charles se lève aussi sec et fonce ouvir le plarcard pour ne pas laisser le temps à la source de cette activté clandestine de s’échapper. Il ouvre subitement le placard et là que voit-il ? Il semble apercevoir une bande de rats qui vole du papier toilette. En fait ces rats s’en servent de repas, les chats présents dans la base leur menant la vie dure, ils mangent ça, ne pouvant trouver mieux. Les rongeurs sortent tous et passent sous les jambes du jeune homme et passent par la pièce propre qui venait à peine d’être nettoyée par Charles, ce qui réduit son travail à néant salissant tout sur leur passage. Ils se dispersèrent rendant le tâche impossible pour Charles puisqu’à chaque fois qui les poursuivaient ils disséminaient de la poussière et de la crasse qu’ils avaient accumulés sur leur poils lorsqu’ils passaient par l’aération de la base pour trouver quelque chose à manger.
Charles prend le temps de la réflexion et tente de se souvenir de ce qu’avait fait ses parents pour se débarrasser de ces nuisibles qui avait jadis envahi leur vieille maisondans leur quartier sale et nauséabond. Il sait ! Ses parents se servirent à l’époque de citron et de poivre pour les éloigner car les rats ont un odorat assez fin pour détecter des stocks de nourriture à des dizaine de mètre à la ronde, le poivre et le citron ayant une odeur assez intense et lourde pour les repousser. Il marcha d’un pas pressé dans les cuisines de la base pour récupérer des morceaux de citron et beaucoup de baies moulues qui servait à faire du poivre afin de parsemer le chemin qu’utilisait les rats pour les éloigner sans qu’il ai a utiliser des pièges pour ne pas les tuer. Après avoir disposer le poivre et le citron il attendit une bonne heure pour recommencer son labeur. Le bleu vérifia quand même tous les placards autour par acquis de conscience mais il avait bien repoussé les rats qui rôdaient.
Il termina rapidement ce qu’on lui avait ordonné de faire pour montrer une forme de dévotion et de cette manière essayer de se faire apprécier de ses supérieurs. Charles s’empresse juste après avoir vérifié qu’il avait tout laver de retourner voir son supérieur pour lui dire qu’il avait finit et qu’en prime il venait de chasser les rats de la base afin qu’il lui assigne une autre tâche. Il avait hâte de passer à autre chose.
Il était dégoûté, on venait de lui casser son enthousiasme, mais après un court instant il relativisa en se disant qu’il faut bien commencer quelque part et que ça prend du temps pour gravir les échelons et ainsi atteindre la crème des soldats de la Marine. Cette perspective rendait Charles heureux puisque cela lui donnait un objectif à accomplir et non des moindre ce qui rajoutait du piment et du challenge à son existence.
Il fonça immédiatement plein d’énergie dans les toilettes et les dortoirs de la garnison qui étaient logiquement accolés. Le jeune homme commença sa tâche et nettoya du mieux qu’il pût pour débarrasser les deux pièces de la saleté et de la poussière qu’elles contenaient. Charles frotte et frotte encore quand il entend des petits bruits de déplacements sur le carrelage près des placards contenant le stock de papier toilette. Il réfléchit et se souvint d’avoir déjà entendu ce genre de son lorsqu’il était chez ses parents. Ce bougre continua d’astiquer sans prêter attention à ces bruits qui malgré tout devenaient de plus en plus récurrents.
À force de sentir toute cette agitation près de lui, Charles se lève aussi sec et fonce ouvir le plarcard pour ne pas laisser le temps à la source de cette activté clandestine de s’échapper. Il ouvre subitement le placard et là que voit-il ? Il semble apercevoir une bande de rats qui vole du papier toilette. En fait ces rats s’en servent de repas, les chats présents dans la base leur menant la vie dure, ils mangent ça, ne pouvant trouver mieux. Les rongeurs sortent tous et passent sous les jambes du jeune homme et passent par la pièce propre qui venait à peine d’être nettoyée par Charles, ce qui réduit son travail à néant salissant tout sur leur passage. Ils se dispersèrent rendant le tâche impossible pour Charles puisqu’à chaque fois qui les poursuivaient ils disséminaient de la poussière et de la crasse qu’ils avaient accumulés sur leur poils lorsqu’ils passaient par l’aération de la base pour trouver quelque chose à manger.
Charles prend le temps de la réflexion et tente de se souvenir de ce qu’avait fait ses parents pour se débarrasser de ces nuisibles qui avait jadis envahi leur vieille maisondans leur quartier sale et nauséabond. Il sait ! Ses parents se servirent à l’époque de citron et de poivre pour les éloigner car les rats ont un odorat assez fin pour détecter des stocks de nourriture à des dizaine de mètre à la ronde, le poivre et le citron ayant une odeur assez intense et lourde pour les repousser. Il marcha d’un pas pressé dans les cuisines de la base pour récupérer des morceaux de citron et beaucoup de baies moulues qui servait à faire du poivre afin de parsemer le chemin qu’utilisait les rats pour les éloigner sans qu’il ai a utiliser des pièges pour ne pas les tuer. Après avoir disposer le poivre et le citron il attendit une bonne heure pour recommencer son labeur. Le bleu vérifia quand même tous les placards autour par acquis de conscience mais il avait bien repoussé les rats qui rôdaient.
Il termina rapidement ce qu’on lui avait ordonné de faire pour montrer une forme de dévotion et de cette manière essayer de se faire apprécier de ses supérieurs. Charles s’empresse juste après avoir vérifié qu’il avait tout laver de retourner voir son supérieur pour lui dire qu’il avait finit et qu’en prime il venait de chasser les rats de la base afin qu’il lui assigne une autre tâche. Il avait hâte de passer à autre chose.
Informations IRL
• Prénom : Tim
• Age : 17
• Aime : le sarcasme
• N'aime pas : la campagne
• Personnage préféré de One Piece : Barbe Blanche
• Caractère : Quelques mots pour vous décrire ? Je suis amical et des fois drôle mais ça dépend beaucoup de l'alignement des planètes
• Fait du RP depuis : 2019
• Disponibilité approximative : 1 à 2 fois par semaine
• Comment avez-vous connu le forum ?
ONE PIECE REQUIEM
Dernière édition par Charles Diggory le Sam 17 Aoû 2019 - 0:17, édité 1 fois