Précédemment
Le soleil rouge feu…. Une terre aride sans arbres ni point d’eau à des kilomètres. Un homme ténébreux possédant une longue veste noire qui semble déchirée sur les extrémités. Des cheveux mi longs d’un brun qui tendent vers le noir, une barbe de quelques jours puis des lunettes de la même couleur que sa chevelure. Un homme qui se tient à quelque mètre de Melyne et qui semble la protéger de quelqu’un. D’un homme bien plus terrifiant physiquement, un homme avec le teint rouge, deux grosses cornes de même couleur, une barbichette noir ainsi que des favoris. Son cigare dans sa main droite est balancé d’une pichenette.
*Que se passe-t-il ?*
Melyne toute paniqué est prise de tremblement. Après tout ces deux hommes lui sont familiers. D’ailleurs le cornu donne un violent coup de poing au ténébreux qui finit avec un genou au sol. Pour répliquer un katana est dégainé de sous sa veste. Les hommes enchaînent plusieurs attaques mais un seul reçoit des coups et c’est ce ténébreux.
Ce n’en n’est plus un, ça tourne littéralement à la correction devant les yeux de la petite qui commence à pleurer.
-Sauves toi Piou !
Du sang coule de la bouche du ténébreux qui se nomme Piou. Il fait face à ce monstre de puissance pour protéger la petite et peu importe le nombre de fois où il va au sol il finit par se relevé.
-Piou, s’il te plaiiit. Fuis.
-*respire* Je protégerais ton âme de monstre Melyne. J’ai promis *respire* de faire de toi le plus grand monstre de l’histoire.
La petite en larmes finit enfin par reconnaître l’agresseur qui avait le visage flou jusqu’à présent. Son père qui corrige Piou. Son père fou de rage qui donne une véritable démonstration de puissance. D’ailleurs sa taille ne fait qu’augmenter, sa carrure double, ses cornes grandissent, il fait maintenant plus de vingt mètres de haut. Des flammes sortent de sa bouche.
-Papaaa. Arrête, laisse Piou tranquille
-Regarde toi Melyne, regarde ce qu’il a fait de toi !
Un miroir apparaît devant la petite qui se voit monstrueuse. Ses cornes sont tordue, ses dents ne sont plus du tout alignées, des cicatrices sur tout le visage, des yeux noirs sans laisser de place à aucune autre couleur. Plus elle se regarde plus son souffle devient court et fort. Puis il y a aussi cette queue tel le diable, des sabots à la place des pieds des griffes à la place des doigts.
-Papa, sauve moii !
Le bruit de la mer, le vent sur les voiles, l’odeur d’un joli plat qui est en train d’être préparé en cuisine. Tout cela n’était qu’un rêve… ou peut-être un cauchemar? Sans doute à t’elle prononcé quelques mots durant son sommeil. En tout cas la voilà enfermé dans une cabine attaché bien comme il faut. A croire qu’ils ont vraiment mis les moyens dans ce ligotage pour qu’elle ne puisse pas bouger.
Ses petits yeux s’ouvrent lentement lorsqu’elle regarde à droite puis à gauche. Elle met quelques secondes à constater qu’elle ne peut pas bouger comme elle le souhaite. La cornue baille un bon coup avant de finir par l’ouvrir. Enfin seul dans cette cabine personne risque de l'entendre donc elle se met littéralement à hurler.
-Lâchez-moi ! Lâchez-moi ! Vous connaissez pas mon Papa. Si vous me relâchez pas il va vous envoyer en prison !
- petite info:
- Hors rp : l'écriture en gras est pour l'ami imaginaire de Melyne qui se nomme Piou. Seul Melyne peut l'entendre.
Le soleil rouge feu…. Une terre aride sans arbres ni point d’eau à des kilomètres. Un homme ténébreux possédant une longue veste noire qui semble déchirée sur les extrémités. Des cheveux mi longs d’un brun qui tendent vers le noir, une barbe de quelques jours puis des lunettes de la même couleur que sa chevelure. Un homme qui se tient à quelque mètre de Melyne et qui semble la protéger de quelqu’un. D’un homme bien plus terrifiant physiquement, un homme avec le teint rouge, deux grosses cornes de même couleur, une barbichette noir ainsi que des favoris. Son cigare dans sa main droite est balancé d’une pichenette.
*Que se passe-t-il ?*
Melyne toute paniqué est prise de tremblement. Après tout ces deux hommes lui sont familiers. D’ailleurs le cornu donne un violent coup de poing au ténébreux qui finit avec un genou au sol. Pour répliquer un katana est dégainé de sous sa veste. Les hommes enchaînent plusieurs attaques mais un seul reçoit des coups et c’est ce ténébreux.
Ce n’en n’est plus un, ça tourne littéralement à la correction devant les yeux de la petite qui commence à pleurer.
-Sauves toi Piou !
Du sang coule de la bouche du ténébreux qui se nomme Piou. Il fait face à ce monstre de puissance pour protéger la petite et peu importe le nombre de fois où il va au sol il finit par se relevé.
-Piou, s’il te plaiiit. Fuis.
-*respire* Je protégerais ton âme de monstre Melyne. J’ai promis *respire* de faire de toi le plus grand monstre de l’histoire.
La petite en larmes finit enfin par reconnaître l’agresseur qui avait le visage flou jusqu’à présent. Son père qui corrige Piou. Son père fou de rage qui donne une véritable démonstration de puissance. D’ailleurs sa taille ne fait qu’augmenter, sa carrure double, ses cornes grandissent, il fait maintenant plus de vingt mètres de haut. Des flammes sortent de sa bouche.
-Papaaa. Arrête, laisse Piou tranquille
-Regarde toi Melyne, regarde ce qu’il a fait de toi !
Un miroir apparaît devant la petite qui se voit monstrueuse. Ses cornes sont tordue, ses dents ne sont plus du tout alignées, des cicatrices sur tout le visage, des yeux noirs sans laisser de place à aucune autre couleur. Plus elle se regarde plus son souffle devient court et fort. Puis il y a aussi cette queue tel le diable, des sabots à la place des pieds des griffes à la place des doigts.
-Papa, sauve moii !
Vlam
Le bruit de la mer, le vent sur les voiles, l’odeur d’un joli plat qui est en train d’être préparé en cuisine. Tout cela n’était qu’un rêve… ou peut-être un cauchemar? Sans doute à t’elle prononcé quelques mots durant son sommeil. En tout cas la voilà enfermé dans une cabine attaché bien comme il faut. A croire qu’ils ont vraiment mis les moyens dans ce ligotage pour qu’elle ne puisse pas bouger.
Ses petits yeux s’ouvrent lentement lorsqu’elle regarde à droite puis à gauche. Elle met quelques secondes à constater qu’elle ne peut pas bouger comme elle le souhaite. La cornue baille un bon coup avant de finir par l’ouvrir. Enfin seul dans cette cabine personne risque de l'entendre donc elle se met littéralement à hurler.
-Lâchez-moi ! Lâchez-moi ! Vous connaissez pas mon Papa. Si vous me relâchez pas il va vous envoyer en prison !